Özkan Mert-poete turk
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Özkan Mert-poete turk
Ozkan MertAdieu Berlin
Je reviendrai
Pour Server Tanilli
Arrosèes de raki, les lèvres pourpres
d'une femme à l'heure la plus voluptueuse de la nuit.
Si brûlant est son regard que si je l'enlace
comme un oiseau elle poussera des cris.
Demande encore une bouteille de raki, Gültekin!
Il ira mal, sinon, mon coeur quadragénaire.
Seraient-elles gelées la lune et les étoiles?
Ici non plus le ciel ne s'épuise pas.
Arréte de minauder Berlin, viens t'assesoir près de moi!
Je suis le seul qui pourrait te réchauffer.
Quand ferme-t-on cetter taverne Turhan!
A l'aube? Et l'aube c'est quand?
Qu'on le voit celui qui a allumé ces tristesses mauves
dans les verres de raki Mümtaz!
Fais sonner les trompettes clairon!
Nous jeunes poètes turcs
des poèmes nous lirons au coeur de Berlin
des poèmes écrits aves des mots de feu.
Dans les petits coins de notre coeur
dans les volutes de notre fumée de cigarette
la Turquie respirera à n'en plus pouvoir
La Turquie notre mère.
Maître Server raconte les Jeunes Turcs:
Aves ses lèvres mouillées
sur le divan la belle Allemande est allongée
et sur ses seins un doux frisson...
Arréte de claquer des talons Enver Pacha
Et occupe-toi de cette fille...
Ils n'ont rien compris ni à la politique
ni à l'amour ces Jeunes Turcs.
Ils ont cru qu'ils mèneraient l'Etat
en claquent des talons et serrant leur ceinturon.
Ils n'ont pas su s'occuper des filles.
La nuit est enneigée et froide.
La Turquie aussie lointaine que les étoiles.
De nos lèvres jaillit une rose rouge.
Dans nos yeux un regard chaud et coquin
Moi et maitre Server
-C'est Berlin que nous avons pris en main...
Özkan Mert
Traduit par Ali Terzioglu
Je reviendrai
Pour Server Tanilli
Arrosèes de raki, les lèvres pourpres
d'une femme à l'heure la plus voluptueuse de la nuit.
Si brûlant est son regard que si je l'enlace
comme un oiseau elle poussera des cris.
Demande encore une bouteille de raki, Gültekin!
Il ira mal, sinon, mon coeur quadragénaire.
Seraient-elles gelées la lune et les étoiles?
Ici non plus le ciel ne s'épuise pas.
Arréte de minauder Berlin, viens t'assesoir près de moi!
Je suis le seul qui pourrait te réchauffer.
Quand ferme-t-on cetter taverne Turhan!
A l'aube? Et l'aube c'est quand?
Qu'on le voit celui qui a allumé ces tristesses mauves
dans les verres de raki Mümtaz!
Fais sonner les trompettes clairon!
Nous jeunes poètes turcs
des poèmes nous lirons au coeur de Berlin
des poèmes écrits aves des mots de feu.
Dans les petits coins de notre coeur
dans les volutes de notre fumée de cigarette
la Turquie respirera à n'en plus pouvoir
La Turquie notre mère.
Maître Server raconte les Jeunes Turcs:
Aves ses lèvres mouillées
sur le divan la belle Allemande est allongée
et sur ses seins un doux frisson...
Arréte de claquer des talons Enver Pacha
Et occupe-toi de cette fille...
Ils n'ont rien compris ni à la politique
ni à l'amour ces Jeunes Turcs.
Ils ont cru qu'ils mèneraient l'Etat
en claquent des talons et serrant leur ceinturon.
Ils n'ont pas su s'occuper des filles.
La nuit est enneigée et froide.
La Turquie aussie lointaine que les étoiles.
De nos lèvres jaillit une rose rouge.
Dans nos yeux un regard chaud et coquin
Moi et maitre Server
-C'est Berlin que nous avons pris en main...
Özkan Mert
Traduit par Ali Terzioglu
ANAIS- Invité
Re: Özkan Mert-poete turk
DIVERCIFIË LA LECTURE ! MERCI.ANAIS a écrit:Ozkan MertAdieu Berlin
Je reviendrai
Pour Server Tanilli
Arrosèes de raki, les lèvres pourpres
d'une femme à l'heure la plus voluptueuse de la nuit.
Si brûlant est son regard que si je l'enlace
comme un oiseau elle poussera des cris.
Demande encore une bouteille de raki, Gültekin!
Il ira mal, sinon, mon coeur quadragénaire.
Seraient-elles gelées la lune et les étoiles?
Ici non plus le ciel ne s'épuise pas.
Arréte de minauder Berlin, viens t'assesoir près de moi!
Je suis le seul qui pourrait te réchauffer.
Quand ferme-t-on cetter taverne Turhan!
A l'aube? Et l'aube c'est quand?
Qu'on le voit celui qui a allumé ces tristesses mauves
dans les verres de raki Mümtaz!
Fais sonner les trompettes clairon!
Nous jeunes poètes turcs
des poèmes nous lirons au coeur de Berlin
des poèmes écrits aves des mots de feu.
Dans les petits coins de notre coeur
dans les volutes de notre fumée de cigarette
la Turquie respirera à n'en plus pouvoir
La Turquie notre mère.
Maître Server raconte les Jeunes Turcs:
Aves ses lèvres mouillées
sur le divan la belle Allemande est allongée
et sur ses seins un doux frisson...
Arréte de claquer des talons Enver Pacha
Et occupe-toi de cette fille...
Ils n'ont rien compris ni à la politique
ni à l'amour ces Jeunes Turcs.
Ils ont cru qu'ils mèneraient l'Etat
en claquent des talons et serrant leur ceinturon.
Ils n'ont pas su s'occuper des filles.
La nuit est enneigée et froide.
La Turquie aussie lointaine que les étoiles.
De nos lèvres jaillit une rose rouge.
Dans nos yeux un regard chaud et coquin
Moi et maitre Server
-C'est Berlin que nous avons pris en main...
Özkan Mert
Traduit par Ali Terzioglu
karim safriwi- Nombre de messages : 615
Date d'inscription : 03/07/2008
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