Dérision
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la terre souffre en silence
Tous les êtres humains "émettent" des gaz à effet de serre
Mais certains sont plus émetteurs que d'autres. On estime qu’un habitant des Etats-Unis rejette 4 fois plus de dioxyde de carbone par an qu’un Chinois. Le mode de vie des pays industrialisés auquel aspire les pays en développement devra être repensé, car il pollue l'atmosphère, dévore les ressources naturelles, et contribue massivement au réchauffement du climat terrestre.
Manger, se déplacer, chauffer son domicile, allumer la lumière, toutes ces activités engendrent du CO2. Sa réduction dépend donc aussi de chacun de nous. Si certains gestes tombent sous le sens, comme celui de préférer, les transports en commun à la voiture, ou encore, si possible, le train à l'avion, d'autres le sont moins. Si nous mangions moins de hamburgers, la déforestation régresserait. En Amazonie, une surface de forêt équivalente à un stade de football s'envole en fumée toutes les deux secondes, essentiellement pour intensifier l'élevage de bovins.
Un écocitoyen éteint la lumière en sortant d'une pièce, ne surchauffe pas son habitation. Il préfère par exemple, acheter des produits locaux, car cela réduit la distance parcourue pour la distribution. Chez soi, à l'école ou au bureau, il y a des gestes simples à la portée de tous pour atténuer son empreinte sur l'écosystème et participer au changement de mentalité.
Mais certains sont plus émetteurs que d'autres. On estime qu’un habitant des Etats-Unis rejette 4 fois plus de dioxyde de carbone par an qu’un Chinois. Le mode de vie des pays industrialisés auquel aspire les pays en développement devra être repensé, car il pollue l'atmosphère, dévore les ressources naturelles, et contribue massivement au réchauffement du climat terrestre.
Manger, se déplacer, chauffer son domicile, allumer la lumière, toutes ces activités engendrent du CO2. Sa réduction dépend donc aussi de chacun de nous. Si certains gestes tombent sous le sens, comme celui de préférer, les transports en commun à la voiture, ou encore, si possible, le train à l'avion, d'autres le sont moins. Si nous mangions moins de hamburgers, la déforestation régresserait. En Amazonie, une surface de forêt équivalente à un stade de football s'envole en fumée toutes les deux secondes, essentiellement pour intensifier l'élevage de bovins.
Un écocitoyen éteint la lumière en sortant d'une pièce, ne surchauffe pas son habitation. Il préfère par exemple, acheter des produits locaux, car cela réduit la distance parcourue pour la distribution. Chez soi, à l'école ou au bureau, il y a des gestes simples à la portée de tous pour atténuer son empreinte sur l'écosystème et participer au changement de mentalité.
roby- Nombre de messages : 1357
Date d'inscription : 28/10/2008
miss Béa- Nombre de messages : 3641
loisirs : mes enfants, écrire, tv, amis...
Humeur : calme, posée, indépendante, un peu mélancolique, mais joyeuse quand même!
