Mystères & Enigmes
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Nadej-isis
nadia ibrahimi
fayssal morad
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Mystères & Enigmes
Les enfants verts...
Voilà une histoire bien étrange, pour ne pas dire légèrement farfelue. Au premier abord, à la lecture de l’adjectif « vert » qualifiant les enfants, il est légitime de se demander si je n’aurai pas malencontreusement effectué une faute de frappe. Mais tel n’est pas le cas : cette histoire est aussi véridique que je vous l’écris...
Tout commence au XIème siècle, en Angleterre, où deux enfants, un garçon et une fille, sont découverts dans une grotte près du village de Woolpit. Ils étaient verts, la couleur touchant aussi bien la peau que les cheveux. Durant une période théoriquement longue pour l’organisme, ils refusèrent de se nourrir, mais ils finirent par accepter quelques denrées. Ils commencèrent alors à perdre progressivement leur teint verdâtre.
Autre fait étrange, ils parlaient une langue totalement inconnue. Il finirent par apprendre l’anglais, et expliquèrent venir d’une région appelée « le pays de saint-Martin » où le soleil ne brillait jamais. Alors qu’ils gardaient un troupeau, ils avaient entendu un grand bruit. Voulant savoir d’où il venait, ils étaient entrés dans un tunnel. Ensuite, ils ne se souvenaient plus de rien. Le garçon mourut un an après. Sa sœur resta à Woolpit et épousa un homme du village voisin.
De même, au cours du mois d’août 1887, près de Banjos, en Espagne, deux enfants inconnus sortirent d’une grotte.
Ils avaient la peau verte, les yeux bridés et portaient des vêtements faits d’une matière insolite. Ils ne parlaient pas la langue locale non plus. On les confia au juge de paix local qui tenta d’ôter la couleur verte. Mais, il s’aperçut que ce n’était pas du maquillage, mais bien la pigmentation de leur peau. Pendant presque une semaine, ils refusèrent de s’alimenter. Finalement, ils acceptèrent de manger des haricots frais. Le garçon, trop affaibli, mourut peu de temps après. La petite fille survécut. Peu à peu, sa pigmentation verte disparut. Ayant appris suffisamment d’espagnol pour s’expliquer, elle raconta qu’elle venait d’un pays sans soleil, où régnait un crépuscule permanent. Ce mystérieux pays était séparé d’une région lumineuse qu’éclairait le soleil par une large rivière. Un jour, un mystérieux tourbillon les avait emportés, elle et son frère et déposés dans la grotte. La jeune fille mourut en 1892, sans pouvoir nous éclairer d’avantage sur ce mystère.
On a cherché des explications à ces deux énigmes. On a ainsi observé que non loin de Woolpit se trouve le village de Fornham Saint Martin, qui aurait bien pu être ce mystérieux pays de saint-Martin. Là s’étend la vaste forêt de Thetford. Cette région est également connue pour posséder de nombreuses galeries d’anciennes mines de silex. Il s’agit peut-être de l’un de ces souterrains empruntés par les enfants.
La couleur verte, quant à elle, s’explique assez aisément : on sait que certaines anémies peuvent rendre la peau verte. Ce symptôme s’aggrave en cas de malnutrition, assez courante à l’époque. Le fait que la pigmentation soit redevenue normale après plusieurs semaines d’une alimentation plus « équilibrée » semble en être la preuve. Ils auraient également pu être empoisonnés à l’arsenic, car la peau devient alors verte dans certains cas.
Mais une question reste sans réponse : celle du langage. Même avec un accent, la langue reste la même, et ils auraient dû se faire comprendre.
L’histoire des enfants de Woolpit a été racontée dans un ouvrage publié en 1618. Elle était donc connue au moment de l’apparition des enfants en Espagne. Cette dernière aurait-elle été commanditée ? Mais alors dans quel but ? Et par qui ?
Une chose est sûre, le mystère est totale autour de cette énigmatique affaire. Le poids des années l’a-t-elle déformée au point de la rendre invraisemblable ? Espérons que la réponse nous apparaîtra un jour comme ces enfants sont apparus.
Une nouvelle fois merci à Terra Nova, où on récolte les informations ...
fayssal morad- Nombre de messages : 840
Date d'inscription : 12/03/2010
Les Volcans d'Auvergne, vraiment éteints ?
Officiellement, les volcans d’Auvergne seraient tombés dans les bras de Morphée en 1550 avant notre ère. Mais un vulcanologue vous dira toujours qu’un volcan n’est jamais éteint. Et si tel était le cas, sachant que l’Auvergne comporte l’un des plus grands rassemblement de volcans au monde, c’est une faille de San Andreas française sur la quelle nous vivons.
En creusant la piscine municipale de Clermont, on a découvert dans un lit de sable (autrefois la Limagne était un lac) des cendres volcaniques et des déchets organiques assez récents, datés par le carbone 14 à l’an 1050. Cependant, les cendres sont peut être plus anciennes que les débris d’où l’incertitude.
Mais parallèlement, des textes de l’époque, bien que loin d’un récit scientifique, tendent à démontrer la véracité de cette datation : « des flammes ensevelissant sous une montagne de cendres les montagnes ». Avouez que c’est quelque peu troublant...
Si nous devions craindre un quelconque réveil (qui est, restons réalistes, tout de même peu probable), la chose à surveiller est l’activité sismique. Mais en réalité, il n’y a eu aucune secousse sérieuse depuis 1477 et 1490, ou le tremblement de terre a tout de même fendu le mur de la cathédrale de Clermont et détruit Riom. Pourtant, il y a quelques années, en 1982, il y eu bien une secousse de magnitude de 4,5 sur l’échelle de Richter à Riom, justement... Même si on a connu bien pire dans les Pyrénées ou dans les Alpes !
La menace vient des sous-sols. En effet, Riom est situé au croisement de deux failles. Les volcans sont liés au mouvement des Alpes. Le Massif Central, l’Alsace, la région de Bonn en Allemagne et la région de Prague en Tchécoslovaquie présentent des volcans qui sont tous sortis sur des blocs de terrain « hercyniens », restes d’une chaîne qui barrait l’Europe actuelle, au Carbonifère, voici 200 millions d’années.
L’Italie grimpe à l’assaut de l’Europe ; l’Afrique fait pression sur la France et l’Espagne. Ce sont les forces tectoniques provoquées par la collision entre les plaques d’Afrique et d’Europe qui sont à l’origine de la formation des Alpes, de la chaîne des Pyrénées et des volcans d’Auvergne.
Dans le Massif Central, la terre est en permanence agitée bien que ce soit la plupart du temps imperceptible pour ses habitants. L’Europe a tendance à s’étirer d’est en ouest sous la pression de l’Afrique. Il en résulte des cassures et le Massif Central est situé sur un de ces points névralgiques.
Enfin, bien que la date officielle de 1550 avant Jésus-Christ puisse paraître lointaine, c’est également l’âge que l’on attribuait à la dernière éruption d’El Chichon, un volcan mexicain, qui s’est réveillé en mars 1982. Après son long sommeil, El Chichon a rejeté un énorme nuage de cendres qui a perturbé le climat de la planète pendant un an. De même, en janvier 1973, un volcan en Islande, qui dormait depuis 5 000 ans, s’est brutalement réveillé. Que nous réserve l’avenir ?
La région est sous surveillance et plusieurs sismographes ont été installés. Tous les volcanologues sont d’accord pour dire que les volcans d’Auvergne se réveilleront un jour mais personne ne peut prédire la date...
Une nouvelle fois un grand merci au site Terra Nova pour les informations relatives à ce sujet. Peut-être qu’avec un peu de chance, un auvergnat fait partie des lecteurs du topic
En creusant la piscine municipale de Clermont, on a découvert dans un lit de sable (autrefois la Limagne était un lac) des cendres volcaniques et des déchets organiques assez récents, datés par le carbone 14 à l’an 1050. Cependant, les cendres sont peut être plus anciennes que les débris d’où l’incertitude.
Mais parallèlement, des textes de l’époque, bien que loin d’un récit scientifique, tendent à démontrer la véracité de cette datation : « des flammes ensevelissant sous une montagne de cendres les montagnes ». Avouez que c’est quelque peu troublant...
Si nous devions craindre un quelconque réveil (qui est, restons réalistes, tout de même peu probable), la chose à surveiller est l’activité sismique. Mais en réalité, il n’y a eu aucune secousse sérieuse depuis 1477 et 1490, ou le tremblement de terre a tout de même fendu le mur de la cathédrale de Clermont et détruit Riom. Pourtant, il y a quelques années, en 1982, il y eu bien une secousse de magnitude de 4,5 sur l’échelle de Richter à Riom, justement... Même si on a connu bien pire dans les Pyrénées ou dans les Alpes !
La menace vient des sous-sols. En effet, Riom est situé au croisement de deux failles. Les volcans sont liés au mouvement des Alpes. Le Massif Central, l’Alsace, la région de Bonn en Allemagne et la région de Prague en Tchécoslovaquie présentent des volcans qui sont tous sortis sur des blocs de terrain « hercyniens », restes d’une chaîne qui barrait l’Europe actuelle, au Carbonifère, voici 200 millions d’années.
L’Italie grimpe à l’assaut de l’Europe ; l’Afrique fait pression sur la France et l’Espagne. Ce sont les forces tectoniques provoquées par la collision entre les plaques d’Afrique et d’Europe qui sont à l’origine de la formation des Alpes, de la chaîne des Pyrénées et des volcans d’Auvergne.
Dans le Massif Central, la terre est en permanence agitée bien que ce soit la plupart du temps imperceptible pour ses habitants. L’Europe a tendance à s’étirer d’est en ouest sous la pression de l’Afrique. Il en résulte des cassures et le Massif Central est situé sur un de ces points névralgiques.
Enfin, bien que la date officielle de 1550 avant Jésus-Christ puisse paraître lointaine, c’est également l’âge que l’on attribuait à la dernière éruption d’El Chichon, un volcan mexicain, qui s’est réveillé en mars 1982. Après son long sommeil, El Chichon a rejeté un énorme nuage de cendres qui a perturbé le climat de la planète pendant un an. De même, en janvier 1973, un volcan en Islande, qui dormait depuis 5 000 ans, s’est brutalement réveillé. Que nous réserve l’avenir ?
La région est sous surveillance et plusieurs sismographes ont été installés. Tous les volcanologues sont d’accord pour dire que les volcans d’Auvergne se réveilleront un jour mais personne ne peut prédire la date...
Une nouvelle fois un grand merci au site Terra Nova pour les informations relatives à ce sujet. Peut-être qu’avec un peu de chance, un auvergnat fait partie des lecteurs du topic
fayssal morad- Nombre de messages : 840
Date d'inscription : 12/03/2010
Ces Cartes de l'impossible
En 1513, Piri Reis créait sa fameuse carte, celle qui encore aujourd’hui reste un mystère. Mais il n’est pas le seul à causer le trouble dans nos croyances contemporaines et fermées...
En réalité, Piri Reis a reconnu ne pas être le véritable cartographe des quelques cartes dont il est à l’origine. Il a effectué un travail de copie important, en compilant plusieurs cartes dont il estime la création, pour certaines, antérieure à Jésus Christ !
Mais le fait est là : il y a sur cette carte une partie du continent Antarctique, alors qu’il ne fut découvert officiellement qu’en 1818 ! De plus, les côtes de la Terre de la Reine Maud sont représentés sans glace, chose impossible, puisque ces côtés n’ont pus être libres de glace qu’au plus tôt 4 000 ans avant Jésus-Christ. D’où la conclusion du professeur Hapgood, qui pense (et sûrement à juste titre), qu’un peuple technologiquement avancé et très ancien a élaboré ses cartes, puis ces dernières ce sont transmises de civilisations en civilisations. C’est, pour lui, tout simplement la preuve qu’un peuple à exploré l’Antarctique il y a plus de 6 000 ans !
De plus, l’Europe et l’Afrique sont représentées avec une infinie précision, mais comment eut-ce été possible à une époque où le calcul de la longitude était inconnu ?
Mais les étrangetés ne s’arrêtent pas là : en Amérique, l’énorme île de Marajo, découverte seulement en 1543 et très mal cartographiée jusqu’à la fin du 16ème siècle, est dessinée avec exactitude. On y trouve également les Andes ; un lama figure dans l’ornementation alors que les européens n’ont encore jamais vu cet animal. D’autres points sont encore plus intrigants : il y a, par exemple, deux grandes îles au-dessus de l’équateur qui n’existent plus de nos jours. La localisation de l’une d’elle correspond au plateau sous-marin situé sous les îlots Saint-Pierre et Saint-Paul. D’autres îles figurent au Pôle Sud, cachées sous la glace, qui ne seront connues qu’en 1958.
Mais la carte de Piri Reis n’est pas seule. Celle d’Oronteus Finaeus (Oronce Fine), datée de 1531, nous indique plusieurs régions côtières antarctiques sans glace, le relief du terrain antarctique correspond exactement au relevé sismiques actuels, et la mer Ross est représentée, là où aujourd’hui, les grands glaciers Beardmore et Scott se déversent dans la mer. La carte fait apparaître à cet endroit des estuaires, des fjords et des cours d’eau.
De nos jours, toutes ces côtes sont enfouies sous 1 500 m de glace. Cela peut paraître invraisemblable, mais suite à des recherches, on a pu prouver que de grand fleuves ont effectivement coulés en ces lieux jusqu’à 6 000 ans avant notre ère !
Et que dire de la carte d’Hadji Ahmed datée de 1559 qui représente une cartographie très moderne des Amériques et surtout de leurs côtes ouest. La forme actuelle des Etats-Unis y est parfaitement reproduite. Cette perfection ne sera atteinte que deux siècles plus tard. Cette carte représente également une bande de terre large de plus de 1 500 kilomètres, reliant l’Alaska à la Sibérie. Ce pont a bel et bien existé (actuel détroit de Behring) mais il a été submergé par la montée des eaux à la fin de la dernière période glaciaire.
Enfin, Ibn ben Zara (1487) et Benincasa (1508), cartographes arabe et portugais, montrent l’Europe du Nord recouverte d’un glacier ressemblant à celui qui existait 12 000 ans avant notre ère.
Il y a tant de cartes qu’il serait difficile de toutes les citer...
Mais les scientifiques, bien qu’ils n’en nient pas l’existence, continuent d’ignorer ces cartes. Les accepter serait égal à remettre en cause tous les acquis de l’évolution, jusqu’au Darwinisme. Comment expliquer que des hommes aient pu explorer le globe il y a 10 000 ans, alors que l’Europe n’était encore qu’au stade préhistorique ?
Pire encore, le bras de mer reliant les mers de Ross, Weddell et Bellingshausen, représenté sur plusieurs cartes anciennes, prouve que ces cartes ont été établies alors que l’Antarctique était totalement dépourvu de glaces. Les géologues sont affirmatifs : ce continent n’a été entièrement libre de glace qu’à une date très reculée estimée à des millions d’années...
D'après Piri Reis et les cartes de l'impossible, un article de Terra Nova.
fayssal morad- Nombre de messages : 840
Date d'inscription : 12/03/2010
Une écriture préhistorique ?
Une écriture préhistorique ?
Comme vous devez le savoir, l’écriture est apparue entre –3500 et –3400
dans l’ancienne Mésopotamie, puis en Égypte vers 3300 ans avant
Jésus-Christ. Mais l’archéologue américain Alexander Marshack, lors
d’un observation sur un os de Renne en 1965, cru voir dans les marques
apparemment désordonnés une forme d’écriture très ancienne... Et pour
cause, cet os est âgé de 32 000 ans !
Des marques analogues ont été découvertes sur d’autres vestiges de la
période glaciaire. Ils ont toujours été considérés comme de vulgaires
graffitis. Mais, pour Marshack, cet os, fragment d’un outil de l’homme
de Cro-Magnon, découvert en Dordogne en 1911, portait la plus ancienne
notation humaine. Pour lui, les hommes préhistoriques connaissaient
déjà une forme de communication écrite. Il pensait que ces inscriptions
étaient d’une nature astronomique, représentant ainsi le passage des
saisons par les phases de la lune. Et ce « calendrier lunaire »,
d’après Marshack, se retrouve une quinzaine d’objets à la datation
identique.
Mais ces vestiges portent également d’autres notations, que l’on pense relatives aux trophées de chasse.
Seulement, cette théorie est loin de faire l’unanimité au sein de la
communauté scientifique. Outre ceux qui ne voient dans ces signes pas
le moindre soupçon d’écriture, certains ont carrément d’autres
hypothèses : c’est le cas du géologue-archéologue Jean de Heinzelin,
car selon lui, ces traits et ces points seraient en fait la plus
ancienne forme d’arithmétique au monde ! Les hommes de la dernière
glaciation, affirme t-il, utilisaient un système de calcul de base dix
et jonglaient avec les nombres premiers... Peu croyable, non ? Mais
est-ce pour autant impossible... ?
Quoiqu’il en soit, aucune des théories ne semblent convenir. En y
réfléchissant un peu, ne serait-il point possible que les formes
écrites sur ces os aient été effectués quelques milliers d’années après
la mort de l’animal ? Après tout, nous l’avons nous même découvert 32
000 après...
Mais une chose est sûr, ces marques ne semblent pas n’être que de vulgaires graffitis...
Comme vous devez le savoir, l’écriture est apparue entre –3500 et –3400
dans l’ancienne Mésopotamie, puis en Égypte vers 3300 ans avant
Jésus-Christ. Mais l’archéologue américain Alexander Marshack, lors
d’un observation sur un os de Renne en 1965, cru voir dans les marques
apparemment désordonnés une forme d’écriture très ancienne... Et pour
cause, cet os est âgé de 32 000 ans !
Des marques analogues ont été découvertes sur d’autres vestiges de la
période glaciaire. Ils ont toujours été considérés comme de vulgaires
graffitis. Mais, pour Marshack, cet os, fragment d’un outil de l’homme
de Cro-Magnon, découvert en Dordogne en 1911, portait la plus ancienne
notation humaine. Pour lui, les hommes préhistoriques connaissaient
déjà une forme de communication écrite. Il pensait que ces inscriptions
étaient d’une nature astronomique, représentant ainsi le passage des
saisons par les phases de la lune. Et ce « calendrier lunaire »,
d’après Marshack, se retrouve une quinzaine d’objets à la datation
identique.
Mais ces vestiges portent également d’autres notations, que l’on pense relatives aux trophées de chasse.
Seulement, cette théorie est loin de faire l’unanimité au sein de la
communauté scientifique. Outre ceux qui ne voient dans ces signes pas
le moindre soupçon d’écriture, certains ont carrément d’autres
hypothèses : c’est le cas du géologue-archéologue Jean de Heinzelin,
car selon lui, ces traits et ces points seraient en fait la plus
ancienne forme d’arithmétique au monde ! Les hommes de la dernière
glaciation, affirme t-il, utilisaient un système de calcul de base dix
et jonglaient avec les nombres premiers... Peu croyable, non ? Mais
est-ce pour autant impossible... ?
Quoiqu’il en soit, aucune des théories ne semblent convenir. En y
réfléchissant un peu, ne serait-il point possible que les formes
écrites sur ces os aient été effectués quelques milliers d’années après
la mort de l’animal ? Après tout, nous l’avons nous même découvert 32
000 après...
Mais une chose est sûr, ces marques ne semblent pas n’être que de vulgaires graffitis...
nadia ibrahimi- Nombre de messages : 1223
Date d'inscription : 18/07/2008
quelle est l'origine de l'extinction des dinosaures ?
Le passage du Crétacé au Paléogène (également appelé limite
Crétacé-Tertiaire ou limite K-T) [1] est marqué par un évènement
majeur: l'extinction massive et à grande échelle d'espèces animales et
végétales, et notamment de la plupart des dinosaures non-aviaires [2].
Plusieurs théories plus ou moins discutables ont été proposées pour
expliquer cette extinction massive qui a eu lieu il y a quelques 65
millions d'années ; citons entre autres : pluie de météorites,
volcanisme accru, épidémie fulgurante, intoxication par des plantes
nouvelles contenant des alcaloïdes, inversion du champ magnétique terrestre...
Bref, tout un ensemble d'hypothèses qui pourraient expliquer, de façon
isolée ou combinée, pourquoi tant d'espèces ont disparu en si peu de
temps.
En décembre dernier, une étude 100% espagnole, publiée dans
"Palaeogeography, Palaeoclimatology, Palaeocology" [3], avait démontré
que l'extinction massive n'était pas la conséquence d'une longue série
d'évènements, mais qu'il s'agissait plutôt d'un évènement qui avait eu
lieu sur une courte période de temps. En effet, Violeta Riera [4], de
l'Université Autonome de Barcelone, et ses collègues ont étudié 29
gisements d'os, empreintes et oeufs de dinosaures (des Titanosaurus par
exemple), dans les Pyrénées catalanes, l'unique site en Europe où il
est possible d'étudier la limite Crétacé-Tertiaire. Les chercheurs en
ont conclu qu'à la fin du Maastrichtien, la dernière subdivision du
Crétacé, la diversité des dinosaures était bien trop grande pour
concorder avec l'hypothèse d'une extinction progressive. L'extinction massive s'est donc faite brutalement. Oui, mais comment?
L'une des théories les plus probables parmi celles présentées un peu plus haut, est par exemple celle d'un impact de météorite.
Or justement, dans le Yucatan, au nord-ouest du Mexique, des géologues
ont découvert un immense cratère de météorite en 1991. Avec ses presque
200 kilomètres de diamètre, ce cratère avait réussi à passer inaperçu
jusque là car il est littéralement enterré sous la péninsule mexicaine.
200 kilomètres de diamètre, cela signifie une énergie libérée un
million de fois plus grande que celle de la bombe nucléaire la plus
puissante jamais testée ! Et bien l'âge de ce cratère, que l'on appelle
"le cratère de Chicxulub" [5], coïncide justement avec l'époque des
extinctions massives. Alors, Eureka ?
Et bien non, alors que de nombreux scientifiques s'accordent à
penser que cette météorite est la coupable de l'extinction du K-T,
d'autres, également nombreux, réfutent cette hypothèse, se basant sur
le fait que les sédiments retrouvés autour du Golfe du Mexique et qui
sont issus de l'impact, seraient datés de quelque 300 000 ans avant la fameuse extinction.
La théorie que ces scientifiques privilégient alors, serait celle de
l'activité volcanique intense qui a eu lieu à la même époque en Inde.
Nous voici donc dans une impasse...
Mais c'était sans compter le travail d'une quarantaine d'experts des
quatre coins du Monde [6], publié ce mois-ci dans la prestigieuse revue
"Science" [7]. Parmi les scientifiques, trois sont espagnols: Laia
Alegret [8], Ignacio Arenillas et José Antonio Arz, respectivement
2ème, 3ème et 4ème auteurs de l'article ! Ces trois chercheurs de
l'université de Saragosse sont des spécialistes des foraminifères, des
fossiles microscopiques qui permettent de dater les roches
sédimentaires marines, et ils se sont intéressés à dater les sédiments
associés à l'impact de Chicxulub et récupérés en Europe, en Amérique du
Sud, et en Afrique du Nord entre autres. C'est ainsi qu'il a été
découverts que ces sédiments dataient bel et bien de la limite K-T,
mais qu'ils avaient tout simplement été déplacés violemment, d'où la
confusion qui existait jusque là. Et l'explication là encore est toute
simple : l'impact de l'astéroïde de Chicxulub fut tel que l'ancien
Golfe du Mexique a subi des tremblements de terre de magnitudes supérieures à 11 (le tremblement de terre du Chili
en février dernier était de magnitude 8,8), ce qui a provoqué le
collapsus des plaques continentales, de gigantesques tsunamis et
l'éparpillement de grands volumes de sédiments marins. " Si nous
cherchons à découvrir quelle ont été les évènements au cours de la
limite Crétacé-Tertiaire, le dernier endroit où nous devrions chercher
est sûrement aux alentours du cratère de Chicxulub, où les dépôts
sédimentaires sont le plus altérés ", telle est la conclusion des
auteurs.
Et pour ce qui est de la théorie volcanique, basée sur l'idée que de
grandes quantités de soufre peuvent être émises et former des aérosols
dans l'atmosphère, les auteurs de l'article affirment que les quantités
de soufre émises n'étaient pas grandes. A l'inverse, ils estiment que
lors de l'impact mexicain, des volumes extrêmement importants de
soufre, poussières et suies ont été éparpillés dans l'atmosphère en
quelques minutes seulement, ce qui provoqua des perturbations
environnementales extrêmes comme l'obscurcissement et le
refroidissement global de la planète, et par la même l'extinction de
70% des espèces de l'époque. L'histoire ne dit pas comment 30%
survécurent...
Notes
[1] L'Extinction du Crétacé est une extinction massive et à grande
échelle d'espèces animales et végétales qui s'est produite il y a 65,5
millions d'années environ, dans une courte période de temps à l'échelle
géologique. Elle est associée à une signature géologique connue sous le
nom de limite K-T, habituellement une couche mince d'argile (fine
couche noire) présentant un taux anormal d'Iridium que l'on retrouve
dans diverses régions du monde.
[2] Tous règnes confondus, près de six à huit espèces sur dix
disparurent, dont les grands sauriens tels les dinosaures. Les insectes
ont en revanche bien résisté. La quasi-totalité du plancton marin,
maillon clef de la chaîne animale et alimentaire, disparut également.
Il semble qu'aucun animal d'une masse supérieure à 20-25 kg n'ait
survécu à l'exception des crocodiliens.
[5] Le centre du cratère se trouve dans les environs de la ville
mexicaine de Chicxulub. En langage maya, "Chicxulub" signifie "la queue
du diable".
[6] Les 41 experts qui ont contribué à la rédaction de cet article
proviennent d'Europe, des Etats-Unis, du Mexique, du Canada et du
Japon. En Europe, les pays concernés sont : Allemagne, Espagne,
Royaume-Uni, Belgique, Autriche, Italie, France et Suède.
Contacts
[4] Violeta Riera - Departament de Geologia - Universitat Autònoma de Barcelona - 08193 Cerdanyola del Vallès (Barcelona)
[8] Laia Alegret - Departamento de Ciencias de la Tierra - Area de
Paleontologia - Edificio de Geológicas - Pedro Cerbuna, 12 - 50009
Zaragoza
Source
[3] "The end-Cretaceous dinosaur succession in Europe: The Tremp
Basin record (Spain)"- Riera, Oms, Gaete and Galobart. Palaeogeography,
Palaeoclimatology, Palaeocology 283 (2009) 160-171.
Communiqué de presse de l'UAB, 17/03/10
La Voz de Galicia, 22/03/10
[7] "The Chicxulub Asteroid Impact and Mass Extinction at the
Cretaceous-Paleogene Boundary" - Schulte et al., Science. 2010 Mar
5;327(5970):1214-8
Communiqué de presse de l'université de Saragosse, 04/03/10
Europapress, 05/03/10
Rédacteur
Anne-Laure Fize, Chargée de mission
Origine
BE Espagne numéro 92 (31/03/2010) - Ambassade de France en Espagne / ADIT - http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/62832.htm
Crétacé-Tertiaire ou limite K-T) [1] est marqué par un évènement
majeur: l'extinction massive et à grande échelle d'espèces animales et
végétales, et notamment de la plupart des dinosaures non-aviaires [2].
Plusieurs théories plus ou moins discutables ont été proposées pour
expliquer cette extinction massive qui a eu lieu il y a quelques 65
millions d'années ; citons entre autres : pluie de météorites,
volcanisme accru, épidémie fulgurante, intoxication par des plantes
nouvelles contenant des alcaloïdes, inversion du champ magnétique terrestre...
Bref, tout un ensemble d'hypothèses qui pourraient expliquer, de façon
isolée ou combinée, pourquoi tant d'espèces ont disparu en si peu de
temps.
En décembre dernier, une étude 100% espagnole, publiée dans
"Palaeogeography, Palaeoclimatology, Palaeocology" [3], avait démontré
que l'extinction massive n'était pas la conséquence d'une longue série
d'évènements, mais qu'il s'agissait plutôt d'un évènement qui avait eu
lieu sur une courte période de temps. En effet, Violeta Riera [4], de
l'Université Autonome de Barcelone, et ses collègues ont étudié 29
gisements d'os, empreintes et oeufs de dinosaures (des Titanosaurus par
exemple), dans les Pyrénées catalanes, l'unique site en Europe où il
est possible d'étudier la limite Crétacé-Tertiaire. Les chercheurs en
ont conclu qu'à la fin du Maastrichtien, la dernière subdivision du
Crétacé, la diversité des dinosaures était bien trop grande pour
concorder avec l'hypothèse d'une extinction progressive. L'extinction massive s'est donc faite brutalement. Oui, mais comment?
L'une des théories les plus probables parmi celles présentées un peu plus haut, est par exemple celle d'un impact de météorite.
Or justement, dans le Yucatan, au nord-ouest du Mexique, des géologues
ont découvert un immense cratère de météorite en 1991. Avec ses presque
200 kilomètres de diamètre, ce cratère avait réussi à passer inaperçu
jusque là car il est littéralement enterré sous la péninsule mexicaine.
200 kilomètres de diamètre, cela signifie une énergie libérée un
million de fois plus grande que celle de la bombe nucléaire la plus
puissante jamais testée ! Et bien l'âge de ce cratère, que l'on appelle
"le cratère de Chicxulub" [5], coïncide justement avec l'époque des
extinctions massives. Alors, Eureka ?
Et bien non, alors que de nombreux scientifiques s'accordent à
penser que cette météorite est la coupable de l'extinction du K-T,
d'autres, également nombreux, réfutent cette hypothèse, se basant sur
le fait que les sédiments retrouvés autour du Golfe du Mexique et qui
sont issus de l'impact, seraient datés de quelque 300 000 ans avant la fameuse extinction.
La théorie que ces scientifiques privilégient alors, serait celle de
l'activité volcanique intense qui a eu lieu à la même époque en Inde.
Nous voici donc dans une impasse...
