Départ et souvenirs
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Départ et souvenirs
Partir et reconstruire (28/05/2010)
Quel qu’effort que je fasse
Elle voudra que ça casse
Car la peur d’avancer
Ne peut que l’angoisser.
Le passé la retient
Et freine nos destins
Mais en baissant les yeux
On ne verra pas mieux.
Il n’y a que si on ose
Qu’on peut faire quelques choses
Même si le risque est là
Qu’on n’y arrive pas.
J’ai voulu avancer
Depuis quelques années
Mais en croisant sa route
J’ai réveillé ses doutes.
Je ne sais pas comment
Conserver cet allant
Qui nous liait alors
Et nous tenait si fort.
Comme un fidèle amant
J’aurais dû être seulement
Loin de tous projets
Qui la font paniquer.
Tous ceux qui se faisaient
Pour une vie à deux que je voulais
La menaient sans cesse
A une profonde détresse.
Comment ai-je pu penser
Qu’aimer me suffirait
A guérir ses blessures
Et ouvrir son azur ?
A chaque instant, depuis mon cœur
J’ai envoyé une lueur
Mais dans l’ombre de son regard
On ne pouvait rien voir.
J’ai cru que la vendée
Serait sa destinée
Pour qu’ensemble, elle et moi
On partage un même toit.
Je vois avec recul
Que j’ai été bien nul
D’imaginer sa venue
Sans qu’elle se sente perdue.
La peur bleue nous conseille
A chaque fois pareille
Garder ce qu’on connait
Et pour le reste, rêver.
La peur est une mort
Qui nous privera encore
De croire en l’avenir
Que l’on pouvait bâtir.
Un jour il est trop tard
Pour écrire notre histoire
Et c’est tout le passé
Qui vient pour nous hanter.
Combien ont regretté
Une vie timorée
Au seuil de l’autre monde
Le corps planté de sondes ?
Je ne veux pas attendre
Que ma vie ne soit que cendres
Pour construire mes souvenirs
Et que mon cœur chavire.
Si mon message est un appel
J’espère qu’il parle en elle
Pour que ses pas l’amènent à moi
Ou bien qu’elle fasse un autre choix.
Si elle s’en va je l’oublierai
Pour pouvoir progresser
Sur un chemin de rose
Freiné par mon arthrose.
Si elle s’en va je l’oublierai
Mais sans doute pas assez
Malgré tout mes efforts
Pour oublier son corps.
Elle pense que son bonheur
A besoin de chaleur
C’est pour qu’elle ait moins froid
Que m’en aller je dois.
Elle pense que loin de mon cœur
Elle aura beaucoup moins peur
Et c’est sans doute pour ça
Qu’elle ne veut pas de moi.
Lassé de ses colères
Qui me rendaient amer
Je dois bien accepter
De la laisser en paix.
Lassé de ses colères
Qui me jetaient par terre
Je dois chercher ailleurs
Très loin de ses rancoeurs.
Elles sont sa seule manière
De mettre une barrière
Pour garder le pouvoir
Sans trop broyer du noir.
J’ai pris toute la mesure
Et compris la rupture
Et pour le bien commun
M’en aller je veux bien.
Sa vie, simple et sereine
J’aimerais qu’elle le devienne
Mais comment y arriver
Si elle ne fait que d’agresser ?
Elle devra accepter
De vivre esseulée
Ou bien, enfin, s’ouvrir
Vers un autre avenir.
Elle devra accepter
De croire qu’on peut l’aimer
Et que seul son sourire
Lui va à ravir.
Les pas qu’à 18 ans
Elle a fait jusqu’à Caen
Pèsent encore j’en suis certain
Sur sa pédale de frein.
Je paye un peu de ce passé
Qu’elle devrait écarter
Mais ce n’est surement pas moi
Qui pourrais changer ça.
J’ai fait bien des progrès
Cherché à avancer
Mais l’horizon me fuit
Et le bonheur aussi.