Date d'inscription : 18/11/2009
La Terre - Hymne
Victor Hugo Les poèmes |
La Terre - Hymne Elle est la terre, elle est la plaine, elle est le champ. Elle est chère à tous ceux qui sèment en marchant ; Elle offre un lit de mousse au pâtre ; Frileuse, elle se chauffe au soleil éternel, Rit, et fait cercle avec les planètes du ciel Comme des soeurs autour de l'âtre. Elle aime le rayon propice aux blés mouvants, Et l'assainissement formidable des vents, Et les souffles, qui sont des lyres, Et l'éclair, front vivant qui, lorsqu'il brille et fuit, Tout ensemble épouvante et rassure la nuit A force d'effrayants sourires. Gloire à la terre ! Gloire à l'aube où Dieu paraît ! Au fourmillement d'yeux ouverts dans la forêt, Aux fleurs, aux nids que le jour dore ! Gloire au blanchissement nocturne des sommets ! Gloire au ciel bleu qui peut, sans s'épuiser jamais, Faire des dépenses d'aurore ! La terre aime ce ciel tranquille, égal pour tous, Dont la sérénité ne dépend pas de nous, Et qui mêle à nos vils désastres, A nos deuils, aux éclats de rires effrontés, A nos méchancetés, à nos rapidités, La douceur profonde des astres. La terre est calme auprès de l'océan grondeur ; La terre est belle ; elle a la divine pudeur De se cacher sous les feuillages ; Le printemps son amant vient en mai la baiser ; Elle envoie au tonnerre altier pour l'apaiser La fumée humble des villages. Ne frappe pas, tonnerre. Ils sont petits, ceux-ci. La terre est bonne ; elle est grave et sévère aussi ; Les roses sont pures comme elle ; Quiconque pense, espère et travaille lui plaît ; Et l'innocence offerte à tout homme est son lait, Et la justice est sa mamelle. La terre cache l'or et montre les moissons ; Elle met dans le flanc des fuyantes saisons Le germe des saisons prochaines, Dans l'azur les oiseaux qui chuchotent : aimons ! Et les sources au fond de l'ombre, et sur les monts L'immense tremblement des chênes. L'harmonie est son oeuvre auguste sous les cieux ; Elle ordonne aux roseaux de saluer, joyeux Et satisfaits, l'arbre superbe ; Car l'équilibre, c'est le bas aimant le haut ; Pour que le cèdre altier soit dans son droit, il faut Le consentement du brin d'herbe. Elle égalise tout dans la fosse ; et confond Avec les bouviers morts la poussière que font Les Césars et les Alexandres ; Elle envoie au ciel l'âme et garde l'animal ; Elle ignore, en son vaste effacement du mal, La différence de deux cendres. Elle paie à chacun sa dette, au jour la nuit, A la nuit le jour, l'herbe aux rocs, aux fleurs le fruit ; Elle nourrit ce qu'elle crée, Et l'arbre est confiant quand l'homme est incertain ; O confrontation qui fait honte au destin, O grande nature sacrée ! Elle fut le berceau d'Adam et de Japhet, Et puis elle est leur tombe ; et c'est elle qui fait Dans Tyr qu'aujourd'hui l'on ignore, Dans Sparte et Rome en deuil, dans Memphis abattu, Dans tous les lieux où l'homme a parlé, puis s'est tu, Chanter la cigale sonore. Pourquoi ? Pour consoler les sépulcres dormants. Pourquoi ? Parce qu'il faut faire aux écroulements Succéder les apothéoses, Aux voix qui disent Non les voix qui disent Oui, Aux disparitions de l'homme évanoui Le chant mystérieux des choses. La terre a pour amis les moissonneurs ; le soir, Elle voudrait chasser du vaste horizon noir L'âpre essaim des corbeaux voraces, A l'heure où le boeuf las dit : Rentrons maintenant ; Quand les bruns laboureurs s'en reviennent traînant Les socs pareils à des cuirasses. Elle enfante sans fin les fleurs qui durent peu ; Les fleurs ne font jamais de reproches à Dieu ; Des chastes lys, des vignes mûres, Des myrtes frissonnant au vent, jamais un cri Ne monte vers le ciel vénérable, attendri Par l'innocence des murmures. Elle ouvre un livre obscur sous les rameaux épais ; Elle fait son possible, et prodigue la paix Au rocher, à l'arbre, à la plante, Pour nous éclairer, nous, fils de Cham et d'Hermès, Qui sommes condamnés à ne lire jamais Qu'à de la lumière tremblante. Son but, c'est la naissance et ce n'est pas la mort ; C'est la bouche qui parle et non la dent qui mord ; Quand la guerre infâme se rue Creusant dans l'homme un vil sillon de sang baigné, Farouche, elle détourne un regard indigné De cette sinistre charrue. Meurtrie, elle demande aux hommes : A quoi sert Le ravage ? Quel fruit produira le désert ? Pourquoi tuer la plaine verte ? Elle ne trouve pas utiles les méchants, Et pleure la beauté virginale des champs Déshonorés en pure perte. La terre fut jadis Cérès, Alma Cérès, Mère aux yeux bleus des blés, des prés et des forêts ; Et je l'entends qui dit encore : Fils, je suis Démèter, la déesse des dieux ; Et vous me bâtirez un temple radieux Sur la colline Callichore. |
julien- Nombre de messages : 1159
Date d'inscription : 24/02/2010
Re: Dérision
Sacha
Tchiorny ou Alexandre
Noir (pseudonymes du poète Alexandre Glikberg) est né en Russie en
1880. Emigré en France en 1917 après la Révolution russe, il y est mort
en 1932. Il a écrit de nombreux poèmes pour les enfants.