Mais c'était sans compter le travail d'une quarantaine d'experts des
quatre coins du Monde [6], publié ce mois-ci dans la prestigieuse revue
"Science" [7]. Parmi les scientifiques, trois sont espagnols: Laia
Alegret [8], Ignacio Arenillas et José Antonio Arz, respectivement
2ème, 3ème et 4ème auteurs de l'article ! Ces trois chercheurs de
l'université de Saragosse sont des spécialistes des foraminifères, des
fossiles microscopiques qui permettent de dater les roches
sédimentaires marines, et ils se sont intéressés à dater les sédiments
associés à l'impact de Chicxulub et récupérés en Europe, en Amérique du
Sud, et en Afrique du Nord entre autres. C'est ainsi qu'il a été
découverts que ces sédiments dataient bel et bien de la limite K-T,
mais qu'ils avaient tout simplement été déplacés violemment, d'où la
confusion qui existait jusque là. Et l'explication là encore est toute
simple : l'impact de l'astéroïde de Chicxulub fut tel que l'ancien
Golfe du Mexique a subi des tremblements de terre de magnitudes supérieures à 11 (le tremblement de terre du Chili
en février dernier était de magnitude 8,8), ce qui a provoqué le
collapsus des plaques continentales, de gigantesques tsunamis et
l'éparpillement de grands volumes de sédiments marins. " Si nous
cherchons à découvrir quelle ont été les évènements au cours de la
limite Crétacé-Tertiaire, le dernier endroit où nous devrions chercher
est sûrement aux alentours du cratère de Chicxulub, où les dépôts
sédimentaires sont le plus altérés ", telle est la conclusion des
auteurs.
Et pour ce qui est de la théorie volcanique, basée sur l'idée que de
grandes quantités de soufre peuvent être émises et former des aérosols
dans l'atmosphère, les auteurs de l'article affirment que les quantités
de soufre émises n'étaient pas grandes. A l'inverse, ils estiment que
lors de l'impact mexicain, des volumes extrêmement importants de
soufre, poussières et suies ont été éparpillés dans l'atmosphère en
quelques minutes seulement, ce qui provoqua des perturbations
environnementales extrêmes comme l'obscurcissement et le
refroidissement global de la planète, et par la même l'extinction de
70% des espèces de l'époque. L'histoire ne dit pas comment 30%
survécurent...
Notes
[1] L'Extinction du Crétacé est une extinction massive et à grande
échelle d'espèces animales et végétales qui s'est produite il y a 65,5
millions d'années environ, dans une courte période de temps à l'échelle
géologique. Elle est associée à une signature géologique connue sous le
nom de limite K-T, habituellement une couche mince d'argile (fine
couche noire) présentant un taux anormal d'Iridium que l'on retrouve
dans diverses régions du monde.
[2] Tous règnes confondus, près de six à huit espèces sur dix
disparurent, dont les grands sauriens tels les dinosaures. Les insectes
ont en revanche bien résisté. La quasi-totalité du plancton marin,
maillon clef de la chaîne animale et alimentaire, disparut également.
Il semble qu'aucun animal d'une masse supérieure à 20-25 kg n'ait
survécu à l'exception des crocodiliens.
[5] Le centre du cratère se trouve dans les environs de la ville
mexicaine de Chicxulub. En langage maya, "Chicxulub" signifie "la queue
du diable".
[6] Les 41 experts qui ont contribué à la rédaction de cet article
proviennent d'Europe, des Etats-Unis, du Mexique, du Canada et du
Japon. En Europe, les pays concernés sont : Allemagne, Espagne,
Royaume-Uni, Belgique, Autriche, Italie, France et Suède.
Contacts
[4] Violeta Riera - Departament de Geologia - Universitat Autònoma de Barcelona - 08193 Cerdanyola del Vallès (Barcelona)
[8] Laia Alegret - Departamento de Ciencias de la Tierra - Area de
Paleontologia - Edificio de Geológicas - Pedro Cerbuna, 12 - 50009
Zaragoza
Source
[3] "The end-Cretaceous dinosaur succession in Europe: The Tremp
Basin record (Spain)"- Riera, Oms, Gaete and Galobart. Palaeogeography,
Palaeoclimatology, Palaeocology 283 (2009) 160-171.
Communiqué de presse de l'UAB, 17/03/10
La Voz de Galicia, 22/03/10
[7] "The Chicxulub Asteroid Impact and Mass Extinction at the
Cretaceous-Paleogene Boundary" - Schulte et al., Science. 2010 Mar
5;327(5970):1214-8
Communiqué de presse de l'université de Saragosse, 04/03/10
Europapress, 05/03/10
Rédacteur
Anne-Laure Fize, Chargée de mission
Origine
BE Espagne numéro 92 (31/03/2010) - Ambassade de France en Espagne / ADIT - http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/62832.htm
fayssal morad- Nombre de messages : 840
Date d'inscription : 12/03/2010
Le Triangle des Bermudes
Le Triangle des Bermudes
Depuis des siècles, ce que l’on appelé le « Triangle des Bermudes » est le théâtre de phénomènes inexpliqués, qui continuent encore de nos jours. La mer et les océans, berceaux de la Vie, sur terre depuis 4,5 milliards d’années, ne commencent à livrer leurs secrets à l’humanité que depuis quelques décennies. Pourtant, grâce aux nouvelles technologies, on peut désormais avancer des hypothèses fiables quant aux disparitions et autres étrangetés de ce lieu « maudit »...
Au cours du 20ème siècle, on a enregistré près de 100 disparitions à l’intérieur du triangle des Bermudes qui est délimité par la péninsule de Floride, Puerto Rico et l’archipel des Bermudes. Cependant, sachez que ces disparitions se produisent également dans une dizaines d’autres zones à travers le monde, et également autour de ce fameux Triangle des Bermudes.
En 1961, un voilier nommé « l’Albatross » sombra soudainement au large de la Floride. Sur les 19 marins, 6 y perdirent la vie. Selon les survivants, une tempête d’une violence inné à renversé le bateau. Mais ce jour là, pourtant, le ciel était bleu, sans le moindre nuage. En fait, durant quelques minutes, le vent fut violent puis se calma rapidement. C’est ce que les marins ont surnommé le « grain blanc ».
Le 5 décembre 1945, une disparition inexpliquée se produisit. Cinq avions de l’aéronavale américaine partent de la Floride et disparaissent sans laisser de trace. La marine envoie alors un avion de sauvetage qui explose en plein vol. L’enquête ne permit pas de retrouver les débris de cet appareil. Si, d’après les témoins, cet avion a explosé, il ne peut pas s’agir d’une rafale violente.
En 1975, il se passe un événement qui permis de résoudre le mystère du Grain Blanc. Ce jour là, une rafale descendante se produisit juste au moment où un avion survolait l’aéroport. Elle entraîna une violente turbulence atmosphérique. Quelques secondes plus tard, l’avion s’écrasait.
On appelle ce vent violent « rafale descendante ». C’est en fait une véritable avalanche d’air qui tombe d’un coup d’un nuage. Le vent, qui peut être supérieur à 300 km/h, souffle avec une violence destructrice. Le phénomène ne dure jamais plus de quelques minutes et ressemble beaucoup au grain blanc décrit par les marins. L’étude a abouti sur la preuve que ce phénomène se produit aussi en mer.
L’énergie thermique de l’eau forme des cumulo nimbus, dont les plus gros emmagasinent assez e cette énergie pour provoquer des rafales descendantes.
Mais si ces vents violents peuvent renverser jusqu’aux plus grands navires, ils sont incapables de faire exploser un avion. Mais plus tard, on se rendit compte que le sous-sol marin dégageaient d’importantes quantités de méthanes, gaz très inflammable, qui peut de surcroît renverser un bâtiment marin ou pétrolier en remontant à la surface en bouillonnant.
L’hypothèse des scientifiques est la suivante : sous l’effet d’un séisme, une grande quantité de méthane est libérée à environ 500 mètres de profondeur. Arrivée à la surface (sois dit en passant, la mer alors en ébullition peut faire perde à un bateau sa flottabilité, et ainsi le faire couleur), le méthane, plus léger que l’air, remonte dans l’atmosphère. Lorsqu’il se retrouve en contact avec l’avion, les moteurs le font s’enflammer et l’appareil explose.
On a aussi noter dans ce secteur de très fortes perturbations magnétiques, qui font s’affoler tous les appareils : boussoles, etc.
Mais cependant, tous les phénomènes dans le Triangle des Bermudes n’ont pas pu être expliqués. Le 17 février 1935, un « avion fantôme » plongea en silence dans l’océan, au large de Daytona Beach, en présence de centaines de témoins. La mer est peu profonde à cet endroit là et des recherches furent entreprises. Mais, on ne retrouva aucune épave et aucun avion ne fut déclaré disparu.
Au cours du mois de juillet 1975, un groupe d’océanographes traversait un orage magnétique et sec. Jim Thorne voulut fixer sur la pellicule l’une de ces énormes décharges d’énergie. Mais, au développement, la photo montra, en plus de l’éclair, un navire à voiles carrées, alors que nul bateau ne croisait à proximité ce jour là.
John Sander, steward sur le Queen Elisabeth 1, vit un petit avion raser la mer à quelques encablures du paquebot. Un officier et un autre marin le virent également lorsqu’il s’abîma dans les flots. Le navire stoppa et on envoya une chaloupe mais les sauveteurs ne repérèrent pas de débris.
Mais l’affaire la plus étrange fut celle que vécu Helen Cascio. Elle s’envola pour Turk Island, aux commandes d’un Cessna 172, avec un passager à bord. A l’heure prévue pour son arrivée, un Cessna 172 tourna bien au-dessus de l’île mais repartit sans atterrir. Au sol, on voyait bien l’avion et on captait les messages de la pilote mais, elle, de son côté, ne semblait rien entendre.
« Je ne comprends pas. Depuis le temps, on devrait voir la ville, l’aéroport. Mais, il n’y a rien là-dessous. C’est complètement désert ! ».
La tour de contrôle tenta vainement de reprendre contact mais la pilote semblait sourde et aveugle. Comme l’avion faisait demi-tour, une voix de femme dit : « Il n’y a donc pas moyen de se poser quelque part ! ».
Les contrôleurs virent l’avion faire demi-tour et disparaître dans un banc de nuages dont il ne ressortit jamais. Pourtant, cet avion était bien réel et la pilote avait bien annoncé son atterrissage en donnant son identification à la tour de contrôle.
D’après les propos d’Helen Cascio, l’île était déserte comme à l’époque où l’homme n’avait encore rien construit. Alors, aurait-elle véritablement subi une distorsion de temps ? Ou était-ce alors une illusion temporelle ? Peut-être était-ce tout simplement un mensonge gros comme le monde...Publié le 03/08/2008 à 12:00 par nepthtys
Depuis des siècles, ce que l’on appelé le « Triangle des Bermudes » est le théâtre de phénomènes inexpliqués, qui continuent encore de nos jours. La mer et les océans, berceaux de la Vie, sur terre depuis 4,5 milliards d’années, ne commencent à livrer leurs secrets à l’humanité que depuis quelques décennies. Pourtant, grâce aux nouvelles technologies, on peut désormais avancer des hypothèses fiables quant aux disparitions et autres étrangetés de ce lieu « maudit »...
Au cours du 20ème siècle, on a enregistré près de 100 disparitions à l’intérieur du triangle des Bermudes qui est délimité par la péninsule de Floride, Puerto Rico et l’archipel des Bermudes. Cependant, sachez que ces disparitions se produisent également dans une dizaines d’autres zones à travers le monde, et également autour de ce fameux Triangle des Bermudes.
En 1961, un voilier nommé « l’Albatross » sombra soudainement au large de la Floride. Sur les 19 marins, 6 y perdirent la vie. Selon les survivants, une tempête d’une violence inné à renversé le bateau. Mais ce jour là, pourtant, le ciel était bleu, sans le moindre nuage. En fait, durant quelques minutes, le vent fut violent puis se calma rapidement. C’est ce que les marins ont surnommé le « grain blanc ».
Le 5 décembre 1945, une disparition inexpliquée se produisit. Cinq avions de l’aéronavale américaine partent de la Floride et disparaissent sans laisser de trace. La marine envoie alors un avion de sauvetage qui explose en plein vol. L’enquête ne permit pas de retrouver les débris de cet appareil. Si, d’après les témoins, cet avion a explosé, il ne peut pas s’agir d’une rafale violente.
En 1975, il se passe un événement qui permis de résoudre le mystère du Grain Blanc. Ce jour là, une rafale descendante se produisit juste au moment où un avion survolait l’aéroport. Elle entraîna une violente turbulence atmosphérique. Quelques secondes plus tard, l’avion s’écrasait.
On appelle ce vent violent « rafale descendante ». C’est en fait une véritable avalanche d’air qui tombe d’un coup d’un nuage. Le vent, qui peut être supérieur à 300 km/h, souffle avec une violence destructrice. Le phénomène ne dure jamais plus de quelques minutes et ressemble beaucoup au grain blanc décrit par les marins. L’étude a abouti sur la preuve que ce phénomène se produit aussi en mer.
L’énergie thermique de l’eau forme des cumulo nimbus, dont les plus gros emmagasinent assez e cette énergie pour provoquer des rafales descendantes.
Mais si ces vents violents peuvent renverser jusqu’aux plus grands navires, ils sont incapables de faire exploser un avion. Mais plus tard, on se rendit compte que le sous-sol marin dégageaient d’importantes quantités de méthanes, gaz très inflammable, qui peut de surcroît renverser un bâtiment marin ou pétrolier en remontant à la surface en bouillonnant.
L’hypothèse des scientifiques est la suivante : sous l’effet d’un séisme, une grande quantité de méthane est libérée à environ 500 mètres de profondeur. Arrivée à la surface (sois dit en passant, la mer alors en ébullition peut faire perde à un bateau sa flottabilité, et ainsi le faire couleur), le méthane, plus léger que l’air, remonte dans l’atmosphère. Lorsqu’il se retrouve en contact avec l’avion, les moteurs le font s’enflammer et l’appareil explose.
On a aussi noter dans ce secteur de très fortes perturbations magnétiques, qui font s’affoler tous les appareils : boussoles, etc.
Mais cependant, tous les phénomènes dans le Triangle des Bermudes n’ont pas pu être expliqués. Le 17 février 1935, un « avion fantôme » plongea en silence dans l’océan, au large de Daytona Beach, en présence de centaines de témoins. La mer est peu profonde à cet endroit là et des recherches furent entreprises. Mais, on ne retrouva aucune épave et aucun avion ne fut déclaré disparu.
Au cours du mois de juillet 1975, un groupe d’océanographes traversait un orage magnétique et sec. Jim Thorne voulut fixer sur la pellicule l’une de ces énormes décharges d’énergie. Mais, au développement, la photo montra, en plus de l’éclair, un navire à voiles carrées, alors que nul bateau ne croisait à proximité ce jour là.
John Sander, steward sur le Queen Elisabeth 1, vit un petit avion raser la mer à quelques encablures du paquebot. Un officier et un autre marin le virent également lorsqu’il s’abîma dans les flots. Le navire stoppa et on envoya une chaloupe mais les sauveteurs ne repérèrent pas de débris.
Mais l’affaire la plus étrange fut celle que vécu Helen Cascio. Elle s’envola pour Turk Island, aux commandes d’un Cessna 172, avec un passager à bord. A l’heure prévue pour son arrivée, un Cessna 172 tourna bien au-dessus de l’île mais repartit sans atterrir. Au sol, on voyait bien l’avion et on captait les messages de la pilote mais, elle, de son côté, ne semblait rien entendre.
« Je ne comprends pas. Depuis le temps, on devrait voir la ville, l’aéroport. Mais, il n’y a rien là-dessous. C’est complètement désert ! ».
La tour de contrôle tenta vainement de reprendre contact mais la pilote semblait sourde et aveugle. Comme l’avion faisait demi-tour, une voix de femme dit : « Il n’y a donc pas moyen de se poser quelque part ! ».
Les contrôleurs virent l’avion faire demi-tour et disparaître dans un banc de nuages dont il ne ressortit jamais. Pourtant, cet avion était bien réel et la pilote avait bien annoncé son atterrissage en donnant son identification à la tour de contrôle.
D’après les propos d’Helen Cascio, l’île était déserte comme à l’époque où l’homme n’avait encore rien construit. Alors, aurait-elle véritablement subi une distorsion de temps ? Ou était-ce alors une illusion temporelle ? Peut-être était-ce tout simplement un mensonge gros comme le monde...Publié le 03/08/2008 à 12:00 par nepthtys
Nadej-isis- Nombre de messages : 958
Date d'inscription : 15/03/2010
La Civilisation Inca : le Lac Titicaca
La Paz, capitale de la Bolivie, est nichée au creux d’un cirque situé à plus de 3 000 mètres au dessus du niveau de la mer. Le lac Titicaca se situe aujourd’hui à près de 4 000 mètres au dessus du niveau de la mer, contiguë à la Bolivie et au Pérou. Les alentours du lac sont jonchés de coquillages fossilisés.
Bien que vivant à plusieurs centaines de kilomètres de l’Océan Pacifique, les poissons et crustacés du lac appartiennent en majorité à des espèces océaniques. Sa faune marine démontre que le lac était autrefois plus salé. En fait, il est évident que les eaux étaient marines. Donc, à une certaine époque, l’ensemble de l’Altiplano a été soulevé. Les eaux marines ainsi que sa faune se sont retrouvées emprisonnées dans les Andes.
Cette précision géologique est importante pour comprendre les contradictions manifestes entre ce que nous livrent les sédiments et les roches et la théorie officielle sur la construction de Tiahuanaco (ou Tiwanaku, vous n’avez pas déjà oublié j’espère !). A moins de 20 kilomètres du lac et plus de 30 mètres au dessus des côtes actuelles, se dressent les vestiges monumentaux de Tiahuanaco.
Le lac Titicaca tient son nom du rocher Titi Khar'ka (ce qui signifie en aymara « Roc du Puma »), qui se situe sur l’Isla del Sol. L’Isla del Sol est le véritable centre de la mythologie inca.
Le lac Titicaca est pour les Indiens des Andes le berceau du premier Inca, le « Fils du Soleil » qui aurait surgi de ses eaux. « L’île du Soleil » est un lieu sacré, comme au temps de l’empire.
Une légende locale autochtone prétend que les premiers habitants de la région avaient six doigts et s’appelaient les Uros. De nos jours, on appelle Uros ceux qui vivent sur des îles flottantes. Celles-ci sont fabriquées à partir de roseaux flottants et sont devenues une étape touristique presque « obligatoire », ce qui permet aux habitants de vivre en partie de ce tourisme. En réalité, la dernière véritable Indienne Uros est décédée en 1959 et les occupants des îles sont depuis des Aymaras qui s’accrochent depuis longtemps aux terres bordant le Titicaca.
Une légende raconte que les hommes vivaient heureux dans une vallée fertile. Rien ne leur était interdit sauf de monter dans la montagne. Le diable, jaloux de leur tranquillité, leur dit d’aller dans la montagne chercher le feu sacré, sinon un malheur s’abattrait sur eux. Mais les dieux de la montagne appelés « Apus » les surprirent et firent sortir des cavernes des pumas, qui dévorèrent toute la population. Inti, le dieu du soleil qu’ils vénéraient, pleura pendant 40 jours et 40 nuits sans s’arrêter, ce qui inonda la vallée et créa le lac Titicaca ; seul un couple survécut en se mettant dans une barque. Ils dirent que, de leur barque, ils avaient vu les pumas, qui s’étaient transformés en pierre. C’est pour cela que le lac s’appelle « el lago de los pumas de piedra », le lac aux pumas de pierre. Ces pumas de pierre sont aujourd'hui représentés dans la symbolique Aymara par la figure de proue des bateaux (les balsa), une tête de puma tressée.
Il existe une autre légende qui raconte qu’un trésor inca dormirait au fond du lac. Il s’agirait d’une partie de ce même grand trésor des Incas du XVIème siècle. Quand Francisco Pizarro captura l’empereur Atahualpa en 1532 à Cajamarca, il lui promit la vie sauve en échange de richesses. Le conquistador espagnol exigea que l’Inca lui verse une rançon colossale, soit une quantité d’or et d’argent capable de remplir la pièce où Atahualpa était prisonnier : 35 m² de surface sur une hauteur de 2 mètres. L’Inca donna des ordres à ses lieutenants pour que la rançon soit acheminée des quatre coins de l’empire. L’or afflua et la rançon fut presque totalement payée. Sur le lac Titicaca, une navette de barques convoya des kilos d’or et d’argent, entre la rive est et la rive ouest. Mais le 29 août 1533, quand les mariniers apprirent l’exécution d’Atahualpa par Francisco Pizarro, ils comprirent que l’Espagnol n’avait pas tenu parole et qu’il avait trahi l’Inca. Dégoûtés, ils auraient jeté le trésor dans les eaux du lac...
Bien que vivant à plusieurs centaines de kilomètres de l’Océan Pacifique, les poissons et crustacés du lac appartiennent en majorité à des espèces océaniques. Sa faune marine démontre que le lac était autrefois plus salé. En fait, il est évident que les eaux étaient marines. Donc, à une certaine époque, l’ensemble de l’Altiplano a été soulevé. Les eaux marines ainsi que sa faune se sont retrouvées emprisonnées dans les Andes.
Cette précision géologique est importante pour comprendre les contradictions manifestes entre ce que nous livrent les sédiments et les roches et la théorie officielle sur la construction de Tiahuanaco (ou Tiwanaku, vous n’avez pas déjà oublié j’espère !). A moins de 20 kilomètres du lac et plus de 30 mètres au dessus des côtes actuelles, se dressent les vestiges monumentaux de Tiahuanaco.
Le lac Titicaca tient son nom du rocher Titi Khar'ka (ce qui signifie en aymara « Roc du Puma »), qui se situe sur l’Isla del Sol. L’Isla del Sol est le véritable centre de la mythologie inca.
Le lac Titicaca est pour les Indiens des Andes le berceau du premier Inca, le « Fils du Soleil » qui aurait surgi de ses eaux. « L’île du Soleil » est un lieu sacré, comme au temps de l’empire.
Une légende locale autochtone prétend que les premiers habitants de la région avaient six doigts et s’appelaient les Uros. De nos jours, on appelle Uros ceux qui vivent sur des îles flottantes. Celles-ci sont fabriquées à partir de roseaux flottants et sont devenues une étape touristique presque « obligatoire », ce qui permet aux habitants de vivre en partie de ce tourisme. En réalité, la dernière véritable Indienne Uros est décédée en 1959 et les occupants des îles sont depuis des Aymaras qui s’accrochent depuis longtemps aux terres bordant le Titicaca.
Une légende raconte que les hommes vivaient heureux dans une vallée fertile. Rien ne leur était interdit sauf de monter dans la montagne. Le diable, jaloux de leur tranquillité, leur dit d’aller dans la montagne chercher le feu sacré, sinon un malheur s’abattrait sur eux. Mais les dieux de la montagne appelés « Apus » les surprirent et firent sortir des cavernes des pumas, qui dévorèrent toute la population. Inti, le dieu du soleil qu’ils vénéraient, pleura pendant 40 jours et 40 nuits sans s’arrêter, ce qui inonda la vallée et créa le lac Titicaca ; seul un couple survécut en se mettant dans une barque. Ils dirent que, de leur barque, ils avaient vu les pumas, qui s’étaient transformés en pierre. C’est pour cela que le lac s’appelle « el lago de los pumas de piedra », le lac aux pumas de pierre. Ces pumas de pierre sont aujourd'hui représentés dans la symbolique Aymara par la figure de proue des bateaux (les balsa), une tête de puma tressée.
Il existe une autre légende qui raconte qu’un trésor inca dormirait au fond du lac. Il s’agirait d’une partie de ce même grand trésor des Incas du XVIème siècle. Quand Francisco Pizarro captura l’empereur Atahualpa en 1532 à Cajamarca, il lui promit la vie sauve en échange de richesses. Le conquistador espagnol exigea que l’Inca lui verse une rançon colossale, soit une quantité d’or et d’argent capable de remplir la pièce où Atahualpa était prisonnier : 35 m² de surface sur une hauteur de 2 mètres. L’Inca donna des ordres à ses lieutenants pour que la rançon soit acheminée des quatre coins de l’empire. L’or afflua et la rançon fut presque totalement payée. Sur le lac Titicaca, une navette de barques convoya des kilos d’or et d’argent, entre la rive est et la rive ouest. Mais le 29 août 1533, quand les mariniers apprirent l’exécution d’Atahualpa par Francisco Pizarro, ils comprirent que l’Espagnol n’avait pas tenu parole et qu’il avait trahi l’Inca. Dégoûtés, ils auraient jeté le trésor dans les eaux du lac...
Nadej-isis- Nombre de messages : 958
Date d'inscription : 15/03/2010
La Civilisation Inca : Machu Picchu, la cité perdue
La Civilisation Inca : Machu Picchu, la cité perdue
La légendaire cité perdue des Incas, tant recherchée par les conquistadors et les missionaires espanols, n’avait à l’époque jamais été découverte. Et pour cause : Machu Picchu n’est pas spécialement accessible avec aisance...
Voyons pourquoi, ainsi que les Mystères qu’il y a autour de ce site exceptionnel et unique au monde !
Les recherches infructueuses menées par les conquistadors ont permis à Machu Picchu d’échapper aux pillages et aux déprédations. Ce n’est qu’en 1911 que l’archéologue américain Hiram Bingham, à l’époque encore jeune explorateur, découvrit cette cité. De tous les grands sites archéologiques qui témoignent de la puissance de l’empire Inca, le plus surprenant est sans aucun doute Machu Picchu. Cette cité se dresse à un endroit presque inaccessible. Les ruines se situent à 2 800 mètres d’altitude, entre deux pics andins appelés Huayna Picchu (Jeune Pic) et Machu Picchu (Vieux Pic). C’est un lieu d’une beauté inouïe, panorama oblige...
Mais elle demeure cependant une énigme et on ne sait toujours pas à quand remonte sa construction. Les archéologues traditionalistes s’accordent à dire que la coté fût bâti avant le début du 15ème siècle. Mais d’autres archéologues ont contesté cette hypothèse. Rolf Müller, professeur d’astronomie, qui a étudié le site, a affirmé dans les années trente que les vestiges comportaient des alignements astronomiques significatifs. En appliquant des calculs complexes, il en arriva à la conclusion que la cité avait été construite entre 4 000 et 2 000 avant notre ère. Bien évidemment, cette théorie est considérée comme une hérésie. En effet, cela voudrait dire que Machu Picchu est plus ancienne que la pyramide de Kheops, nous avons déjà vu ce cas la semaine passée.
Selon des documents du XVIe siècle, Machu Picchu aurait été une des résidences de Pachacutec ou Inca Yupanqui,l’un des plus grands empereurs Incas (1438-1470). Cependant, quelques-unes des plus grandes constructions, le caractère cérémonial de la principale voie d’accès au llaqta (« cité » en quechua) démontreraient que le lieu fut utilisé comme un sanctuaire religieux. Mais les deux usages ne s’excluent pas forcément.
Par contre, les experts ont écarté l’idée d’un ouvrage militaire.
Vous l’aurez compris, nous ne croulons pas sous les connaissances concernant cette mythique cité, cependant oubliée. Sa date de construction n’est pas conventionnelle, elle a été découverte il y a un peu moins d’un siècle, et on ne sait que peu de choses sur la vie à l’intérieure de la cité même.
Oui, Machu Picchu reste un Mystère, mais elle ne nous a pas tout dit...
La légendaire cité perdue des Incas, tant recherchée par les conquistadors et les missionaires espanols, n’avait à l’époque jamais été découverte. Et pour cause : Machu Picchu n’est pas spécialement accessible avec aisance...
Voyons pourquoi, ainsi que les Mystères qu’il y a autour de ce site exceptionnel et unique au monde !
Les recherches infructueuses menées par les conquistadors ont permis à Machu Picchu d’échapper aux pillages et aux déprédations. Ce n’est qu’en 1911 que l’archéologue américain Hiram Bingham, à l’époque encore jeune explorateur, découvrit cette cité. De tous les grands sites archéologiques qui témoignent de la puissance de l’empire Inca, le plus surprenant est sans aucun doute Machu Picchu. Cette cité se dresse à un endroit presque inaccessible. Les ruines se situent à 2 800 mètres d’altitude, entre deux pics andins appelés Huayna Picchu (Jeune Pic) et Machu Picchu (Vieux Pic). C’est un lieu d’une beauté inouïe, panorama oblige...
Mais elle demeure cependant une énigme et on ne sait toujours pas à quand remonte sa construction. Les archéologues traditionalistes s’accordent à dire que la coté fût bâti avant le début du 15ème siècle. Mais d’autres archéologues ont contesté cette hypothèse. Rolf Müller, professeur d’astronomie, qui a étudié le site, a affirmé dans les années trente que les vestiges comportaient des alignements astronomiques significatifs. En appliquant des calculs complexes, il en arriva à la conclusion que la cité avait été construite entre 4 000 et 2 000 avant notre ère. Bien évidemment, cette théorie est considérée comme une hérésie. En effet, cela voudrait dire que Machu Picchu est plus ancienne que la pyramide de Kheops, nous avons déjà vu ce cas la semaine passée.
Selon des documents du XVIe siècle, Machu Picchu aurait été une des résidences de Pachacutec ou Inca Yupanqui,l’un des plus grands empereurs Incas (1438-1470). Cependant, quelques-unes des plus grandes constructions, le caractère cérémonial de la principale voie d’accès au llaqta (« cité » en quechua) démontreraient que le lieu fut utilisé comme un sanctuaire religieux. Mais les deux usages ne s’excluent pas forcément.
Par contre, les experts ont écarté l’idée d’un ouvrage militaire.
Vous l’aurez compris, nous ne croulons pas sous les connaissances concernant cette mythique cité, cependant oubliée. Sa date de construction n’est pas conventionnelle, elle a été découverte il y a un peu moins d’un siècle, et on ne sait que peu de choses sur la vie à l’intérieure de la cité même.
Oui, Machu Picchu reste un Mystère, mais elle ne nous a pas tout dit...
Nadej-isis- Nombre de messages : 958
Date d'inscription : 15/03/2010
la Mort de Toutankhamon...
la Mort de Toutankhamon...
Les
chercheurs continuent d’enquêter sur la mort prématurée, à 19 ans, du
jeune et si mystérieux pharaon qu’est et qu’à été Toutankhamon. Encore
actuellement, bien que de grandes avancées aient été faites, un épais
brouillard réside encore sur cette histoire...
Bob Brier, un spécialiste des momies de l’Université de Long Island,
est à la recherche d’indices prouvant que Toutankhamon a peut-être été
assassiné par son vieux premier conseiller, qui fut également son
successeur, Ayé. Un examen de son crâne aux rayons X a révélé un
caillot de sang calcifié à sa base. Il est possible que ce dernier ait
été causé par un coup donné avec un objet contondant et ayant
éventuellement causé la mort. Comme Toutankhamon n’avait pas d’enfant
pour lui succéder, il semble qu’Ayé ait décidé de s’emparer de la
couronne et de se proclamer lui-même roi d’Égypte...
Deux autres morts au moins ont suivi celle de Toutankhamon. Sa jeune
épouse Ankhésenamon supplia le roi des Hittites de lui envoyer un de
ses fils pour être son époux. Elle ne voulait pas épouser un serviteur
comme Ayé. Le roi envoya un de ses fils, mais ce dernier fut assassiné
avant d’arriver à bon port... Etrange coïncidence, ne trouvez-vous
point ?
