Ahmed Ararbi:Je souffre durant les nuits
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Ahmed Ararbi:Je souffre durant les nuits
Ahmed
Ararbi
Je souffre durant les nuits
-Je souffre
durant les nuits,
Oh ! Toi qui m'as rendu détraqué !
-Pendant le jour, je
réfléchis,
-Dans le rêve, j'imagine ton portrait.
-Quand mon sommeil
s'enfuit,
-C'est ton image que je vois défiler.
-Quand je passe dans
le quartier,
-Elle ne cesse de me fixer des yeux.
-Elle aimait quand je
lui parlais
-De notre éventuelle à deux.
-Elle me disait : « C'est toi qui
me plaît ! »,
-Le premier qui a conquis son cour amoureux.
-Quant à moi,
je ne pourrai m'apaiser
-Loin de son regard merveilleux.
-Que de
choses je t'ai préparées,
-Aujourd'hui, j'ai brûlé tout.
-J'espère que la
cendre te parviendrait
-Et couvrira tes sourcils de bout en bout.
-C'est
le remède que je t'offrirai
-Et te guérira de tout.
-Dès que tu évoqueras
mon portrait,
-Tu pourras dire Adieu à tes remous !
-De moi, le destin
l'a éloignée,
-Je pleure en me rappelant d'elle.
-Ne reste que son image
que je vois défiler,
-Celle-ci me brûle tellement qu'elle est belle !
-Ah
! si tu te transforme en elle en vérité
-Pendant que j'espérais sa présence
réelle !
-Tu essuieras mes larmes en entier
-Et tu me soulageras de mes
ennuis personnels
Ararbi
Je souffre durant les nuits
-Je souffre
durant les nuits,
Oh ! Toi qui m'as rendu détraqué !
-Pendant le jour, je
réfléchis,
-Dans le rêve, j'imagine ton portrait.
-Quand mon sommeil
s'enfuit,
-C'est ton image que je vois défiler.
-Quand je passe dans
le quartier,
-Elle ne cesse de me fixer des yeux.
-Elle aimait quand je
lui parlais
-De notre éventuelle à deux.
-Elle me disait : « C'est toi qui
me plaît ! »,
-Le premier qui a conquis son cour amoureux.
-Quant à moi,
je ne pourrai m'apaiser
-Loin de son regard merveilleux.
-Que de
choses je t'ai préparées,
-Aujourd'hui, j'ai brûlé tout.
-J'espère que la
cendre te parviendrait
-Et couvrira tes sourcils de bout en bout.
-C'est
le remède que je t'offrirai
-Et te guérira de tout.
-Dès que tu évoqueras
mon portrait,
-Tu pourras dire Adieu à tes remous !
-De moi, le destin
l'a éloignée,
-Je pleure en me rappelant d'elle.
-Ne reste que son image
que je vois défiler,
-Celle-ci me brûle tellement qu'elle est belle !
-Ah
! si tu te transforme en elle en vérité
-Pendant que j'espérais sa présence
réelle !
-Tu essuieras mes larmes en entier
-Et tu me soulageras de mes
ennuis personnels
cristopher-cris- Nombre de messages : 2748
loisirs : lecture, voyage
Date d'inscription : 18/07/2008
DRESSE SUR LA MONTAGNE
DRESSE SUR LA MONTAGNE
-Dressé sur la montagne,
j'appelle,
-C'est par ton nom que l'écho résonne.
-Je le change en rire de
joie circonstanciel,
-Le temps s'enfuit et m'abandonne !
-Tu es la
cause de ma défaillance
-En plus, tu t'éloignes et tu m'évites.
-A cause
de toi, j'ai frôlé la démence
-Et mon honneur se discrédite.
-Si je suis
maudit dans cette existence
-Sache qu'aujourd'hui, je suis quitte
!
-Oh ! oiseau ! Je t'envoie, bas de tes ailes !
-Dis-lui qu'il pleure
depuis que tu es parti.
-Il est devenu impatient perpétuel
-Et se voit
incapable qu'il oublie.
-Tu es pour lui un souci continuel
-Qu'il ne cesse
de raconter autour de lui.
-Au sujet d'un amour trahi envers celle
-Qui ne
soigne ni ne guérit.
-Même dans le rêve en plein sommeil,
-Ton visage
ne cesse de me fuir.
-Je cherche et je demande conseil
-Mais à quoi, cette
vie pourra-t-elle servir ?
-A ce jour, je m'interroge sur ces
merveilles,
-Cette vie qui m'a fait voir le pire.
-Je suis devenu
semblable à un éventail,
-Méditant Dieu : La seule chose qui m'inspire
!
-Dressé sur la montagne,
j'appelle,
-C'est par ton nom que l'écho résonne.
-Je le change en rire de
joie circonstanciel,
-Le temps s'enfuit et m'abandonne !
-Tu es la
cause de ma défaillance
-En plus, tu t'éloignes et tu m'évites.
