Fenêtres de vie
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Fenêtres de vie
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Fenêtre de vie
Fenêtre de vie éclairée ; cadre sombre de vie
Sur un paysage illuminé mon regard sourit
A la sagacité de mes sains mobiles sillonnant
Mes peurs, mes douceurs d’horizons délirants
Et mes yeux sur les futurs se fixent indifférents
Dans les plaines lointaines, du besoin ardent
Où les bonheurs joueurs se hissent attachants
¤
Regarde la mer du haut de ses lames
Amère ne lui laisse pas rogner tes côtes
Retire-lui sa puissance ; elle n’est hôte
De tes malheurs nuisibles qu’elle ballote
Au gré d’ardues tempêtes destructrices
Vers l’aire de hautes dunes accusatrices
De tes pensées frigides, santé révélatrice.
¤
Sais-tu! Par les pores sains de ton corps
Elle voudrait creuser des gorges profondes
Pour laisser passer l’écume de sa féconde
Folie qui ravage les belles plages des mondes
Quand les plaines spirituelles se dissimulent
Derrière des presqu’îles et que s’accumulent
De nouveaux rêves où les malheurs reculent
¤
Sais-tu attendre! Quand les soleils brûleront
L’intempérance des vils orages conflictuels
Laisse-toi aller ; sur la mer douce et éternelle
Qui te conduiras dans sa sagesse sempiternelle
Vers des paysages clairs où tu retrouvera la paix
De ton esprit conquis par les beautés des réalités
Associé au bonheur vigoureux t’assistant assuré.
ƒC
Fenêtre de vie
Fenêtre de vie éclairée ; cadre sombre de vie
Sur un paysage illuminé mon regard sourit
A la sagacité de mes sains mobiles sillonnant
Mes peurs, mes douceurs d’horizons délirants
Et mes yeux sur les futurs se fixent indifférents
Dans les plaines lointaines, du besoin ardent
Où les bonheurs joueurs se hissent attachants
¤
Regarde la mer du haut de ses lames
Amère ne lui laisse pas rogner tes côtes
Retire-lui sa puissance ; elle n’est hôte
De tes malheurs nuisibles qu’elle ballote
Au gré d’ardues tempêtes destructrices
Vers l’aire de hautes dunes accusatrices
De tes pensées frigides, santé révélatrice.
¤
Sais-tu! Par les pores sains de ton corps
Elle voudrait creuser des gorges profondes
Pour laisser passer l’écume de sa féconde
Folie qui ravage les belles plages des mondes
Quand les plaines spirituelles se dissimulent
Derrière des presqu’îles et que s’accumulent
De nouveaux rêves où les malheurs reculent
¤
Sais-tu attendre! Quand les soleils brûleront
L’intempérance des vils orages conflictuels
Laisse-toi aller ; sur la mer douce et éternelle
Qui te conduiras dans sa sagesse sempiternelle
Vers des paysages clairs où tu retrouvera la paix
De ton esprit conquis par les beautés des réalités
Associé au bonheur vigoureux t’assistant assuré.
ƒC
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