Mais alors, qui Ankhésenamon épousa-t-elle ? Il existe maintenant des
preuves qu’elle épousa Ayé. Une bague a été retrouvée avec son
cartouche gravé à côté du sien. Ayé l’a-t-il forcée à l’épouser,
légitimant ainsi sa revendication du trône ? Dans les trois ans qui ont
suivi la mort d’Ayé, Ankhésenamon disparut. Victime d’un tueur en série
de l’époque ? Suicide masqué ? « Fugue » pour des raisons plus ou moins
inconnues ? ... Le saura-t-on un jour ?
Et qu’advient-il de Ayé, alors ? Eh bien, comme je l’ai déjà fait
remarquer ci-dessus, il est mort quelques années après s’être emparé du
trône. Ses cartouches, qu'il avait fait graver sur les murs des
temples, ont été effacés, sa tombe a été dévalisée et vandalisée, et sa
momie a disparu. Son nom fut également rayé de la liste officielle des
pharaons, tout comme le fut celui de Toutankhamon. Qui a bien pu faire
cela ?
Eh bien, Une autre théorie sur la mort de Toutankhamon suggère qu’il
fut assassiné par le général Horemheb, un homme de du peuple, devenu un
des plus proches conseillers d’Akhenaton. Sous la régence de
Toutankhamon, il fut nommé commandant en chef de l’armée et assistant
du roi. Après le décès de Toutankhamon, et d’Ayé, Horemheb devint
pharaon. Sous son règne, il fit enlever les noms d’Akhenaton, de
Toutankhamon et d’Ayé de la liste des pharaons, peut-être pour des
raisons personnelles. Nous n’en savons pas beaucoup plus...
Oui mais voilà, que toutes ces hypothèses soient erronées. En effet,
Les résultats d’un scanner effectués sur la momie de Toutankhamon
indiquent que l’enfant-roi n’est pas mort assassiné mais pourrait avoir
succombé à une sur-infection due à une fracture de la jambe peu avant
sa mort, rappelons-le, à l’âge de 19 ans.
Zahi Hawass a présenté les résultats de ces examens environ deux mois après qu’ils ont été réalisés sur la momie.
Hawass a précisé que les restes de Toutankhamon, qui a régné il y 3.300
ans, ne présentent apparemment aucun signe qu’il a été tué.
« En
réponse aux théories selon lesquelles Toutankhamon a été assassiné,
l’équipe n’a trouve aucune preuve d'un coup porté à l’arrière de la
tête et aucune autre indication d’un autre coup tordu », selon le communiqué publié le Mardi 8 Mars 2005 par le Gouvernement Egyptien.« Cette
équipe a également déterminé qu’il est hautement improbable qu’il ait
eu un accident au cours duquel il a eu la poitrine écrasée. »
Selon Hawass, certains membres de l’équipe parmi lesquels figurent deux
experts italiens et un expert suisse, ont interprété la fracture du
fémur gauche de Toutankhamon comme la preuve que le pharaon a souffert
de cette vilaine fracture peu avant sa mort.
« Bien
que la fracture elle-même n’ait pas été une menace pour sa vie,
l’infection s’y est installée. Toutefois, cette partie de l’équipe
estime qu’il est possible, quoique moins probable, que cette fracture
ait été causée par les embaumeurs. », souligne le communiqué.
Au total, quelque 1700 images ont été prises de la momie au cours de
cet examen au scanner qui a duré 15 minutes et qui visait à élucider
plusieurs des mystères qui entourent la vie et la mort de Toutankhamon
-y compris sur sa lignée royale, son âge exact au moment de sa mort et
la cause de cette mort.
Toutankhamon est considéré comme le 12ème
pharaon de la 18ème dynastie d’Egypte. Il a accédé au trône vers l’âge
de 8 ans et est mort vers 1323 avant Jésus-Christ.
Les
chercheurs continuent d’enquêter sur la mort prématurée, à 19 ans, du
jeune et si mystérieux pharaon qu’est et qu’à été Toutankhamon. Encore
actuellement, bien que de grandes avancées aient été faites, un épais
brouillard réside encore sur cette histoire...
Bob Brier, un spécialiste des momies de l’Université de Long Island,
est à la recherche d’indices prouvant que Toutankhamon a peut-être été
assassiné par son vieux premier conseiller, qui fut également son
successeur, Ayé. Un examen de son crâne aux rayons X a révélé un
caillot de sang calcifié à sa base. Il est possible que ce dernier ait
été causé par un coup donné avec un objet contondant et ayant
éventuellement causé la mort. Comme Toutankhamon n’avait pas d’enfant
pour lui succéder, il semble qu’Ayé ait décidé de s’emparer de la
couronne et de se proclamer lui-même roi d’Égypte...
Deux autres morts au moins ont suivi celle de Toutankhamon. Sa jeune
épouse Ankhésenamon supplia le roi des Hittites de lui envoyer un de
ses fils pour être son époux. Elle ne voulait pas épouser un serviteur
comme Ayé. Le roi envoya un de ses fils, mais ce dernier fut assassiné
avant d’arriver à bon port... Etrange coïncidence, ne trouvez-vous
point ?
Mais alors, qui Ankhésenamon épousa-t-elle ? Il existe maintenant des
preuves qu’elle épousa Ayé. Une bague a été retrouvée avec son
cartouche gravé à côté du sien. Ayé l’a-t-il forcée à l’épouser,
légitimant ainsi sa revendication du trône ? Dans les trois ans qui ont
suivi la mort d’Ayé, Ankhésenamon disparut. Victime d’un tueur en série
de l’époque ? Suicide masqué ? « Fugue » pour des raisons plus ou moins
inconnues ? ... Le saura-t-on un jour ?
Et qu’advient-il de Ayé, alors ? Eh bien, comme je l’ai déjà fait
remarquer ci-dessus, il est mort quelques années après s’être emparé du
trône. Ses cartouches, qu'il avait fait graver sur les murs des
temples, ont été effacés, sa tombe a été dévalisée et vandalisée, et sa
momie a disparu. Son nom fut également rayé de la liste officielle des
pharaons, tout comme le fut celui de Toutankhamon. Qui a bien pu faire
cela ?
Eh bien, Une autre théorie sur la mort de Toutankhamon suggère qu’il
fut assassiné par le général Horemheb, un homme de du peuple, devenu un
des plus proches conseillers d’Akhenaton. Sous la régence de
Toutankhamon, il fut nommé commandant en chef de l’armée et assistant
du roi. Après le décès de Toutankhamon, et d’Ayé, Horemheb devint
pharaon. Sous son règne, il fit enlever les noms d’Akhenaton, de
Toutankhamon et d’Ayé de la liste des pharaons, peut-être pour des
raisons personnelles. Nous n’en savons pas beaucoup plus...
Oui mais voilà, que toutes ces hypothèses soient erronées. En effet,
Les résultats d’un scanner effectués sur la momie de Toutankhamon
indiquent que l’enfant-roi n’est pas mort assassiné mais pourrait avoir
succombé à une sur-infection due à une fracture de la jambe peu avant
sa mort, rappelons-le, à l’âge de 19 ans.
Zahi Hawass a présenté les résultats de ces examens environ deux mois après qu’ils ont été réalisés sur la momie.
Hawass a précisé que les restes de Toutankhamon, qui a régné il y 3.300
ans, ne présentent apparemment aucun signe qu’il a été tué.
« En
réponse aux théories selon lesquelles Toutankhamon a été assassiné,
l’équipe n’a trouve aucune preuve d'un coup porté à l’arrière de la
tête et aucune autre indication d’un autre coup tordu », selon le communiqué publié le Mardi 8 Mars 2005 par le Gouvernement Egyptien.« Cette
équipe a également déterminé qu’il est hautement improbable qu’il ait
eu un accident au cours duquel il a eu la poitrine écrasée. »
Selon Hawass, certains membres de l’équipe parmi lesquels figurent deux
experts italiens et un expert suisse, ont interprété la fracture du
fémur gauche de Toutankhamon comme la preuve que le pharaon a souffert
de cette vilaine fracture peu avant sa mort.
« Bien
que la fracture elle-même n’ait pas été une menace pour sa vie,
l’infection s’y est installée. Toutefois, cette partie de l’équipe
estime qu’il est possible, quoique moins probable, que cette fracture
ait été causée par les embaumeurs. », souligne le communiqué.
Au total, quelque 1700 images ont été prises de la momie au cours de
cet examen au scanner qui a duré 15 minutes et qui visait à élucider
plusieurs des mystères qui entourent la vie et la mort de Toutankhamon
-y compris sur sa lignée royale, son âge exact au moment de sa mort et
la cause de cette mort.
Toutankhamon est considéré comme le 12ème
pharaon de la 18ème dynastie d’Egypte. Il a accédé au trône vers l’âge
de 8 ans et est mort vers 1323 avant Jésus-Christ.
Rita-kazem- Nombre de messages : 4254
Date d'inscription : 18/02/2010
Re: Mystères & Enigmes
La Psychanalyse
*Suite
à une pertinente remarque de Bibiboy, ce sujet m’a paru intéressant, vu
la tournure qu’avait pris le débat sur le Cerveau Humain. Alors,
commençons par un brun d’histoire…*
Le terme « psychanalyse » fait explicitement référence à l’analyse
(chimique) selon le souhait de Freud qui voulait ainsi souligner
l'analogie existant entre le chimiste décomposant un élément élaboré
pour en retrouver la substance fondamentale, et le travail du médecin
qui se doit de découvrir à travers le symptôme les notions
pulsionnelles sous-jacentes. Justement, à l’époque de Freud, cette
discipline était toute nouvelle. L’événement fondateur de ce qui va
devenir la psychanalyse a été la participation de Freud aux travaux du
neurologue Jean-Martin Charcot sur l’hystérie. La psychanalyse telle
que nous la connaissons a alors été précédée de deux phases dans les
recherches de Freud.
La première, la méthode cathartique,
consistait à mettre le patient sous hypnose pour découvrir l’origine
des symptômes hystériques. Symptômes qui, précisions-le,
disparaissaient lorsqu’on les révélait au patient à son réveil.
La seconde, l’association libre,
visait à éloigner l’utilisation de l’hypnose. Freud cherche alors à
favoriser la remémoration en invitant le patient à dire librement ce
qui lui vient à l’esprit, et en travaillant sur les chaînes
associatives. « Procédé pénible et épuisant à la longue », observe-t-il
dans les Cinq leçons sur la psychanalyse, « qui ne pouvait
s'imposer comme une technique définitive ». Puis arriva le nazisme et
Hitler, qui l’obligèrent à quitter Vienne pour s’installer à Londres.
Il laissa petit à petit tomber la technique de l’hypnose et, vous
l’aurez compris, c’est en partie le « père » de la psychanalyse moderne…
Eh bien maintenant que le fond est « globalement » connu, penchons-nous sur son fonctionnement actuel…
Le fait de communiquer avec quelqu'un qui vous écoute fait toujours du bien.
Mais dans le cas d’une psychanalyse, les séances peuvent être très
pénibles pour celui qui suit la thérapie car nombre d’engrammes peuvent
être restimulés sans jamais être effacés. Ce qui explique pourquoi
certaines psychanalyses dureront des années, voire tout une vie,
parfois sans apporter le soulagement que procurerait l’effacement d’un
seul engramme (ce qui peut se faire en une ou deux heures, grâce à
l’audition). Si vous avez une écharde dans le doigt, préférerez-vous
que l'on vous explique comment et pourquoi cela vous est arrivé ou que
l’on vous en débarrasse ?
En clair, le fait de faire ressurgir ainsi de vieux démons peut tout
aussi bien aider à s’en débarrasser que souffrir à nouveau du souvenir
sans régler au problème…
Mais restons réalistes, actuellement, dans
une société si aseptisée, où la nature n’a plus sa place, où la pensée
même est obstruée de partout, et où l’homme détruit son morale à petit
feu, sans occupation et perdu au milieu de cette luxuriance assistée,
la psychanalyse doit bien sauvé quelques centaines de vie chaque année…
*Suite
à une pertinente remarque de Bibiboy, ce sujet m’a paru intéressant, vu
la tournure qu’avait pris le débat sur le Cerveau Humain. Alors,
commençons par un brun d’histoire…*
Le terme « psychanalyse » fait explicitement référence à l’analyse
(chimique) selon le souhait de Freud qui voulait ainsi souligner
l'analogie existant entre le chimiste décomposant un élément élaboré
pour en retrouver la substance fondamentale, et le travail du médecin
qui se doit de découvrir à travers le symptôme les notions
pulsionnelles sous-jacentes. Justement, à l’époque de Freud, cette
discipline était toute nouvelle. L’événement fondateur de ce qui va
devenir la psychanalyse a été la participation de Freud aux travaux du
neurologue Jean-Martin Charcot sur l’hystérie. La psychanalyse telle
que nous la connaissons a alors été précédée de deux phases dans les
recherches de Freud.
La première, la méthode cathartique,
consistait à mettre le patient sous hypnose pour découvrir l’origine
des symptômes hystériques. Symptômes qui, précisions-le,
disparaissaient lorsqu’on les révélait au patient à son réveil.
La seconde, l’association libre,
visait à éloigner l’utilisation de l’hypnose. Freud cherche alors à
favoriser la remémoration en invitant le patient à dire librement ce
qui lui vient à l’esprit, et en travaillant sur les chaînes
associatives. « Procédé pénible et épuisant à la longue », observe-t-il
dans les Cinq leçons sur la psychanalyse, « qui ne pouvait
s'imposer comme une technique définitive ». Puis arriva le nazisme et
Hitler, qui l’obligèrent à quitter Vienne pour s’installer à Londres.
Il laissa petit à petit tomber la technique de l’hypnose et, vous
l’aurez compris, c’est en partie le « père » de la psychanalyse moderne…
Eh bien maintenant que le fond est « globalement » connu, penchons-nous sur son fonctionnement actuel…
Le fait de communiquer avec quelqu'un qui vous écoute fait toujours du bien.
Mais dans le cas d’une psychanalyse, les séances peuvent être très
pénibles pour celui qui suit la thérapie car nombre d’engrammes peuvent
être restimulés sans jamais être effacés. Ce qui explique pourquoi
certaines psychanalyses dureront des années, voire tout une vie,
parfois sans apporter le soulagement que procurerait l’effacement d’un
seul engramme (ce qui peut se faire en une ou deux heures, grâce à
l’audition). Si vous avez une écharde dans le doigt, préférerez-vous
que l'on vous explique comment et pourquoi cela vous est arrivé ou que
l’on vous en débarrasse ?
En clair, le fait de faire ressurgir ainsi de vieux démons peut tout
aussi bien aider à s’en débarrasser que souffrir à nouveau du souvenir
sans régler au problème…
Mais restons réalistes, actuellement, dans
une société si aseptisée, où la nature n’a plus sa place, où la pensée
même est obstruée de partout, et où l’homme détruit son morale à petit
feu, sans occupation et perdu au milieu de cette luxuriance assistée,
la psychanalyse doit bien sauvé quelques centaines de vie chaque année…
Rita-kazem- Nombre de messages : 4254
Date d'inscription : 18/02/2010
La Cerveau Humain
La Cerveau Humain
Cette
semaine, discutons donc de notre cerveau et de ses mystères.
Voyez-vous, il n’y a pas plus mystérieux que nous et notre cerveau...
Allez, c’est parti, bonne lecture à vous tous !
Tout d’abord, commençons par le commencement. C’est le chirurgien Paul
Broca qui explora notre encéphale pour la première fois, en 1861. Sa
démarche ingénieuse permis la première découverte d’une zone du cerveau
-et pas n’importe laquelle- celle du langage. En effet, la dissection
du cerveau de l’un de ses patients, surnommé Tan-Tan, lui permis
d’associer cette action à une faculté mentale. Cet homme était tout à
fait normal, mais son seul handicape était qu’il ne pouvait que
prononcer « Tan-Tan ». Broca remarqua vite une lésion nette de
l’hémisphère gauche. Il en conclu que cette zone était associée au langage... Ingénieux, non ?
L’un des cobaye les plus célèbres est Kevin, un épileptique à qui, dans
les années 1860, des médecins sectionnèrent le corps calleux : une
bande de tissus nerveux qui relie les deux hémisphères du cerveau.
Non seulement le malade n’a pas guéri mais de nouveaux troubles sont
apparus. Kevin ne pouvait plus sourire sur commande que si l’on
s’adressait à son oreille droite. L’oreille gauche était incapable de
comprendre le message. Par ailleurs, le malheureux ne reconnaissait
plus les visages familiers qui se présentaient sur la partie droite de
son champ de vision.
Cette expérience peut sembler, de nos jours, assez horrible, mais «
elle est surtout née de l’ignorance ». Et elle a permis une avancée de
nos connaissances...
Maintenant, penchons-nous sur son mode de fonctionnement...
Comme vous le savez, le cerveau est composé de deux hémisphères, le
gauche et le droit. En fait, chacun d’entre eux commandent la partie du
corps qui leur est opposée. Autrement dit, les droitiers écrivent grâce
à leur hémisphère gauche par exemple...
Sans rentrer dans les détails, les hémisphères se partagent d’autres
facultés. Globalement, le droit correspond à la musique, une certaine
mémoire auditive et visuelle, etc. C’est le côté, pour retenir en un
mot, plus ou moins « artistique ». Le gauche, lui, sert à la logique,
aux calculs, et autres complexité telles que l’articulation, le
décodage des sons en parole, le sourire, etc. J’aime nommer cet
hémisphère celui de la « logique ».
Les avancées technologiques nous ont offert de nouvelles possibilités
d’explorer le cerveau. Le cerveau est exploré, comme le reste de
l'encéphale, par l'imagerie radiologique, le scanner et surtout par
l'imagerie par résonance magnétique (I.R.M.). Ces méthodes très
performantes ont supplanté l'électroencéphalographie (enregistrement de
l'activité électrique de l'encéphale), technique plus ancienne.
On a déjà localisé plus de 20 aires visuelles. Chaque zone analyse
séparément la forme, les dimensions ou la couleur de l’objet pour
reconstruire un tout cohérent.
Pour peu que l’un de ces éléments de décodage ne fonctionne pas, notre perception du monde est bouleversée.
C’est par exemple le cas des gens qui parlent et écrivent mais sont
incapables de lire, qui reconnaissent les objets mais en ignorent la
fonction. Aucun cerveau n’est tout à fait semblable à un autre. Donc,
chaque cerveau est unique. Lors de certains exercices portant sur la
compréhension des mots, les femmes mettent leurs deux hémisphères au
travail, alors que les hommes ne font appel qu’au gauche (y a rien de
mysogine là-dedans, c’est la nature qui le veut, eh oui mesdames xD ).
Penchons-nous maintenant sur le cerveau des gauchers. Contrairement à
ce qu’on pourrait penser, il n’est pas inversé par rapport aux
droitiers, non, c’est plus complexe. L’emploi d’une main plutôt qu’une
autre est lié au processus du langage. C’est l’hémisphère gauche qui
domine la lecture, l’écriture et les fonctions associées à la parole.
Or, pour 40% des gauchers, c’est l’hémisphère droit.
Le planum temporale, une petite zone liée au langage dans les deux
hémisphères, est plus développé du côté gauche chez 90% des droitiers.
Chez 70% des gauchers, il est également volumineux des deux côtés.
Par ailleurs, chez certains gauchers, le corps calleux paraît plus
épais. Ce pont de communication plus étoffé leur permet peut-être
d’échanger plus facilement et plus rapidement les informations d’un
hémisphère à l’autre.
Est-ce un hasard si beaucoup d’architectes, de champions d’escrime, de tennis ou de grands joueurs de football sont gauchers ?
Pesant chez l’homme en moyenne 1 450 grammes et contenant quelques
100 milliards de neurones et 1000 milliards de cellules gliales, le
cerveau est le siège de la pensée consciente, de la mémoire et de la
personnalité. Qu’il s’agisse de lever le petit doigt ou de résoudre une
équation, notre cerveau est aux commandes. Mais malgré toutes nos
connaissances actuelles, nous ne savons encore que peu de choses
concernant le cerveau humain et ses maladies...
Cette
semaine, discutons donc de notre cerveau et de ses mystères.
Voyez-vous, il n’y a pas plus mystérieux que nous et notre cerveau...
Allez, c’est parti, bonne lecture à vous tous !
Tout d’abord, commençons par le commencement. C’est le chirurgien Paul
Broca qui explora notre encéphale pour la première fois, en 1861. Sa
démarche ingénieuse permis la première découverte d’une zone du cerveau
-et pas n’importe laquelle- celle du langage. En effet, la dissection
du cerveau de l’un de ses patients, surnommé Tan-Tan, lui permis
d’associer cette action à une faculté mentale. Cet homme était tout à
fait normal, mais son seul handicape était qu’il ne pouvait que
prononcer « Tan-Tan ». Broca remarqua vite une lésion nette de
l’hémisphère gauche. Il en conclu que cette zone était associée au langage... Ingénieux, non ?
L’un des cobaye les plus célèbres est Kevin, un épileptique à qui, dans
les années 1860, des médecins sectionnèrent le corps calleux : une
bande de tissus nerveux qui relie les deux hémisphères du cerveau.
Non seulement le malade n’a pas guéri mais de nouveaux troubles sont
apparus. Kevin ne pouvait plus sourire sur commande que si l’on
s’adressait à son oreille droite. L’oreille gauche était incapable de
comprendre le message. Par ailleurs, le malheureux ne reconnaissait
plus les visages familiers qui se présentaient sur la partie droite de
son champ de vision.
Cette expérience peut sembler, de nos jours, assez horrible, mais «
elle est surtout née de l’ignorance ». Et elle a permis une avancée de
nos connaissances...
Maintenant, penchons-nous sur son mode de fonctionnement...
Comme vous le savez, le cerveau est composé de deux hémisphères, le
gauche et le droit. En fait, chacun d’entre eux commandent la partie du
corps qui leur est opposée. Autrement dit, les droitiers écrivent grâce
à leur hémisphère gauche par exemple...
Sans rentrer dans les détails, les hémisphères se partagent d’autres
facultés. Globalement, le droit correspond à la musique, une certaine
mémoire auditive et visuelle, etc. C’est le côté, pour retenir en un
mot, plus ou moins « artistique ». Le gauche, lui, sert à la logique,
aux calculs, et autres complexité telles que l’articulation, le
décodage des sons en parole, le sourire, etc. J’aime nommer cet
hémisphère celui de la « logique ».
Les avancées technologiques nous ont offert de nouvelles possibilités
d’explorer le cerveau. Le cerveau est exploré, comme le reste de
l'encéphale, par l'imagerie radiologique, le scanner et surtout par
l'imagerie par résonance magnétique (I.R.M.). Ces méthodes très
performantes ont supplanté l'électroencéphalographie (enregistrement de
l'activité électrique de l'encéphale), technique plus ancienne.
On a déjà localisé plus de 20 aires visuelles. Chaque zone analyse
séparément la forme, les dimensions ou la couleur de l’objet pour
reconstruire un tout cohérent.
Pour peu que l’un de ces éléments de décodage ne fonctionne pas, notre perception du monde est bouleversée.
C’est par exemple le cas des gens qui parlent et écrivent mais sont
incapables de lire, qui reconnaissent les objets mais en ignorent la
fonction. Aucun cerveau n’est tout à fait semblable à un autre. Donc,
chaque cerveau est unique. Lors de certains exercices portant sur la
compréhension des mots, les femmes mettent leurs deux hémisphères au
travail, alors que les hommes ne font appel qu’au gauche (y a rien de
mysogine là-dedans, c’est la nature qui le veut, eh oui mesdames xD ).
Penchons-nous maintenant sur le cerveau des gauchers. Contrairement à
ce qu’on pourrait penser, il n’est pas inversé par rapport aux
droitiers, non, c’est plus complexe. L’emploi d’une main plutôt qu’une
autre est lié au processus du langage. C’est l’hémisphère gauche qui
domine la lecture, l’écriture et les fonctions associées à la parole.
Or, pour 40% des gauchers, c’est l’hémisphère droit.
Le planum temporale, une petite zone liée au langage dans les deux
hémisphères, est plus développé du côté gauche chez 90% des droitiers.
Chez 70% des gauchers, il est également volumineux des deux côtés.
Par ailleurs, chez certains gauchers, le corps calleux paraît plus
épais. Ce pont de communication plus étoffé leur permet peut-être
d’échanger plus facilement et plus rapidement les informations d’un
hémisphère à l’autre.
Est-ce un hasard si beaucoup d’architectes, de champions d’escrime, de tennis ou de grands joueurs de football sont gauchers ?
Pesant chez l’homme en moyenne 1 450 grammes et contenant quelques
100 milliards de neurones et 1000 milliards de cellules gliales, le
cerveau est le siège de la pensée consciente, de la mémoire et de la
personnalité. Qu’il s’agisse de lever le petit doigt ou de résoudre une
équation, notre cerveau est aux commandes. Mais malgré toutes nos
connaissances actuelles, nous ne savons encore que peu de choses
concernant le cerveau humain et ses maladies...
Rita-kazem- Nombre de messages : 4254
Date d'inscription : 18/02/2010
La Bibliothèque d'Alexandrie
La Bibliothèque d'Alexandrie
Ah,
mais c’est un sujet bien intéressant que nous propose notre ami tant
détesté Keepers (ironie) ! La Bibliothèque d’Alexandrie... Mythe ou
Réalité ? Il faut avouer, que contrairement à certains préjugés, le
mystère n’est plus si trouble : Réalité ! L’actuelle est d’ailleurs
construite sur l’emplacement de l’ancienne... Ce qui reste à découvrir,
c’est la cause de sa destruction. On connaît à peu près l’époque, mais
les raisons... On trouve cependant de bonnes hypothèses sur un autre
ami, Wiki ! Donc, pour pas m’fouler, j’vous fais un copier/coller que
je corrigerai par-ci par-là. Ça vous va ? Ok, tant mieux, on est parti
! On commence donc avec le commencement...
Alexandrie (qui nous vient tout droit, rappelons-le, d’Alexandre le
Grand, à qui appartenait, comme nombre d’autres contrées, l’Egypte, et
qui créa plusieurs « Alexandries
») était un centre culturel que tout le pourtour méditerranéen
chérissait. Les égyptiens pouvaient donc en être fiers. Et sa
Bibliothèque était de loin le lieu qui reflétait le plus cette
culture...
En -288, Ptolémée Ier, qui avait reçu en héritage l’Egypte à la mort du
roi, construit un musée abritant une université, une académie et la
fameuse Bibliothèque (estimée à 700 000 volumes au temps de César).
Ensuite il demanda dans chacun des pays connus à ce qu’on lui envoie
les œuvres de tous types d’auteurs, qu’il faisait traduire en grec.
Comme la ville était un port, il demanda aussi à tous les navires qui
faisaient escale à Alexandrie de permettre que les livres contenus à
bord soient recopiés et traduits. La copie était remise au navire, et
l’original conservé par la bibliothèque. Le musée devint un centre
académique de hautes recherches où les savants étaient défrayés par le
prince et où ils trouvaient les instruments, collections, jardins
zoologiques et botaniques nécessaires à leurs travaux. Brave Ptolémée,
oui, vous l’aurez compris, c’est lui le fondateur de cette mythique
Bibliothèque, si complète et parfaite...
La traduction en grec de tous ces ouvrages fut un travail colossal qui
mobilisa la plupart des intellectuels et savants de chaque pays ; il
fallait que ces hommes maitrisent à la perfection leur propre langue
ainsi que le grec. La Bibliothèque fut d’ailleurs dirigé par de grands
érudits de l’époque. On peut citer, comme marques de l’histoire de la
Bibliothèque, la Septante, un groupe d’érudits issus du courant
philosophique du même nom, qui traduisirent lAncien Testament. La
légende de la Septante dit que six représentants de chaque tribu juive
s’enfermèrent sur l’île de Pharos pour accomplir cette traduction. Ils
étaient donc 72 rabbins et ils auraient exécuté la traduction en 72
jours...
Il y eu donc eu un Ptolémée II qui se consacra également en partie à
cette bibliothèque, des professeurs renommés dans toute l’Europe
Méditerranéenne, etc.
Oui mais voilà ! Tout à une fin, et celle de la Bibliothèque, Ô combien
regrettée, n’est pas certaine. On ne pourra donc qu’émettre les
hypothèses suivantes...
À la fin de la guerre civile entre César et Pompée, après la
bataille de Pharsale en -48, César, vainqueur, pourchassa son rival
jusqu’à Alexandrie où il le trouva assassiné sur ordre du jeune
Ptolémée XIII. Une guerre s’engagea alors entre Ptolémée et César, ce
dernier voulant venger le sort réservé à Pompée. Le général romain
sortit vainqueur de l’affrontement, et détrôna le jeune souverain au
profit de Cléopâtre VII et du plus jeune de ses frères. En -47, les
troupes de Jules César incendient la flotte d’Alexandrie ; le feu se
serait propagé aux entrepôts et aurait détruit une partie de la
bibliothèque. Cet incendie et les différents affrontement (antérieurs
ou postérieurs) aurait mené à la perte d'environ 40 000 à 70 000
rouleaux dans un entrepôt à côté du port (et non pas dans la
bibliothèque elle-même !).
Les tensions croissantes entre le pouvoir impérial romain paganiste (religion païenne, c’est-à-dire ni chrétienne ni juive) et l’influence religieuse et politique grandissante des chrétiens
a suscité des affrontements qui se sont traduits, par exemple, par
l’Édit de Théodose en 391 ordonnant, entre autres, la destruction des
temples païens. L’hypothèse avancée par certains auteurs est que la
bibliothèque d’Alexandrie aurait finalement disparu au cours de ces
différents affrontements.
La dernière hypothèse impute la destruction de la bibliothèque
au calife Omar qui aurait donné en 642 l’ordre de détruire la
bibliothèque à son chef militaire ‘Amr Ibn al-‘As. Cette dernière
hypothèse continue de faire l’objet d’une forte controverse, certains
la soutenant, d’autres la rejetant. Plusieurs données archéologiques
récentes semblent infirmer de manière sérieuse cette hypothèse car on
sait maintenant que la bibliothèque n’existait plus depuis au plus tôt
le IVe siècle. La conquête arabe (Grand Djihad) n’est donc sûrement pas la cause de la destruction de la Bibliothèque d’Alexandrie.
Bref, la Bibliothèque a existé, et a été détruite. Mais la question reste : « de quelle manière ? ».
Dans le cadre d’un projet conduit conjointement par l’Unesco et l’Égypte, la bibliothèque du monde méditerranéen, la Bibliotheca Alexandrina
a été construite approximativement à l’emplacement de l’édifice antique
de la Bibliothèque d’Alexandrie. Vous pourrez donc aller consulter
quelques ouvrages et frimer auprès de vos potes en disant « eh ouaip
les mioches, moi, j’ai visité la Mythique Bibliothèque d’Alexandrie !