J’ai fait bien des progrès
Ce n’est jamais assez
Elle cherche toutes les raisons
Pour me rouer de son bâton.
Rien ne pourra suffire
Pour que l’on puisse construire.
Dès qu’un projet se pose
Elle remet tout en cause.
…
Notre envie d’union
N’était qu’une illusion
Du couple que je voyais
Elle s’est dédouanée.
…
Je dois tourner la page
Et m’enfuir de la cage
En lui disant une fois de plus
Qu’elle restera « ma puce ».
Je dois tourner la page
Pour fuir de cet orage
Mais lui dire toujours plus fort
Que j’aimais être ancré à son port.
Je dois tourner la page
Pour que mon absence la soulage
De cette idée qui la hantait
Qu’on puisse vraiment tout partager.
J’ai dans la tête l’image du banc
Où nous devions passer le temps
Le jour où nous serions très vieux
Mais qu’on serait encore à deux.
J’ai dans la tête l’image du banc
Sur lequel nous n’irons pas pourtant
Mais j’y ai tant pensé pour l’avenir
Que je ne veux pas le voir partir.
J’ai dans la tête l’image du banc
Où j’irai seul m’assoir souvent
Avec mon cœur qui pleure
De la savoir ailleurs.
Quel qu’effort que je fasse
Elle voudra que ça casse
Car la peur d’avancer
Ne peut que l’angoisser.
Le passé la retient
Et freine nos destins
Mais en baissant les yeux
On ne verra pas mieux.
Il n’y a que si on ose
Qu’on peut faire quelques choses
Même si le risque est là
Qu’on n’y arrive pas.
J’ai voulu avancer
Depuis quelques années
Mais en croisant sa route
J’ai réveillé ses doutes.
Je ne sais pas comment
Conserver cet allant
Qui nous liait alors
Et nous tenait si fort.
Comme un fidèle amant
J’aurais dû être seulement
Loin de tous projets
Qui la font paniquer.
Tous ceux qui se faisaient
Pour une vie à deux que je voulais
La menaient sans cesse
A une profonde détresse.
Comment ai-je pu penser
Qu’aimer me suffirait
A guérir ses blessures
Et ouvrir son azur ?
A chaque instant, depuis mon cœur
J’ai envoyé une lueur
Mais dans l’ombre de son regard
On ne pouvait rien voir.
J’ai cru que la vendée
Serait sa destinée
Pour qu’ensemble, elle et moi
On partage un même toit.
Je vois avec recul
Que j’ai été bien nul
D’imaginer sa venue
Sans qu’elle se sente perdue.
La peur bleue nous conseille
A chaque fois pareille
Garder ce qu’on connait
Et pour le reste, rêver.
La peur est une mort
Qui nous privera encore
De croire en l’avenir
Que l’on pouvait bâtir.
Un jour il est trop tard
Pour écrire notre histoire
Et c’est tout le passé
Qui vient pour nous hanter.
Combien ont regretté
Une vie timorée
Au seuil de l’autre monde
Le corps planté de sondes ?
Je ne veux pas attendre
Que ma vie ne soit que cendres
Pour construire mes souvenirs
Et que mon cœur chavire.
Si mon message est un appel
J’espère qu’il parle en elle
Pour que ses pas l’amènent à moi
Ou bien qu’elle fasse un autre choix.
Si elle s’en va je l’oublierai
Pour pouvoir progresser
Sur un chemin de rose
Freiné par mon arthrose.
Si elle s’en va je l’oublierai
Mais sans doute pas assez
Malgré tout mes efforts
Pour oublier son corps.
Elle pense que son bonheur
A besoin de chaleur
C’est pour qu’elle ait moins froid
Que m’en aller je dois.
Elle pense que loin de mon cœur
Elle aura beaucoup moins peur
Et c’est sans doute pour ça
Qu’elle ne veut pas de moi.
Lassé de ses colères
Qui me rendaient amer
Je dois bien accepter
De la laisser en paix.
Lassé de ses colères
Qui me jetaient par terre
Je dois chercher ailleurs
Très loin de ses rancoeurs.
Elles sont sa seule manière
De mettre une barrière
Pour garder le pouvoir
Sans trop broyer du noir.
J’ai pris toute la mesure
Et compris la rupture
Et pour le bien commun
M’en aller je veux bien.
Sa vie, simple et sereine
J’aimerais qu’elle le devienne
Mais comment y arriver
Si elle ne fait que d’agresser ?
Elle devra accepter
De vivre esseulée
Ou bien, enfin, s’ouvrir
Vers un autre avenir.
Elle devra accepter
De croire qu’on peut l’aimer
Et que seul son sourire
Lui va à ravir.
Les pas qu’à 18 ans
Elle a fait jusqu’à Caen
Pèsent encore j’en suis certain
Sur sa pédale de frein.
Je paye un peu de ce passé
Qu’elle devrait écarter
Mais ce n’est surement pas moi
Qui pourrais changer ça.
J’ai fait bien des progrès
Cherché à avancer
Mais l’horizon me fuit
Et le bonheur aussi.
J’ai fait bien des progrès
Ce n’est jamais assez
Elle cherche toutes les raisons
Pour me rouer de son bâton.
Rien ne pourra suffire
Pour que l’on puisse construire.
Dès qu’un projet se pose
Elle remet tout en cause.
…
Notre envie d’union
N’était qu’une illusion
Du couple que je voyais
Elle s’est dédouanée.
…
Je dois tourner la page
Et m’enfuir de la cage
En lui disant une fois de plus
Qu’elle restera « ma puce ».
Je dois tourner la page
Pour fuir de cet orage
Mais lui dire toujours plus fort
Que j’aimais être ancré à son port.
Je dois tourner la page
Pour que mon absence la soulage
De cette idée qui la hantait
Qu’on puisse vraiment tout partager.
J’ai dans la tête l’image du banc
Où nous devions passer le temps
Le jour où nous serions très vieux
Mais qu’on serait encore à deux.
J’ai dans la tête l’image du banc
Sur lequel nous n’irons pas pourtant
Mais j’y ai tant pensé pour l’avenir
Que je ne veux pas le voir partir.
J’ai dans la tête l’image du banc
Où j’irai seul m’assoir souvent
Avec mon cœur qui pleure
De la savoir ailleurs.
Dernière édition par Mici le Dim 30 Mai - 11:22, édité 2 fois
Mici- Nombre de messages : 587
loisirs : Sport, Saxo
Humeur : de parfum
Date d'inscription : 10/07/2009
Re: Départ et souvenirs
Belle poésie souple et fluide, j'aime votre façon d'écrire la douleur et la transformer en des ailes de papillonsMici a écrit:C’est mon dernier appel (28/05/2010)
Quel qu’effort que je fasse
Tu voudras que ça casse
Car la peur d’avancer
Ne peut que t’angoisser.
Le passé te retient
Et freine nos destins
Mais en baissant les yeux
On ne verra pas mieux.
Il n’y a que si on ose
Que l‘on peut faire des choses
Même si le risque est là
Qu’on n’y arrive pas.
J’ai voulu avancer
Depuis quelques années
Mais en croisant ta route
J’ai réveillé tes doutes.
Je ne sais pas comment
Conserver cet allant
Qui nous liait alors
Et nous tenait si fort.
Comme un fidèle amant
J’aurais dû être seulement
Loin de tout projet
Qui te fait paniquer.
Tous ceux qui se faisaient
D’une vie à deux que je voulais
Te menaient sans cesse
A une profonde détresse.
Comment ai-je pu penser
Qu’aimer me suffirait
A guérir tes blessures
Et ouvrir ton azur ?
