Adieux
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Adieux
Je pars ce matin vers l’oubli qui se teinte
Des pales lueurs de l’aube à l’est naissantes,
Pour ne plus revenir en ces lieux que tu hantes
De ton esprit chagrin, de tes humeurs feintes.
J’irai chercher l’oubli en terre d‘asile
Vers des contrées lointaines, où rien ne se perd,
Ni des mots ni des gens le tendre et le sincère
Et où je trouverai de l’amour la grande île.
Et il n’y aura plus rien pour me tordre le cœur
Mes pas qui me tirent vers le soleil levant
Ne laisseront de traces que celles du vent
Je fuis ce matin ce que je crus du bonheur
Je pars à présent pour m’oublier moi même
Je flânerais les plaines où s’étirent les rivières
Qui charrieront ma peine à leurs flots éphémères
Et d’hier chanteront le sombre Requiem.
J’irai par ces chemins que je m’interdisais
Qui fleuraient trop le parfum d’un demain
En des temps où hier de bien loin dominait
Une joie qu’un devoir me liait des deux mains
Je fuirais pas à pas, sur des lèvres de mer
Le bruit lancinant des matins sans sommeil
Le tic tac somnambule des jours sans réveil
Et j’irais, un pied dans l’eau un pied dans la terre
Mes amis mes amours je vous dis au revoir
Je vole comme Icar Pour me brûler les ailles
Au soleil inconnu d’un impossible espoir
Je vous laisse ici bas, je repars pour le ciel
Des pales lueurs de l’aube à l’est naissantes,
Pour ne plus revenir en ces lieux que tu hantes
De ton esprit chagrin, de tes humeurs feintes.
J’irai chercher l’oubli en terre d‘asile
Vers des contrées lointaines, où rien ne se perd,
Ni des mots ni des gens le tendre et le sincère
Et où je trouverai de l’amour la grande île.
Et il n’y aura plus rien pour me tordre le cœur
Mes pas qui me tirent vers le soleil levant
Ne laisseront de traces que celles du vent
Je fuis ce matin ce que je crus du bonheur
Je pars à présent pour m’oublier moi même
Je flânerais les plaines où s’étirent les rivières
Qui charrieront ma peine à leurs flots éphémères
Et d’hier chanteront le sombre Requiem.
J’irai par ces chemins que je m’interdisais
Qui fleuraient trop le parfum d’un demain
En des temps où hier de bien loin dominait
Une joie qu’un devoir me liait des deux mains
Je fuirais pas à pas, sur des lèvres de mer
Le bruit lancinant des matins sans sommeil
Le tic tac somnambule des jours sans réveil
Et j’irais, un pied dans l’eau un pied dans la terre
Mes amis mes amours je vous dis au revoir
Je vole comme Icar Pour me brûler les ailles
Au soleil inconnu d’un impossible espoir
Je vous laisse ici bas, je repars pour le ciel
Ce matin Amer !
Dernière édition par Philippe le Sam 8 Mar - 11:26, édité 1 fois
Philippe- Nombre de messages : 341
Date d'inscription : 12/01/2008
Re: Adieux
premier com:
Je ne te permets pas de nous quitter
Et, quitter n’est pas la solution
Ta place est avec nous sur
Ces pages de joie de vie en poésie
Je ne te permets pas de nous quitter
Et, quitter n’est pas la solution
Ta place est avec nous sur
Ces pages de joie de vie en poésie
Re: Adieux
Tu partiras ou tu voudras
L’oubli ne te viendra pas
Tes pas ne te guideront
que vers
Nos cœurs qui te lisent
Et t’adorent
L’asile c’est :
ce forum,
terre paisible
ici (et ailleurs)tu pourras
tordre les vers
Les déverser en rivières
Tu peux flâner
et fredonner
Des airs de mélancolie
Tu pourras chercher l’oubli
Seulement,
il ne viendra jamais
L’oubli ne te viendra pas
Tes pas ne te guideront
que vers
Nos cœurs qui te lisent
Et t’adorent
L’asile c’est :
ce forum,
terre paisible
ici (et ailleurs)tu pourras
tordre les vers
Les déverser en rivières
Tu peux flâner
et fredonner
Des airs de mélancolie
Tu pourras chercher l’oubli
Seulement,
il ne viendra jamais
Dernière édition par Admin le Lun 10 Mar - 18:27, édité 1 fois
Re: Adieux
Admin a écrit:premier com:
Je ne te permets pas de nous quitter
Et, quitter n’est pas la solution
Ta place est avec nous sur
Ces pages de joie de vie en poésie
Bon j'reste encore un peu
Mais c'est bien que pour toi
Bises princesse
Philippe- Nombre de messages : 341
Date d'inscription : 12/01/2008
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