-A cause
de toi, j'ai frôlé la démence
-Et mon honneur se discrédite.
-Si je suis
maudit dans cette existence
-Sache qu'aujourd'hui, je suis quitte
!
-Oh ! oiseau ! Je t'envoie, bas de tes ailes !
-Dis-lui qu'il pleure
depuis que tu es parti.
-Il est devenu impatient perpétuel
-Et se voit
incapable qu'il oublie.
-Tu es pour lui un souci continuel
-Qu'il ne cesse
de raconter autour de lui.
-Au sujet d'un amour trahi envers celle
-Qui ne
soigne ni ne guérit.
-Même dans le rêve en plein sommeil,
-Ton visage
ne cesse de me fuir.
-Je cherche et je demande conseil
-Mais à quoi, cette
vie pourra-t-elle servir ?
-A ce jour, je m'interroge sur ces
merveilles,
-Cette vie qui m'a fait voir le pire.
-Je suis devenu
semblable à un éventail,
-Méditant Dieu : La seule chose qui m'inspire
!
cristopher-cris- Nombre de messages : 2748
loisirs : lecture, voyage
Date d'inscription : 18/07/2008
LE BRACELET
LE BRACELET
-Ah ! Si je pourrai me métamorphoser
-En bracelet
sur mesure pour ta main !
-Je te verrai là où tu décides d'y aller
-Et je
hanterai ton regard au quotidien.
-Je m'informerai de tous tes secrets
-Et
quel genre de cour que tu détiens !
-Je deviendrai ton large
bracelet
-Qui te rappellera de moi en le voyant.
-Je l'enduirais avec de
l'or épuré
-De peur de me changer par un autre amant.
-Je passerai avec
toi toutes mes journées
-Dans ta main, sans réveiller tes soupçons
!
-Un jour, quand ensemble nous irons
-Chercher un endroit de ta
préférence.
-Parmi ceux qui jouissent des fleurs des champs
-Epanouis par
un soleil plein de brillance.
-Ah ! si les bracelets sont parlants
-Je te
ferai une révérence !
-Je te dirai : « Je suis ici présent »
-Et tu
pourras te réjouir d'avance !
auteur AHMED
ARARBI
-Ah ! Si je pourrai me métamorphoser
-En bracelet
sur mesure pour ta main !
-Je te verrai là où tu décides d'y aller
-Et je
hanterai ton regard au quotidien.
-Je m'informerai de tous tes secrets
-Et
quel genre de cour que tu détiens !
-Je deviendrai ton large
bracelet
-Qui te rappellera de moi en le voyant.
-Je l'enduirais avec de
l'or épuré
-De peur de me changer par un autre amant.
-Je passerai avec
toi toutes mes journées
-Dans ta main, sans réveiller tes soupçons
!
-Un jour, quand ensemble nous irons
-Chercher un endroit de ta
préférence.
-Parmi ceux qui jouissent des fleurs des champs
-Epanouis par
un soleil plein de brillance.
-Ah ! si les bracelets sont parlants
-Je te
ferai une révérence !
-Je te dirai : « Je suis ici présent »
-Et tu
pourras te réjouir d'avance !
auteur AHMED
ARARBI
cristopher-cris- Nombre de messages : 2748
loisirs : lecture, voyage
Date d'inscription : 18/07/2008
Re: Ahmed Ararbi:Je souffre durant les nuits
poignant!cristopher-cris a écrit:DRESSE SUR LA MONTAGNE
-Dressé sur la montagne,
j'appelle,
-C'est par ton nom que l'écho résonne.
-Je le change en rire de
joie circonstanciel,
-Le temps s'enfuit et m'abandonne !
-Tu es la
cause de ma défaillance
-En plus, tu t'éloignes et tu m'évites.
-A cause
de toi, j'ai frôlé la démence
-Et mon honneur se discrédite.
-Si je suis
maudit dans cette existence
-Sache qu'aujourd'hui, je suis quitte
!
-Oh ! oiseau ! Je t'envoie, bas de tes ailes !
-Dis-lui qu'il pleure
depuis que tu es parti.
-Il est devenu impatient perpétuel
-Et se voit
incapable qu'il oublie.
-Tu es pour lui un souci continuel
-Qu'il ne cesse
de raconter autour de lui.
-Au sujet d'un amour trahi envers celle
-Qui ne
soigne ni ne guérit.
-Même dans le rêve en plein sommeil,
-Ton visage
ne cesse de me fuir.
-Je cherche et je demande conseil
-Mais à quoi, cette
vie pourra-t-elle servir ?
-A ce jour, je m'interroge sur ces
merveilles,
-Cette vie qui m'a fait voir le pire.
-Je suis devenu
semblable à un éventail,
-Méditant Dieu : La seule chose qui m'inspire
!
KAMEL- Nombre de messages : 605
loisirs : lecture-guitare-(mots croisés)
Humeur : d'arc-en-ciel
Date d'inscription : 05/03/2010
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