». Cette grande bibliothèque, qui est censée pouvoir accueillir 5
millions d’ouvrages, à commencer à être construite en 1995, a été
inaugurée en 2002, et à coûté 220 millions de dollars.
Ah,
mais c’est un sujet bien intéressant que nous propose notre ami tant
détesté Keepers (ironie) ! La Bibliothèque d’Alexandrie... Mythe ou
Réalité ? Il faut avouer, que contrairement à certains préjugés, le
mystère n’est plus si trouble : Réalité ! L’actuelle est d’ailleurs
construite sur l’emplacement de l’ancienne... Ce qui reste à découvrir,
c’est la cause de sa destruction. On connaît à peu près l’époque, mais
les raisons... On trouve cependant de bonnes hypothèses sur un autre
ami, Wiki ! Donc, pour pas m’fouler, j’vous fais un copier/coller que
je corrigerai par-ci par-là. Ça vous va ? Ok, tant mieux, on est parti
! On commence donc avec le commencement...
Alexandrie (qui nous vient tout droit, rappelons-le, d’Alexandre le
Grand, à qui appartenait, comme nombre d’autres contrées, l’Egypte, et
qui créa plusieurs « Alexandries
») était un centre culturel que tout le pourtour méditerranéen
chérissait. Les égyptiens pouvaient donc en être fiers. Et sa
Bibliothèque était de loin le lieu qui reflétait le plus cette
culture...
En -288, Ptolémée Ier, qui avait reçu en héritage l’Egypte à la mort du
roi, construit un musée abritant une université, une académie et la
fameuse Bibliothèque (estimée à 700 000 volumes au temps de César).
Ensuite il demanda dans chacun des pays connus à ce qu’on lui envoie
les œuvres de tous types d’auteurs, qu’il faisait traduire en grec.
Comme la ville était un port, il demanda aussi à tous les navires qui
faisaient escale à Alexandrie de permettre que les livres contenus à
bord soient recopiés et traduits. La copie était remise au navire, et
l’original conservé par la bibliothèque. Le musée devint un centre
académique de hautes recherches où les savants étaient défrayés par le
prince et où ils trouvaient les instruments, collections, jardins
zoologiques et botaniques nécessaires à leurs travaux. Brave Ptolémée,
oui, vous l’aurez compris, c’est lui le fondateur de cette mythique
Bibliothèque, si complète et parfaite...
La traduction en grec de tous ces ouvrages fut un travail colossal qui
mobilisa la plupart des intellectuels et savants de chaque pays ; il
fallait que ces hommes maitrisent à la perfection leur propre langue
ainsi que le grec. La Bibliothèque fut d’ailleurs dirigé par de grands
érudits de l’époque. On peut citer, comme marques de l’histoire de la
Bibliothèque, la Septante, un groupe d’érudits issus du courant
philosophique du même nom, qui traduisirent lAncien Testament. La
légende de la Septante dit que six représentants de chaque tribu juive
s’enfermèrent sur l’île de Pharos pour accomplir cette traduction. Ils
étaient donc 72 rabbins et ils auraient exécuté la traduction en 72
jours...
Il y eu donc eu un Ptolémée II qui se consacra également en partie à
cette bibliothèque, des professeurs renommés dans toute l’Europe
Méditerranéenne, etc.
Oui mais voilà ! Tout à une fin, et celle de la Bibliothèque, Ô combien
regrettée, n’est pas certaine. On ne pourra donc qu’émettre les
hypothèses suivantes...
bataille de Pharsale en -48, César, vainqueur, pourchassa son rival
jusqu’à Alexandrie où il le trouva assassiné sur ordre du jeune
Ptolémée XIII. Une guerre s’engagea alors entre Ptolémée et César, ce
dernier voulant venger le sort réservé à Pompée. Le général romain
sortit vainqueur de l’affrontement, et détrôna le jeune souverain au
profit de Cléopâtre VII et du plus jeune de ses frères. En -47, les
troupes de Jules César incendient la flotte d’Alexandrie ; le feu se
serait propagé aux entrepôts et aurait détruit une partie de la
bibliothèque. Cet incendie et les différents affrontement (antérieurs
ou postérieurs) aurait mené à la perte d'environ 40 000 à 70 000
rouleaux dans un entrepôt à côté du port (et non pas dans la
bibliothèque elle-même !).
a suscité des affrontements qui se sont traduits, par exemple, par
l’Édit de Théodose en 391 ordonnant, entre autres, la destruction des
temples païens. L’hypothèse avancée par certains auteurs est que la
bibliothèque d’Alexandrie aurait finalement disparu au cours de ces
différents affrontements.
au calife Omar qui aurait donné en 642 l’ordre de détruire la
bibliothèque à son chef militaire ‘Amr Ibn al-‘As. Cette dernière
hypothèse continue de faire l’objet d’une forte controverse, certains
la soutenant, d’autres la rejetant. Plusieurs données archéologiques
récentes semblent infirmer de manière sérieuse cette hypothèse car on
sait maintenant que la bibliothèque n’existait plus depuis au plus tôt
le IVe siècle. La conquête arabe (Grand Djihad) n’est donc sûrement pas la cause de la destruction de la Bibliothèque d’Alexandrie.
Bref, la Bibliothèque a existé, et a été détruite. Mais la question reste : « de quelle manière ? ».
Dans le cadre d’un projet conduit conjointement par l’Unesco et l’Égypte, la bibliothèque du monde méditerranéen, la Bibliotheca Alexandrina
a été construite approximativement à l’emplacement de l’édifice antique
de la Bibliothèque d’Alexandrie. Vous pourrez donc aller consulter
quelques ouvrages et frimer auprès de vos potes en disant « eh ouaip
les mioches, moi, j’ai visité la Mythique Bibliothèque d’Alexandrie !
». Cette grande bibliothèque, qui est censée pouvoir accueillir 5
millions d’ouvrages, à commencer à être construite en 1995, a été
inaugurée en 2002, et à coûté 220 millions de dollars.
Rita-kazem- Nombre de messages : 4254
Date d'inscription : 18/02/2010
La Pyramide de Khéops
La Pyramide de Khéops
Depuis
l’antiquité grecque, l’humanité n’a cessé de se poser des questions sur
cette unique survivante des sept merveilles du monde. À quelle fin
fut-elle construite ? Si c’est un tombeau, pourquoi n’y a-t-on jamais
trouvé ni symboles, ni attributs royaux, ni surtout une momie royale ?
Et comment fut-elle édifiée ? Étant donné les techniques des bâtisseurs
de l’époque, comment expliquer l’admirable précision de sa
construction, son orientation presque parfaite par rapport aux quatre
points cardinaux ? Si, dans sa conception même, la Grande Pyramide
matérialise des notions mathématiques et astronomiques complexes,
comment ses constructeurs ont-ils acquis ces connaissances tellement en
avance sur les autres civilisations ? Ce monument posséderait-il des
pouvoirs surnaturels, au-delà de la science ? Si les archéologues
s’intéressent à cet édifice d’un strict point de vue historique, les
autres chercheurs peuvent généralement se classer en trois écoles de
pensées. La première, et la plus répandue, affirme que la pyramide de
Kheops représente un système universel de mesures et que ses dimensions
mêmes immortalisent des archétypes d’unités de longueur, voire du
temps. La deuxième école considère la pyramide essentiellement comme un
gigantesque cadran solaire et comme un observatoire astronomique.
Enfin, la troisième école, plus aventureuse, spécule que la forme
pyramidale pourrait mystérieusement contribuer à la croissance des
plantes, prolonger la conservation des aliments et même affûter les
lames de rasoir usées.
Énigmatique et majestueuse, la pyramide de Khéops surgit du plateau de
Gizeh, à une quinzaine de kilomètre du Caire. Les chiffres ne peuvent
donner qu’une faible idée de sa taille gigantesque : 5 hectares de
surface à la base, 2,3 millions de blocs de calcaire, en moyenne de 2,5
tonnes chacun. La Grande pyramide et les autres qui se dressent à
proximité sur le plateau furent construites au cours de la période
égyptienne dite de la IVème Dynastie, entre 2613 et 2494 avant notre
ère
Le premier à avoir étudié la pyramide fut l’historien grec Hérodote. Il
se rendit à Gizeh, au Vème siècle avant notre ère, la pyramide avait
alors déjà deux mille ans, et il décrivit la construction d’après ses
entretiens, sur place, avec des égyptiens. Il ne put pénétrer à
l’intérieur (l’entrée était cachée). Ce n’est qu’en l’an 820 qu’un
Arabe, Al-Mamum, trouva l’entrée de la pyramide. Après avoir pénétré la
pyramide, lui et son équipe furent arrêté par des blocs de granite. Ils
percèrent les blocs voisins de calcaire plus tendre. Ils se trouvèrent
dans un couloir montant et fort bas, que coupait, en haut, un passage
horizontal. Après avoir visité la pyramide, ils ne trouvèrent qu’un
sarcophage vide dans la chambre du Roi. Ou bien ce sarcophage vide
était tout ce que cette chambre eût jamais contenu, ou bien des voleurs
l’avaient pillée depuis longtemps. Mais, s’ils s’étaient introduits
aussi avant dans la pyramide, comment avaient-ils fait pour franchir
les blocs de granite ?
Les Mystères égyptiens sont nombreux... Et pour l’instant sans réponses...
Depuis
l’antiquité grecque, l’humanité n’a cessé de se poser des questions sur
cette unique survivante des sept merveilles du monde. À quelle fin
fut-elle construite ? Si c’est un tombeau, pourquoi n’y a-t-on jamais
trouvé ni symboles, ni attributs royaux, ni surtout une momie royale ?
Et comment fut-elle édifiée ? Étant donné les techniques des bâtisseurs
de l’époque, comment expliquer l’admirable précision de sa
construction, son orientation presque parfaite par rapport aux quatre
points cardinaux ? Si, dans sa conception même, la Grande Pyramide
matérialise des notions mathématiques et astronomiques complexes,
comment ses constructeurs ont-ils acquis ces connaissances tellement en
avance sur les autres civilisations ? Ce monument posséderait-il des
pouvoirs surnaturels, au-delà de la science ? Si les archéologues
s’intéressent à cet édifice d’un strict point de vue historique, les
autres chercheurs peuvent généralement se classer en trois écoles de
pensées. La première, et la plus répandue, affirme que la pyramide de
Kheops représente un système universel de mesures et que ses dimensions
mêmes immortalisent des archétypes d’unités de longueur, voire du
temps. La deuxième école considère la pyramide essentiellement comme un
gigantesque cadran solaire et comme un observatoire astronomique.
Enfin, la troisième école, plus aventureuse, spécule que la forme
pyramidale pourrait mystérieusement contribuer à la croissance des
plantes, prolonger la conservation des aliments et même affûter les
lames de rasoir usées.
Énigmatique et majestueuse, la pyramide de Khéops surgit du plateau de
Gizeh, à une quinzaine de kilomètre du Caire. Les chiffres ne peuvent
donner qu’une faible idée de sa taille gigantesque : 5 hectares de
surface à la base, 2,3 millions de blocs de calcaire, en moyenne de 2,5
tonnes chacun. La Grande pyramide et les autres qui se dressent à
proximité sur le plateau furent construites au cours de la période
égyptienne dite de la IVème Dynastie, entre 2613 et 2494 avant notre
ère
Le premier à avoir étudié la pyramide fut l’historien grec Hérodote. Il
se rendit à Gizeh, au Vème siècle avant notre ère, la pyramide avait
alors déjà deux mille ans, et il décrivit la construction d’après ses
entretiens, sur place, avec des égyptiens. Il ne put pénétrer à
l’intérieur (l’entrée était cachée). Ce n’est qu’en l’an 820 qu’un
Arabe, Al-Mamum, trouva l’entrée de la pyramide. Après avoir pénétré la
pyramide, lui et son équipe furent arrêté par des blocs de granite. Ils
percèrent les blocs voisins de calcaire plus tendre. Ils se trouvèrent
dans un couloir montant et fort bas, que coupait, en haut, un passage
horizontal. Après avoir visité la pyramide, ils ne trouvèrent qu’un
sarcophage vide dans la chambre du Roi. Ou bien ce sarcophage vide
était tout ce que cette chambre eût jamais contenu, ou bien des voleurs
l’avaient pillée depuis longtemps. Mais, s’ils s’étaient introduits
aussi avant dans la pyramide, comment avaient-ils fait pour franchir
les blocs de granite ?
Les Mystères égyptiens sont nombreux... Et pour l’instant sans réponses...
Rita-kazem- Nombre de messages : 4254
Date d'inscription : 18/02/2010
Malédiction de Toutankhamon
La Malédiction de Toutankhamon
« La Mort touchera de ses Ailes celui qui dérangera le Pharaon
». Cette inscription, découverte à l’intérieur du tombeau de
Toutankhamon prend une singulière résonance lorsque l’on connaît le
sort de ceux qui « violèrent » ce tombeau. Mais y a-t-il vraiment
relation de cause à effet entre ce viol et ce sort ?
Pour se faire une opinion, le mieux est de retracer l’histoire de la
découverte de ce tombeau. Une trentaine de cercueils et vingt quatre
momies provenant de trois dynasties de pharaons égyptiens ont été mis à
jour. Les fouilles ont parfois suscité quelques réactions de la part de
la population. Ainsi, à Louxor, au moment où des trésors étaient
chargés sur un bateau, une procession de femmes arabes est arrivée, en
gémissant et en hurlant. Dans leur mélopée, un mot revenait
continuellement : « Malédiction... »
Cependant, Lord Carnavon a un autre soucis : il a été piqué au cou par
un moustique. Cette piqûre a entraîné une forte démangeaison, puis une
enflure. Il a conscience de la gravité du mal. Sa santé, à la suite
d’un accident de voiture, est demeurée précaire. « J’ai entendu
l’appel, je suis prêt. » déclara-t-il. Bientôt une congestion
pulmonaire se déclare. Et dans la nuit du 4 au 5 avril 1923, Lord
Carnavon agonise dans une chambre de l’hôtel Continental du Caire. Une
nouvelle fois, il dit : « C'est fini, j’ai entendu l’appel et je me
prépare ! ».
Presque au même instant, la lumière s’éteint dans la chambre, et
d’ailleurs dans tout l’hôtel. L’infirmière qui veillait Carnavon va
chercher des bougies ; lorsqu'elle revient, le découvreur de
Toutankhamon est mort. La légende de la malédiction du pharaon est née.
Les événements ont donné raison aux prédictions des Fellahs. Ainsi se
trouvent réalisées les menaces des grands prêtres égyptiens contre les
profanateurs de momies. On sait aujourd’hui que Toutankhamon était un
pharaon de la dix-huitième dynastie, mort très jeune. Les objets d’art
trouvés dans son tombeau sont au musée du Caire. On a rapporté qu’un
ministre égyptien, voulant enquêter sur cette énigme, s’est rendu au
tombeau, en compagnie d’un charmeur de serpents. Mais l’on peut leur
opposer une liste de personnes mêlées à la découverte de Toutankhamon,
et dont la mort, survenue parfois à un âge très avancé, n’a rien
d’énigmatique. Il faut cependant remarquer que des égyptologues sont
morts de façon mystérieuse avant comme après les fouilles de Carter et
Carnavon. En 1823, l’archéologue italien Giovanni-Battista Belzoni, le
découvreur du tombeau de Séthi 1er, se trouve en Afrique occidentale
lorsqu'il est pris de violentes fièvres. Peut-être s’agissait-il
seulement de paludisme...
De nombreuses hypothèses ont été avancées pour expliquer ces morts mystérieuses.
La forme pyramidale des Pyramides (d’où leur nom… ) aurait pour
effet d’accumuler de l’énergie, et, par suite, d’entraîner des visions
d’horreur chez les « violateurs », voire leur mort.
On a également supposé une prétendue découverte de la
radioactivité par les Egyptiens. Certes, les connaissances des
Egyptiens étaient importantes dans de nombreux domaines, mais rien ne
prouve qu’ils connaissaient la radioactivité. D’ailleurs, les
égyptologues morts mystérieusement n’ont jamais présenté les signes de
la radiodermite, maladie due aux radiations.
Plus convaincante serait la culpabilité de la fièvre « Q »,
maladie aux formes variées, qui sévit dans les pays d’Orient, et qui
est due à une rickettsie, organisme intermédiaire entre les bactéries
et les virus. Les poussières ont été mises en cause : abondantes dans
les nécropoles, elles peuvent irriter la peau ou la gorge, et être
dangereuses pour les personnes aux voies respiratoires déjà fragiles :
c’était le cas de Carnavon. Cette maladie rare, qui tue lentement,
pourrait être transmise par les excréments des chauves-souris habitant
les cavernes. Mais jamais aucune chauve-souris n’a été vue dans le
tombeau de Toutankhamon qui était, nous le savons, hermétiquement fermé
depuis des milliers d’années.
En fait, nous l’avons constaté, les décès imputés à la prétendue
malédiction sont trop différents pour être attribués à une cause unique
et mystérieuse.
« La Mort touchera de ses Ailes celui qui dérangera le Pharaon
». Cette inscription, découverte à l’intérieur du tombeau de
Toutankhamon prend une singulière résonance lorsque l’on connaît le
sort de ceux qui « violèrent » ce tombeau. Mais y a-t-il vraiment
relation de cause à effet entre ce viol et ce sort ?
Pour se faire une opinion, le mieux est de retracer l’histoire de la
découverte de ce tombeau. Une trentaine de cercueils et vingt quatre
momies provenant de trois dynasties de pharaons égyptiens ont été mis à
jour. Les fouilles ont parfois suscité quelques réactions de la part de
la population. Ainsi, à Louxor, au moment où des trésors étaient
chargés sur un bateau, une procession de femmes arabes est arrivée, en
gémissant et en hurlant. Dans leur mélopée, un mot revenait
continuellement : « Malédiction... »
Cependant, Lord Carnavon a un autre soucis : il a été piqué au cou par
un moustique. Cette piqûre a entraîné une forte démangeaison, puis une
enflure. Il a conscience de la gravité du mal. Sa santé, à la suite
d’un accident de voiture, est demeurée précaire. « J’ai entendu
l’appel, je suis prêt. » déclara-t-il. Bientôt une congestion
pulmonaire se déclare. Et dans la nuit du 4 au 5 avril 1923, Lord
Carnavon agonise dans une chambre de l’hôtel Continental du Caire. Une
nouvelle fois, il dit : « C'est fini, j’ai entendu l’appel et je me
prépare ! ».
Presque au même instant, la lumière s’éteint dans la chambre, et
d’ailleurs dans tout l’hôtel. L’infirmière qui veillait Carnavon va
chercher des bougies ; lorsqu'elle revient, le découvreur de
Toutankhamon est mort. La légende de la malédiction du pharaon est née.
Les événements ont donné raison aux prédictions des Fellahs. Ainsi se
trouvent réalisées les menaces des grands prêtres égyptiens contre les
profanateurs de momies. On sait aujourd’hui que Toutankhamon était un
pharaon de la dix-huitième dynastie, mort très jeune. Les objets d’art
trouvés dans son tombeau sont au musée du Caire. On a rapporté qu’un
ministre égyptien, voulant enquêter sur cette énigme, s’est rendu au
tombeau, en compagnie d’un charmeur de serpents. Mais l’on peut leur
opposer une liste de personnes mêlées à la découverte de Toutankhamon,
et dont la mort, survenue parfois à un âge très avancé, n’a rien
d’énigmatique. Il faut cependant remarquer que des égyptologues sont
morts de façon mystérieuse avant comme après les fouilles de Carter et
Carnavon. En 1823, l’archéologue italien Giovanni-Battista Belzoni, le
découvreur du tombeau de Séthi 1er, se trouve en Afrique occidentale
lorsqu'il est pris de violentes fièvres. Peut-être s’agissait-il
seulement de paludisme...
De nombreuses hypothèses ont été avancées pour expliquer ces morts mystérieuses.
effet d’accumuler de l’énergie, et, par suite, d’entraîner des visions
d’horreur chez les « violateurs », voire leur mort.
radioactivité par les Egyptiens. Certes, les connaissances des
Egyptiens étaient importantes dans de nombreux domaines, mais rien ne
prouve qu’ils connaissaient la radioactivité. D’ailleurs, les
égyptologues morts mystérieusement n’ont jamais présenté les signes de
la radiodermite, maladie due aux radiations.
maladie aux formes variées, qui sévit dans les pays d’Orient, et qui
est due à une rickettsie, organisme intermédiaire entre les bactéries
et les virus. Les poussières ont été mises en cause : abondantes dans
les nécropoles, elles peuvent irriter la peau ou la gorge, et être
dangereuses pour les personnes aux voies respiratoires déjà fragiles :
c’était le cas de Carnavon. Cette maladie rare, qui tue lentement,
pourrait être transmise par les excréments des chauves-souris habitant
les cavernes. Mais jamais aucune chauve-souris n’a été vue dans le
tombeau de Toutankhamon qui était, nous le savons, hermétiquement fermé
depuis des milliers d’années.
En fait, nous l’avons constaté, les décès imputés à la prétendue
malédiction sont trop différents pour être attribués à une cause unique
et mystérieuse.
Rita-kazem- Nombre de messages : 4254
Date d'inscription : 18/02/2010
Géants...
Des Géants...
Des
calculs montrent que la gravité à la surface au temps des dinosaures
étaient environ la moitié de celle d’aujourd’hui. C’est pourquoi, sans
doute, les dinosaures étaient plus grands, plus longs, plus lourds… La
gravité à la surface a constamment augmenté dans le temps.
Magazine, Nexus, No 12, 01-02/2001.
A Gargayan, dans la province nord des Philippines, on a trouvé le
squelette d’un géant qui ne mesurait pas moins de 5,18 m. Ses incisives
avaient 7,5 cm de longueur et 5 cm de largeur.
…
Des ossements appartenant à d’autres humains grands de 3 mètres ont
été découverts dans le Sud Est de la Chine. Le Dr Pei Wen Chung,
paléontologiste de renommée mondiale, affirme que ces restes datent de
300 000 ans.
Livre, Histoire inconnue des hommes, Robert Charroux, Ed. J'Ai Lu.
Le Dr C.N. Dougherty a irréfutablement démontré qu’on a trouvé dans
la vallée des Géants, au Texas, des centaines de traces de sauriens de
différentes espèces et, dans chaque cas, ces empreintes
s’accompagnaient de traces géantes de pas humains.
…
Un archéologue australien, le Dr Rex Gilroy, directeur du Mount York
Natural History Museum, a tout récemment découvert à Mount Victoria des
empreintes fossiles de pieds de géant dont l'authenticité ne saurait
être mise en doute.
Livre, Mes preuves, cinq continents témoignent, Erich Von Däniken.
Le Docteur Louis Burkhalter, qui représentait autrefois la France
dans les congrès de préhistoire écrivait en 1950 dans la « Revue du
Muée de Beyrouth » : « Nous montrerons clairement que l’existence d’une
race d’hommes gigantesques dans la période achenléenne doit être
considérée dés à présent comme prouvée scientifiquement. » Trois
découvertes au moins indiquent l’existence dans le passé d’une race de
géants :
Le géant de Java.
Le géant de la Chine du Sud.
Le géant du Transvaal.
Livre, Vers un retour aux étoiles, Erich Von Däniken, Ed. J'Ai Lu.
Découverte de débris d’os d’Hommes de stature gigantesque. Un, au
Transvaal, un dans la Chine du sud et un à Java. Des traditions
péruviennes font état de manière assez détaillées d’une race de géants,
les Huaris, qui auraient bâti un grand nombre de constructions
cyclopéennes réparties un peu partout dans la région andine.
Magazine, Monde Inconnu (Le), No 67, 12/1985, Les Géants, Serge Hutin.
Des traces de civilisations perdues dans Death Valley apparurent dans un rapport du Nevada Hot Citizen, le 5 août 1947.
Des archéologues amateurs déclarent aujourd’hui avoir découvert, dans
des cavernes de Californie, une civilisation perdue d’humains de neuf
pieds de haut (2 m 74). Des ustensiles d’une culture vieille de 80000
ans (sous certains aspects plus avancées que la nôtre) ont été trouvés.
La caverne avait été découvert par un physicien de Beverly Hills, Bruce
Russel en 1931.
Ont été découverts côte à côte « les restes bien conservés de
dinosaures, de Smilodons (félins à grandes canines), d’éléphants
impériaux et autres animaux éteints étaient exposés par paire dans des
niches. » On y découvrit des articles ménagers, des fours qui
apparemment fonctionnaient avec des ondes radio.
Magazine, Nexus, No 12, 01-02/2001.
Un géant fossilisé a été mentionné dans le magazine Strand de 1895.
Son corps faisait 3,70 mètres. Il avait été découvert au cours
d’opérations minières dans le comté d’Antrim, en Irlande.
Magazine, Nexus, No 17, 11-12/2001, Les géants ont bel et bien existé, John Mount.
Dans certaines cavernes du Tibet, des ossements humains gigantesques ont été retrouvés.
Livre, J'ai vécu sur deux planètes, Phylos, Ed. Robert Laffont.
Des empreintes d’humains gigantesques ou de squelettes de plus de
six mètres de long ont été découverts lors de fouilles archéologiques.
Livre, Famille de Lumières, Barbara Marciniak, Ed. Ariane.
Les géants furent les premiers constructeurs de cités cyclopéennes dont les vestiges existent encore sur l’île de Pâques.
Magazine, Monde Inconnu (Le), No 31, 07-08/1982, Michel Coquet.
L’édification de cités géantes et le transport de monolithes pesant
des milliers de tonnes -à Machu Pichu, à Ba’albeck, à Gizeh, etc...-
trouvent une explication, à la fois dans la force titanesque des hommes
et dans l’utilisation de leurs connaissances scientifiques.
Dans la province d’Agadir, on aurait mis au jour un atelier d’outils
préhistoriques vieux également de 3000 siècles. Parmi d’autres objets,
il y avait des bifaces qu’on employait à la main. Or ces bifaces pèsent
8 kg et leur préhension exige un écartement de doigts qui n’est
possible qu’à un géant d’au moins 4 mètres.
Livre, Histoire inconnue des hommes depuis cent mille ans, Robert Charroux, Ed. J’Ai Lu.
Dans le passé, longtemps avant que l'histoire n'ait été relatée, des
géants marchaient sur la terre. Ils étaient les jardiniers de la terre,
ceux qui viennent ici pour superviser le développement de la vie sur
cette planète.
La race des géants n'était pas faite pour la vie terrestre, et c'est
pourquoi, grâce à des moyens magiques, la taille de ces êtres diminua
jusqu'à rejoindre celle des humains, et ainsi ils furent en mesure de
se méler à eux sans être reconnus comme étant les jardiniers.
Livre, C’était ainsi, T. Lobsang Rampa, Ed. J’Ai Lu.
Avant la première destruction de l’Atlantide, la taille variait
beaucoup, car en ce temps là, « il y avait des géants sur la Terre, des
hommes d’au moins trois ou quatre mètres, et bien proportionnés. »
(Edgar Cayce, lecture 364).
Livre, Visions de l’Atlantide, Edgar Cayce, Ed. J’Ai Lu.
En des temps fort anciens, la communauté galactique de notre univers
décida de créer sur Uras [la Terre] une race prodigieuse d’individus
androgynes, les Namlù'u [immenses êtres humains].
Livre, Secret des Etoiles Sombres (Le), Anton Parks, Ed. Nenki.
Voilà, j’ai jugé bon de vous présenter
toutes ces découvertes, cachées ou pas, mais étranges pour sûr. Est-ce
réellement possible ? Bien que difficile à croire, il y a tant de
choses que notre raison à eu du mal à assimiler… Et vous ? Y
croyez-vous ?
Des
calculs montrent que la gravité à la surface au temps des dinosaures
étaient environ la moitié de celle d’aujourd’hui. C’est pourquoi, sans
doute, les dinosaures étaient plus grands, plus longs, plus lourds… La
gravité à la surface a constamment augmenté dans le temps.
Magazine, Nexus, No 12, 01-02/2001.
A Gargayan, dans la province nord des Philippines, on a trouvé le
squelette d’un géant qui ne mesurait pas moins de 5,18 m. Ses incisives
avaient 7,5 cm de longueur et 5 cm de largeur.
…
Des ossements appartenant à d’autres humains grands de 3 mètres ont
été découverts dans le Sud Est de la Chine. Le Dr Pei Wen Chung,
paléontologiste de renommée mondiale, affirme que ces restes datent de
300 000 ans.
Livre, Histoire inconnue des hommes, Robert Charroux, Ed. J'Ai Lu.
Le Dr C.N. Dougherty a irréfutablement démontré qu’on a trouvé dans
la vallée des Géants, au Texas, des centaines de traces de sauriens de
différentes espèces et, dans chaque cas, ces empreintes
s’accompagnaient de traces géantes de pas humains.
…
Un archéologue australien, le Dr Rex Gilroy, directeur du Mount York
Natural History Museum, a tout récemment découvert à Mount Victoria des
empreintes fossiles de pieds de géant dont l'authenticité ne saurait
être mise en doute.
Livre, Mes preuves, cinq continents témoignent, Erich Von Däniken.
Le Docteur Louis Burkhalter, qui représentait autrefois la France
dans les congrès de préhistoire écrivait en 1950 dans la « Revue du
Muée de Beyrouth » : « Nous montrerons clairement que l’existence d’une
race d’hommes gigantesques dans la période achenléenne doit être
considérée dés à présent comme prouvée scientifiquement. » Trois
découvertes au moins indiquent l’existence dans le passé d’une race de
géants :
Livre, Vers un retour aux étoiles, Erich Von Däniken, Ed. J'Ai Lu.
Découverte de débris d’os d’Hommes de stature gigantesque. Un, au
Transvaal, un dans la Chine du sud et un à Java. Des traditions
péruviennes font état de manière assez détaillées d’une race de géants,
les Huaris, qui auraient bâti un grand nombre de constructions
cyclopéennes réparties un peu partout dans la région andine.
Magazine, Monde Inconnu (Le), No 67, 12/1985, Les Géants, Serge Hutin.
Des traces de civilisations perdues dans Death Valley apparurent dans un rapport du Nevada Hot Citizen, le 5 août 1947.
Des archéologues amateurs déclarent aujourd’hui avoir découvert, dans
des cavernes de Californie, une civilisation perdue d’humains de neuf
pieds de haut (2 m 74). Des ustensiles d’une culture vieille de 80000
ans (sous certains aspects plus avancées que la nôtre) ont été trouvés.
La caverne avait été découvert par un physicien de Beverly Hills, Bruce
Russel en 1931.
Ont été découverts côte à côte « les restes bien conservés de
dinosaures, de Smilodons (félins à grandes canines), d’éléphants
impériaux et autres animaux éteints étaient exposés par paire dans des
niches. » On y découvrit des articles ménagers, des fours qui
apparemment fonctionnaient avec des ondes radio.
Magazine, Nexus, No 12, 01-02/2001.
Un géant fossilisé a été mentionné dans le magazine Strand de 1895.
Son corps faisait 3,70 mètres. Il avait été découvert au cours
d’opérations minières dans le comté d’Antrim, en Irlande.
Magazine, Nexus, No 17, 11-12/2001, Les géants ont bel et bien existé, John Mount.
Dans certaines cavernes du Tibet, des ossements humains gigantesques ont été retrouvés.
Livre, J'ai vécu sur deux planètes, Phylos, Ed. Robert Laffont.
Des empreintes d’humains gigantesques ou de squelettes de plus de
six mètres de long ont été découverts lors de fouilles archéologiques.
Livre, Famille de Lumières, Barbara Marciniak, Ed. Ariane.
Les géants furent les premiers constructeurs de cités cyclopéennes dont les vestiges existent encore sur l’île de Pâques.
Magazine, Monde Inconnu (Le), No 31, 07-08/1982, Michel Coquet.
L’édification de cités géantes et le transport de monolithes pesant
des milliers de tonnes -à Machu Pichu, à Ba’albeck, à Gizeh, etc...-
trouvent une explication, à la fois dans la force titanesque des hommes
et dans l’utilisation de leurs connaissances scientifiques.
Dans la province d’Agadir, on aurait mis au jour un atelier d’outils
préhistoriques vieux également de 3000 siècles. Parmi d’autres objets,
il y avait des bifaces qu’on employait à la main. Or ces bifaces pèsent
8 kg et leur préhension exige un écartement de doigts qui n’est
possible qu’à un géant d’au moins 4 mètres.
Livre, Histoire inconnue des hommes depuis cent mille ans, Robert Charroux, Ed. J’Ai Lu.
Dans le passé, longtemps avant que l'histoire n'ait été relatée, des
géants marchaient sur la terre. Ils étaient les jardiniers de la terre,
ceux qui viennent ici pour superviser le développement de la vie sur
cette planète.
La race des géants n'était pas faite pour la vie terrestre, et c'est
pourquoi, grâce à des moyens magiques, la taille de ces êtres diminua
jusqu'à rejoindre celle des humains, et ainsi ils furent en mesure de
se méler à eux sans être reconnus comme étant les jardiniers.
Livre, C’était ainsi, T. Lobsang Rampa, Ed. J’Ai Lu.
Avant la première destruction de l’Atlantide, la taille variait
beaucoup, car en ce temps là, « il y avait des géants sur la Terre, des
hommes d’au moins trois ou quatre mètres, et bien proportionnés. »
(Edgar Cayce, lecture 364).
Livre, Visions de l’Atlantide, Edgar Cayce, Ed. J’Ai Lu.
En des temps fort anciens, la communauté galactique de notre univers
décida de créer sur Uras [la Terre] une race prodigieuse d’individus
androgynes, les Namlù'u [immenses êtres humains].
Livre, Secret des Etoiles Sombres (Le), Anton Parks, Ed. Nenki.
Voilà, j’ai jugé bon de vous présenter
toutes ces découvertes, cachées ou pas, mais étranges pour sûr. Est-ce
réellement possible ? Bien que difficile à croire, il y a tant de
choses que notre raison à eu du mal à assimiler… Et vous ? Y
croyez-vous ?
Rita-kazem- Nombre de messages : 4254
Date d'inscription : 18/02/2010
Dolmens et Menhirs
Dolmens et Menhirs
C’est
un Mystère bien vieux, mais toujours irrésolu. Tout d’abord, pour bien
comprendre le sujet, expliquons certaines différences.
Un dolmen « table de pierre » abrite une tombe « tumulus ». Les dolmens
peuvent abriter des tombes individuelles ou collectives. Ils sont
formés de plusieurs blocs fixés dans le sol et d’une dalle horizontale.
Un menhir « pierre longue » est un bloc dressé qui se présente isolé
ou, plus rarement, disposé en alignement ou en cercle. Quand plusieurs
menhirs sont disposés en cercles, on parle de « cromlechs ».
Voilà, c’est court mais ça suffit ! Maintenant, rentrons dans le vif du sujet…
Les plus vieux Dolmens datent du Néotlithique, d’il y a 5 000 ans avant
notre ère pour être précis. C’est entre 5 000 et 2 000 ans notre ère
que cette « civilisations des mégalithiques » se répand sur toute
l’Europe côtière, dont les premiers apparaissent en France et au
Portugal. Il faut se débarrasser d’une légende popularisée par la
célèbre bande dessinée « Astérix le Gaulois ». Les menhirs ne sont pas
l’œuvre des Gaulois, ni des Celtes. Même si ces derniers n’ont pas
hésité, dès leur arrivée, à utiliser les dolmens comme lieu de culte,
ceux-ci dominaient les landes bretonnes depuis plus d’un millénaire.
Mais alors, qui a érigé ses « Grandes Pierres », ou « Mégalithiques »
en grec ?
Eh bien, on pense que ce sont des peuples, peut-être légèrement
nomades, pour la plupart chasseurs ou agriculteurs, dont les croyances
et les arts ce sont croisés. Ces peuples se sont répandus de l’Espagne
jusqu’en Angleterre où arrivés au sommet de leur art, ils ont bâti le
célèbre monument de Stonehenge.
Menhirs et dolmens ont des fonctions très différentes. Le Dolmen est
une sépulture et si on trouve parfois des tombes au pied de menhirs,
elles sont le plus souvent postérieures à leur érection. Le Menhir est
un édifice commémoratif ou votif.
Concernant les dolmens, le pourquoi de leur construction semble
évident. L’emplacement des tumulus, visibles de très loin, éloignés de
tout endroit habité, permet de supposer qu’ils n’étaient pas seulement
des tombes, mais aussi le lieu du culte des ancêtres, commun à
plusieurs villages. Les habitants avaient su s’allier pour réaliser de
tels monuments.
Concernant les menhirs, la controverse n’est toujours pas terminée. La
dimension religieuse paraît actuellement l’explication la plus logique.
Seul le sentiment religieux a pu justifier des efforts aussi importants.
Cependant, il semblerait qu’il y ait un lien entre certains alignements
mégalithiques et les positions du soleil à certaines périodes de
l’année.
Carnac, « le lieu des carn », est la capitale française du
mégalithisme. On y trouve tous les types de construction. C’est au
total un rassemblement de plus de 3 000 pierres. Elles ne sont qu’une
petite partie de la construction d’origine, qui comprenait sans doute
près de 10 000 menhirs. L’ensemble s’étendait sur environ 8 km.
Actuellement, on y voit un Cromlech en demi-cercle qui ouvre celui du
Ménec, long de 1170 mètres, et composé de 11 rangées, au total 1169
Menhirs, hauts de 60 centimètres à 4 mètres. L’alignement de Kermario
se limite à 10 rangées de 1029 Menhirs, de 50 centimètres à 7 mètres de
haut, sur une longueur total de 1120 mètres. L’alignement de Kerlescan
est constitué de 13 files de 880 mètres de long qui regroupent 594
pierres hautes de 80 centimètres à 4 mètres. Il est précédé d’un
cromlech en demi-cercle.
Dans chaque alignement, les menhirs sont placés par ordre décroissant et chaque série forme un angle précis avec la précédente :
Kerlescan est orienté selon les levers de soleil à l’équinoxe.
Kermario est orienté selon le lever au solstice d’été.
Le Ménec est orienté selon les levers intermédiaires.
Certains observateurs voient dans cette disposition des dates
correspondant aux principales phases du cycle agricole, une activité
toute nouvelle pour les peuples occidentaux.
Le fait que certains menhirs isolés soient percés d’un trou a donné à
penser à certains qu’ils servaient de support calendaire et
astronomique. Ce trou pouvait servir à la visée. Cependant, ces
alignements ne servaient pas uniquement comme observatoire solaire. Les
autres astres n’ont pas été oubliés. Dans les années 1970, le
professeur A.Thom a démontré que Carnac était aussi un observatoire
lunaire. Il a déterminé que le grand menhir de Locmariaquer, haut de 23
m, est sans doute l’élément central d’un grand dispositif destiné à
prédire les éclipses. Plusieurs autres menhirs isolés, éloignés parfois
de 15 kilomètres, auraient servi de crans de mire, correspondant à des
moments extrêmes de la déclinaison lunaire.
Alors, enchaînons sur une nouvelle question… Comment ces peuples
pouvaient avoir une si grande connaissance astronomique ? Aucune
réponse connue à ce jour… Donc bah on va enchaîner sur une question où
l’on pourra un peu plus brodé si vous le voulez bien ! Heu… Bah…
Comment ont été érigés ces fantastiques monuments ? C’est-y pas une
bonne question ça ? Allez, c’est parti ! On enchaîne !
On se demande principalement comment ils ont pu traîner ces pierres de
carrières distantes de plusieurs kilomètres, sachant que ces pierres
pesaient en moyenne 1 à 2 tonnes, et que certains dépassaient de loin
ce poids.
Les expériences qui ont été faites à Bougon, sous la direction de J.P
Mohen, ont montré que quelques centaines d’hommes, armés de haches de
pierre et de bois de cerf, pouvaient parfaitement extraire une pierre
de 30 tonnes, la soulever, et, à l’aide de cordes, de troncs d’arbres,
de leviers, la traîner sur quelques kilomètres et la dresser sur le
site. 200 volontaires réussirent il y a quelques années à déplacer
ainsi un bloc de 32 tonnes. Un menhir de 4 m pèse entre 10 et 12
tonnes. Par conséquent, les équipes n’étaient pas aussi nombreuses
qu’on a pu le penser. Les hommes du Néolithique avaient surtout besoin
de cordes de très bonne qualité et de grandes quantités de bois afin de
construire des traîneaux, des rondins et des leviers.
Les théories les plus farfelues ont été émises concernant dolmens et
menhirs. Pendant longtemps les gens ont cru qu’ils avaient été édifiés
par des êtres surnaturels d’où les noms comme Pierre-des-Fées ou
Roche-aux-fées. Rabelais le rappelle dans son Gargantua. Ces monuments
avaient des pouvoirs magiques. On y accomplissait des rites pour avoir
un mari, un enfant … L’Eglise ne vit jamais d’un très bon œil ces
pratiques païennes. Elle fut d’ailleurs à l’origine de beaucoup de
destruction. Faute de pouvoir éliminer tous les sites, elle fit
sculpter des croix sur les menhirs et fit construire des chapelles
au-dessus des tumulus. Au 19e siècle, on réutilise les mégalithes et
menhirs qu’on transforme en autels druidiques. On va jusqu’à creuser
des rigoles pour le sang des sacrifices humains. Aujourd’hui encore,
certains continuent à parcourir les sites, calculatrice en main, en
attribuant dolmens et alignements aux extra-terrestres.
Enfin, il est bon de noter que les corps retrouvés dans certaines de
ces « tombes » historiques ont permis de grandement accroître nos
connaissances sur les maladies et autres problèmes de santé de
l’époque. Le cas le plus curieux est celui des trépanations. Les «
médecins » du IIe millénaire avant notre ère ont pratiqué des
opérations des os du crâne. Le trou creusé dans le pariétal existe
toujours mais un bourrelet osseux s’est formé ce qui prouve que les
opérations réussissaient souvent. N’oublions qu’au delà du fait qu’ils
savaient déjà effectuer ce genre d’opérations à cet époque si reculée,
ils savaient également par conséquent détecter ces besoins en soins
C’est
un Mystère bien vieux, mais toujours irrésolu. Tout d’abord, pour bien
comprendre le sujet, expliquons certaines différences.
Un dolmen « table de pierre » abrite une tombe « tumulus ». Les dolmens
peuvent abriter des tombes individuelles ou collectives. Ils sont
formés de plusieurs blocs fixés dans le sol et d’une dalle horizontale.
Un menhir « pierre longue » est un bloc dressé qui se présente isolé
ou, plus rarement, disposé en alignement ou en cercle. Quand plusieurs
menhirs sont disposés en cercles, on parle de « cromlechs ».
Voilà, c’est court mais ça suffit ! Maintenant, rentrons dans le vif du sujet…
Les plus vieux Dolmens datent du Néotlithique, d’il y a 5 000 ans avant
notre ère pour être précis. C’est entre 5 000 et 2 000 ans notre ère
que cette « civilisations des mégalithiques » se répand sur toute
l’Europe côtière, dont les premiers apparaissent en France et au
Portugal. Il faut se débarrasser d’une légende popularisée par la
célèbre bande dessinée « Astérix le Gaulois ». Les menhirs ne sont pas
l’œuvre des Gaulois, ni des Celtes. Même si ces derniers n’ont pas
hésité, dès leur arrivée, à utiliser les dolmens comme lieu de culte,
ceux-ci dominaient les landes bretonnes depuis plus d’un millénaire.
Mais alors, qui a érigé ses « Grandes Pierres », ou « Mégalithiques »
en grec ?
Eh bien, on pense que ce sont des peuples, peut-être légèrement
nomades, pour la plupart chasseurs ou agriculteurs, dont les croyances
et les arts ce sont croisés. Ces peuples se sont répandus de l’Espagne
jusqu’en Angleterre où arrivés au sommet de leur art, ils ont bâti le
célèbre monument de Stonehenge.
Menhirs et dolmens ont des fonctions très différentes. Le Dolmen est
une sépulture et si on trouve parfois des tombes au pied de menhirs,
elles sont le plus souvent postérieures à leur érection. Le Menhir est
un édifice commémoratif ou votif.
Concernant les dolmens, le pourquoi de leur construction semble
évident. L’emplacement des tumulus, visibles de très loin, éloignés de
tout endroit habité, permet de supposer qu’ils n’étaient pas seulement
des tombes, mais aussi le lieu du culte des ancêtres, commun à
plusieurs villages. Les habitants avaient su s’allier pour réaliser de
tels monuments.
Concernant les menhirs, la controverse n’est toujours pas terminée. La
dimension religieuse paraît actuellement l’explication la plus logique.
Seul le sentiment religieux a pu justifier des efforts aussi importants.
Cependant, il semblerait qu’il y ait un lien entre certains alignements
mégalithiques et les positions du soleil à certaines périodes de
l’année.
Carnac, « le lieu des carn », est la capitale française du
mégalithisme. On y trouve tous les types de construction. C’est au
total un rassemblement de plus de 3 000 pierres. Elles ne sont qu’une
petite partie de la construction d’origine, qui comprenait sans doute
près de 10 000 menhirs. L’ensemble s’étendait sur environ 8 km.
Actuellement, on y voit un Cromlech en demi-cercle qui ouvre celui du
Ménec, long de 1170 mètres, et composé de 11 rangées, au total 1169
Menhirs, hauts de 60 centimètres à 4 mètres. L’alignement de Kermario
se limite à 10 rangées de 1029 Menhirs, de 50 centimètres à 7 mètres de
haut, sur une longueur total de 1120 mètres. L’alignement de Kerlescan
est constitué de 13 files de 880 mètres de long qui regroupent 594
pierres hautes de 80 centimètres à 4 mètres. Il est précédé d’un
cromlech en demi-cercle.
Dans chaque alignement, les menhirs sont placés par ordre décroissant et chaque série forme un angle précis avec la précédente :
Certains observateurs voient dans cette disposition des dates
correspondant aux principales phases du cycle agricole, une activité
toute nouvelle pour les peuples occidentaux.
Le fait que certains menhirs isolés soient percés d’un trou a donné à
penser à certains qu’ils servaient de support calendaire et
astronomique. Ce trou pouvait servir à la visée. Cependant, ces
alignements ne servaient pas uniquement comme observatoire solaire. Les
autres astres n’ont pas été oubliés. Dans les années 1970, le
professeur A.Thom a démontré que Carnac était aussi un observatoire
lunaire. Il a déterminé que le grand menhir de Locmariaquer, haut de 23
m, est sans doute l’élément central d’un grand dispositif destiné à
prédire les éclipses. Plusieurs autres menhirs isolés, éloignés parfois
de 15 kilomètres, auraient servi de crans de mire, correspondant à des
moments extrêmes de la déclinaison lunaire.
Alors, enchaînons sur une nouvelle question… Comment ces peuples
pouvaient avoir une si grande connaissance astronomique ? Aucune
réponse connue à ce jour… Donc bah on va enchaîner sur une question où
l’on pourra un peu plus brodé si vous le voulez bien ! Heu… Bah…
Comment ont été érigés ces fantastiques monuments ? C’est-y pas une
bonne question ça ? Allez, c’est parti ! On enchaîne !
On se demande principalement comment ils ont pu traîner ces pierres de
carrières distantes de plusieurs kilomètres, sachant que ces pierres
pesaient en moyenne 1 à 2 tonnes, et que certains dépassaient de loin
ce poids.
Les expériences qui ont été faites à Bougon, sous la direction de J.P
Mohen, ont montré que quelques centaines d’hommes, armés de haches de
pierre et de bois de cerf, pouvaient parfaitement extraire une pierre
de 30 tonnes, la soulever, et, à l’aide de cordes, de troncs d’arbres,
de leviers, la traîner sur quelques kilomètres et la dresser sur le
site. 200 volontaires réussirent il y a quelques années à déplacer
ainsi un bloc de 32 tonnes. Un menhir de 4 m pèse entre 10 et 12
tonnes. Par conséquent, les équipes n’étaient pas aussi nombreuses
qu’on a pu le penser. Les hommes du Néolithique avaient surtout besoin
de cordes de très bonne qualité et de grandes quantités de bois afin de
construire des traîneaux, des rondins et des leviers.
Les théories les plus farfelues ont été émises concernant dolmens et
menhirs. Pendant longtemps les gens ont cru qu’ils avaient été édifiés
par des êtres surnaturels d’où les noms comme Pierre-des-Fées ou
Roche-aux-fées. Rabelais le rappelle dans son Gargantua. Ces monuments
avaient des pouvoirs magiques. On y accomplissait des rites pour avoir
un mari, un enfant … L’Eglise ne vit jamais d’un très bon œil ces
pratiques païennes. Elle fut d’ailleurs à l’origine de beaucoup de
destruction. Faute de pouvoir éliminer tous les sites, elle fit
sculpter des croix sur les menhirs et fit construire des chapelles
au-dessus des tumulus. Au 19e siècle, on réutilise les mégalithes et
menhirs qu’on transforme en autels druidiques. On va jusqu’à creuser
des rigoles pour le sang des sacrifices humains. Aujourd’hui encore,
certains continuent à parcourir les sites, calculatrice en main, en
attribuant dolmens et alignements aux extra-terrestres.
Enfin, il est bon de noter que les corps retrouvés dans certaines de
ces « tombes » historiques ont permis de grandement accroître nos
connaissances sur les maladies et autres problèmes de santé de
l’époque. Le cas le plus curieux est celui des trépanations. Les «
médecins » du IIe millénaire avant notre ère ont pratiqué des
opérations des os du crâne. Le trou creusé dans le pariétal existe
toujours mais un bourrelet osseux s’est formé ce qui prouve que les
opérations réussissaient souvent. N’oublions qu’au delà du fait qu’ils
savaient déjà effectuer ce genre d’opérations à cet époque si reculée,
ils savaient également par conséquent détecter ces besoins en soins
Rita-kazem- Nombre de messages : 4254
Date d'inscription : 18/02/2010
Mort des étoiles
La Mort des étoiles
Publié le 30/05/2008 à 12:00 par nepthtys
Explosions dans l’Espace
Toutes les étoiles sont condamnées à
mourir un jour. Leur durée de vie et leur façon de mourir dépend
essentiellement de leur taille à la naissance.
24 Février 1987, dans l’hémisphère Sud.
Un observateur constate la présence d’une étoile inhabituel. En
comparant avec des clichés plus anciens de cette région, le doute n’est
plus possible : une supernova déploie ses mille feux. L’étoile est en
train de mourir dans une gigantesque explosion d’énergie. L’événement
est spectaculaire car relativement proche… à 170 années-lumière.
Aujourd’hui, il est encore suivi par les télescopes de la planète : la
matière toujours en expansion exprime la violence du phénomène.
Chaud dedans, Froid dehors
Souvenez-vous, l’étoile est née et vit grâce à la fusion de l’hydrogène
en hélium. Ce sont les force antagonistes thermonucléaire et
gravitationnelle qui, de par leur équilibre, donne la stabilité à notre
étoile, car si l’une tend à diminuer le diamètre de l’étoile, l’autre
tend à l’accroître.
L’hélium ainsi produit encombre lentement le cœur de l’étoile. Alors,
les réactions de fusion diminuent et la force de gravité reprend le
dessus, provoquant la contraction du cœur. L’étoile commence à être déstabilisée.
La pression et la température augmentent encore ; ce surplus d’énergie
est évacué vers la surface de l’étoile, dont les couches extérieurs se
dilatent. Nous retrouvons le mécanisme de régulation de l’énergie dans
l’étoile : le diamètre du cœur à diminué, celui de l’astre a augmenté.
Paradoxalement, celle de la surface diminue. La lumière vire a rouge. L’étoile est devenue une géante rouge.
Un Flash Brutal
Au cœur de cette étoile, la température vire de 20 à 100 millions de
degrés, une chaleur suffisante pour que l’hélium fusionne à son tour,
produisant du carbone. L’étoile change : elle passe à un stade ou le
cœur produit du carbone à partir de l’hélium tandis qu’en périphérie
l’hydrogène brûle pour donner de l’hélium. Et lorsqu’une très grande
quantité d’hélium fusionne, le phénomène peut être très brutal : on dit alors qu’il y a flash de l’hélium.
C’est le stade ultime de fusion pour des petites étoiles comme le
Soleil. Les plus grosses, dont la masse est supérieure à six fois celle
du Soleil, vont continuer leur violente agonie.
Naine Blanche, Supernova...
Petites et grosses étoiles ne connaissent donc pas le même sort.
Lorsque leur masse, à la naissance, est inférieure à six fois celle du
Soleil, le mécanisme cesse car il n’y a pas assez d’énergie pour
fusionner le carbone. Après une étape très lumineuse, où l’étoile est
appelée supergéante rouge, les couches extérieurs sont éjectées. Elles
forment ce que l’on appelle une nébuleuse planétaire autour de ce qui
reste de l’étoile : une naine blanche. La densité y atteint le million de tonnes au centimètres cube ! Plusieurs milliards d’années plus tard, la naine blanche deviendra une naine noire.
Les grosses étoiles, dont la masse initiale est supérieure à six fois
celle du soleil, ont une fin encore plus brutale. Les réactions de
fusion continuent et synthétisent tous les éléments jusqu’au fer.
L’étoile explose dans une ébauche d’énergie sous forme de supernova. Le
cœur central subit la loi de la force de gravité mais de façon massive.
Ils s’écroule jusqu’à ce que les constituants mêmes du noyau soient au
contact les uns des autres : c’est l’étoile à neutrons, dont la densité est de 1 milliards de tonnes au centimètre cube !
Sa vitesse de rotation, de l’ordre de la milliseconde, transforme
l’étoile en une sorte de phare surpuissant dont on perçoit à
intervalles réguliers les bouffées d’énergie. Ces pulsating stars ont donné, par contraction du mot, les célèbres pulsars.
... Et Trou Noir
Pour de très grosses étoiles, l’écroulement ne peut être freiné, les
noyaux atomiques ne résistant pas toujours à des masses plus
importantes. Le cœur qui subsiste est alors si dense que rien ne peut s’en échapper, pas même la lumière.
Si un faisceau lumineux pouvait être émis depuis un tel objet, il
reviendrait, inexorablement attiré par son émetteur. C’est en raison de
cet extraordinaire champ de gravité que cet objet a été appelé trou
noir.
Chronologie d’une petite étoile : le Soleil
1. Naissance ••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••• 0
2. Fin de la période stable de l’étoile ••••••••••••••••••••••••• 10 milliards d’années
3. Début du stade de géante rouge ••••••••••••••••••••••••• 10,2 milliards d’années
(plus de vie possible sur terre)
4. Flash de l’hélium ••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••• 10,5 milliards d’années
5. Survie momentanée •••••••••••••••••••••••••••••••••••••• 10,6 milliards d’années
6. Stade de supergéante rouge et Mort de l’étoile •••••••••••• 11 milliards d’années
(naine blanche)
7. Fin du refroidissement de la naine blanche ••••••••••••••••• 100 milliards d’années
(naine noire)
Publié le 30/05/2008 à 12:00 par nepthtys
Explosions dans l’Espace
Toutes les étoiles sont condamnées à
mourir un jour. Leur durée de vie et leur façon de mourir dépend
essentiellement de leur taille à la naissance.
24 Février 1987, dans l’hémisphère Sud.
Un observateur constate la présence d’une étoile inhabituel. En
comparant avec des clichés plus anciens de cette région, le doute n’est
plus possible : une supernova déploie ses mille feux. L’étoile est en
train de mourir dans une gigantesque explosion d’énergie. L’événement
est spectaculaire car relativement proche… à 170 années-lumière.
Aujourd’hui, il est encore suivi par les télescopes de la planète : la
matière toujours en expansion exprime la violence du phénomène.
Chaud dedans, Froid dehors
Souvenez-vous, l’étoile est née et vit grâce à la fusion de l’hydrogène
en hélium. Ce sont les force antagonistes thermonucléaire et
gravitationnelle qui, de par leur équilibre, donne la stabilité à notre
étoile, car si l’une tend à diminuer le diamètre de l’étoile, l’autre
tend à l’accroître.
L’hélium ainsi produit encombre lentement le cœur de l’étoile. Alors,
les réactions de fusion diminuent et la force de gravité reprend le
dessus, provoquant la contraction du cœur. L’étoile commence à être déstabilisée.
La pression et la température augmentent encore ; ce surplus d’énergie
est évacué vers la surface de l’étoile, dont les couches extérieurs se
dilatent. Nous retrouvons le mécanisme de régulation de l’énergie dans
l’étoile : le diamètre du cœur à diminué, celui de l’astre a augmenté.
Paradoxalement, celle de la surface diminue. La lumière vire a rouge. L’étoile est devenue une géante rouge.
Un Flash Brutal
Au cœur de cette étoile, la température vire de 20 à 100 millions de
degrés, une chaleur suffisante pour que l’hélium fusionne à son tour,
produisant du carbone. L’étoile change : elle passe à un stade ou le
cœur produit du carbone à partir de l’hélium tandis qu’en périphérie
l’hydrogène brûle pour donner de l’hélium. Et lorsqu’une très grande
quantité d’hélium fusionne, le phénomène peut être très brutal : on dit alors qu’il y a flash de l’hélium.
C’est le stade ultime de fusion pour des petites étoiles comme le
Soleil. Les plus grosses, dont la masse est supérieure à six fois celle
du Soleil, vont continuer leur violente agonie.
Naine Blanche, Supernova...
Petites et grosses étoiles ne connaissent donc pas le même sort.
Lorsque leur masse, à la naissance, est inférieure à six fois celle du
Soleil, le mécanisme cesse car il n’y a pas assez d’énergie pour
fusionner le carbone. Après une étape très lumineuse, où l’étoile est
appelée supergéante rouge, les couches extérieurs sont éjectées. Elles
forment ce que l’on appelle une nébuleuse planétaire autour de ce qui
reste de l’étoile : une naine blanche. La densité y atteint le million de tonnes au centimètres cube ! Plusieurs milliards d’années plus tard, la naine blanche deviendra une naine noire.
Les grosses étoiles, dont la masse initiale est supérieure à six fois
celle du soleil, ont une fin encore plus brutale. Les réactions de
fusion continuent et synthétisent tous les éléments jusqu’au fer.
L’étoile explose dans une ébauche d’énergie sous forme de supernova. Le
cœur central subit la loi de la force de gravité mais de façon massive.
Ils s’écroule jusqu’à ce que les constituants mêmes du noyau soient au
contact les uns des autres : c’est l’étoile à neutrons, dont la densité est de 1 milliards de tonnes au centimètre cube !
Sa vitesse de rotation, de l’ordre de la milliseconde, transforme
l’étoile en une sorte de phare surpuissant dont on perçoit à
intervalles réguliers les bouffées d’énergie. Ces pulsating stars ont donné, par contraction du mot, les célèbres pulsars.
... Et Trou Noir
Pour de très grosses étoiles, l’écroulement ne peut être freiné, les
noyaux atomiques ne résistant pas toujours à des masses plus
importantes. Le cœur qui subsiste est alors si dense que rien ne peut s’en échapper, pas même la lumière.
Si un faisceau lumineux pouvait être émis depuis un tel objet, il
reviendrait, inexorablement attiré par son émetteur. C’est en raison de
cet extraordinaire champ de gravité que cet objet a été appelé trou
noir.
Chronologie d’une petite étoile : le Soleil
1. Naissance ••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••• 0
2. Fin de la période stable de l’étoile ••••••••••••••••••••••••• 10 milliards d’années
3. Début du stade de géante rouge ••••••••••••••••••••••••• 10,2 milliards d’années
(plus de vie possible sur terre)
4. Flash de l’hélium ••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••• 10,5 milliards d’années
5. Survie momentanée •••••••••••••••••••••••••••••••••••••• 10,6 milliards d’années
6. Stade de supergéante rouge et Mort de l’étoile •••••••••••• 11 milliards d’années
(naine blanche)
7. Fin du refroidissement de la naine blanche ••••••••••••••••• 100 milliards d’années
(naine noire)
Rita-kazem- Nombre de messages : 4254
Date d'inscription : 18/02/2010
Les Animaux les plus intelligents
Les Animaux les plus intelligents
C’est
un sujet large, que nous n’allons pas prendre sous la forme
philosophique, mais sous un esprit pragmatique qui se base sur les
données scientifiques actuelles. Sans établir de réel classement, et
tout en expliquant certaines choses, je tenterai de citer quelques-uns
des animaux, mis à part l’Homme, les plus intelligents.
Tout d’abord, il faut savoir que l’intelligence suprême est la
conscience. Une fois que l’on sait que l’on existe, on peut progresser.
Par exemple, l’Homme, qui est doué de conscience, et qui est le seul
animal à l’avoir d’ailleurs, ne se contente plus de survivre, il vit en
tentant d’améliorer sa situation. Le fait d’« en vouloir toujours plus
», ce qui est commun à tous, est en outre une preuve d’intelligence.
Mais certains tests faits sur des Chimpanzés, des Orangs-Outangs, des
Gibbons et récemment des Dauphins pourraient changer cette mentalité...
