Mon pied de nez…

Mon pied de nez…

J’ai toujours rêvé d’ailleurs, m’exiler bien loin de vous.
C’est sans doute…mes peurs, qui ont eu raison de nous.
Toujours affolé et craintif, être un poids plus qu’être attentif.
Je respirai la vie, à en crever…cette fois, ça y est, je suis fautif.
Tous ces gens à envier une vie trop bien diriger…pour eux,
Si bien prévue, une belle façade avec des éclairs trop lumineux.
Jalousie ou admiration, laissez……moi, j’ai mon idée.
Qu’ils crèvent !!! Je ne peux plus les respirer.
Ils diront, quel con ce type, de quoi il se mêle.
Ah ! oui…je me mêle de ce qui vous démêle.
Alors pitié, laisser s’exiler un malade en fin de vie,
Sans prétendre vous mettre en face de lui.
Vous les envieux, les irrespectueux, venez donc voir,
Comment détruire un édifice qui va bientôt choir.
Les pleurs m’ont rendu aride à force de larmes acides,
Elles coulent à vos pieds pour vos plaisirs avides.
Cette fois vous n’échapperez pas au spectacle que vous vouliez,
Regardez…cette fois encore je vous nargue d’un pied de nez.

JL