En finir avec les mauvais sucres
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En finir avec les mauvais sucres
En finir avec les mauvais sucres
Le sucre et notre organisme, c’est tout une histoire… Suite et fin du chapitre sur le sucre.
Le pancréas produit du glycogène, une hormone amincissante qui
contrebalance l’action de l’insuline. Le glycogène freine l’activité de
l’insuline, et l’empêche de métaboliser tout le sucre du sang, il intervient uniquement lorsque le taux de glycémie est descendu sous un certain seuil.
Si vous mangez du pain complet ou une pomme,
par exemple, et que le taux de glycémie baisse de manière naturelle, le
pancréas envoie une grande quantité de glycogène dans le sang. Le foie
tente alors tente alors de relever le taux de glycémie en extirpant la graisse des cellules adipeuses et en la convertissant en sucre suivant les besoins.
Le glycogène n’a toutefois aucune chance d’intervenir si vous
attirez en permanence l’insuline avec des mauvais glucides. Aussi
longtemps que le sang contient trop d’insuline, le glycogène ne peut
agir. Les stocks de sucre du foie et des cellules graisseuses des
hanches et du ventre restent pleins.
Parmi les « bons » glucides, on peut citer les produits au blé complet, le riz complet, les légumineuses, les légumes frais et la plupart des fruits. Comme ils ne relèvent que légèrement le taux de glycémie, il faut en manger beaucoup pour le glycogène puisent intervenir.
On sait qu’un indice glycémique élevé fait grossir. Alors
qu’aujourd’hui le sucre blanc est pratiquement incontournable : on le
trouve partout, dans les jus de fruits, les müeslis, la plupart des
plats tout préparés, ainsi que dans la moutarde et dans le ketchup (une
bouteille de ketchup contient environ 50 morceaux de sucre !).
Parmi les mauvais glucides, on trouve aussi des produits transformés
industriellement à base de farine blanche, la purée en flocon, ou le
riz blanc. En effet, ils ne comportent pas de fibres alimentaires naturelles.
Pour mincir, il faut donc changer de menu et adopter de nombreux aliments à indice glycémique bas, comme :
On évite :
Le sucre et notre organisme, c’est tout une histoire… Suite et fin du chapitre sur le sucre.
Le pancréas produit du glycogène, une hormone amincissante qui
contrebalance l’action de l’insuline. Le glycogène freine l’activité de
l’insuline, et l’empêche de métaboliser tout le sucre du sang, il intervient uniquement lorsque le taux de glycémie est descendu sous un certain seuil.
Si vous mangez du pain complet ou une pomme,
par exemple, et que le taux de glycémie baisse de manière naturelle, le
pancréas envoie une grande quantité de glycogène dans le sang. Le foie
tente alors tente alors de relever le taux de glycémie en extirpant la graisse des cellules adipeuses et en la convertissant en sucre suivant les besoins.
Le glycogène n’a toutefois aucune chance d’intervenir si vous
attirez en permanence l’insuline avec des mauvais glucides. Aussi
longtemps que le sang contient trop d’insuline, le glycogène ne peut
agir. Les stocks de sucre du foie et des cellules graisseuses des
hanches et du ventre restent pleins.
Parmi les « bons » glucides, on peut citer les produits au blé complet, le riz complet, les légumineuses, les légumes frais et la plupart des fruits. Comme ils ne relèvent que légèrement le taux de glycémie, il faut en manger beaucoup pour le glycogène puisent intervenir.
On sait qu’un indice glycémique élevé fait grossir. Alors
qu’aujourd’hui le sucre blanc est pratiquement incontournable : on le
trouve partout, dans les jus de fruits, les müeslis, la plupart des
plats tout préparés, ainsi que dans la moutarde et dans le ketchup (une
bouteille de ketchup contient environ 50 morceaux de sucre !).
Parmi les mauvais glucides, on trouve aussi des produits transformés
industriellement à base de farine blanche, la purée en flocon, ou le
riz blanc. En effet, ils ne comportent pas de fibres alimentaires naturelles.
Pour mincir, il faut donc changer de menu et adopter de nombreux aliments à indice glycémique bas, comme :
- Le pain de seigle, le pain de gruau, le pain complet.
- Toutes les céréales complètes
- Chocolat amer (cacao < 70%)
- Cacahuètes, noix
- Pois chiche, lentilles, haricots secs.
- Fruits frais, cerises, pamplemousse…
- Légumes frais, champignons, pousse de soja…
On évite :
- Les bananes trop mûres, ananas, carottes, melons…
- Le riz blanc, les pâtes blanches, semoule de couscous…
- Corn flakes, pop corn, maïs, crackers…
- Farine blanche
- Biscuits, confiture
- Baguette, bretzel
- Soda, etc…
sandrine jillou- Nombre de messages : 1700
loisirs : écrire, courir, vélo.
Date d'inscription : 08/10/2008
Le sucre et nous
Le sucre et nous
Les
glucides font grossir, tout du moins les mauvais. Car certains sont
bons : lorsque vous en absorbez, le corps doit même fournir de
l’énergie pour les assimiler. On peut distinguer entre les glucides qui
font mincir et ceux qui font grossir : ceux pour lesquels l’organisme
est génétiquement préparé, et ceux qui font peur à votre organisme, en
résumé les brûleurs et les piégeurs de graisse.