Ensuite, avec les Dauphins, l’Eléphant et certains autres animaux,
l’Homme est le seul à se reconnaître dans un miroir. Alors qu’il sait
que c’est sa propre image réfléchit par la matière (et c’est grâce à sa
conscience, donc, qu’il le sait), l’Eléphant, par exemple, prend cela
comme une autre partie de lui-même.
Et pour finir, c’est le cerveau (sans rentrer dans les détails) qui
permet de mieux définir une intelligence. Mais cependant, le cerveau
d’un animal peut être gros, l’animal peut tout de même être moins
intelligent qu’un autre. Prenez l’Homme, qui n’utilise lui-même
qu’environ, on pense, 1 à, pour certains, 10% des capacités de son
cerveau. Bien sûr, il serait trop long et bien trop compliqué de
décortiquer un encéphale, quel qu’il soit. Donc rentrons tout de suite
dans le vif du sujet.
Tout d’abord, je pense que la Pieuvre est l’un des animaux le plus
intelligent. Elle a des milliards de neurones et une grande capacité à
apprendre. Ainsi, une expérience la montre passer d’un aquarium à
l’autre par un très petit trou en 12 minutes, en modifiant son corps
pour lui permettre de passer. Replacée dans les mêmes conditions, il
lui faudra seulement une minute pour retrouver le chemin de la sortie.
La pieuvre voit bien, elle a une vision proche de la notre. Elle imite
également ses congénères. Enfin, une vidéo la montre en train d’ouvrir
un bocal dans lequel est enfermé un crabe. Elle a donc la capacité
d’innovation. Un comportement élaboré, comparable à celui des vertébrés
comme l’homme.
Le canari et le pigeon voyageur entrent dans la même catégorie que la
pieuvre. Leur mémoire est aussi développée que la nôtre. Comme nous,
ils dorment et certains donnent même des signes de rêve. Leur durée de
vie est moyenne à très longue.
Du fait de la capacité des dauphins à apprendre et à effectuer des
tâches complexes en captivité, de leurs continuelles communications
entre eux et de leur capacité, grâce à un entraînement, à approcher le
son de quelques mots humains, certains chercheurs ont suggéré que ces
animaux seraient capables d’apprendre un vrai langage et de communiquer
avec l’Homme. Cependant, la plupart des spécialistes s'accordent à
penser que, bien que la capacité du dauphin à résoudre des problèmes
place cet animal à un niveau d’intelligence proche de celui des
primates, il n’est pas prouvé que les communications des dauphins
approchent la complexité d'un vrai langage. Cependant, de récentes
expériences pourraient prouver que le Dauphin est un animal doué d’un
certaine conscience de lui-même...
Enfin, l’Eléphant, malgré son air pataud et sa déambulation lourdaude,
est doué d’un cerveau dont la capacité d’apprentissage et la mémoire
sont assez exceptionnelles. Ainsi, il est capable de peindre avec une
précision insoupçonnés un paysage globale, de retenir certaines
formules, comme les chiens, grâce a quoi on peut lui donner des ordres,
ou encore des morceaux de musique simples.
Et pour finir, non je ne les ai pas oubliés, nos chers primates... Dont
nous faisons partie, au passage. Les sociétés de primates sont
extrêmement variées. Ces animaux peuvent vivre isolés, en groupes
permanents ou en groupes temporaires. Les grands singes semblent avoir
une dimension sociale unique : la culture. En 2001, Frans de Waal a
montré dans une étude innovante que les grands singes (comme les
chimpanzés) pouvaient partager des particularités culturelles (des
pratiques apprises et non pas innées qui sont transmises à l'intérieur
d'un groupe mais inconnues en dehors). Ils sont également capable de se
servir d’outils qu’ils fabriquent eux-mêmes où qu’il trouvent au hasard
de leurs marches, ils sont même capables de les combiner. Certains
primates, et pas toujours les grands, ont aussi un sens très mauvais,
très proche du notre : celui de la vengeance. Ce sont des émotions que
leur cerveau parvient à traduire qui les rend plus intelligents. Les
chimpanzés partagent ainsi presque 99% de notre patrimoine génétique.
C’est
un sujet large, que nous n’allons pas prendre sous la forme
philosophique, mais sous un esprit pragmatique qui se base sur les
données scientifiques actuelles. Sans établir de réel classement, et
tout en expliquant certaines choses, je tenterai de citer quelques-uns
des animaux, mis à part l’Homme, les plus intelligents.
Tout d’abord, il faut savoir que l’intelligence suprême est la
conscience. Une fois que l’on sait que l’on existe, on peut progresser.
Par exemple, l’Homme, qui est doué de conscience, et qui est le seul
animal à l’avoir d’ailleurs, ne se contente plus de survivre, il vit en
tentant d’améliorer sa situation. Le fait d’« en vouloir toujours plus
», ce qui est commun à tous, est en outre une preuve d’intelligence.
Mais certains tests faits sur des Chimpanzés, des Orangs-Outangs, des
Gibbons et récemment des Dauphins pourraient changer cette mentalité...
Ensuite, avec les Dauphins, l’Eléphant et certains autres animaux,
l’Homme est le seul à se reconnaître dans un miroir. Alors qu’il sait
que c’est sa propre image réfléchit par la matière (et c’est grâce à sa
conscience, donc, qu’il le sait), l’Eléphant, par exemple, prend cela
comme une autre partie de lui-même.
Et pour finir, c’est le cerveau (sans rentrer dans les détails) qui
permet de mieux définir une intelligence. Mais cependant, le cerveau
d’un animal peut être gros, l’animal peut tout de même être moins
intelligent qu’un autre. Prenez l’Homme, qui n’utilise lui-même
qu’environ, on pense, 1 à, pour certains, 10% des capacités de son
cerveau. Bien sûr, il serait trop long et bien trop compliqué de
décortiquer un encéphale, quel qu’il soit. Donc rentrons tout de suite
dans le vif du sujet.
Tout d’abord, je pense que la Pieuvre est l’un des animaux le plus
intelligent. Elle a des milliards de neurones et une grande capacité à
apprendre. Ainsi, une expérience la montre passer d’un aquarium à
l’autre par un très petit trou en 12 minutes, en modifiant son corps
pour lui permettre de passer. Replacée dans les mêmes conditions, il
lui faudra seulement une minute pour retrouver le chemin de la sortie.
La pieuvre voit bien, elle a une vision proche de la notre. Elle imite
également ses congénères. Enfin, une vidéo la montre en train d’ouvrir
un bocal dans lequel est enfermé un crabe. Elle a donc la capacité
d’innovation. Un comportement élaboré, comparable à celui des vertébrés
comme l’homme.
Le canari et le pigeon voyageur entrent dans la même catégorie que la
pieuvre. Leur mémoire est aussi développée que la nôtre. Comme nous,
ils dorment et certains donnent même des signes de rêve. Leur durée de
vie est moyenne à très longue.
Du fait de la capacité des dauphins à apprendre et à effectuer des
tâches complexes en captivité, de leurs continuelles communications
entre eux et de leur capacité, grâce à un entraînement, à approcher le
son de quelques mots humains, certains chercheurs ont suggéré que ces
animaux seraient capables d’apprendre un vrai langage et de communiquer
avec l’Homme. Cependant, la plupart des spécialistes s'accordent à
penser que, bien que la capacité du dauphin à résoudre des problèmes
place cet animal à un niveau d’intelligence proche de celui des
primates, il n’est pas prouvé que les communications des dauphins
approchent la complexité d'un vrai langage. Cependant, de récentes
expériences pourraient prouver que le Dauphin est un animal doué d’un
certaine conscience de lui-même...
Enfin, l’Eléphant, malgré son air pataud et sa déambulation lourdaude,
est doué d’un cerveau dont la capacité d’apprentissage et la mémoire
sont assez exceptionnelles. Ainsi, il est capable de peindre avec une
précision insoupçonnés un paysage globale, de retenir certaines
formules, comme les chiens, grâce a quoi on peut lui donner des ordres,
ou encore des morceaux de musique simples.
Et pour finir, non je ne les ai pas oubliés, nos chers primates... Dont
nous faisons partie, au passage. Les sociétés de primates sont
extrêmement variées. Ces animaux peuvent vivre isolés, en groupes
permanents ou en groupes temporaires. Les grands singes semblent avoir
une dimension sociale unique : la culture. En 2001, Frans de Waal a
montré dans une étude innovante que les grands singes (comme les
chimpanzés) pouvaient partager des particularités culturelles (des
pratiques apprises et non pas innées qui sont transmises à l'intérieur
d'un groupe mais inconnues en dehors). Ils sont également capable de se
servir d’outils qu’ils fabriquent eux-mêmes où qu’il trouvent au hasard
de leurs marches, ils sont même capables de les combiner. Certains
primates, et pas toujours les grands, ont aussi un sens très mauvais,
très proche du notre : celui de la vengeance. Ce sont des émotions que
leur cerveau parvient à traduire qui les rend plus intelligents. Les
chimpanzés partagent ainsi presque 99% de notre patrimoine génétique.
Invité- Invité
L'Hypnose
L'Hypnose
L’hypnose
est connue de tous, mais sous sa forme général. Certains y croient,
d’autres non. Il faut dire que certaines fois, elle peut être aussi
spectaculaire qu’un gros canular. Il y a des charlatans, et il y a
devrais professionnels. Peut-être vous en êtes-vous déjà rendu compte...
Nous allons ici essayer de voir quelques aspects de cette mystérieuse
aptitude humaine que détient certains humains, j’ai nommé l’Hypnose. Et
tout d’abord, je vais vous expliquer ce qu’est exactement l’Hypnose,
puis découvrons ensemble l’influence de cette dernière sur... La
médecine !
Contrairement à ce que pourrait faire croire son étymologie, du grec « hypnoûn », « s’endormir »,
l’hypnose n’a rien à voir avec le sommeil. Le célèbre « Dormez, je le veux
» n’est qu’une fioriture d'hypnotiseur. L’électroencéphalogramme d’un
individu en état de transe ne ressemble pas à celui d’un sujet endormi.
Celui qui est hypnotisé est bien éveillé. C’est un état de conscience
particulier, entre la veille et le sommeil, provoqué par la suggestion.
Malgré tous leurs efforts, les chercheurs n’ont jamais découvert
d’indice physiologique convaincant de l’hypnose. Cet état particulier
de la conscience a résisté à toutes les tentatives de mesure. L’état
obtenu par hypnose préserve certaines facultés de relation, en
particulier entre l'hypnotiseur et le patient, mais entraîne une
capacité d’abstraction par rapport à la réalité extérieure et une «
paralysie de la volonté » (Sigmund Freud).
Les succès thérapeutiques de l’hypnose pour lutter contre la douleur ou
la tabagisme n’empêchent nullement la controverse. Pour commencer,
l’hypnose fut dénommée ainsi, d'après le mot grec « hupnos », « sommeil
», par le médecin anglais James Braid, qui, en 1843, utilisa cette
technique pour anesthésier ses malades. Puis, à la fin du XIXe siècle,
ce phénomène fut étudié, en relation avec l’hystérie, par les
neurologues français Jean-Martin Charcot et Hippolyte Bernheim. C’est
en observant les sujets sous hypnose que Sigmund Freud découvrit
l'importance de l’inconscient. Cependant, devant le caractère aléatoire
et temporaire des résultats, Freud a abandonné la technique hypnotique
au profit de la psychanalyse. Après avoir été délaissée (sauf aux
États-Unis), l’hypnose connaît actuellement un regain de faveur : pour
favoriser la relaxation, lutter contre la douleur et l’anxiété. Elle
peut se substituer à une anesthésie chimique (obstétrique, chirurgie
dentaire). En outre, son utilisation en anesthésie s’élargit. A partir
des années 1950, l’hypnose a été utilisée, en Angleterre et aux
Etats-Unis, dans les hôpitaux dans le cadre de certaines opérations. En
France, aujourd’hui encore, d’âpres discussions ont lieu pour trouver
une place à l’hypnose au sein de la recherche scientifique. Pourtant,
depuis 20 ans, des programmes ont été développés dans certains pays qui
pourraient bien révolutionnés le monde de la médecine psychosomatique.
Depuis les années 1950, que ce soit aux Etats-Unis, en Angleterre, en
Italie, en Espagne ou au Japon, l’hypnose est normalement admise comme
méthode thérapeutique valable dans un certain nombre de cas. Par
exemple, l’hypnose anesthésique ne laisse pratiquement aucune trace
contrairement aux traitements chimiques. On arrive, grâce à elle, à
réaliser les opérations les plus complexes. Etats-Unis ou U.R.S.S ont
établi depuis longtemps une distinction nette entre les hypnotiseurs
hospitaliers et les artistes qui se donnent en spectacle. Il n’est bien
sûr pas question pour les uns ou les autres d’échanger les rôles. C’est
bien d’ailleurs cette distinction, qu’en France, la communauté
scientifique n’a toujours pas établie bien que quelques percées
commencent à se faire.
En état hypnotique, le sujet se met volontairement sous la dépendance
de l’hypnotiseur. Cette technique a donné des résultats encourageants
dans la lutte contre le tabagisme, l’alcoolisme, la boulimie ou parfois
certaines phobies. Cependant, les résultats sont parfois très
temporaires selon les individus. En aucun cas, un individu ne peut agir
contre son sens moral sous hypnose. L’hypnose est également utilisée
pour retrouver des souvenirs enfouis. Seulement, l’imagination est
alors débridée et le souvenir n’a généralement pas beaucoup plus de
réalité qu’un rêve. C’est pourquoi, certaines personnes se rappellent
avoir été, dans une vie antérieure, Néfertiti ou le roi Arthur.
Mais on a aussi utilisé des techniques hypnotiques dans le domaine de
la criminologie ! L’utilisation de l’hypnose dans la police a commencé
dès les années 1950. En Californie, on forme depuis de nombreuses
années des spécialistes de l’interrogatoire sous induction. De
nombreuses affaires ont été tirées au clair par utilisation de
l’hypnose ou de la narco-hypnose, qui joint à la suggestion
psychologique l’administration de certaines drogues. D’ailleurs en
1976, un scandale a éclaté aux Etats-Unis. L’armée et les services
secrets avaient utilisés plus de 100 substances dangereuses sur plus de
10 000 cobayes humains, pas toujours volontaires pour l’expérience...
L’Union Soviétique utilise les mêmes méthodes...
Et c’est là qu’on voit quel point l’hypnose est partout... Même dans le
sport ! Nombreux sont les champions qui ont réussi à améliorer leurs
performances grâce à l’hypnose. Lejoueur de tennis américain Arthur
Ashe, l’Anglais Bob Willis et la championne de saut en hauteur des
années 1970 Roslaine Few, ainsi que bien d’autres, ont reconnu qu’ils
devaient pour une large part leurs résultats sportifs à des séances
d’hypnose. Cette suggestion hypnotique a-t-elle vraiment eu une
incidence sur les résultats sportifs ou n’a-t-elle agi que comme un
stimulateur moral ? Nous finirons bien par le savoir un jour où
l’autre...
On ne commence seulement qu’à soupçonner les immenses possibilités
de l’hypnose. Actuellement, on traite l’insomnie, divers complexes mais
aussi des régressions de tout ordre. On chemine ainsi sous hypnose sur
les voies du développement personnel. Dans l’avenir, il se pourrait
bien que cette technique constitue une excellente alternative pour une
meilleure connaissance de soi. Il n’est pas question de remplacer les
techniques traditionnelles qui ont déjà fait leurs preuves mais d’y
adjoindre de nouvelles méthodes.
L’hypnose
est connue de tous, mais sous sa forme général. Certains y croient,
d’autres non. Il faut dire que certaines fois, elle peut être aussi
spectaculaire qu’un gros canular. Il y a des charlatans, et il y a
devrais professionnels. Peut-être vous en êtes-vous déjà rendu compte...
Nous allons ici essayer de voir quelques aspects de cette mystérieuse
aptitude humaine que détient certains humains, j’ai nommé l’Hypnose. Et
tout d’abord, je vais vous expliquer ce qu’est exactement l’Hypnose,
puis découvrons ensemble l’influence de cette dernière sur... La
médecine !
Contrairement à ce que pourrait faire croire son étymologie, du grec « hypnoûn », « s’endormir »,
l’hypnose n’a rien à voir avec le sommeil. Le célèbre « Dormez, je le veux
» n’est qu’une fioriture d'hypnotiseur. L’électroencéphalogramme d’un
individu en état de transe ne ressemble pas à celui d’un sujet endormi.
Celui qui est hypnotisé est bien éveillé. C’est un état de conscience
particulier, entre la veille et le sommeil, provoqué par la suggestion.
Malgré tous leurs efforts, les chercheurs n’ont jamais découvert
d’indice physiologique convaincant de l’hypnose. Cet état particulier
de la conscience a résisté à toutes les tentatives de mesure. L’état
obtenu par hypnose préserve certaines facultés de relation, en
particulier entre l'hypnotiseur et le patient, mais entraîne une
capacité d’abstraction par rapport à la réalité extérieure et une «
paralysie de la volonté » (Sigmund Freud).
Les succès thérapeutiques de l’hypnose pour lutter contre la douleur ou
la tabagisme n’empêchent nullement la controverse. Pour commencer,
l’hypnose fut dénommée ainsi, d'après le mot grec « hupnos », « sommeil
», par le médecin anglais James Braid, qui, en 1843, utilisa cette
technique pour anesthésier ses malades. Puis, à la fin du XIXe siècle,
ce phénomène fut étudié, en relation avec l’hystérie, par les
neurologues français Jean-Martin Charcot et Hippolyte Bernheim. C’est
en observant les sujets sous hypnose que Sigmund Freud découvrit
l'importance de l’inconscient. Cependant, devant le caractère aléatoire
et temporaire des résultats, Freud a abandonné la technique hypnotique
au profit de la psychanalyse. Après avoir été délaissée (sauf aux
États-Unis), l’hypnose connaît actuellement un regain de faveur : pour
favoriser la relaxation, lutter contre la douleur et l’anxiété. Elle
peut se substituer à une anesthésie chimique (obstétrique, chirurgie
dentaire). En outre, son utilisation en anesthésie s’élargit. A partir
des années 1950, l’hypnose a été utilisée, en Angleterre et aux
Etats-Unis, dans les hôpitaux dans le cadre de certaines opérations. En
France, aujourd’hui encore, d’âpres discussions ont lieu pour trouver
une place à l’hypnose au sein de la recherche scientifique. Pourtant,
depuis 20 ans, des programmes ont été développés dans certains pays qui
pourraient bien révolutionnés le monde de la médecine psychosomatique.
Depuis les années 1950, que ce soit aux Etats-Unis, en Angleterre, en
Italie, en Espagne ou au Japon, l’hypnose est normalement admise comme
méthode thérapeutique valable dans un certain nombre de cas. Par
exemple, l’hypnose anesthésique ne laisse pratiquement aucune trace
contrairement aux traitements chimiques. On arrive, grâce à elle, à
réaliser les opérations les plus complexes. Etats-Unis ou U.R.S.S ont
établi depuis longtemps une distinction nette entre les hypnotiseurs
hospitaliers et les artistes qui se donnent en spectacle. Il n’est bien
sûr pas question pour les uns ou les autres d’échanger les rôles. C’est
bien d’ailleurs cette distinction, qu’en France, la communauté
scientifique n’a toujours pas établie bien que quelques percées
commencent à se faire.
En état hypnotique, le sujet se met volontairement sous la dépendance
de l’hypnotiseur. Cette technique a donné des résultats encourageants
dans la lutte contre le tabagisme, l’alcoolisme, la boulimie ou parfois
certaines phobies. Cependant, les résultats sont parfois très
temporaires selon les individus. En aucun cas, un individu ne peut agir
contre son sens moral sous hypnose. L’hypnose est également utilisée
pour retrouver des souvenirs enfouis. Seulement, l’imagination est
alors débridée et le souvenir n’a généralement pas beaucoup plus de
réalité qu’un rêve. C’est pourquoi, certaines personnes se rappellent
avoir été, dans une vie antérieure, Néfertiti ou le roi Arthur.
Mais on a aussi utilisé des techniques hypnotiques dans le domaine de
la criminologie ! L’utilisation de l’hypnose dans la police a commencé
dès les années 1950. En Californie, on forme depuis de nombreuses
années des spécialistes de l’interrogatoire sous induction. De
nombreuses affaires ont été tirées au clair par utilisation de
l’hypnose ou de la narco-hypnose, qui joint à la suggestion
psychologique l’administration de certaines drogues. D’ailleurs en
1976, un scandale a éclaté aux Etats-Unis. L’armée et les services
secrets avaient utilisés plus de 100 substances dangereuses sur plus de
10 000 cobayes humains, pas toujours volontaires pour l’expérience...
L’Union Soviétique utilise les mêmes méthodes...
Et c’est là qu’on voit quel point l’hypnose est partout... Même dans le
sport ! Nombreux sont les champions qui ont réussi à améliorer leurs
performances grâce à l’hypnose. Lejoueur de tennis américain Arthur
Ashe, l’Anglais Bob Willis et la championne de saut en hauteur des
années 1970 Roslaine Few, ainsi que bien d’autres, ont reconnu qu’ils
devaient pour une large part leurs résultats sportifs à des séances
d’hypnose. Cette suggestion hypnotique a-t-elle vraiment eu une
incidence sur les résultats sportifs ou n’a-t-elle agi que comme un
stimulateur moral ? Nous finirons bien par le savoir un jour où
l’autre...
On ne commence seulement qu’à soupçonner les immenses possibilités
de l’hypnose. Actuellement, on traite l’insomnie, divers complexes mais
aussi des régressions de tout ordre. On chemine ainsi sous hypnose sur
les voies du développement personnel. Dans l’avenir, il se pourrait
bien que cette technique constitue une excellente alternative pour une
meilleure connaissance de soi. Il n’est pas question de remplacer les
techniques traditionnelles qui ont déjà fait leurs preuves mais d’y
adjoindre de nouvelles méthodes.
Invité- Invité
Le Destin
Le Destin
Le Destin.
S’il est bien une chose dont nous ne pouvons prouvé la véridicité,
c’est cela. Que dire sur un sujet si complexe ? Est-ce lui qui veut que
je ne sache pas quoi écrire ? Allons, courage, inspiration vient à moi,
et que l’écriture sorte de mes doigts…
Que l’on croit ou pas au Destin, on ne peut nier l’existence de
l’avenir, cette mystérieuse notion du Temps. Tout comme l’Univers, le
Temps est infini. Il est difficile de se l’imaginer, voir impossible.
Bien qu’il se peut que l’on y soit plus, l’avenir est là, toujours,
tout le temps. La question est : peut-on le prédire ? Car c’est là
qu’est tout le trouble ; la définition du Destin voudrait que ce soit
une forme de l’avenir que l’on puisse prévoir, que l’on sache à
l’avance ce qui se passerait plus tard. Cela implique, et c’est là
qu’est toute la différence avec la notion de l’avenir, que le Destin
est déjà tout tracé, ceux qui ne croient pas au Destin pensent donc que
l’avenir, ce qui se passera dans une minute, dans une heure ou même
dans dix ans, n’est dû qu’au hasard. Si j’appuie sur la touche « E » de
mon Clavier, il est possible qu’il ne se passe pas du tout la même
chose dans trois que si j’avais appuyer sur la touche « Z ».
Donc en résumé, pour bien comprendre la différence entre l’Avenir et le
Destin, cette première notion désigne le futur dont les actions ne
dépendent que du hasard et qu’il est impossible de prédire, alors que
le Destin est une forme du futur qui est déjà toute tracée, et qui si
l’on la savait, ne pourrait être évitée. Religieusement, on peut aussi
dire qu’il est contrôlé par une puissance au dessus de tout, peut-être
divine, surpassant tout autre être, Mortel ou Immortel.
Dans la Mythologie Grecque et Romaine, Le Destin, ou Destinée, est une
divinité aveugle, inexorable, issue de la nuit et du chaos. Toutes les
autres divinités lui étaient soumises. Les cieux, la terre, la mer et
les enfers étaient sous son empire : rien ne pouvait changer ce qu’il
avait résolu. En un mot, le Destin était lui-même cette fatalité
suivant laquelle tout arrivait dans le monde. Le plus puissant des
dieux, Jupiter, ne pouvait fléchir le Destin en faveur ni des dieux, ni
des hommes. Les lois du Destin étaient écrites de toute éternité dans
un lieu où les dieux pouvaient les consulter. Ses ministres étaient les
trois Parques : elles étaient chargées d’exécuter ses ordres. On
représente Jupiter ayant sous ses pieds le globe terrestre et tenant
dans ses mains l’urne qui renferme le sort des mortels. Il porte une
couronne surmontée d’étoiles et un sceptre, symbole de sa souveraine
puissance. Pour faire entendre qu’il ne variait pas, les anciens le
figuraient par une roue que fixe une chaîne. Il y a, en haut de la
roue, une grosse pierre et, en bas, deux cornes d’abondance avec des
pointes de javelot. Dans les contes oraux d’Homère, par la suite
retranscrits à l’écrit, les destinées d’Achille et d’Hector sont pesées
dans la balance de Jupiter et, comme celle du dernier l’emporte, sa
mort est arrêtée : Apollon lui retire l’appui qu’il lui avait accordé
jusqu’alors. Ce sont les aveugles arrêts du Destin qui ont rendu
coupables tant de mortels, malgré leur désir de rester vertueux : dans
Eschyle, par exemple, Agamemnon, Clytemnestre, Jocaste, Œdipe, Étéocle,
Polynice, etc, ne peuvent se soustraire à leur destinée. Les oracles
seuls pouvaient entrevoir et révéler ici-bas ce qui était écrit au
livre du Destin.
Pour conclure, une Destinée peut être très claire, comme dans un match
de Basketball par exemple, où la meilleure équipe du pays affronterait
le dernier du Championnat. Bien qu’il subsiste toujours, pour chaque
chose et celle-ci ne fait pas exception à la règle, des chances pour
que ce soit l’équipe B qui gagne, il n’est pas difficile de « prédire »
l’issue d’un tel match et de voir ses prédictions confirmées à la fin
du quatrième quart-temps.
Dans d’autres cas, ce qui exultera de certaines choses est impossible à
prévoir. Et c’est là que rentre le Chance et la Malchance en jeu, deux
notions très importantes aussi sur le sujet du Destin. Et par la suite,
on peut se poser nombre de questions intéressantes là-dessus : que
penser de la Chance ? De la Malchance ? Y a-t-il vraiment une loi des
séries ? Nos croyances jouent-elles un rôle dans notre flux de Chance
et de Malchance ? Autant de questions qui resteront peut-être à jamais
sans réponses.
Et vous, quel est votre avis ? A quoi croyez-vous, et à quoi ne croyez-vous pas ?
Le Destin.
S’il est bien une chose dont nous ne pouvons prouvé la véridicité,
c’est cela. Que dire sur un sujet si complexe ? Est-ce lui qui veut que
je ne sache pas quoi écrire ? Allons, courage, inspiration vient à moi,
et que l’écriture sorte de mes doigts…
Que l’on croit ou pas au Destin, on ne peut nier l’existence de
l’avenir, cette mystérieuse notion du Temps. Tout comme l’Univers, le
Temps est infini. Il est difficile de se l’imaginer, voir impossible.
Bien qu’il se peut que l’on y soit plus, l’avenir est là, toujours,
tout le temps. La question est : peut-on le prédire ? Car c’est là
qu’est tout le trouble ; la définition du Destin voudrait que ce soit
une forme de l’avenir que l’on puisse prévoir, que l’on sache à
l’avance ce qui se passerait plus tard. Cela implique, et c’est là
qu’est toute la différence avec la notion de l’avenir, que le Destin
est déjà tout tracé, ceux qui ne croient pas au Destin pensent donc que
l’avenir, ce qui se passera dans une minute, dans une heure ou même
dans dix ans, n’est dû qu’au hasard. Si j’appuie sur la touche « E » de
mon Clavier, il est possible qu’il ne se passe pas du tout la même
chose dans trois que si j’avais appuyer sur la touche « Z ».
Donc en résumé, pour bien comprendre la différence entre l’Avenir et le
Destin, cette première notion désigne le futur dont les actions ne
dépendent que du hasard et qu’il est impossible de prédire, alors que
le Destin est une forme du futur qui est déjà toute tracée, et qui si
l’on la savait, ne pourrait être évitée. Religieusement, on peut aussi
dire qu’il est contrôlé par une puissance au dessus de tout, peut-être
divine, surpassant tout autre être, Mortel ou Immortel.
Dans la Mythologie Grecque et Romaine, Le Destin, ou Destinée, est une
divinité aveugle, inexorable, issue de la nuit et du chaos. Toutes les
autres divinités lui étaient soumises. Les cieux, la terre, la mer et
les enfers étaient sous son empire : rien ne pouvait changer ce qu’il
avait résolu. En un mot, le Destin était lui-même cette fatalité
suivant laquelle tout arrivait dans le monde. Le plus puissant des
dieux, Jupiter, ne pouvait fléchir le Destin en faveur ni des dieux, ni
des hommes. Les lois du Destin étaient écrites de toute éternité dans
un lieu où les dieux pouvaient les consulter. Ses ministres étaient les
trois Parques : elles étaient chargées d’exécuter ses ordres. On
représente Jupiter ayant sous ses pieds le globe terrestre et tenant
dans ses mains l’urne qui renferme le sort des mortels. Il porte une
couronne surmontée d’étoiles et un sceptre, symbole de sa souveraine
puissance. Pour faire entendre qu’il ne variait pas, les anciens le
figuraient par une roue que fixe une chaîne. Il y a, en haut de la
roue, une grosse pierre et, en bas, deux cornes d’abondance avec des
pointes de javelot. Dans les contes oraux d’Homère, par la suite
retranscrits à l’écrit, les destinées d’Achille et d’Hector sont pesées
dans la balance de Jupiter et, comme celle du dernier l’emporte, sa
mort est arrêtée : Apollon lui retire l’appui qu’il lui avait accordé
jusqu’alors. Ce sont les aveugles arrêts du Destin qui ont rendu
coupables tant de mortels, malgré leur désir de rester vertueux : dans
Eschyle, par exemple, Agamemnon, Clytemnestre, Jocaste, Œdipe, Étéocle,
Polynice, etc, ne peuvent se soustraire à leur destinée. Les oracles
seuls pouvaient entrevoir et révéler ici-bas ce qui était écrit au
livre du Destin.
Pour conclure, une Destinée peut être très claire, comme dans un match
de Basketball par exemple, où la meilleure équipe du pays affronterait
le dernier du Championnat. Bien qu’il subsiste toujours, pour chaque
chose et celle-ci ne fait pas exception à la règle, des chances pour
que ce soit l’équipe B qui gagne, il n’est pas difficile de « prédire »
l’issue d’un tel match et de voir ses prédictions confirmées à la fin
du quatrième quart-temps.
Dans d’autres cas, ce qui exultera de certaines choses est impossible à
prévoir. Et c’est là que rentre le Chance et la Malchance en jeu, deux
notions très importantes aussi sur le sujet du Destin. Et par la suite,
on peut se poser nombre de questions intéressantes là-dessus : que
penser de la Chance ? De la Malchance ? Y a-t-il vraiment une loi des
séries ? Nos croyances jouent-elles un rôle dans notre flux de Chance
et de Malchance ? Autant de questions qui resteront peut-être à jamais
sans réponses.
Et vous, quel est votre avis ? A quoi croyez-vous, et à quoi ne croyez-vous pas ?
Invité- Invité
Ces Hommes de l'Impossible...
Ces
Hommes de l’Impossible laissent sceptique. Ce sont des squelettes ou
des os incroyables. Avec un texte relativement proche de celui de Terra
Nova, ou Dinosoria, je vais recueillir un maximum de découvertes
invraisemblables. Bonne lecture à vous... Et surtout, n’oubliez pas :
rien ne doit être laissé au Hasard...
1837 : Sépulture de Pygmées
Des squelettes qui mesuraient 0,90 mètre à 1,35 mètre, inhumés dans des
cercueils en bois, ont été découverts dans l’Ohio en 1837. Aucun objet
façonné, près d’eux, ne permit de dater la culture de ces Pygmées. Leur
nombre conduisit les observateurs à supposer qu’ils avaient dû être les
habitants d’une agglomération considérable.
1880 : des Crânes Cornus
Des crânes humains cornus ont été trouvés dans un tertre funéraire de
Sayre (Pennsylvanie). A part ces saillies cornées, à quelques
centimètres au-dessus des arcades sourcilières, ces squelettes
possédaient une anatomie normale. Par contre, leur taille était très
au-dessus de la moyenne soit 2,10 m de haut environ. Les chercheurs
pensent qu’ils ont été inhumés vers l’an 1200 de notre ère.
On pourrait croire que c’est un vaste canular mais ce sont bien des
chercheurs dignes de foi qui ont fait cette surprenante découverte.
Parmi eux, un historien de Pennsylvanie, un dignitaire de l’Eglise
presbytérienne et deux professeurs de l’American Investigating Museum
du Massachusetts.
Certains de ces os ont été envoyés à l’American Investigating Museum de
Philadelphie, où personne ne semble savoir ce qu’ils sont devenus.
Etrange, et je ne vous rappellerai pas Ô combien ceci est proche de la
Mystérieuse affaire de la Semaine Dernière…
1888 : une double rangée de dents
Sept squelettes ont été retrouvés dans un tertre funéraire dans le
Minnesota. Ils avaient une double rangée de dents aux mâchoires
supérieure et inférieure, le front bas et fuyant avec des arcades
sourcilières proéminentes. Ils avaient été inhumés en position assise.
Un Homme Préhistorique d’espère inconnue et pour le moins surprenante,
sûrement… Et Ô Combien fascinante elle aurait dû être !
1911 : des Géants Roux
Et là, ça devient plus complexe, et surtout plus intéressant.
Dans le Nevada, des mineurs entreprirent en 1911 d’exploiter les riches
dépôts de guano de la grotte Lovelock. Rapidement, ils tombèrent sur
des vestiges indiens et surtout sur une momie de 1,98 mètre de haut,
aux cheveux roux. Les légendes des Indiens Païoute parlent d’une tribu
de géants roux, les Si-té-cah, jadis ennemis mortels des indiens de la
région. En 1912, l’université de Californie de Berkeley et la Société
d’histoire de l’état du Nevada, dépêchèrent un scientifique.
Malheureusement, l’exploitation du guano avait tout bouleversé et il ne
put récupérer que quelques objets. Au cours des années suivantes, on
découvrit d’autres fossiles dont des fémurs qui appartenaient à des
individus d’au moins 1,80 mètre.
Ce qu’il ne faut pas oublier, c’est que ces tailles, qui peuvent vous
paraître courante, sont des mensurations gigantesques pour ce lieu, et
surtout pour cette époque ! De toute évidence, ce peuple à du existé,
et les Anthropologues l’admettent...
1921 : un blessure énigmatique
On peut voir, au musée d’histoire Naturelle de Londres, un crâne d’un
homme de Neandertal. Ce crâne, vieux de plus de 20 000 ans, présente
une étrange blessure. Sur le côté gauche, on aperçoit nettement un trou
rond et lisse. La netteté de la blessure laisse à penser qu’elle a été
provoquée par un projectile lancé à très grande vitesse, comme le
ferait une balle. A l’opposé de cette blessure, le crâne est fracassé
comme si le projectile était ressorti. Un expert en médecine légale de
Berlin a estimé après examen que ce trou était identique à celui causé
par une balle. Ce crâne a été trouvé à 18 mètres de profondeur dans
l’actuelle Zambie. Cette découverte est d’autant plus étrange qu’elle
n’est pas unique. Le crâne d’un auroch, une espèce de bœuf sauvage
disparue depuis le 17e siècle, présentait un trou lisse de forme
arrondie, ressemblant également beaucoup à une blessure par balle. Le
squelette a été découvert dans l’ex-URSS. L’animal aurait vécu
plusieurs années après avoir reçu cette blessure.
1932 : une étrange momie... D’enfant ?
Ce sont des chercheurs d’or qui découvrirent dans le Wyoming cette
momie d’un être de 35 centimètres de haut. Cette momie a contribué à
perpétrer les légendes des « petits hommes » auxquelles croyaient les
indiens. Mais, en 1979, la momie fut étudiée d’après les radios prises
par le Dr George Gill, professeur d’anthropologie. Ce petit corps
ratatiné était, conclut-il, celui d’un bébé ou d’un fœtus, appartenant
peut-être à une tribu d’indiens préhistoriques. Le petit devait être
atteint d’anencéphalie, une malformation congénitale qui explique ses
proportions adultes. Il n’empêche que cette momie à pendant longtemps
été la base de rumeurs extravagantes et la « preuve » qu’une autre
légende Indienne était véridique.
1973 : deux squelettes vieux de 100 millions d’années
Allez, je vous le repasse... Pour le plaisir, comme on a coutume de dire !
C’est dans l’Utah que des bulldozers mirent à jour deux squelettes en
parfait état. Ils furent examinés par le professeur d’anthropologie J.P
Marwitt. D’après lui, la formation dans laquelle les squelettes ont été
inhumés date au moins de 100 millions d’années. Les os n’étaient ni
brisés, ni dérangés et n’avaient pas été transportés par une crue à cet
endroit. Apparemment, les deux personnages étaient morts au même
endroit où se trouvaient leurs squelettes. D’aspect relativement
moderne, les fossiles n’étaient pas ceux d’hominidés primitifs. Ce qui
est mystérieux dans cette histoire, c’est que les ossements ont été
photographiés et filmés puis envoyés à l’université de l’Utah. Mais,
nul ne connut jamais les résultats de la datation. On sait que le chef
des travaux, Lin Ottinger, récupéra les ossements mis dans un coin et
négligés pour une raison inconnue par Marwitt. Cette affaire est restée
sans suite…
1931 à 1981 : des empreintes géantes
En 1931, un trappeur découvrit des empreintes apparemment humaines au
Nouveau-Mexique. L’année suivante, quatre chercheurs étudièrent les
traces et découvrirent 13 empreintes. Malgré leur taille gigantesque,
ils leur attribuèrent une origine humaine. De forme ovale, elles
mesuraient 40 à 55 centimètres de long et 20 à 27 centimètres de large.
On revint sur ce site en 1972, 1974 et 1981. On découvrit de nouvelles
empreintes dans les contreforts est des monts San Andres. Il n’y a plus
aucun doute sur leur provenance humaine. Ses traces ont été protégées
en vue de futures recherches. L’espacement semble correspondre à la
marche d’un bipède et non de chameaux comme certains l’ont prétendu.
Invité- Invité
Ces Hommes aux empreintes hors du possible...
Ces Hommes aux empreintes hors du possible...
Publié le 28/05/2008 à 12:00 par nepthtys
Le
propre d’un scientifique est d’être rationnel. Nous ne pouvons le leur
reprocher d’ailleurs. Toute théorie ne peut être considérée comme
fiable si elle n’est pas étayée par de solides preuves. Certaines
découvertes ne peuvent être réfutées. Nous ne pouvons les expliquer
faute de les comprendre. Doit-on pour autant les ignorer ?
Une nouvelle fois, Terra Nova, ou Dinosauria, sera de mise cette
Semaine. Je n’ai pas l’habitude de ne prendre qu’un site en référence,
mais c’est un sujet peu connu. Je lui fais confiance donc, bien que la
méfiance soit toujours de la partie, étant donné le manque de sources.
1817 : des empreintes de 270 Millions d’Années
C’est sur une plaque de calcaire, de la rive ouest du Mississippi à
Saint Louis, que George Rappe trouva d’étranges empreintes. Elles
mesuraient 266 millimètres de long, 101 millimètres de large, avec un
écart de 15,5 centimètres entre les talons et de 34 centimètres entre
les pointes.
Elles furent étudiées par l’ethnologue Henry R. Schoolcraft qui fit le rapport suivant en 1822 :
« Les orteils étaient très écartés et
la plante du pied affaissée comme on le voit chez les gens habitués à
faire de longues marches sans chaussure. Les empreintes sont d’une
grande précision. Elles montrent les détails de la musculature et les
renflements du talon et des orteils. Tous les indices conduisent à la
conclusion que ces empreintes datent de l’époque où le sol était assez
meuble pour les conserver par pression et, qu’elles sont authentiques. »
D’après la datation, ce calcaire a dû se durcir il y a environ 270 millions d’années.
1880 : des empreintes du Carbonifères
Dans les monts de Cumberland (Kentucky), une piste de chariots a mis à
jour une couche de grès carbonifère. Cette strate, vielle de 300
millions d’années, révéla une série d’empreintes : des empreintes
d’ours, des empreintes d’un animal proche d’un grand cheval et des
pieds humains. Les orteils étaient très nettement marqués. Ces traces
ont été étudiées par le Pr. J.F Brown, de Bercea Collège.
1938 : dix empreintes de pieds
Le Dr Wilbur Burroughs, doyen de la faculté de géologie du Berea
College, annonça en 1938 la découverte de dix empreintes de pieds
d’humanoïdes, dans du grès carbonifère à Rockcastle. Les pieds
mesuraient 240 millimètres de long et 152 millimètres de large. La
longueur des pas était de 45 cm. Il ne trouva aucune trace de queue ou
de membres antérieurs. La microphotographie et les infrarouges ne
révélèrent aucune trace de façonnage artificiel. La numération
microscopique des grains de sable indiqua une compression du sol sous
les empreintes. Cela indiquait, sans conteste, qu’il y avait bien eu
pression d’un pied humain, impossible à reproduire par la sculpture. La
roche qui portait les empreintes a été estimée à 250 millions d’années.
Malheureusement, cette roche a été détruite par des vandales il y a une
vingtaine d’années.
1968 : la plus vieille empreinte du Monde
C’est un collectionneur amateur de fossiles qui a découvert en 1968
l’empreinte d’un pied chaussé d’une sandale qui écrase un trilobite. Si
cette empreinte est bien ce qu’elle paraît être, elle daterait de 300 à
600 millions d’années ! L’empreinte a été découverte à Antilope Spring
(Utah). La sandale qui écrase un trilobite mesure 262 millimètres de
long et 77 de large. Le talon est un peu plus usé que la semelle. Le 20
juillet 1968, Le Dr Clifford Burdick, géologue de Tucson, accepta de
venir sur le site. Il y découvrit à son tour, dans une couche de
schiste, l’empreinte d’un pied d’enfant. Il montra cette empreinte à
deux géologues et à un paléontologue. L’un des géologues admit qu’elle
semblait être celle d’un être humain ; le paléontologue réfuta la
découverte. Aucun autre scientifique n’accepta d’étudier ces empreintes.
1971 : empreinte et volcan
L’empreinte d’un être humain semblant fuir une éruption volcanique en
direction du fleuve Gediz, a été découverte dans des cendres
volcaniques en 1971 en Turquie. L’Institut de recherche minéralogique
d’Ankara a évalué à 250 000 ans l’âge de la cendre. Le Laboratoire
médico-légal de Suède a déclaré l’empreinte d’origine humaine.
Nul ne sait à quel type d’hominidé cette empreinte appartient. De toute
évidence, il existait des Hommes à cette époque, c’est certain. Ce qui
« prouve » l’authenticité de la chose, par rapport aux autres cas.
1976 : traces de pieds et de Dinosaures
On peut observer dans le lit de la rivière Paluxy (Texas) des traces de
Dinosaures. L’authenticité de ces traces le long de la rivière n’est
pas contestée. Cependant, là où les paléontologues ne sont plus
d’accord, c’est que ces traces sont accompagnées d’empreintes humaines.
On sait qu’une fraude a été révélée. Plusieurs personnes de la région
ont avoué avoir sculpté des empreintes humaines pour les vendre aux
touristes pendant la crise de 1930. Cependant, les fraudeurs ont
également avoué qu’ils avaient réalisé ces copies à partir d’originaux.
Là où ça devient réellement intéressant c’est qu’en 1976, Jack Walper,
professeur de géologie et John Green ont exploré le lit de cette
rivière.
Au moyen de digues et de pompes, ils ont mis à jour des empreintes de
dinosaures et de pieds humains. Ce qui est surprenant c’est que les
empreintes étaient submergées. Il aurait donc fallu travailler sous
l’eau pour réaliser de fausses empreintes. D’après leurs observations,
toutes les traces présentaient sur leur contour un bourrelet
significatif qui correspond à la pression d’un pied s’enfonçant dans la
vase.
1931 à 1981 : des empreintes géantes
Nous revenons un peu en arrière. Eh oui, ce la même anecdote que la Semaine Dernière… Ca devient une tradition ma parole !
En 1931, un trappeur découvrit des empreintes apparemment humaines au
Nouveau-Mexique. L’année suivante, quatre chercheurs étudièrent les
traces et découvrirent 13 empreintes. Malgré leur taille gigantesque,
ils leur attribuèrent une origine humaine. De forme ovale, elles
mesuraient 40 à 55 centimètres de long et 20 à 27 centimètres de large.
On revint sur ce site en 1972, 1974 et 1981. On découvrit de nouvelles
empreintes dans les contreforts est des monts San Andres. Il n’y a plus
aucun doute sur leur provenance humaine. Ses traces ont été protégées
en vue de futures recherches. L’espacement semble correspondre à la
marche d’un bipède et non de chameaux comme certains l’ont prétendu.
Pour expliquer ces étranges découvertes, le Dr William Greely
Burroughs, de Berea College (Kentucky) a émis l’hypothèse suivante :
Si une dépression se forme dans une roche porteuse de fossiles, elle
peut pendant longtemps se remplir de sédiments. Ces sédiments
deviennent le matériau dans lequel l’empreinte d’un pied se fossilise.
Cette seconde phase de fossilisation étant achevée, la roche de
formation récente peut apparaître indiscernable du socle ancien. Les
nouveaux fossiles semblent donc contemporains des premiers.
Une objection majeure à cette théorie :
Les fossiles anormaux se rencontrent à la jonction des couches
sédimentaires mais également dans la profondeur de roches qui ne
montrent aucun signe de formation discontinue. L’étude des strates ne
montre aucune discordance dans la plupart des cas. Le principe de base
de la stratigraphie est que les couches les plus jeunes se déposent sur
les plus anciennes. Cet ordre peut parfois être bouleversé. Par
exemple, la dérive des continents ou la formation des montagnes créent
parfois des renversements de strates. Une discordance est donc une
ancienne surface d’érosion qui est située entre deux couches suite à un
phénomène inattendu. Ces discordances compliquent grandement la série
des strates et donc la reconstitution de l’histoire de la Terre.
Dans le cas de nos étranges empreintes, nul phénomène de ce genre n’a été observé...
Publié le 28/05/2008 à 12:00 par nepthtys
Le
propre d’un scientifique est d’être rationnel. Nous ne pouvons le leur
reprocher d’ailleurs. Toute théorie ne peut être considérée comme
fiable si elle n’est pas étayée par de solides preuves. Certaines
découvertes ne peuvent être réfutées. Nous ne pouvons les expliquer
faute de les comprendre. Doit-on pour autant les ignorer ?
Une nouvelle fois, Terra Nova, ou Dinosauria, sera de mise cette
Semaine. Je n’ai pas l’habitude de ne prendre qu’un site en référence,
mais c’est un sujet peu connu. Je lui fais confiance donc, bien que la
méfiance soit toujours de la partie, étant donné le manque de sources.
1817 : des empreintes de 270 Millions d’Années
C’est sur une plaque de calcaire, de la rive ouest du Mississippi à
Saint Louis, que George Rappe trouva d’étranges empreintes. Elles
mesuraient 266 millimètres de long, 101 millimètres de large, avec un
écart de 15,5 centimètres entre les talons et de 34 centimètres entre
les pointes.
Elles furent étudiées par l’ethnologue Henry R. Schoolcraft qui fit le rapport suivant en 1822 :
« Les orteils étaient très écartés et
la plante du pied affaissée comme on le voit chez les gens habitués à
faire de longues marches sans chaussure. Les empreintes sont d’une
grande précision. Elles montrent les détails de la musculature et les
renflements du talon et des orteils. Tous les indices conduisent à la
conclusion que ces empreintes datent de l’époque où le sol était assez
meuble pour les conserver par pression et, qu’elles sont authentiques. »
D’après la datation, ce calcaire a dû se durcir il y a environ 270 millions d’années.
1880 : des empreintes du Carbonifères
Dans les monts de Cumberland (Kentucky), une piste de chariots a mis à
jour une couche de grès carbonifère. Cette strate, vielle de 300
millions d’années, révéla une série d’empreintes : des empreintes
d’ours, des empreintes d’un animal proche d’un grand cheval et des
pieds humains. Les orteils étaient très nettement marqués. Ces traces
ont été étudiées par le Pr. J.F Brown, de Bercea Collège.
1938 : dix empreintes de pieds
Le Dr Wilbur Burroughs, doyen de la faculté de géologie du Berea
College, annonça en 1938 la découverte de dix empreintes de pieds
d’humanoïdes, dans du grès carbonifère à Rockcastle. Les pieds
mesuraient 240 millimètres de long et 152 millimètres de large. La
longueur des pas était de 45 cm. Il ne trouva aucune trace de queue ou
de membres antérieurs. La microphotographie et les infrarouges ne
révélèrent aucune trace de façonnage artificiel. La numération
microscopique des grains de sable indiqua une compression du sol sous
les empreintes. Cela indiquait, sans conteste, qu’il y avait bien eu
pression d’un pied humain, impossible à reproduire par la sculpture. La
roche qui portait les empreintes a été estimée à 250 millions d’années.
Malheureusement, cette roche a été détruite par des vandales il y a une
vingtaine d’années.
1968 : la plus vieille empreinte du Monde
C’est un collectionneur amateur de fossiles qui a découvert en 1968
l’empreinte d’un pied chaussé d’une sandale qui écrase un trilobite. Si
cette empreinte est bien ce qu’elle paraît être, elle daterait de 300 à
600 millions d’années ! L’empreinte a été découverte à Antilope Spring
(Utah). La sandale qui écrase un trilobite mesure 262 millimètres de
long et 77 de large. Le talon est un peu plus usé que la semelle. Le 20
juillet 1968, Le Dr Clifford Burdick, géologue de Tucson, accepta de
venir sur le site. Il y découvrit à son tour, dans une couche de
schiste, l’empreinte d’un pied d’enfant. Il montra cette empreinte à
deux géologues et à un paléontologue. L’un des géologues admit qu’elle
semblait être celle d’un être humain ; le paléontologue réfuta la
découverte. Aucun autre scientifique n’accepta d’étudier ces empreintes.
1971 : empreinte et volcan
L’empreinte d’un être humain semblant fuir une éruption volcanique en
direction du fleuve Gediz, a été découverte dans des cendres
volcaniques en 1971 en Turquie. L’Institut de recherche minéralogique
d’Ankara a évalué à 250 000 ans l’âge de la cendre. Le Laboratoire
médico-légal de Suède a déclaré l’empreinte d’origine humaine.
Nul ne sait à quel type d’hominidé cette empreinte appartient. De toute
évidence, il existait des Hommes à cette époque, c’est certain. Ce qui
« prouve » l’authenticité de la chose, par rapport aux autres cas.
1976 : traces de pieds et de Dinosaures
On peut observer dans le lit de la rivière Paluxy (Texas) des traces de
Dinosaures. L’authenticité de ces traces le long de la rivière n’est
pas contestée. Cependant, là où les paléontologues ne sont plus
d’accord, c’est que ces traces sont accompagnées d’empreintes humaines.
On sait qu’une fraude a été révélée. Plusieurs personnes de la région
ont avoué avoir sculpté des empreintes humaines pour les vendre aux
touristes pendant la crise de 1930. Cependant, les fraudeurs ont
également avoué qu’ils avaient réalisé ces copies à partir d’originaux.
Là où ça devient réellement intéressant c’est qu’en 1976, Jack Walper,
professeur de géologie et John Green ont exploré le lit de cette
rivière.
Au moyen de digues et de pompes, ils ont mis à jour des empreintes de
dinosaures et de pieds humains. Ce qui est surprenant c’est que les
empreintes étaient submergées. Il aurait donc fallu travailler sous
l’eau pour réaliser de fausses empreintes. D’après leurs observations,
toutes les traces présentaient sur leur contour un bourrelet
significatif qui correspond à la pression d’un pied s’enfonçant dans la
vase.
1931 à 1981 : des empreintes géantes
Nous revenons un peu en arrière. Eh oui, ce la même anecdote que la Semaine Dernière… Ca devient une tradition ma parole !
En 1931, un trappeur découvrit des empreintes apparemment humaines au
Nouveau-Mexique. L’année suivante, quatre chercheurs étudièrent les
traces et découvrirent 13 empreintes. Malgré leur taille gigantesque,
ils leur attribuèrent une origine humaine. De forme ovale, elles
mesuraient 40 à 55 centimètres de long et 20 à 27 centimètres de large.
On revint sur ce site en 1972, 1974 et 1981. On découvrit de nouvelles
empreintes dans les contreforts est des monts San Andres. Il n’y a plus
aucun doute sur leur provenance humaine. Ses traces ont été protégées
en vue de futures recherches. L’espacement semble correspondre à la
marche d’un bipède et non de chameaux comme certains l’ont prétendu.
Pour expliquer ces étranges découvertes, le Dr William Greely
Burroughs, de Berea College (Kentucky) a émis l’hypothèse suivante :
Si une dépression se forme dans une roche porteuse de fossiles, elle
peut pendant longtemps se remplir de sédiments. Ces sédiments
deviennent le matériau dans lequel l’empreinte d’un pied se fossilise.
Cette seconde phase de fossilisation étant achevée, la roche de
formation récente peut apparaître indiscernable du socle ancien. Les
nouveaux fossiles semblent donc contemporains des premiers.
Une objection majeure à cette théorie :
Les fossiles anormaux se rencontrent à la jonction des couches
sédimentaires mais également dans la profondeur de roches qui ne
montrent aucun signe de formation discontinue. L’étude des strates ne
montre aucune discordance dans la plupart des cas. Le principe de base
de la stratigraphie est que les couches les plus jeunes se déposent sur
les plus anciennes. Cet ordre peut parfois être bouleversé. Par
exemple, la dérive des continents ou la formation des montagnes créent
parfois des renversements de strates. Une discordance est donc une
ancienne surface d’érosion qui est située entre deux couches suite à un
phénomène inattendu. Ces discordances compliquent grandement la série
des strates et donc la reconstitution de l’histoire de la Terre.
Dans le cas de nos étranges empreintes, nul phénomène de ce genre n’a été observé...
Invité- Invité
Ces Hommes hors du Temps...
Ces Hommes hors du Temps...
Je
pense que, pour beaucoup de gens, l’Histoire est ainsi : Dinosaures,
Hommes, Homme Moderne. Plus exactement, les Dinosaures sont apparus
vers l’ère Mésozoïque, puis il y a 65 Millions d’Années, ont
brusquement disparus. S’en est suivis, globalement, l’arrivée et le
règne des mammifères. Il y a 7 Millions d’Années, Toumaï, ou Sahelanthropus tchadensis, s’est joint à la fête, suivi par l’Australopithecus, il y a 4,5 Millions d’Années. Ensuite, pour aller vite, il y a eu le Paranthropus, il y a 2,7 Millions d’Années, l’Homo habilis, il y a de ça 2,4 Millions d’Années, l’Homo ergaster, il y a 2 Millions d’Années, l’Homo erectus, il y a 1,75 Millions d’Années, et enfin l’Homo sapiens,
l’Homme Moderne, c’est-à-dire Nous, qui est apparu il y a 300 000 à 100
000 ans. Disons qu’en réalité, c’est un schéma très complexe qui est
souvent modifier suivant les découvertes. Le Genre Australopithecus serait par ailleurs un lointain cousin du Genre Homo,
et non pas notre ancêtre. Il y aurait aussi apparemment des espèces
d’Hominidés qui auraient suivies un chemin à l’écart de celui qu’à
suivi les ancêtres de notre espèce et qui se seraient éteints par la
suite, parfois alors que l’Homo sapiens était déjà apparu, tel l’Homo floresiensis ou l’Homo soloensis, qui auraient dérivés de l’Homo erectus et qui se seraient éteints, à une échelle moyennement grande, il y a peu de temps. Dans le Genre Homo, il y a eu bien sûr d’autres espèces, qui ont parfois cohabités ensemble ou avec d’autres déjà citées : l’Homo rudolfensis, premier de son Genre à avoir foulé la Terre, ou l’Homo georgicus, descendant direct de l’Homo ergaster,
donc apparu après lui, mais éteint avant lui, etc. A la fin, ce sont
des espèces qui ont vécus moins longtemps mais qui sont énormément plus
proches de notre espèce actuelle.
Ensuite, il est important de souligner les différents ères : il y a eu
l’Ere Primaire, de la formation de la Terre au Permien, soit de 4 600
Millions d’Années à 250 Millions d’années, c’est la plus longue des
quatre. S’en est suivit l’ère secondaire, de la fin du Trias à la fin
du Crétacé, soit de 250 Millions d’Années à 65 Millions d’années, qui a
vu naître les premiers vrais
Dinosaures, ainsi que les tous premiers mammifères et oiseaux. Et, par
la même occasion, la Mort des Dinosaures a été elle aussi aperçu… Et
c’est d’ailleurs elle qui pointe la fin de cette ère, suivie par l’ère
tertiaire. Celle-ci verra, à sa fin, la naissance des premiers
Hominidés sui déboucheront sur l’Homme Moderne. Ainsi, cette ère dura
de 65 Millions d’Années à 1,75 Millions d’Années. Et enfin l’ère
quaternaire, notre époque actuelle, qui a vu (il y a peu de temps
finalement) les premiers Homo sapiens.
En outre, notre premier cas est celui de Pierre TREAND, Archéologue
reconnu. Il a découvert, en 1986, au cours de fouilles à
Serre-de-Brigoule (sud de la Drôme en France), des silex qui portent
les traces d’une intervention humaine. Ces objets ont été retrouvés
dans une couche sédimentaire, tenez-vous bien, du Tertiaire ! Pourtant,
les premier bifaces ont été fabriqués par l’Homo habilis,
au tout début de l’ère quaternaire. Alors, dans un chantier de fouilles
datant de l’ère tertiaire, et d’une époque, plus précisément, où
l’Homme ne savait pas fabriquer d’objets, et encore
moins d’outils... En fait, c’est une couche sédimentaire datant du
Burdigalien (il y a de ça 20,5 à 16,4 Millions d’Années) qui abritait
ces fameux silex. Et donc, vous vous en doutez, il n’y avait (du moins
pas d’après les connaissances officielles actuelles) d’Hommes à cette
époque...
Pierre Tréand a donc, suite à cette incroyable découverte, prévenu les
autorités officielles. Des dizaines de demandes, afin que les objets
soient analysés, ont été envoyées. Aucune réponse. On pourrait croire
que cette nouvelle chamboulerait toute la communauté scientifique : eh
bien non, même pas ! Aucun archéologue n’a voulu visiter le site de
fouille ou examiner un silex… Les journalistes scientifiques ont montré
aussi peu de curiosité. Le seul magazine à s’être intéressé à cette
découverte a été l’Hebdo qui lui a consacré un article le 7 juillet
1994. Malheureusement, cet article n’a eu aucun effet sur les
paléontologues européens. Quelle curieuse indifférence !
De plus, et c’est là le plus fascinant, des peintures ont été
recueillis sur le lieu de fouille, ou, après moulage, on peut y
reconnaître de grands singes, et même... des Dinosaures ! Alors,
comment expliquer cela ? L’extinction de nos chers écailleux ne s’est
peut-être pas appliquée à tous... Ou alors, ces Hommes ont peint grâce
à la mémoire des anciens. On dit qu’une légende à toujours un fondement
: peut-être pratiquaient-ils une certaine religion dont ils croyaient à
ces monstres maintenant disparus. Ce qui impliquerait un recul encore
plus incroyable de l’apparition de l’Homme...
Il peut paraître impensable que des scientifiques qui consacrent leur
existence à rechercher des preuves de notre évolution puissent rejeter
une telle découverte sans même effectuer la moindre analyse. Cette
découverte remet en cause toute notre évolution. S’il est prouvé que
l’homme existait déjà au tertiaire, toutes les théories officielles
deviennent périmées. Le conservatisme est sûrement une des raisons de
ce rejet. L’être humain est élevé dans le respect des dogmes. L’inconnu
lui fait peur et il lui est très difficile de rejeter tout ce qu’on lui
a inculqué. De plus, les enjeux financiers ne sont pas négligeables.
Des centaines d’ouvrages seraient mis au rebus et les paléontologues,
aujourd’hui reconnus, seraient discrédités. Il est donc d'autant plus
crucial que les paléontologues se positionnent enfin sur cette
découverte. Si c’est un canular, il leur suffit de le dire, avec
arguments à l’appui...
Mais tout ceci n’est pas le seul cas de ces Hommes de l’Impossible.