La fête de la
forêt
Que plantons-nous
En
plantant
Des forêts ?
Le mât, l'espar (1),
Pour tenir
les agrès ;
Le pont, la coque
Et l' abri du sextant
Pour
naviguer
Par mer calme ou gros temps.
Que plantons-nous
En
plantant
Des forêts ?
L'aile qui nous soulève au ciel d'un trait ;
Le
banc, la table
Où nous nous asseyons,
La feuille blanche
Et même le
crayon.
Que plantons-nous
En
plantant
Des forêts ?
Une maison
Pour renards et furets,
Pour
l'écureuil,
Sa femme
Et ses petits,
Pour le pivert
Et ses pizzicati
(2).
Que plantons-nous
En
plantant
Des forêts ?
De l'eau
De l'ombre
Et des feuillages frais
;
Le houx l' hiver,
Au printemps les chatons ...
C' est tout
cela
Qu' aujourd' hui
Nous plantons.
(1) l'espar est une longue pièce de bois
utilisée pour "tenir les agrès" du bateau.
(2)
pizzicati (pluriel de
pizzicato) : musique produite par les
pincements des cordes du violon, à quoi on compare ici le bruit que font les
coups de bec du pivert sur l'écorce de l'arbre. (Notes du blog
Lieucommun)
Sacha Tchiorny (dans "Poèmes de Russie", choisis, traduits et présentés par
Jean-Luc Moreau - Éditions ouvrières, 1985)
Tchiorny ou Alexandre
Noir (pseudonymes du poète Alexandre Glikberg) est né en Russie en
1880. Emigré en France en 1917 après la Révolution russe, il y est mort
en 1932. Il a écrit de nombreux poèmes pour les enfants.
La fête de la
forêt
Que plantons-nous
En
plantant
Des forêts ?
Le mât, l'espar (1),
Pour tenir
les agrès ;
Le pont, la coque
Et l' abri du sextant
Pour
naviguer
Par mer calme ou gros temps.
Que plantons-nous
En
plantant
Des forêts ?
L'aile qui nous soulève au ciel d'un trait ;
Le
banc, la table
Où nous nous asseyons,
La feuille blanche
Et même le
crayon.
Que plantons-nous
En
plantant
Des forêts ?
Une maison
Pour renards et furets,
Pour
l'écureuil,
Sa femme
Et ses petits,
Pour le pivert
Et ses pizzicati
(2).
Que plantons-nous
En
plantant
Des forêts ?
De l'eau
De l'ombre
Et des feuillages frais
;
Le houx l' hiver,
Au printemps les chatons ...
C' est tout
cela
Qu' aujourd' hui
Nous plantons.
(1) l'espar est une longue pièce de bois
utilisée pour "tenir les agrès" du bateau.
(2)
pizzicati (pluriel de
pizzicato) : musique produite par les
pincements des cordes du violon, à quoi on compare ici le bruit que font les
coups de bec du pivert sur l'écorce de l'arbre. (Notes du blog
Lieucommun)
Sacha Tchiorny (dans "Poèmes de Russie", choisis, traduits et présentés par
Jean-Luc Moreau - Éditions ouvrières, 1985)
julien- Nombre de messages : 1159
Date d'inscription : 24/02/2010
Re: Dérision
Les maux de la terre deviennent tumeur
L'ablation est impossible on est trop accroc aux pétroles, aux gazes, aux pollutions....
L'ablation est impossible on est trop accroc aux pétroles, aux gazes, aux pollutions....
roby- Nombre de messages : 1357
Date d'inscription : 28/10/2008
sandrine jillou- Nombre de messages : 1700
loisirs : écrire, courir, vélo.