Pour convertir les glucides sous forme exploitable, le corps fournit
un supplément d’énergie. Plus les glucides sont complexes, plus il faut
d’énergie. La « taille » du glucide est donc un élément déterminant :
Les glucides dits complexes se composent d’un grand nombre
d’éléments identiques, que l’organisme doit tout d’abord dissocier. Ces
chaînes de glucides se trouvent notamment dans les céréales, les pommes
de terre, les choux-navets et les légumineuses.
Le cerveau raffole de sucres : il s’en nourrit exclusivement,
puisant inlassablement dans le glucose du sang. Sans sucres, la
concentration se relâche, la fatigue et la mauvaise humeur nous
envahissent. Pour les besoins urgents, le foie met 70 grammes de
glucose à la disposition du cerveau.
Environ 300 à 400g sont stockés dans les muscles, une réserve pour
les cas exceptionnels, par exemple pour piquer un 100m ou pour
s’éreinter sur des machines de musculation. Les muscles ont, eux aussi,
besoin de glucides pour produire de l’énergie. Si vous vous dépensez
beaucoup, vos muscles puisent dans cette réserve d’énergie et brûlent
le sucre, qui s’évanouit en fumée.
Ces stocks doivent être renouvelés en permanence. L’ensemble du
processus est commandé par les hormones. L’équilibre énergétique de
l’organisme est régi par le taux de glycémie. Un litre de sang contient
environ un gramme de sucre, comme nous l’avons vu, sous forme de
glucose. L’organisme s’efforce de maintenir ce taux constant.
Si vous fournissez des glucides sous forme de chocolat
ou de pain complet, les enzymes de la digestion réduisent cet apport en
minuscules éléments. Les sucres passent ainsi dans le sang. Votre
organisme réagit alors comme un programme : le pancréas sécrète de
l’insuline et l’envoie dans le sang.
L’insuline envoie alors immédiatement un message au centre de
l’appétit dans l’hypothalamus : Assez ! Cessez tout apport ! L’insuline
véhicule les molécules de sucres vers le foie et les muscles. Mais
quand celles-ci sont remplies, ce qui arrive rapidement, les sucres
restants sont convertis en graisse, sur les fesses, les hanches et le ventre.
Lorsque le sucre vient à manquer dans le cerveau, un signal d’alarme
s’enclenche : on devient facilement nerveux, déconcentré, fébrile,
vulnérable… Le centre qui régit la satiété reçoit pour message : À
manger immédiatement, et du sucré svp !
Le matin à jeun, le sang contient 1g/l de sucre. Selon ce que vous
prenez au petit déjeuner, le taux de glycémie augmente très vite ou
très lentement. L’orange du petit déjeuner contient des fibres.
Grâce à ces substances de lest, il faut un certain temps au fructose
pour se libérer dans l’intestin et s’insinuer dans le sang.
En d’autres termes, si vous mangez des fruits,
le taux de glycémie ne s’élève que lentement et ne cesse ensuite de
baisser. Le pain complet, avec ses chaînes complexes de glucides, doit
être au préalable scindé en petites molécules de glucose. Les
nombreuses fibres alimentaires freinent par ailleurs le passage du sucre dans le sang.
Le taux de glycémie s’élève donc lentement et régulièrement. Trois
heures se passent avant que le sucre soit parvenu aux différents points
du corps. C’est alors seulement que l’on a de nouveau faim. Le même
schéma s’applique au riz nature et aux pâtes complètes.
Lorsque vous mangez du pain blanc - sans fibres alimentaires - ou
des molécules de sucres comme celles du sucre en morceaux, de la
confiture ou des barres chocolatées, les petites molécules s’infiltrent
immédiatement dans le sang et le taux de glycémie grimpe en flèche.
Vous avez soudain au moins 1,5 g/l de sang de sucre. Et c’est cela qui
fait vraiment grossir.
Comment bien sucrer ?
Évitez le plus possible le sucre blanc raffiné. Utilisez des produits naturels : miel,
sirop d’érable… Même si ces produits relèvent le taux d’insuline, si
vous les utilisez comme une épice, ils ne font pas grossir.
Si on évite au quotidien les produits raffinés avec du sucre et de la farine blanche, les kilos superflus devraient fondre et ne pas réapparaître !
Les
glucides font grossir, tout du moins les mauvais. Car certains sont
bons : lorsque vous en absorbez, le corps doit même fournir de
l’énergie pour les assimiler. On peut distinguer entre les glucides qui
font mincir et ceux qui font grossir : ceux pour lesquels l’organisme
est génétiquement préparé, et ceux qui font peur à votre organisme, en
résumé les brûleurs et les piégeurs de graisse.
Pour convertir les glucides sous forme exploitable, le corps fournit
un supplément d’énergie. Plus les glucides sont complexes, plus il faut
d’énergie. La « taille » du glucide est donc un élément déterminant :
- Les glucides simples se composent d’un seul élément, c’est le cas du glucose et du fructose.
- Les autres glucides se composent de deux éléments, c’est le cas du saccharose (sucre en morceaux) et du lactose.
Les glucides dits complexes se composent d’un grand nombre
d’éléments identiques, que l’organisme doit tout d’abord dissocier. Ces
chaînes de glucides se trouvent notamment dans les céréales, les pommes
de terre, les choux-navets et les légumineuses.
Le cerveau raffole de sucres : il s’en nourrit exclusivement,
puisant inlassablement dans le glucose du sang. Sans sucres, la
concentration se relâche, la fatigue et la mauvaise humeur nous
envahissent. Pour les besoins urgents, le foie met 70 grammes de
glucose à la disposition du cerveau.
Environ 300 à 400g sont stockés dans les muscles, une réserve pour
les cas exceptionnels, par exemple pour piquer un 100m ou pour
s’éreinter sur des machines de musculation. Les muscles ont, eux aussi,
besoin de glucides pour produire de l’énergie. Si vous vous dépensez
beaucoup, vos muscles puisent dans cette réserve d’énergie et brûlent
le sucre, qui s’évanouit en fumée.
Ces stocks doivent être renouvelés en permanence. L’ensemble du
processus est commandé par les hormones. L’équilibre énergétique de
l’organisme est régi par le taux de glycémie. Un litre de sang contient
environ un gramme de sucre, comme nous l’avons vu, sous forme de
glucose. L’organisme s’efforce de maintenir ce taux constant.
Si vous fournissez des glucides sous forme de chocolat
ou de pain complet, les enzymes de la digestion réduisent cet apport en
minuscules éléments. Les sucres passent ainsi dans le sang. Votre
organisme réagit alors comme un programme : le pancréas sécrète de
l’insuline et l’envoie dans le sang.
L’insuline envoie alors immédiatement un message au centre de
l’appétit dans l’hypothalamus : Assez ! Cessez tout apport ! L’insuline
véhicule les molécules de sucres vers le foie et les muscles. Mais
quand celles-ci sont remplies, ce qui arrive rapidement, les sucres
restants sont convertis en graisse, sur les fesses, les hanches et le ventre.
Lorsque le sucre vient à manquer dans le cerveau, un signal d’alarme
s’enclenche : on devient facilement nerveux, déconcentré, fébrile,
vulnérable… Le centre qui régit la satiété reçoit pour message : À
manger immédiatement, et du sucré svp !
Le matin à jeun, le sang contient 1g/l de sucre. Selon ce que vous
prenez au petit déjeuner, le taux de glycémie augmente très vite ou
très lentement. L’orange du petit déjeuner contient des fibres.
Grâce à ces substances de lest, il faut un certain temps au fructose
pour se libérer dans l’intestin et s’insinuer dans le sang.
En d’autres termes, si vous mangez des fruits,
le taux de glycémie ne s’élève que lentement et ne cesse ensuite de
baisser. Le pain complet, avec ses chaînes complexes de glucides, doit
être au préalable scindé en petites molécules de glucose. Les
nombreuses fibres alimentaires freinent par ailleurs le passage du sucre dans le sang.
Le taux de glycémie s’élève donc lentement et régulièrement. Trois
heures se passent avant que le sucre soit parvenu aux différents points
du corps. C’est alors seulement que l’on a de nouveau faim. Le même
schéma s’applique au riz nature et aux pâtes complètes.
Lorsque vous mangez du pain blanc - sans fibres alimentaires - ou
des molécules de sucres comme celles du sucre en morceaux, de la
confiture ou des barres chocolatées, les petites molécules s’infiltrent
immédiatement dans le sang et le taux de glycémie grimpe en flèche.
Vous avez soudain au moins 1,5 g/l de sang de sucre. Et c’est cela qui
fait vraiment grossir.
Comment bien sucrer ?
Évitez le plus possible le sucre blanc raffiné. Utilisez des produits naturels : miel,
sirop d’érable… Même si ces produits relèvent le taux d’insuline, si
vous les utilisez comme une épice, ils ne font pas grossir.
Si on évite au quotidien les produits raffinés avec du sucre et de la farine blanche, les kilos superflus devraient fondre et ne pas réapparaître !
sandrine jillou- Nombre de messages : 1700
loisirs : écrire, courir, vélo.
Date d'inscription : 08/10/2008
Re: En finir avec les mauvais sucres
Bonjour,
Vous avez tout à fait raison, on a besoin de manger mais manger la bonne chose.
Vous avez tout à fait raison, on a besoin de manger mais manger la bonne chose.
reclai- Nombre de messages : 9
Date d'inscription : 18/05/2012
Re: En finir avec les mauvais sucres
Bonjour,
Pour régulariser le taux de glycémie, les mauvais sucres ne sont pas bon pour l'organisme.
Pour régulariser le taux de glycémie, les mauvais sucres ne sont pas bon pour l'organisme.
narbe- Nombre de messages : 25
Date d'inscription : 16/08/2012
Re: En finir avec les mauvais sucres
bon-bon artage (^_^)
Léa- Nombre de messages : 244
Date d'inscription : 27/01/2011
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