C’est dans l’Utah que des bulldozers mirent à jour deux squelettes en
parfait état. Ils furent examinés par le professeur d’anthropologie J.P
Marwitt. D’après lui, la formation dans laquelle les squelettes ont été
inhumés date au moins de 100 millions d’années. Les os n’étaient ni
brisés, ni dérangés et n’avaient pas été transportés par une crue à cet
endroit. Apparemment, les deux personnages étaient morts au même
endroit où se trouvaient leurs squelettes. D’aspect relativement
moderne, les fossiles n’étaient pas ceux d’hominidés primitifs. Ce qui
est mystérieux dans cette histoire, c’est que les ossements ont été
photographiés et filmés puis envoyés à l’université de l’Utah. Mais,
nul ne connut jamais les résultats de la datation. On sait que le chef
des travaux, Lin Ottinger, récupéra les ossements mis dans un coin et
négligés pour une raison inconnue par Marwitt. Cette affaire est restée
sans suite...
Ainsi est l’Histoire de l’Homme. Ah, « comment ? » me dites-vous ? Vous n’avez pas compris comment elle est c’est ça ?
Inconnue. Elle est inconnue.
Je
pense que, pour beaucoup de gens, l’Histoire est ainsi : Dinosaures,
Hommes, Homme Moderne. Plus exactement, les Dinosaures sont apparus
vers l’ère Mésozoïque, puis il y a 65 Millions d’Années, ont
brusquement disparus. S’en est suivis, globalement, l’arrivée et le
règne des mammifères. Il y a 7 Millions d’Années, Toumaï, ou Sahelanthropus tchadensis, s’est joint à la fête, suivi par l’Australopithecus, il y a 4,5 Millions d’Années. Ensuite, pour aller vite, il y a eu le Paranthropus, il y a 2,7 Millions d’Années, l’Homo habilis, il y a de ça 2,4 Millions d’Années, l’Homo ergaster, il y a 2 Millions d’Années, l’Homo erectus, il y a 1,75 Millions d’Années, et enfin l’Homo sapiens,
l’Homme Moderne, c’est-à-dire Nous, qui est apparu il y a 300 000 à 100
000 ans. Disons qu’en réalité, c’est un schéma très complexe qui est
souvent modifier suivant les découvertes. Le Genre Australopithecus serait par ailleurs un lointain cousin du Genre Homo,
et non pas notre ancêtre. Il y aurait aussi apparemment des espèces
d’Hominidés qui auraient suivies un chemin à l’écart de celui qu’à
suivi les ancêtres de notre espèce et qui se seraient éteints par la
suite, parfois alors que l’Homo sapiens était déjà apparu, tel l’Homo floresiensis ou l’Homo soloensis, qui auraient dérivés de l’Homo erectus et qui se seraient éteints, à une échelle moyennement grande, il y a peu de temps. Dans le Genre Homo, il y a eu bien sûr d’autres espèces, qui ont parfois cohabités ensemble ou avec d’autres déjà citées : l’Homo rudolfensis, premier de son Genre à avoir foulé la Terre, ou l’Homo georgicus, descendant direct de l’Homo ergaster,
donc apparu après lui, mais éteint avant lui, etc. A la fin, ce sont
des espèces qui ont vécus moins longtemps mais qui sont énormément plus
proches de notre espèce actuelle.
Ensuite, il est important de souligner les différents ères : il y a eu
l’Ere Primaire, de la formation de la Terre au Permien, soit de 4 600
Millions d’Années à 250 Millions d’années, c’est la plus longue des
quatre. S’en est suivit l’ère secondaire, de la fin du Trias à la fin
du Crétacé, soit de 250 Millions d’Années à 65 Millions d’années, qui a
vu naître les premiers vrais
Dinosaures, ainsi que les tous premiers mammifères et oiseaux. Et, par
la même occasion, la Mort des Dinosaures a été elle aussi aperçu… Et
c’est d’ailleurs elle qui pointe la fin de cette ère, suivie par l’ère
tertiaire. Celle-ci verra, à sa fin, la naissance des premiers
Hominidés sui déboucheront sur l’Homme Moderne. Ainsi, cette ère dura
de 65 Millions d’Années à 1,75 Millions d’Années. Et enfin l’ère
quaternaire, notre époque actuelle, qui a vu (il y a peu de temps
finalement) les premiers Homo sapiens.
En outre, notre premier cas est celui de Pierre TREAND, Archéologue
reconnu. Il a découvert, en 1986, au cours de fouilles à
Serre-de-Brigoule (sud de la Drôme en France), des silex qui portent
les traces d’une intervention humaine. Ces objets ont été retrouvés
dans une couche sédimentaire, tenez-vous bien, du Tertiaire ! Pourtant,
les premier bifaces ont été fabriqués par l’Homo habilis,
au tout début de l’ère quaternaire. Alors, dans un chantier de fouilles
datant de l’ère tertiaire, et d’une époque, plus précisément, où
l’Homme ne savait pas fabriquer d’objets, et encore
moins d’outils... En fait, c’est une couche sédimentaire datant du
Burdigalien (il y a de ça 20,5 à 16,4 Millions d’Années) qui abritait
ces fameux silex. Et donc, vous vous en doutez, il n’y avait (du moins
pas d’après les connaissances officielles actuelles) d’Hommes à cette
époque...
Pierre Tréand a donc, suite à cette incroyable découverte, prévenu les
autorités officielles. Des dizaines de demandes, afin que les objets
soient analysés, ont été envoyées. Aucune réponse. On pourrait croire
que cette nouvelle chamboulerait toute la communauté scientifique : eh
bien non, même pas ! Aucun archéologue n’a voulu visiter le site de
fouille ou examiner un silex… Les journalistes scientifiques ont montré
aussi peu de curiosité. Le seul magazine à s’être intéressé à cette
découverte a été l’Hebdo qui lui a consacré un article le 7 juillet
1994. Malheureusement, cet article n’a eu aucun effet sur les
paléontologues européens. Quelle curieuse indifférence !
De plus, et c’est là le plus fascinant, des peintures ont été
recueillis sur le lieu de fouille, ou, après moulage, on peut y
reconnaître de grands singes, et même... des Dinosaures ! Alors,
comment expliquer cela ? L’extinction de nos chers écailleux ne s’est
peut-être pas appliquée à tous... Ou alors, ces Hommes ont peint grâce
à la mémoire des anciens. On dit qu’une légende à toujours un fondement
: peut-être pratiquaient-ils une certaine religion dont ils croyaient à
ces monstres maintenant disparus. Ce qui impliquerait un recul encore
plus incroyable de l’apparition de l’Homme...
Il peut paraître impensable que des scientifiques qui consacrent leur
existence à rechercher des preuves de notre évolution puissent rejeter
une telle découverte sans même effectuer la moindre analyse. Cette
découverte remet en cause toute notre évolution. S’il est prouvé que
l’homme existait déjà au tertiaire, toutes les théories officielles
deviennent périmées. Le conservatisme est sûrement une des raisons de
ce rejet. L’être humain est élevé dans le respect des dogmes. L’inconnu
lui fait peur et il lui est très difficile de rejeter tout ce qu’on lui
a inculqué. De plus, les enjeux financiers ne sont pas négligeables.
Des centaines d’ouvrages seraient mis au rebus et les paléontologues,
aujourd’hui reconnus, seraient discrédités. Il est donc d'autant plus
crucial que les paléontologues se positionnent enfin sur cette
découverte. Si c’est un canular, il leur suffit de le dire, avec
arguments à l’appui...
Mais tout ceci n’est pas le seul cas de ces Hommes de l’Impossible.
C’est dans l’Utah que des bulldozers mirent à jour deux squelettes en
parfait état. Ils furent examinés par le professeur d’anthropologie J.P
Marwitt. D’après lui, la formation dans laquelle les squelettes ont été
inhumés date au moins de 100 millions d’années. Les os n’étaient ni
brisés, ni dérangés et n’avaient pas été transportés par une crue à cet
endroit. Apparemment, les deux personnages étaient morts au même
endroit où se trouvaient leurs squelettes. D’aspect relativement
moderne, les fossiles n’étaient pas ceux d’hominidés primitifs. Ce qui
est mystérieux dans cette histoire, c’est que les ossements ont été
photographiés et filmés puis envoyés à l’université de l’Utah. Mais,
nul ne connut jamais les résultats de la datation. On sait que le chef
des travaux, Lin Ottinger, récupéra les ossements mis dans un coin et
négligés pour une raison inconnue par Marwitt. Cette affaire est restée
sans suite...
Ainsi est l’Histoire de l’Homme. Ah, « comment ? » me dites-vous ? Vous n’avez pas compris comment elle est c’est ça ?
Inconnue. Elle est inconnue.
Invité- Invité
D'autres planètes habitables ?
D'autres planètes habitables ?
Voilà
bien une question que l’Homme cherche à savoir depuis qu’il pense ne
pas être seul dans l’Univers. Les dernières recherches ont été
fructueuses, vous en avez certainement déjà entendu parler.
Approfondissons un peu tout cela…
Ce sont des chercheurs Portugais, Suisses et Français qui ont
découverts il y a peu un système extrasolaire (hors de notre système
solaire à nous) incluant une planète de type habitable. Située autour
d’une étoile naine et rouge (qu’on appellera donc « étoile naine rouge
») se nommant G1581, elle est située à 20,5 années lumières de notre
bonne vieille Terre. Alors pourquoi serait-elle habitable ? C’est ce
que nous allons voir ensemble.
Tout d’abord, parlons de G1581. C’est donc une étoile de la famille des
naines rouges. Donc, comme son nom l’indique, elle est petite et rouge…
Sa masse est de moins du tiers de celle du Soleil. Les naines rouges
sont des cibles privilégiées pour la recherche de planètes habitables.
En effet, ces étoiles étant relativement peu lumineuses, leurs planètes
habitables orbitent près d’elles, et sont alors plus facilement
détectables. De plus, les naines rouges sont les étoiles les plus
nombreuses de la Galaxie: sur les 100 étoiles les plus proches de nous,
80 font partie de cette famille.
Quant à cette fameuse planète, elle aurait apparemment la température
idéale pour accueillir la vie. La température d’une planète dépend à la
fois de la distance à son étoile, mais aussi de sa capacité à réfléchir
une partie de la lumière qu’elle reçoit. Ainsi, cette planète aurait une température variant de 0°C à 40°C. Ces conditions permettent la présence d’eau liquide à sa surface.
D’une masse très faible (5 fois celle de la terre), elle orbite autour
de G1581 en 13 jours. Pour une telle masse, on pourrait penser que sa
matière serait rocheuse, ou que cette planète soit recouverte d’un
Océan. Sa gravité (la force qui nous permet de rester les pieds sur
Terre, ou force de gravité, grâce au noyau de la Terre qui agit comme
un aimant sur toutes choses) est 2,2 fois supérieure à celle de la
surface de la Terre, et son rayon (jusqu’où cette force de gravité
agit) est 1,5 fois supérieur à celui de la Terre.
De par sa température (qui la rend habitable) et sa relative proximité
avec notre propre système solaire (20,5 années-lumière « seulement »),
cette planète va devenir la cible privilégiée des prochaines missions
dédiées à la recherche de vie extra-terrestre, notamment avec le
satellite DARWIN.
Une autre planète orbitant en 5,4 jours autour de l’étoile Gl581, et de
la masse de Neptune, avait déjà été découverte en 2005 par la même
équipe. En même temps que la planète habitable, ces chercheurs ont
également mis en évidence une troisième planète, d’une masse 8 fois
supérieure à celle de la Terre et orbitant en 84 jours autour de cette
même étoile. Le système de Gl581 est donc constitué d’au moins 3
planètes.
Oui, mais voilà, y a-t-il réellement une vie sur cette planète ? Est
elle réellement habitable ? Il y a encore trop d’hypothèses et pas
assez de certitudes. Si nous souhaitons parvenir à répondre à ces
question, ils nous faudra attendre quelques années...
Mais ne nous arrêtons pas là. N’aurais-ton donc jamais découvert l’une
ou l’autre planète où la vie aurait été plausible ? Si, bien sûr. Et
savez-vous laquelle ? Mars...
Eh oui, Mars. Il a été démontré que la présence de l’eau sur Mars est véridique.
Bien que l’eau (salée) ne représente à ce jour plus que 0,05% de
l’atmosphère martienne, une sonde à récemment découvert des glaciers !
Une autre aurait découvert la présence d’eau, peut-être liquide, dans
le sol et les roches ! Une nouvelle sonde devrait d’ici peu vérifier
tout cela en sondant cette planète sur plusieurs kilomètres de
profondeur...
Il est vrai que la vie sur Terre est apparue grâce à l’eau. Pourquoi le
même processus ne se ferait pas sur Mars ? Mais il est quasiment prouvé
que la Vie y existe déjà, sous forme minuscule (moins d’un micron !).
Et s’il existait des formes de vie plus grandes ? ...
De toute évidence, l’Univers est infinie.
C’est une notion difficile à imaginer, mais c’est comme ça. Alors, dans
un espace infini, tout est infini. Et les planètes habitables, ou
habitées, également… Enfin, ce qu’une façon de voir les choses. Ma
façon…
Voilà
bien une question que l’Homme cherche à savoir depuis qu’il pense ne
pas être seul dans l’Univers. Les dernières recherches ont été
fructueuses, vous en avez certainement déjà entendu parler.
Approfondissons un peu tout cela…
Ce sont des chercheurs Portugais, Suisses et Français qui ont
découverts il y a peu un système extrasolaire (hors de notre système
solaire à nous) incluant une planète de type habitable. Située autour
d’une étoile naine et rouge (qu’on appellera donc « étoile naine rouge
») se nommant G1581, elle est située à 20,5 années lumières de notre
bonne vieille Terre. Alors pourquoi serait-elle habitable ? C’est ce
que nous allons voir ensemble.
Tout d’abord, parlons de G1581. C’est donc une étoile de la famille des
naines rouges. Donc, comme son nom l’indique, elle est petite et rouge…
Sa masse est de moins du tiers de celle du Soleil. Les naines rouges
sont des cibles privilégiées pour la recherche de planètes habitables.
En effet, ces étoiles étant relativement peu lumineuses, leurs planètes
habitables orbitent près d’elles, et sont alors plus facilement
détectables. De plus, les naines rouges sont les étoiles les plus
nombreuses de la Galaxie: sur les 100 étoiles les plus proches de nous,
80 font partie de cette famille.
Quant à cette fameuse planète, elle aurait apparemment la température
idéale pour accueillir la vie. La température d’une planète dépend à la
fois de la distance à son étoile, mais aussi de sa capacité à réfléchir
une partie de la lumière qu’elle reçoit. Ainsi, cette planète aurait une température variant de 0°C à 40°C. Ces conditions permettent la présence d’eau liquide à sa surface.
D’une masse très faible (5 fois celle de la terre), elle orbite autour
de G1581 en 13 jours. Pour une telle masse, on pourrait penser que sa
matière serait rocheuse, ou que cette planète soit recouverte d’un
Océan. Sa gravité (la force qui nous permet de rester les pieds sur
Terre, ou force de gravité, grâce au noyau de la Terre qui agit comme
un aimant sur toutes choses) est 2,2 fois supérieure à celle de la
surface de la Terre, et son rayon (jusqu’où cette force de gravité
agit) est 1,5 fois supérieur à celui de la Terre.
De par sa température (qui la rend habitable) et sa relative proximité
avec notre propre système solaire (20,5 années-lumière « seulement »),
cette planète va devenir la cible privilégiée des prochaines missions
dédiées à la recherche de vie extra-terrestre, notamment avec le
satellite DARWIN.
Une autre planète orbitant en 5,4 jours autour de l’étoile Gl581, et de
la masse de Neptune, avait déjà été découverte en 2005 par la même
équipe. En même temps que la planète habitable, ces chercheurs ont
également mis en évidence une troisième planète, d’une masse 8 fois
supérieure à celle de la Terre et orbitant en 84 jours autour de cette
même étoile. Le système de Gl581 est donc constitué d’au moins 3
planètes.
Oui, mais voilà, y a-t-il réellement une vie sur cette planète ? Est
elle réellement habitable ? Il y a encore trop d’hypothèses et pas
assez de certitudes. Si nous souhaitons parvenir à répondre à ces
question, ils nous faudra attendre quelques années...
Mais ne nous arrêtons pas là. N’aurais-ton donc jamais découvert l’une
ou l’autre planète où la vie aurait été plausible ? Si, bien sûr. Et
savez-vous laquelle ? Mars...
Eh oui, Mars. Il a été démontré que la présence de l’eau sur Mars est véridique.
Bien que l’eau (salée) ne représente à ce jour plus que 0,05% de
l’atmosphère martienne, une sonde à récemment découvert des glaciers !
Une autre aurait découvert la présence d’eau, peut-être liquide, dans
le sol et les roches ! Une nouvelle sonde devrait d’ici peu vérifier
tout cela en sondant cette planète sur plusieurs kilomètres de
profondeur...
Il est vrai que la vie sur Terre est apparue grâce à l’eau. Pourquoi le
même processus ne se ferait pas sur Mars ? Mais il est quasiment prouvé
que la Vie y existe déjà, sous forme minuscule (moins d’un micron !).
Et s’il existait des formes de vie plus grandes ? ...
De toute évidence, l’Univers est infinie.
C’est une notion difficile à imaginer, mais c’est comme ça. Alors, dans
un espace infini, tout est infini. Et les planètes habitables, ou
habitées, également… Enfin, ce qu’une façon de voir les choses. Ma
façon…
Invité- Invité
Re: Mystères & Enigmes
La Prophétie des Papes de Saint Malachie...
Publié le 28/05/2008 à 12:00 par nepthtys
Ce
texte mystérieux, que l’on attribue parfois à Nostradamus, à été publié
dans un volumineux manuscrit par Arnold de Wyon en 1595. Ce texte
ésotérique n’est pas pris au sérieux par la plupart des chercheurs et
n’est pas utilisé dans l’Église, du moins officiellement car il refait
surface lors de chaque conclave. Malachie était un Archevêque
Catholique du XIIème siècle. Ce serait lui qui aurait dressé la liste
de 112 Papes à partir du premier successeur de Célestin II (
1143-1444). Mais un problème se pose dans cette liste : en rapport avec
les dates retransmises, le fait est de savoir si tous les Papes sont
ceux du Vatican, ou certains d’Avignon sont-ils eux aussi pris en
compte ? Mon avis personnel serait plutôt que seuls les Papes de Rome
sont cités ici.
Oui mais voilà. Un autre problème se pose, et il concerne l’auteur.
Ange Manrique, qui a possédé les papiers de Malachie après la mort de
ce dernier, affirme qu'il n'a trouvé aucune trace de prophétie. Par
ailleurs, Jean de Salisbury et Pierre le Vénérable ont travaillé sur
l'œuvre de Malachie et n'évoquent aucune prophétie. Saint Bernard,
contemporain et ami de Malachie, a publié la biographie de ce dernier
peu de temps après sa mort, sans jamais évoquer les prétendues
prophéties qu'il aurait écrites. Enfin, le texte laisse transparaître
des connaissances alchimiques et cabalistiques que Malachie ne
possédait pas…
Le fait que beaucoup d’erreurs concernant certains Papes ayant vécus
ultérieurement à la publication de la Prophétie laisse paraître un très
mauvais regard quant à la prédiction future. Mais apparemment, plus
l’événement est lointain dans le temps, plus il semble précis…
D’ailleurs, ces erreurs, traduisent du latin, peuvent tout aussi bien
être traduisent autrement, et leur sens serait alors tout autre. Et
donc, l’erreur ne serait plus… Du moins pas normalement.
Mais à quoi sert donc cette liste me direz-vous ? Déjà, décomposons le
concept. C’est une liste en latin qui énumère 112 devises, attribuées
aux Papes successeurs de Célestin II (1143-1144) et prétendant annoncer
la Fin du Monde, celle-ci arrivant avec le dernier Pape annoncé. Pour
chaque Pape, une devise latine est donnée, qui a suscité des
interprétations prophétiques.
Voici la liste des Papes 109, 110 et 111 :
109. De mediate lunae (de la moitié de la lune ou du
temps moyen d’une lune) Jean-Paul Ier (1978-1978). Élu lors de la
demi-lune, Jean-Paul Ier mourut 33 jours plus tard lors de la demi-lune
suivante.
110. De labore Solis (de l’éclipse solaire, du labeur
du soleil) Jean-Paul II (1978-2005). Ce pape est originaire d’un pays à
l’Est de Rome, là où le soleil se lève. Sous son pontificat s’est
dégelée la situation du bloc soviétique, ainsi que la « Guerre Froide
», comme neige au soleil. Il est né le 18 Mai 1920, jour d’éclipse
partielle de soleil, et enterré le 8 Avril 2005, jour d’une éclipse
annulaire-totale de soleil. Il a parcouru toute la planète, en faisant
le tour d’une manière infatigable, comme le soleil.
111. Gloria olivae (la gloire de l’olivier). Benoît XVI
(2005- ). Les branches d’olivier sont le symbole des olivétains, une
branche de l’ordre de saint Benoît, mais ce n’est aucunement le symbole
des bénédictins en général et le cardinal Ratzinger n’avait aucun lien
avec les olivétains. L’olivier est aussi le symbole de la paix : Benoît
XVI prône un rapprochement avec le judaïsme (on considère parfois la
branche d’olivier comme symbole d’Israël) ; mais si c’est là le sens de
cette devise, elle peut s’appliquer indifféremment à tous les Papes
depuis Jean XXIII. Le Pape est membre associé étranger, depuis 1992, de
l’Académie des Sciences morales et politiques, dont l’uniforme -l’habit
vert- est orné de feuilles d’olivier ; cependant ni les membres
associés étrangers, ni les académiciens ecclésiastiques en général (y
compris les membres titulaires) ne portent l’habit vert, et le cardinal
Ratzinger n’a jamais porté cet habit.
Donc, pour l’instant, tout est apparemment véridique. La devise du 112ème Pape, dit Petrus Romanus,
Pierre le Romain, peut se traduire ainsi : « Dans la dernière
persécution de la sainte Église romaine siègera Pierre Romain, qui
paîtra ses brebis au milieu de nombreuses tribulations. Ces
tribulations passées, la ville aux sept collines sera détruite et le
juge redoutable jugera son peuple. » Cela laissera penser que Petrus
Romanus succèderait immédiatement à Gloria Olivae, autrement dit à
Benoît XVI, élu en 2005. Dans un traduction différente, on pourrait
plutôt penser que d’autres Pontifes pourraient s’intercaler entre celui
de Benoît XI et celui de Pierre le Romain.
Pour mon avis personnel, qui intéressera peut-être certaines personnes
(sisi !), que la liste s’arrête là et que l’on dise que la ville aux 7
collines soit détruite, ça ne peut avoir qu’une signification. Je
m’explique : la ville aux 7 collines est bien sûr Rome. Rome, on le
sait tous, abrite actuellement le Vatican, et a de tous temps garder
sous son toit la papauté. Rome est donc la référence de la Religion
Catholique, un peu son emblème. La destruction de la Ville aux 7
Collines, Rome, voudrais donc tout simplement dire que seule la
Religion Catholique sera détruite, et non pas un nouveau prétexte de
Fin du Monde apeurant une nouvelle fois une Population trop crédule…
De plus, les Papes ont depuis la création de l’Église Chrétienne pris
le nom d’un apôtre de Jésus ou d’un Saint qui correspondait à leur
manière de penser ou encore aux actions qu’ils leurs étaient
attribuées. C’est pour cela que nous avons des Jean XXIII et des Pie
XII. Mais pour ce qui est de Pierre, il existe toujours un tabou sur
lui qui est le fondateur de l’Église, le premier Pape nommé par Jésus
lui-même, peut-être pas au même sens que la papauté que nous
connaissons, mais ça c’est une autre histoire. C’est lorsque l’Empire
romain s’est converti au Christianisme, qu’ils ont décidé de construire
ce qui est devenu le Vatican à l’endroit où Pierre l’apôtre est mort à
cause de la persécution. Aucun autre Pape n’a osé prendre le nom de
Pierre. Il est peu probable que ce dernier pape occupe ses fonctions
sous le nom de Pierre, mais si c'est le cas nous comprendrons que la
boucle vient de se fermer. Nous entrerons alors dans une nouvelle ère.
Pour ceux qui sont intéressés , voilà une liste de tous les Papes cités dans la
liste de Malachie :
http://lesparanormaux.free.fr/revelationsprivees/prophetiedespapes.htm .
Publié le 28/05/2008 à 12:00 par nepthtys
Ce
texte mystérieux, que l’on attribue parfois à Nostradamus, à été publié
dans un volumineux manuscrit par Arnold de Wyon en 1595. Ce texte
ésotérique n’est pas pris au sérieux par la plupart des chercheurs et
n’est pas utilisé dans l’Église, du moins officiellement car il refait
surface lors de chaque conclave. Malachie était un Archevêque
Catholique du XIIème siècle. Ce serait lui qui aurait dressé la liste
de 112 Papes à partir du premier successeur de Célestin II (
1143-1444). Mais un problème se pose dans cette liste : en rapport avec
les dates retransmises, le fait est de savoir si tous les Papes sont
ceux du Vatican, ou certains d’Avignon sont-ils eux aussi pris en
compte ? Mon avis personnel serait plutôt que seuls les Papes de Rome
sont cités ici.
Oui mais voilà. Un autre problème se pose, et il concerne l’auteur.
Ange Manrique, qui a possédé les papiers de Malachie après la mort de
ce dernier, affirme qu'il n'a trouvé aucune trace de prophétie. Par
ailleurs, Jean de Salisbury et Pierre le Vénérable ont travaillé sur
l'œuvre de Malachie et n'évoquent aucune prophétie. Saint Bernard,
contemporain et ami de Malachie, a publié la biographie de ce dernier
peu de temps après sa mort, sans jamais évoquer les prétendues
prophéties qu'il aurait écrites. Enfin, le texte laisse transparaître
des connaissances alchimiques et cabalistiques que Malachie ne
possédait pas…
Le fait que beaucoup d’erreurs concernant certains Papes ayant vécus
ultérieurement à la publication de la Prophétie laisse paraître un très
mauvais regard quant à la prédiction future. Mais apparemment, plus
l’événement est lointain dans le temps, plus il semble précis…
D’ailleurs, ces erreurs, traduisent du latin, peuvent tout aussi bien
être traduisent autrement, et leur sens serait alors tout autre. Et
donc, l’erreur ne serait plus… Du moins pas normalement.
Mais à quoi sert donc cette liste me direz-vous ? Déjà, décomposons le
concept. C’est une liste en latin qui énumère 112 devises, attribuées
aux Papes successeurs de Célestin II (1143-1144) et prétendant annoncer
la Fin du Monde, celle-ci arrivant avec le dernier Pape annoncé. Pour
chaque Pape, une devise latine est donnée, qui a suscité des
interprétations prophétiques.
Voici la liste des Papes 109, 110 et 111 :
temps moyen d’une lune) Jean-Paul Ier (1978-1978). Élu lors de la
demi-lune, Jean-Paul Ier mourut 33 jours plus tard lors de la demi-lune
suivante.
du soleil) Jean-Paul II (1978-2005). Ce pape est originaire d’un pays à
l’Est de Rome, là où le soleil se lève. Sous son pontificat s’est
dégelée la situation du bloc soviétique, ainsi que la « Guerre Froide
», comme neige au soleil. Il est né le 18 Mai 1920, jour d’éclipse
partielle de soleil, et enterré le 8 Avril 2005, jour d’une éclipse
annulaire-totale de soleil. Il a parcouru toute la planète, en faisant
le tour d’une manière infatigable, comme le soleil.
(2005- ). Les branches d’olivier sont le symbole des olivétains, une
branche de l’ordre de saint Benoît, mais ce n’est aucunement le symbole
des bénédictins en général et le cardinal Ratzinger n’avait aucun lien
avec les olivétains. L’olivier est aussi le symbole de la paix : Benoît
XVI prône un rapprochement avec le judaïsme (on considère parfois la
branche d’olivier comme symbole d’Israël) ; mais si c’est là le sens de
cette devise, elle peut s’appliquer indifféremment à tous les Papes
depuis Jean XXIII. Le Pape est membre associé étranger, depuis 1992, de
l’Académie des Sciences morales et politiques, dont l’uniforme -l’habit
vert- est orné de feuilles d’olivier ; cependant ni les membres
associés étrangers, ni les académiciens ecclésiastiques en général (y
compris les membres titulaires) ne portent l’habit vert, et le cardinal
Ratzinger n’a jamais porté cet habit.
Donc, pour l’instant, tout est apparemment véridique. La devise du 112ème Pape, dit Petrus Romanus,
Pierre le Romain, peut se traduire ainsi : « Dans la dernière
persécution de la sainte Église romaine siègera Pierre Romain, qui
paîtra ses brebis au milieu de nombreuses tribulations. Ces
tribulations passées, la ville aux sept collines sera détruite et le
juge redoutable jugera son peuple. » Cela laissera penser que Petrus
Romanus succèderait immédiatement à Gloria Olivae, autrement dit à
Benoît XVI, élu en 2005. Dans un traduction différente, on pourrait
plutôt penser que d’autres Pontifes pourraient s’intercaler entre celui
de Benoît XI et celui de Pierre le Romain.
Pour mon avis personnel, qui intéressera peut-être certaines personnes
(sisi !), que la liste s’arrête là et que l’on dise que la ville aux 7
collines soit détruite, ça ne peut avoir qu’une signification. Je
m’explique : la ville aux 7 collines est bien sûr Rome. Rome, on le
sait tous, abrite actuellement le Vatican, et a de tous temps garder
sous son toit la papauté. Rome est donc la référence de la Religion
Catholique, un peu son emblème. La destruction de la Ville aux 7
Collines, Rome, voudrais donc tout simplement dire que seule la
Religion Catholique sera détruite, et non pas un nouveau prétexte de
Fin du Monde apeurant une nouvelle fois une Population trop crédule…
De plus, les Papes ont depuis la création de l’Église Chrétienne pris
le nom d’un apôtre de Jésus ou d’un Saint qui correspondait à leur
manière de penser ou encore aux actions qu’ils leurs étaient
attribuées. C’est pour cela que nous avons des Jean XXIII et des Pie
XII. Mais pour ce qui est de Pierre, il existe toujours un tabou sur
lui qui est le fondateur de l’Église, le premier Pape nommé par Jésus
lui-même, peut-être pas au même sens que la papauté que nous
connaissons, mais ça c’est une autre histoire. C’est lorsque l’Empire
romain s’est converti au Christianisme, qu’ils ont décidé de construire
ce qui est devenu le Vatican à l’endroit où Pierre l’apôtre est mort à
cause de la persécution. Aucun autre Pape n’a osé prendre le nom de
Pierre. Il est peu probable que ce dernier pape occupe ses fonctions
sous le nom de Pierre, mais si c'est le cas nous comprendrons que la
boucle vient de se fermer. Nous entrerons alors dans une nouvelle ère.
Pour ceux qui sont intéressés , voilà une liste de tous les Papes cités dans la
liste de Malachie :
http://lesparanormaux.free.fr/revelationsprivees/prophetiedespapes.htm .
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