Date d'inscription : 08/10/2008
Re: Dérision
Images choquantes-poignantes-gonflante de desespoir et "giflantes"marie la rebelle a écrit:
roby- Nombre de messages : 1357
Date d'inscription : 28/10/2008
Re: Dérision
vérité cruelle! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Iness a écrit:Festins
L'oiseau a mangé le ver
Le renard a
mangé l'oiseau
Le loup a mangé le renard
L'ours a mangé le loup
L'homme
a mangé l'ours
Et le ver mangera
l'homme
et tout va recommencer
Le jour mangera la
nuit
La nuit mangera le jour.
anonyme : l'homme et son environnement
roby- Nombre de messages : 1357
Date d'inscription : 28/10/2008
Re: Dérision
Rien qu’un cri d’arbre mort
La petite nudité
s’ennuie dans son mil bateau
roux
Elle s’allonge comme la mer
comme ses cheveux
Elle demande à la
pluie et au beau temps
une ramure de scies
et une corde d’évangile
avec
de grandes chandelles de maisons
Elle est si jeunesse et si beauté
que la
suie grande coquine
s’approche d’elle avec ses mains de cygne
nettoyées
par l’alcool et les vents
Mais la pluie sourit au beau temps
qui caresse
les poils des montagnes
et tous deux s’entendent pour chasser les
vallées
qui vivent de feuilles et de poussière
de pierres et de bâtons
Rien qu’un cri d’arbre mort
suffit pour l’insensible bonheur
Rien qu’un
soleil de plâtre
sur les routes de flamme
me donne le vertige
et je suis semblable aux insectes sonores
qui couvrent
les membres des martyrs
et leur valent une toison d’or
qui n’est désirée
que par les athlètes invisibles
des mines blanches
Si je leur ressemble
c’est que la vie est pleine de coquilles
de soupapes d’échappement
et de
virages sur des plaques de verre
tournant à l’inverse de la terre
La terre
à ces moments-là s’allonge
dans son ennui
et tremble comme une feuille
morte
La chaleur disparaît dans les manteaux des pèlerins
et la pluie
s’éloigne
à la suite des navigateurs aux oreilles de bronze
Une grande
roue tourne dans un vide bleu
et trois éléphants pêchent des requins
Une
femme les yeux loin de la terre
et de ses falaises nacrées
s’élève
lentement
rose épanouie
roby- Nombre de messages : 1357
Date d'inscription : 28/10/2008
Festins
Festins
L'oiseau a mangé le ver
Le renard a
mangé l'oiseau
Le loup a mangé le renard
L'ours a mangé le loup
L'homme
a mangé l'ours
Et le ver mangera
l'homme
et tout va recommencer
Le jour mangera la
nuit
La nuit mangera le jour.
anonyme : l'homme et son environnement
L'oiseau a mangé le ver
Le renard a
mangé l'oiseau
Le loup a mangé le renard
L'ours a mangé le loup
L'homme
a mangé l'ours
Et le ver mangera
l'homme
et tout va recommencer
Le jour mangera la
nuit
La nuit mangera le jour.
anonyme : l'homme et son environnement
Iness- Nombre de messages : 834
Date d'inscription : 18/02/2010
Re: Dérision
En qlques vers vous faites couler tant de poèmes engagés après vous!!!!!roby a écrit:*Dérision de la terre*
Vider les cavités de la terre.
Enfler les lacs de déchets-ulcère.
N’ayez pitié des sources-artères
Tout détruire par la conscience légère.
Ruiner les nappes et les rivières.
Incendier les bois, tout itinéraire.
Cultiver le gaspillage. Porter le monde sur civière.
Univers gâché. Rayer le futur de l’univers.
Liquider toute chance sincère.
Engloutir toute possibilité de sauver la terre.
J'admire et merci du partage( se fut difficile de trouver des textes à vous)
yassine- Nombre de messages : 713
Date d'inscription : 21/03/2010
Re: Dérision
roby a écrit:Ce partage d'images nous met devant notre impuissance.
On ne peut plus remédier à nos fautes quoi qu'on fasse la terre va vers la fin et la faim aussi oui.
Nos vies sont liées à la terre notre mère mais on est seul être à tuer sa mère aussi!
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Nous sommes nés sur cette bonne vieille terre qui nous fait vivre, et nous nous devons de lui rendre hommage et de la protéger autant que faire soit peu, sinon c'est l'humanité qui "mourra"...
miss Béa- Nombre de messages : 3641
loisirs : mes enfants, écrire, tv, amis...
