HELAS… !
4 participants
Page 1 sur 1
HELAS… !
HELAS… !
…Plus d’écoute des autres espaces
Mes mots ne sont plus au rendez-vous
Tout sent la trahison
Et la page qui ressemble à un linceul
Vit de froissement intemporel
Et où le corps de la plume
Etouffe sous les plis des dépassements… !
Je ne sens plus rien
Je suis immunisé de toutes les blessures
Et de ces absences d’amitiés
On ne se souvient plus de la fréquence des rames
On ne regarde plus en arrière… !
Pas le moindre message
Ni un rappel de parfum
La rose ne parvient plus à s’ouvrir
Et le cœur est las d’attendre… !
Je vis toujours de cette errance
Interrompue par une vague nostalgique
Celle de reconstituer les vestiges
De rebâtir un autre pont
Peut-être je parviendrai à franchir
La dimension inconnue des diverses frontières… !
Je laisse de côté tous les cris
Je mets en quarantaine tous les pleurs
Je n’attends plus rien des autres
Puisque je suis l’unique passager
Sur le quai solitaire de la vie
Mes mains rabougries aux doigts effilés
Caressent un semblant d’horizon strié
Qui change le cadran du temps
Je suis l’ombre de l’ombre
Je suis cette voie lactée automnale
Où la lune métamorphosée
Ne fait que parcourir le firmament de biais…
Du calme mon cœur mouvant… !
Elève-toi mon âme versatile
Redresse-toi mon corps hybride
Continuent mes pas déphasés
Ce n’est qu’un tournant d’événements
Aujourd’hui j’essaie de traduire mes mots
De leur donner les vrais caractères
Demain c’est un autre lever plein de mystères
Possible que le soleil jouera avec le ciel… !
kacem loubay
Mardi 1 Novembre 2005
Khénifra – Maroc
[url=mailto://Loubay_k@yahoo.fr]Loubay_k@yahoo.fr[/url]
Le poète de l’autre rive
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
…Plus d’écoute des autres espaces
Mes mots ne sont plus au rendez-vous
Tout sent la trahison
Et la page qui ressemble à un linceul
Vit de froissement intemporel
Et où le corps de la plume
Etouffe sous les plis des dépassements… !
Je ne sens plus rien
Je suis immunisé de toutes les blessures
Et de ces absences d’amitiés
On ne se souvient plus de la fréquence des rames
On ne regarde plus en arrière… !
Pas le moindre message
Ni un rappel de parfum
La rose ne parvient plus à s’ouvrir
Et le cœur est las d’attendre… !
Je vis toujours de cette errance
Interrompue par une vague nostalgique
Celle de reconstituer les vestiges
De rebâtir un autre pont
Peut-être je parviendrai à franchir
La dimension inconnue des diverses frontières… !
Je laisse de côté tous les cris
Je mets en quarantaine tous les pleurs
Je n’attends plus rien des autres
Puisque je suis l’unique passager
Sur le quai solitaire de la vie
Mes mains rabougries aux doigts effilés
Caressent un semblant d’horizon strié
Qui change le cadran du temps
Je suis l’ombre de l’ombre
Je suis cette voie lactée automnale
Où la lune métamorphosée
Ne fait que parcourir le firmament de biais…
Du calme mon cœur mouvant… !
Elève-toi mon âme versatile
Redresse-toi mon corps hybride
Continuent mes pas déphasés
Ce n’est qu’un tournant d’événements
Aujourd’hui j’essaie de traduire mes mots
De leur donner les vrais caractères
Demain c’est un autre lever plein de mystères
Possible que le soleil jouera avec le ciel… !
kacem loubay
Mardi 1 Novembre 2005
Khénifra – Maroc
[url=mailto://Loubay_k@yahoo.fr]Loubay_k@yahoo.fr[/url]
Le poète de l’autre rive
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Re: HELAS… !
kacem_loubay a écrit:HELAS… !
…Plus d’écoute des autres espaces
Mes mots ne sont plus au rendez-vous
Tout sent la trahison
Et la page qui ressemble à un linceul
Vit de froissement intemporel
Et où le corps de la plume
Etouffe sous les plis des dépassements… !
Je ne sens plus rien
Je suis immunisé de toutes les blessures
Et de ces absences d’amitiés
On ne se souvient plus de la fréquence des rames
On ne regarde plus en arrière… !
Pas le moindre message
Ni un rappel de parfum
La rose ne parvient plus à s’ouvrir
Et le cœur est las d’attendre… !
Je vis toujours de cette errance
Interrompue par une vague nostalgique
Celle de reconstituer les vestiges
De rebâtir un autre pont
Peut-être je parviendrai à franchir
La dimension inconnue des diverses frontières… !
Je laisse de côté tous les cris
Je mets en quarantaine tous les pleurs
Je n’attends plus rien des autres
Puisque je suis l’unique passager
Sur le quai solitaire de la vie
Mes mains rabougries aux doigts effilés
Caressent un semblant d’horizon strié
Qui change le cadran du temps
Je suis l’ombre de l’ombre
Je suis cette voie lactée automnale
Où la lune métamorphosée
Ne fait que parcourir le firmament de biais…
Du calme mon cœur mouvant… !
Elève-toi mon âme versatile
Redresse-toi mon corps hybride
Continuent mes pas déphasés
Ce n’est qu’un tournant d’événements
Aujourd’hui j’essaie de traduire mes mots
De leur donner les vrais caractères
Demain c’est un autre lever plein de mystères
Possible que le soleil jouera avec le ciel… !
kacem loubay
Mardi 1 Novembre 2005
Khénifra – Maroc
[url=mailto://Loubay_k@yahoo.fr]Loubay_k@yahoo.fr[/url]
Le poète de l’autre rive
h-eure de tristesse
e-t d'angoisse
l-a lassitude tigresse
a-ttaque, agresse
s-ans ménager le coeur en faiblesse
pour ce cri de lassitude contre la monotonie
KAMEL- Nombre de messages : 605
loisirs : lecture-guitare-(mots croisés)
Humeur : d'arc-en-ciel
Date d'inscription : 05/03/2010
Re: HELAS… !
