Au pied du chêne Jupiter…
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cristopher-cris
karim safriwi
kris55
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Au pied du chêne Jupiter…
Au pied du chêne Jupiter…
Je t'ai cherché comme un trésor oublié
Dans les rochers, dans les sentiers.
Jusqu'au pied de l'illustre Jupiter terrassé,
Où au plaisir d'aimer je t'ai sacrifié,
J'ai caressé, l'écorce de ce grand chêne,
Témoin de nos ébats et, là, de ma déveine.
A ces pieds j'ai demandé ma remise de peine.
J'ai vidé ma coupe déjà bien trop pleine.
J'ai parcouru tous les chemins, perdu,
Pour revivre ce que nous avions vécu.
Sur la pierre je me suis allongé, nu,
J'ai attendu, attendu, tu n'es pas venu.
J'ai foulé l'herbe à la recherche de ta rosée.
Je n'ai trouvé qu'un sol aride, desséché
Par l'amertume et de profonds regrets.
De mes pleurs abondant je l'ai arrosé.
J'ai cherché la mare aux fées assez profonde,
Pour y noyer sans regret ma douleur pudibonde,
Cacher mon chagrin, mes sanglots, au monde,
Immerger à jamais mon âme furibonde.
L'espace d'un instant, dans son obscur miroir
Illuminé par un rayon de soleil prémonitoire,
J'ai vu ton sourire, comme un message d'espoir,
Notre éternel amour couronné au faîte de sa gloire.
Je t'ai cherché comme un trésor oublié
Dans les rochers, dans les sentiers.
Jusqu'au pied de l'illustre Jupiter terrassé,
Où au plaisir d'aimer je t'ai sacrifié,
J'ai caressé, l'écorce de ce grand chêne,
Témoin de nos ébats et, là, de ma déveine.
A ces pieds j'ai demandé ma remise de peine.
J'ai vidé ma coupe déjà bien trop pleine.
J'ai parcouru tous les chemins, perdu,
Pour revivre ce que nous avions vécu.
Sur la pierre je me suis allongé, nu,
J'ai attendu, attendu, tu n'es pas venu.
J'ai foulé l'herbe à la recherche de ta rosée.
Je n'ai trouvé qu'un sol aride, desséché
Par l'amertume et de profonds regrets.
De mes pleurs abondant je l'ai arrosé.
J'ai cherché la mare aux fées assez profonde,
Pour y noyer sans regret ma douleur pudibonde,
Cacher mon chagrin, mes sanglots, au monde,
Immerger à jamais mon âme furibonde.
L'espace d'un instant, dans son obscur miroir
Illuminé par un rayon de soleil prémonitoire,
J'ai vu ton sourire, comme un message d'espoir,
Notre éternel amour couronné au faîte de sa gloire.
Re: Au pied du chêne Jupiter…
Les vers se suivent comme des vagues et puis une petite marée salvatrice d'espoir vient se coucher sur le sable de la foi en un sourire prometteurkris55 a écrit:Au pied du chêne Jupiter…
Je t'ai cherché comme un trésor oublié
Dans les rochers, dans les sentiers.
Jusqu'au pied de l'illustre Jupiter terrassé,
Où au plaisir d'aimer je t'ai sacrifié,
J'ai caressé, l'écorce de ce grand chêne,
Témoin de nos ébats et, là, de ma déveine.
A ces pieds j'ai demandé ma remise de peine.
J'ai vidé ma coupe déjà bien trop pleine.
J'ai parcouru tous les chemins, perdu,
Pour revivre ce que nous avions vécu.
Sur la pierre je me suis allongé, nu,
J'ai attendu, attendu, tu n'es pas venu.
J'ai foulé l'herbe à la recherche de ta rosée.
Je n'ai trouvé qu'un sol aride, desséché
Par l'amertume et de profonds regrets.
De mes pleurs abondant je l'ai arrosé.
J'ai cherché la mare aux fées assez profonde,
Pour y noyer sans regret ma douleur pudibonde,
Cacher mon chagrin, mes sanglots, au monde,
Immerger à jamais mon âme furibonde.
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karim safriwi- Nombre de messages : 615
Date d'inscription : 03/07/2008
Re: Au pied du chêne Jupiter…
comme quoi il ne faut jamais perdre espoir en un soleil nouveau. krisskris55 a écrit:Au pied du chêne Jupiter…
Je t'ai cherché comme un trésor oublié
Dans les rochers, dans les sentiers.