A chaque instant, depuis mon cœur
J’ai envoyé une lueur
Mais dans l’ombre de tes yeux
Elle n’éclairait pas mieux.
J’ai cru que la vendée
Serait ta destinée
Pour qu’ensemble, toi et moi
On puisse être sous un même toit.
Je vois avec recul
Que j’ai été bien nul
D’imaginer ta venue
Sans que tu sois perdue.
La peur bleue nous conseille
A chaque fois pareille
Garder ce qu’on connait
Et pour le reste, rêver.
La peur est une mort
Qui nous privera encore
De croire en l’avenir
Que l’on pouvait bâtir.
Un jour il est trop tard
Pour écrire notre histoire
Et c’est tout le passé
Qui vient pour nous hanter.
Combien ont regretté
Une vie timorée
Au seuil de l’autre monde
Le corps planté de sondes ?
Je ne veux pas attendre
Que ma vie ne soit que cendres
Pour construire mes souvenirs
Et que mon cœur chavire.
Si mon message est un appel
J’espère qu’il parle en elle
Pour que ses pas l’amènent
Là où je serai sienne.
Sinon je l’oublierai
Pour pouvoir avancer
Sur un chemin de rose
Freiné par mon arthrose.
Sinon je l’oublierai
Mais sans doute pas assez
Malgré tout mes efforts
Pour oublier son corps.
Elle, pense que son bonheur
A besoin de chaleur
C’est pour qu’elle ait moins froid
Que m’en aller je dois.
Elle, pense que loin des yeux son cœur
Aura beaucoup moins peur
Et c’est sans doute pour ça
Qu’elle ne veut pas de moi.
Lassé de ses colères
Qui me rendaient amer
Je dois bien accepter
De la laisser en paix.
Elles sont sa seule manière
De mettre une barrière
Pour garder le pouvoir
Sans trop broyer du noir.
J’ai pris toute la mesure
Et compris la rupture
Et pour le bien commun
M’en aller je veux bien.
Sa vie simple et sereine
Je veux bien qu’elle devienne
Mais comment l’imaginer
Si elle ne fait que reculer ?
Elle devra accepter
De vivre esseulée
Ou bien, enfin, s’ouvrir
Vers un autre avenir.
Les pas qu’à 18 ans
Elle a fait jusqu’à Caen
Pèsent encore c’est certain
Sur sa pédale de frein.
Je paye ce passé
Qu’elle devrait écarter
Mais ce n’est surement pas moi
Qui pourrais changer ça.
J’ai fait bien des progrès
Cherché à avancer
Mais l’horizon me fuit
Et le bonheur aussi.
J’ai fait bien des progrès
Ce n’est jamais assez
Elle cherche toutes les raisons
Pour des retours de bâton.
Rien ne pourra suffire
Pour que l’on puisse construire
Dès qu’un projet se pose
Elle nous remet en cause.
…
Notre projet d’union
N’était qu’une illusion
Du couple que je voyais
Elle s’est dédouanée.
…
Je dois tourner la page
Et sortir de cette cage
Mais lui dire une fois de plus
Qu’elle sera encore « ma puce ».
Je dois tourner la page
Pour fuir cet orage
Mais lui dire toujours plus fort
Que j’aimais être ancré à son port.
Je dois tourner la page
Et que mon absence la soulage
De cette idée qui la hantait
Qu’on puisse vraiment tout partager.
Amitié mici, ravi de vous relire .
davidof- Nombre de messages : 2697
loisirs : pêche, voyage, music...
Date d'inscription : 21/05/2008
Re: Départ et souvenirs
J’ai fait bien des progrès
Ce n’est jamais assez
Elle cherche toutes les raisons
Pour des retours de bâton.
Rien ne pourra suffire
Pour que l’on puisse construire
Dès qu’un projet se pose
Elle nous remet en cause.
