Le syndrome de l’infidélité
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Le syndrome de l’infidélité
Le syndrome de l’infidélité
L’infidélité ne doit pas être inscrite dans l’agenda de la tolérance, ni dans celui de la légitimité. L’infidélité induit la trahison, la destruction du réseau social, l’effondrement de l’édifice moral, le disfonctionnement de l’homogénéité de la descendance humaine, l’irrégularité sentimentale, la déformation de l’information, le mensonge, l’hypocrisie, l’agression contre l’amitié, contre l’amour, contre l’honnêteté, contre la fidélité, contre la confiance, contre la promesse…
L’infidélité rentre dans le fondement d’un immoralisme destructif, qui paralyse et abime totalement la relation conjugale. Le sentiment d’infidélité émane directement d’un égoïsme aigu, qui se repose sur un besoin matériel ou sur un besoin sexuel pour satisfaire un subjectivisme immoral et irresponsable.
L’intellectualité atteinte du syndrome de cette maladie incurable, déshonore le savoir et méprise la vertu. Une intelligence qui exerce la fonction de trahison, de traitrise, d’adultère, et d’impiété, converge certainement vers la ruine et chute avec confiscation du droit de la légitimité, de la considération, de la reconnaissance, le mérite de l’exploit et du triomphe. Certains scientifiques ou philosophes, tolèrent l’infidélité pour récompenser l’effort cérébral en lui évitant la dépression, neutralisent le sentimentalisme par le rationalisme, le rejet et l’anéantissement de la pensée morale au nom de la liberté et du progrès.
Les dégâts causés par cette maladie terrible sont considérables, ainsi sont atteints par ce virus de l’infidélité, la personnalité, la dignité, la souveraineté, la crédibilité, la procuration, le respect, la considération, l’honnêteté, la faveur, le mérite, la révérence, la vertu, la grandeur, la réputation, le triomphe, l’avantage, la foi, la fierté, l’apothéose, l’honorabilité, la continence, le privilège, la notabilité, la sommité, le caractère, l’individualité, la célébrité, l’originalité, l’homogénéité, la notoriété, l’illustration, la créance, la croyance, l’assurance, la franchise, la noblesse, la sécurité, l’intimité, la confiance l’union, le secret, l’innocence, la crédulité…tout le spectre de valeurs , souffre de l’infection immorale de cette septicémie incorrigible et invétérée.
Certains scientifiques atteints de cette maladie, avance des théories pour démontrer que la maladie est génétique, en utilisant leur éminence et leur crédibilité uniquement pour satisfaire leurs désirs sentimentaux, et ainsi se concrétise la trahison de l’intelligence et de la science. La compétence, l’équation, l’exploit sont remis en cause à travers le doute installé par le sentiment de l’infidélité. Les résultats scientifiques utilisés pour justifier l’accomplissement de l’acte de l’infidélité, aboutissent à l’humiliation et à la discrédibilité du savoir. La maladie de l’infidélité ne se limite pas uniquement à la trahison conjugale, elle se propage vite et dans tous les sens pour attaquer et détruire toutes les composantes de la personnalité, une infidélité aigue converge vers la pédophilie, ou vers un abus sexuel sur ses propres enfants, ce genre de maladie aurait pu être évité si l’éducation morale a été convenablement constitutionalisée. Les intellectuels, les scientifiques, ou les philosophes qui légitiment cette attitude immorale au nom de la liberté, doivent être poursuivis pour outrage à la responsabilité.
Le mouvement de notre existence, qui est conditionné par la liberté, la sécurité, la cohabitation, l’équilibre et la stabilité, est nécessairement quantifié par un vecteur bidimensionnel, ayant une composante matérielle et une autre morale pour pouvoir répondre positivement à ce contionnement.
L’infidélité ne doit pas être inscrite dans l’agenda de la tolérance, ni dans celui de la légitimité. L’infidélité induit la trahison, la destruction du réseau social, l’effondrement de l’édifice moral, le disfonctionnement de l’homogénéité de la descendance humaine, l’irrégularité sentimentale, la déformation de l’information, le mensonge, l’hypocrisie, l’agression contre l’amitié, contre l’amour, contre l’honnêteté, contre la fidélité, contre la confiance, contre la promesse…
L’infidélité rentre dans le fondement d’un immoralisme destructif, qui paralyse et abime totalement la relation conjugale. Le sentiment d’infidélité émane directement d’un égoïsme aigu, qui se repose sur un besoin matériel ou sur un besoin sexuel pour satisfaire un subjectivisme immoral et irresponsable.
L’intellectualité atteinte du syndrome de cette maladie incurable, déshonore le savoir et méprise la vertu. Une intelligence qui exerce la fonction de trahison, de traitrise, d’adultère, et d’impiété, converge certainement vers la ruine et chute avec confiscation du droit de la légitimité, de la considération, de la reconnaissance, le mérite de l’exploit et du triomphe. Certains scientifiques ou philosophes, tolèrent l’infidélité pour récompenser l’effort cérébral en lui évitant la dépression, neutralisent le sentimentalisme par le rationalisme, le rejet et l’anéantissement de la pensée morale au nom de la liberté et du progrès.
Les dégâts causés par cette maladie terrible sont considérables, ainsi sont atteints par ce virus de l’infidélité, la personnalité, la dignité, la souveraineté, la crédibilité, la procuration, le respect, la considération, l’honnêteté, la faveur, le mérite, la révérence, la vertu, la grandeur, la réputation, le triomphe, l’avantage, la foi, la fierté, l’apothéose, l’honorabilité, la continence, le privilège, la notabilité, la sommité, le caractère, l’individualité, la célébrité, l’originalité, l’homogénéité, la notoriété, l’illustration, la créance, la croyance, l’assurance, la franchise, la noblesse, la sécurité, l’intimité, la confiance l’union, le secret, l’innocence, la crédulité…tout le spectre de valeurs , souffre de l’infection immorale de cette septicémie incorrigible et invétérée.
Certains scientifiques atteints de cette maladie, avance des théories pour démontrer que la maladie est génétique, en utilisant leur éminence et leur crédibilité uniquement pour satisfaire leurs désirs sentimentaux, et ainsi se concrétise la trahison de l’intelligence et de la science. La compétence, l’équation, l’exploit sont remis en cause à travers le doute installé par le sentiment de l’infidélité. Les résultats scientifiques utilisés pour justifier l’accomplissement de l’acte de l’infidélité, aboutissent à l’humiliation et à la discrédibilité du savoir. La maladie de l’infidélité ne se limite pas uniquement à la trahison conjugale, elle se propage vite et dans tous les sens pour attaquer et détruire toutes les composantes de la personnalité, une infidélité aigue converge vers la pédophilie, ou vers un abus sexuel sur ses propres enfants, ce genre de maladie aurait pu être évité si l’éducation morale a été convenablement constitutionalisée. Les intellectuels, les scientifiques, ou les philosophes qui légitiment cette attitude immorale au nom de la liberté, doivent être poursuivis pour outrage à la responsabilité.
Le mouvement de notre existence, qui est conditionné par la liberté, la sécurité, la cohabitation, l’équilibre et la stabilité, est nécessairement quantifié par un vecteur bidimensionnel, ayant une composante matérielle et une autre morale pour pouvoir répondre positivement à ce contionnement.
Rachid Sadek Bouziane- Nombre de messages : 68
loisirs : lecture et écriture
Humeur : blagues
Date d'inscription : 15/12/2010
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