Jusqu'au pied de l'illustre Jupiter terrassé,
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J'ai caressé, l'écorce de ce grand chêne,
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J'ai vidé ma coupe déjà bien trop pleine.
J'ai parcouru tous les chemins, perdu,
Pour revivre ce que nous avions vécu.
Sur la pierre je me suis allongé, nu,
J'ai attendu, attendu, tu n'es pas venu.
J'ai foulé l'herbe à la recherche de ta rosée.
Je n'ai trouvé qu'un sol aride, desséché
Par l'amertume et de profonds regrets.
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Pour y noyer sans regret ma douleur pudibonde,
Cacher mon chagrin, mes sanglots, au monde,
Immerger à jamais mon âme furibonde.
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cristopher-cris- Nombre de messages : 2748
loisirs : lecture, voyage
Date d'inscription : 18/07/2008
Re: Au pied du chêne Jupiter…
karim safriwi a écrit:Les vers se suivent comme des vagues et puis une petite marée salvatrice d'espoir vient se coucher sur le sable de la foi en un sourire prometteurkris55 a écrit:Au pied du chêne Jupiter…
Je t'ai cherché comme un trésor oublié
Dans les rochers, dans les sentiers.
Jusqu'au pied de l'illustre Jupiter terrassé,
Où au plaisir d'aimer je t'ai sacrifié,
J'ai caressé, l'écorce de ce grand chêne,
Témoin de nos ébats et, là, de ma déveine.
A ces pieds j'ai demandé ma remise de peine.
J'ai vidé ma coupe déjà bien trop pleine.
J'ai parcouru tous les chemins, perdu,
Pour revivre ce que nous avions vécu.
Sur la pierre je me suis allongé, nu,
J'ai attendu, attendu, tu n'es pas venu.
J'ai foulé l'herbe à la recherche de ta rosée.
Je n'ai trouvé qu'un sol aride, desséché
Par l'amertume et de profonds regrets.
De mes pleurs abondant je l'ai arrosé.
J'ai cherché la mare aux fées assez profonde,
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Illuminé par un rayon de soleil prémonitoire,
J'ai vu ton sourire, comme un message d'espoir,
Notre éternel amour couronné au faîte de sa gloire.
en réalité il y a peu d'espoir...
ces mots ne sont là que pour couronner ce qui aura été et sera pour toujours l'amour de ma vie
mais un amour interdit ...
cet espoir est vain ...je le sais!
Merci pour ton passage
kris55
Re: Au pied du chêne Jupiter…
cristopher-cris a écrit:comme quoi il ne faut jamais perdre espoir en un soleil nouveau. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] krisskris55 a écrit:Au pied du chêne Jupiter…
Je t'ai cherché comme un trésor oublié
Dans les rochers, dans les sentiers.
Jusqu'au pied de l'illustre Jupiter terrassé,
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J'ai caressé, l'écorce de ce grand chêne,
Témoin de nos ébats et, là, de ma déveine.
A ces pieds j'ai demandé ma remise de peine.
J'ai vidé ma coupe déjà bien trop pleine.
J'ai parcouru tous les chemins, perdu,
Pour revivre ce que nous avions vécu.
Sur la pierre je me suis allongé, nu,
J'ai attendu, attendu, tu n'es pas venu.
J'ai foulé l'herbe à la recherche de ta rosée.
Je n'ai trouvé qu'un sol aride, desséché
Par l'amertume et de profonds regrets.
De mes pleurs abondant je l'ai arrosé.
J'ai cherché la mare aux fées assez profonde,
Pour y noyer sans regret ma douleur pudibonde,
Cacher mon chagrin, mes sanglots, au monde,
Immerger à jamais mon âme furibonde.
L'espace d'un instant, dans son obscur miroir
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Notre éternel amour couronné au faîte de sa gloire.
Je crois que le soleil ne se lèvera jamais plus comme avant sans cet amour à mes cotés...
et si j'y rends gloire ce n'est que pour mieux lui rendre les honneurs...
Ma peine est grande
mes lieux de pélérinage nombreux
je ne fais pas un pas sans le voir et revoir ces moments délicieux envolés..
Merci d'être venu me lire
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]kris55
Re: Au pied du chêne Jupiter…
je ne sais pas quoi dire après la lecture du poème et des réponses aux commentaireskris55 a écrit:Au pied du chêne Jupiter…
Je t'ai cherché comme un trésor oublié
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J'ai caressé, l'écorce de ce grand chêne,
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A ces pieds j'ai demandé ma remise de peine.
J'ai vidé ma coupe déjà bien trop pleine.
J'ai parcouru tous les chemins, perdu,
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Sur la pierre je me suis allongé, nu,
J'ai attendu, attendu, tu n'es pas venu.
J'ai foulé l'herbe à la recherche de ta rosée.
Je n'ai trouvé qu'un sol aride, desséché
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De mes pleurs abondant je l'ai arrosé.
J'ai cherché la mare aux fées assez profonde,
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J'ai vu ton sourire, comme un message d'espoir,
Notre éternel amour couronné au faîte de sa gloire.
je te souhaite simplement un doux et beau chemin vers une harmonie de vie
magda- Nombre de messages : 1253
Date d'inscription : 28/03/2010
Re: Au pied du chêne Jupiter…
[quote="kris55"]Au pied du chêne Jupiter…
Je t'ai cherché comme un trésor oublié
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Jusqu'au pied de l'illustre Jupiter terrassé,
Où au plaisir d'aimer je t'ai sacrifié,
J'ai caressé, l'écorce de ce grand chêne,
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A ces pieds j'ai demandé ma remise de peine.
J'ai vidé ma coupe déjà bien trop pleine.
J'ai parcouru tous les chemins, perdu,
Pour revivre ce que nous avions vécu.
Sur la pierre je me suis allongé, nu,
J'ai attendu, attendu, tu n'es pas venu.
J'ai foulé l'herbe à la recherche de ta rosée.
Je n'ai trouvé qu'un sol aride, desséché
Par l'amertume et de profonds regrets.
De mes pleurs abondant je l'ai arrosé.
J'ai cherché la mare aux fées assez profonde,
Pour y noyer sans regret ma douleur pudibonde,
Cacher mon chagrin, mes sanglots, au monde,
Immerger à jamais mon âme furibonde.
L'espace d'un instant, dans son obscur miroir
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J'ai vu ton sourire, comme un message d'espoir,
Notre éternel amour couronné au faîte de sa gloire.
pas de commentaire mais je vous dis: [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
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Où au plaisir d'aimer je t'ai sacrifié,
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A ces pieds j'ai demandé ma remise de peine.
J'ai vidé ma coupe déjà bien trop pleine.
J'ai parcouru tous les chemins, perdu,
Pour revivre ce que nous avions vécu.
Sur la pierre je me suis allongé, nu,
J'ai attendu, attendu, tu n'es pas venu.
J'ai foulé l'herbe à la recherche de ta rosée.
Je n'ai trouvé qu'un sol aride, desséché
Par l'amertume et de profonds regrets.
De mes pleurs abondant je l'ai arrosé.
J'ai cherché la mare aux fées assez profonde,
Pour y noyer sans regret ma douleur pudibonde,
Cacher mon chagrin, mes sanglots, au monde,
Immerger à jamais mon âme furibonde.
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pas de commentaire mais je vous dis: [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
nadia ibrahimi- Nombre de messages : 1223
Date d'inscription : 18/07/2008
Re: Au pied du chêne Jupiter…
kris55 a écrit:Au pied du chêne Jupiter…
Je t'ai cherché comme un trésor oublié
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Jusqu'au pied de l'illustre Jupiter terrassé,
Où au plaisir d'aimer je t'ai sacrifié,
J'ai caressé, l'écorce de ce grand chêne,
Témoin de nos ébats et, là, de ma déveine.
A ces pieds j'ai demandé ma remise de peine.
J'ai vidé ma coupe déjà bien trop pleine.
J'ai parcouru tous les chemins, perdu,
Pour revivre ce que nous avions vécu.
Sur la pierre je me suis allongé, nu,
J'ai attendu, attendu, tu n'es pas venu.
J'ai foulé l'herbe à la recherche de ta rosée.
Je n'ai trouvé qu'un sol aride, desséché
Par l'amertume et de profonds regrets.
De mes pleurs abondant je l'ai arrosé.
J'ai cherché la mare aux fées assez profonde,
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Je lisais
Les mots, comme un chant, se faisaient
Écho en moi et réalisaient
Des ondes qui me plaisaient !!!
Merci KRISS du plaisir
Les mots, comme un chant, se faisaient
Écho en moi et réalisaient
Des ondes qui me plaisaient !!!