…
Notre projet d’union
N’était qu’une illusion
Du couple que je voyais
Elle s’est dédouanée.
cette belle poésie est à applaudir ! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Merci mici pour votre plume
Ce n’est jamais assez
Elle cherche toutes les raisons
Pour des retours de bâton.
Rien ne pourra suffire
Pour que l’on puisse construire
Dès qu’un projet se pose
Elle nous remet en cause.
…
Notre projet d’union
N’était qu’une illusion
Du couple que je voyais
Elle s’est dédouanée.
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Merci mici pour votre plume
roby- Nombre de messages : 1357
Date d'inscription : 28/10/2008
Re: Départ et souvenirs
[/quote]
Belle poésie souple et fluide, j'aime votre façon d'écrire la douleur et la transformer en des ailes de papillons
Amitié mici, ravi de vous relire .[/quote]
Le papillon a un peu de plomb dans l'aile, mais rien ne pourra l'empêcher de profiter de sa seule journée pour voler, même maladroit.
Merci à toi
JB
Belle poésie souple et fluide, j'aime votre façon d'écrire la douleur et la transformer en des ailes de papillons
Amitié mici, ravi de vous relire .[/quote]
Le papillon a un peu de plomb dans l'aile, mais rien ne pourra l'empêcher de profiter de sa seule journée pour voler, même maladroit.
Merci à toi
JB
Mici- Nombre de messages : 587
loisirs : Sport, Saxo
Humeur : de parfum
Date d'inscription : 10/07/2009
Re: Départ et souvenirs
roby a écrit:J’ai fait bien des progrès
Ce n’est jamais assez
Elle cherche toutes les raisons
Pour des retours de bâton.
Rien ne pourra suffire
Pour que l’on puisse construire
Dès qu’un projet se pose
Elle nous remet en cause.
…
Notre projet d’union
N’était qu’une illusion
Du couple que je voyais
Elle s’est dédouanée.
cette belle poésie est à applaudir ! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Merci mici pour votre plume
Merci de me lire
Et si le plaisir est là au bout des mots
C'est bien là mon plus beau cadeau.
JB
Mici- Nombre de messages : 587
loisirs : Sport, Saxo
Humeur : de parfum
Date d'inscription : 10/07/2009
Re: Départ et souvenirs
Le coeur et toujours désireux de vie
Et pourtant c'est qui qui seul dévie.
Difficile de lui faire entendre enfin
La raison salutaire qui le retient.
Le coeur ne veut qu'une chose
Des sentiments en apothéose.
Jamais il ne renoncera hélas
A ce rêve qui pourtant le menace.
Merci de ta lecture
JB
Mici- Nombre de messages : 587
loisirs : Sport, Saxo
Humeur : de parfum
Date d'inscription : 10/07/2009
Re: Départ et souvenirs
me revoilà mici sur votre page
l'amour ne suffit pas parfois à effacer les plaies du passé , j'aime te toi, ces mots là:
Comment ai-je pu penser
Qu’aimer me suffirait
A guérir ses blessures
Et ouvrir son azur ?
l'amour ne suffit pas parfois à effacer les plaies du passé , j'aime te toi, ces mots là:
Comment ai-je pu penser
Qu’aimer me suffirait
A guérir ses blessures
Et ouvrir son azur ?
davidof- Nombre de messages : 2697
loisirs : pêche, voyage, music...
Date d'inscription : 21/05/2008
Re: Départ et souvenirs
Il n’y a que si on ose
Qu’on peut faire quelques choses
Même si le risque est là
Qu’on n’y arrive pas.
oser est le mot juste- le mot clé
mais est-ce toujours valable?
Qu’on peut faire quelques choses
Même si le risque est là
Qu’on n’y arrive pas.
oser est le mot juste- le mot clé
mais est-ce toujours valable?
Rita-kazem- Nombre de messages : 4254
Date d'inscription : 18/02/2010
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