Humeur : calme, posée, indépendante, un peu mélancolique, mais joyeuse quand même!
Date d'inscription : 18/11/2009
roby- Nombre de messages : 1357
Date d'inscription : 28/10/2008
Re: Dérision
Tsunami de famine ! c'est atroce ce qui attend nos enfants
firdaws- Nombre de messages : 930
Humeur : joie de vie !
Date d'inscription : 21/05/2008
miss Béa- Nombre de messages : 3641
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Date d'inscription : 18/11/2009
Re: Dérision
au fil des mots a écrit:C'est en l'humain que j'ai besoin de faire confiance ! même si la réalité me souffle trop souvent que je me trompe. Bah , on ne se refait pas, la petite fille utopiste que j'étais cohabitera toujours avec moi.
Bisou
D'un sens, oui, si l'être humain pouvait modérer ses "dégradation", ça n'arrangerait pas tout, mais ça n'empirerait pas davantage ; ce serait déjà ça de gagné, si ce n'est de "pas perdu" !!!...
miss Béa- Nombre de messages : 3641
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Date d'inscription : 18/11/2009
Re: Dérision
C'est en l'humain que j'ai besoin de faire confiance ! même si la réalité me souffle trop souvent que je me trompe. Bah , on ne se refait pas, la petite fille utopiste que j'étais cohabitera toujours avec moi.
Bisou
Bisou
Re: Dérision
au fil des mots a écrit:Je suis du même avis que vous tous réunis, notre manque d'égard pour notre planète me blesse, cependant il ne faut jamais renoncer à croire que tout est possible, au risque de la condamner encore plus vite !
La terre ne peut pas se défendre, elle est "matérielle", elle subit le contre-coup de l'espace temps : ouragans, orages, inondations, sécheresse, vents... mais aussi l'arrière-coup des hommes qui ne font qu'amenuiser sa résistance : pollution, dégradation, essais nucléaires (ou autres dont on aura jamais le secret, puisque c'est secret...)...
miss Béa- Nombre de messages : 3641
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Date d'inscription : 18/11/2009
Re: Dérision
Je suis du même avis que vous tous réunis, notre manque d'égard pour notre planète me blesse, cependant il ne faut jamais renoncer à croire que tout est possible, au risque de la condamner encore plus vite !
à mort les destructeurs de la planète !!!
tout comme les pédophiles, j'estime que l'on devrait condamner de façon définitive les destructeurs de la planête. comment ? en leur prenant d'office et sans rachat leurs entreprises pour les dépolluer, en les trainant devant les tribunaux afin de les condamner à des amendes et des peines de prison exemplaires !!!
je le dis et je le penses !!!
Alejandro
je le dis et je le penses !!!
Alejandro
alejandro- Nombre de messages : 89
loisirs : la poésie tout simplement
Humeur : entière
Date d'inscription : 24/11/2009
Re: Dérision
cristopher-cris a écrit:Comme commentaire c'est plus que parfait.Ménestrelle a écrit:De tout temps, il y eut des changements,
Des bouleversements apocalyptiques ;
De tout temps, il y eut des renversements,
Division, tremblements catastrophiques.
Et de tout temps, et de tout temps,
Tout le temps, il en sera ainsi,
En ce monde tournant, tout le temps
Il y aura des chemins prenant vie...
Jamais je ne dirais mieux ou juste pareil
Auto dérision et auto satisfaction : ce que l'homme a de plus que la terre !...
Béa
miss Béa- Nombre de messages : 3641
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Date d'inscription : 18/11/2009
Re: Dérision
Comme commentaire c'est plus que parfait.Ménestrelle a écrit:De tout temps, il y eut des changements,
Des bouleversements apocalyptiques ;
De tout temps, il y eut des renversements,
Division, tremblements catastrophiques.
Et de tout temps, et de tout temps,
Tout le temps, il en sera ainsi,
En ce monde tournant, tout le temps
Il y aura des chemins prenant vie...
Jamais je ne dirais mieux ou juste pareil
cristopher-cris- Nombre de messages : 2748
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Date d'inscription : 18/07/2008
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