Merci KRISS du plaisir
Re: Au pied du chêne Jupiter…
magda a écrit:je ne sais pas quoi dire après la lecture du poème et des réponses aux commentaireskris55 a écrit:Au pied du chêne Jupiter…
Je t'ai cherché comme un trésor oublié
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Où au plaisir d'aimer je t'ai sacrifié,
J'ai caressé, l'écorce de ce grand chêne,
Témoin de nos ébats et, là, de ma déveine.
A ces pieds j'ai demandé ma remise de peine.
J'ai vidé ma coupe déjà bien trop pleine.
J'ai parcouru tous les chemins, perdu,
Pour revivre ce que nous avions vécu.
Sur la pierre je me suis allongé, nu,
J'ai attendu, attendu, tu n'es pas venu.
J'ai foulé l'herbe à la recherche de ta rosée.
Je n'ai trouvé qu'un sol aride, desséché
Par l'amertume et de profonds regrets.
De mes pleurs abondant je l'ai arrosé.
J'ai cherché la mare aux fées assez profonde,
Pour y noyer sans regret ma douleur pudibonde,
Cacher mon chagrin, mes sanglots, au monde,
Immerger à jamais mon âme furibonde.
L'espace d'un instant, dans son obscur miroir
Illuminé par un rayon de soleil prémonitoire,
J'ai vu ton sourire, comme un message d'espoir,
Notre éternel amour couronné au faîte de sa gloire.
je te souhaite simplement un doux et beau chemin vers une harmonie de vie
De ton simple passage, de ces quelques mots je tire quelques forces pour me dire que tout n'est pas perdu et qu'il existe toujours quelques bonnes âmes pour répondre présent.
Merci d'être là! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Amicalement
Kris55
Re: Au pied du chêne Jupiter…
les ondes de ton message me vont droit au coeurAdmin a écrit:kris55 a écrit:Au pied du chêne Jupiter…
Je t'ai cherché comme un trésor oublié
Dans les rochers, dans les sentiers.
Jusqu'au pied de l'illustre Jupiter terrassé,
Où au plaisir d'aimer je t'ai sacrifié,
J'ai caressé, l'écorce de ce grand chêne,
Témoin de nos ébats et, là, de ma déveine.
A ces pieds j'ai demandé ma remise de peine.
J'ai vidé ma coupe déjà bien trop pleine.
J'ai parcouru tous les chemins, perdu,
Pour revivre ce que nous avions vécu.
Sur la pierre je me suis allongé, nu,
J'ai attendu, attendu, tu n'es pas venu.
J'ai foulé l'herbe à la recherche de ta rosée.
Je n'ai trouvé qu'un sol aride, desséché
Par l'amertume et de profonds regrets.
De mes pleurs abondant je l'ai arrosé.
J'ai cherché la mare aux fées assez profonde,
Pour y noyer sans regret ma douleur pudibonde,
Cacher mon chagrin, mes sanglots, au monde,
Immerger à jamais mon âme furibonde.
L'espace d'un instant, dans son obscur miroir
Illuminé par un rayon de soleil prémonitoire,
J'ai vu ton sourire, comme un message d'espoir,
Notre éternel amour couronné au faîte de sa gloire.Je lisais
Les mots, comme un chant, se faisaient
Écho en moi et réalisaient
Des ondes qui me plaisaient !!!
Merci KRISS du plaisir
Un grand merci à toi. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
kris55
Re: Au pied du chêne Jupiter…
Espoir ou pas le coeur est aveugle quand il a la grainne de la passion en lui.
Il n'ouvre les yeux qu'une fois les braises calmés en cendres!
je vous souhaite de la patience et du bonheur avec le coeur qui vous rend ( rendra) heureux.
Il n'ouvre les yeux qu'une fois les braises calmés en cendres!
je vous souhaite de la patience et du bonheur avec le coeur qui vous rend ( rendra) heureux.
rayane- Nombre de messages : 1418
Date d'inscription : 23/09/2008
Re: Au pied du chêne Jupiter…
rayane a écrit:Espoir ou pas le coeur est aveugle quand il a la grainne de la passion en lui.
Il n'ouvre les yeux qu'une fois les braises calmés en cendres!
je vous souhaite de la patience et du bonheur avec le coeur qui vous rend ( rendra) heureux.
Merci Rayane pour tes souhaits qui me vont droit au coeur...
j'attends de cet amour ma part de bonheur
celui que je me suis interdit jusqu'à ce jour
mais qu'avec mes aveux je peux enfin prétendre...
merci pour ton passage
amicalement
kris55
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