A vos fenêtres
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A vos fenêtres
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A votre fenêtre
J’ai aperçu heureux une belle envolée
De mésanges piaillant votre vive joie
Elles dispersent des mots de bon aloi
D’amour qui naissent comme baisers
Curieux j’étais attentionné, bon drille
Je virevoltais, dansais sur une toile animée
Quand mes mots sur le net s’alignaient
A votre riche fenêtre pour qu’ils babillent
J’écoutais affectueux tous vos pleurs
De ces peines venues de méfiances
Qui tourmentaient cette grande errance
De votre amour teinté par ses malheurs
J’engrangeais de ces amours les défaites
Celles des ruptures qui meurtrissent vos esprits
Comme un coriace rocher à l’âme appauvrie
Qui ne connaît plus la joie de l’instant de la fête
Il me fut accouru ces moments sublimes
Ils m’ont conduit radieux vers l’univers d’azur
Où le ciel vous tend téméraire d’un geste pur
Ses mille et mille disponibilités de bontés câlines
Et les amours disponibles à l’entrain fantastique
Se couchaient au silence de sources d’émerveillement
Sur mes yeux racoleurs d’enchantements des sentiments
Prêts sont-ils d’applaudir au spectacle des accords magiques
Les mères, les filles et les fils tous par trop amoureux
Me tendaient affamés sur la vague polie de leur calme
La soif des beautés ardentes de leurs géantes flammes
Qui embrasaient mon esprit gai d’un brûlant heureux
Les jours passés perdirent leurs étoiles à la nuit
Et les lumières d’or s’étreignirent dans le grand loin
Alors ma solitude s’ancra sur ma fenêtre au petit coin
De ma pensée qui attend ensorcelée le sage retour fortuit
C’était hier, je reverrai dans ces demain au matin
Ce radieux, ce merveilleux, ce somptueux, ce soyeux
Celui de vos vies prospères qui n’est point l’orgueilleux
Mais ce souffle qui me caresse suave comme doux parfum
ƒC
A votre fenêtre
J’ai aperçu heureux une belle envolée
De mésanges piaillant votre vive joie
Elles dispersent des mots de bon aloi
D’amour qui naissent comme baisers
Curieux j’étais attentionné, bon drille
Je virevoltais, dansais sur une toile animée
Quand mes mots sur le net s’alignaient
A votre riche fenêtre pour qu’ils babillent
J’écoutais affectueux tous vos pleurs
De ces peines venues de méfiances
Qui tourmentaient cette grande errance
De votre amour teinté par ses malheurs
J’engrangeais de ces amours les défaites
Celles des ruptures qui meurtrissent vos esprits
Comme un coriace rocher à l’âme appauvrie
Qui ne connaît plus la joie de l’instant de la fête
Il me fut accouru ces moments sublimes
Ils m’ont conduit radieux vers l’univers d’azur
Où le ciel vous tend téméraire d’un geste pur
Ses mille et mille disponibilités de bontés câlines
Et les amours disponibles à l’entrain fantastique
Se couchaient au silence de sources d’émerveillement
Sur mes yeux racoleurs d’enchantements des sentiments
Prêts sont-ils d’applaudir au spectacle des accords magiques
Les mères, les filles et les fils tous par trop amoureux
Me tendaient affamés sur la vague polie de leur calme
La soif des beautés ardentes de leurs géantes flammes
Qui embrasaient mon esprit gai d’un brûlant heureux
Les jours passés perdirent leurs étoiles à la nuit
Et les lumières d’or s’étreignirent dans le grand loin
Alors ma solitude s’ancra sur ma fenêtre au petit coin
De ma pensée qui attend ensorcelée le sage retour fortuit
C’était hier, je reverrai dans ces demain au matin
Ce radieux, ce merveilleux, ce somptueux, ce soyeux
Celui de vos vies prospères qui n’est point l’orgueilleux
Mais ce souffle qui me caresse suave comme doux parfum
ƒC
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