Baisser les bras aurait été bien mieux titre! pardon mais le souffle de déprime est trop installé entre les lignes
Secouez-vous, la vie est trop belle pour la laisser couler sans s'y plonger.
le texte ne laisse pas froid
Secouez-vous, la vie est trop belle pour la laisser couler sans s'y plonger.
le texte ne laisse pas froid
karim safriwi- Nombre de messages : 615
Date d'inscription : 03/07/2008
Re: HELAS… !
Bonjour Kamel
...1° er Contact et le verbe se met dans le colimateur. Ni tiste ni gai,
ainsi mes mots peuvent prendre différentes tournures. Quand les
visions se télescopent et sortent d'une certaine gestation de
froideur métallique, on continue à suivre les méandres. Les crues
de mon fleuve peuvent avoir des répercussions sur le voisinage, une
fois le calme rétabli, on remet les choses au point de départ. Bien
sûr en calculant les dégâts.
Mes amitiés de l'autre rive
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
...1° er Contact et le verbe se met dans le colimateur. Ni tiste ni gai,
ainsi mes mots peuvent prendre différentes tournures. Quand les
visions se télescopent et sortent d'une certaine gestation de
froideur métallique, on continue à suivre les méandres. Les crues
de mon fleuve peuvent avoir des répercussions sur le voisinage, une
fois le calme rétabli, on remet les choses au point de départ. Bien
sûr en calculant les dégâts.
Mes amitiés de l'autre rive
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Re: HELAS… !
Bonjour [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
...De Meknès à Khénifra + ou - 140 Kms et pourtant on peut faire un très grand bilan.
Je vis à califourchon dans une ville qui depuis qu'elle est devenue une province en 1973 le même constat.
Les développements préconisés vont à la vitesse d'une limace et encore.
Je croise le fer d'une plume trempée dans les eaux d'un fleuve qui ne
fait que narrer la turbulence de l'instabilité.
Je me confonds avec ses eaux de l'ondoiement aux tourbillonnements enragés.
Les murs ocres de la cité me donnent cette sensation de vide sang coagulé.
Je ne baisse jamais de bras, et comme tu le constates j'écris mes cris
dans cette indéfinissable séjour des jours.
Mes amitiés de l'autre rive
...De Meknès à Khénifra + ou - 140 Kms et pourtant on peut faire un très grand bilan.
Je vis à califourchon dans une ville qui depuis qu'elle est devenue une province en 1973 le même constat.
Les développements préconisés vont à la vitesse d'une limace et encore.
Je croise le fer d'une plume trempée dans les eaux d'un fleuve qui ne
fait que narrer la turbulence de l'instabilité.
Je me confonds avec ses eaux de l'ondoiement aux tourbillonnements enragés.
Les murs ocres de la cité me donnent cette sensation de vide sang coagulé.
Je ne baisse jamais de bras, et comme tu le constates j'écris mes cris
dans cette indéfinissable séjour des jours.
Mes amitiés de l'autre rive
Re: HELAS… !
La voix de la solitude devient musekacem_loubay a écrit:HELAS… !
…Plus d’écoute des autres espaces
Mes mots ne sont plus au rendez-vous
Tout sent la trahison
Et la page qui ressemble à un linceul
Vit de froissement intemporel
Et où le corps de la plume
Etouffe sous les plis des dépassements… !
Je ne sens plus rien
Je suis immunisé de toutes les blessures
Et de ces absences d’amitiés
On ne se souvient plus de la fréquence des rames
On ne regarde plus en arrière… !
Pas le moindre message
Ni un rappel de parfum
La rose ne parvient plus à s’ouvrir
Et le cœur est las d’attendre… !
Je vis toujours de cette errance
Interrompue par une vague nostalgique
Celle de reconstituer les vestiges
De rebâtir un autre pont
Peut-être je parviendrai à franchir
La dimension inconnue des diverses frontières… !
Je laisse de côté tous les cris
Je mets en quarantaine tous les pleurs
Je n’attends plus rien des autres
Puisque je suis l’unique passager
Sur le quai solitaire de la vie
Mes mains rabougries aux doigts effilés
Caressent un semblant d’horizon strié
Qui change le cadran du temps
Je suis l’ombre de l’ombre
Je suis cette voie lactée automnale
Où la lune métamorphosée
Ne fait que parcourir le firmament de biais…
Du calme mon cœur mouvant… !
Elève-toi mon âme versatile
Redresse-toi mon corps hybride
Continuent mes pas déphasés
Ce n’est qu’un tournant d’événements
Aujourd’hui j’essaie de traduire mes mots
De leur donner les vrais caractères
Demain c’est un autre lever plein de mystères
Possible que le soleil jouera avec le ciel… !
kacem loubay
Mardi 1 Novembre 2005
Khénifra – Maroc
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Le poète de l’autre rive
Ouvre la voie à la plume qui dépose
Ses cris nostalgiques- moroses
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
cristopher-cris- Nombre de messages : 2748
loisirs : lecture, voyage
Date d'inscription : 18/07/2008
Sujets similaires
» LA FOLIE
» Dérision
» Flaminio de BIRAGUE
» Hélas, le passé ne vous rend pas forts!
» poèmes pour Elle
» Dérision
» Flaminio de BIRAGUE
» Hélas, le passé ne vous rend pas forts!
» poèmes pour Elle
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum