LES HEURES
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LES HEURES
J'étais jeune et serain alors lorsque la vague nous balança.
Et je me réfugiais chez les anciens et nouveau destructeurs,
à leurs basques.
Et priais, pécheur, plus pécheurs que moi,
toujours plus éloigné de la source,
du bois paternel, de la cime ensoleillé, terrible.
Lors se dissipèrent les heures.
Et je naquis de nouveau. Seule la vie impétueuse,
telle une hallucination, héraut d'une âme malsaine,
dirige depuis mon poème qui coule tel un ruisseau.
Yefi
Et je me réfugiais chez les anciens et nouveau destructeurs,
à leurs basques.
Et priais, pécheur, plus pécheurs que moi,
toujours plus éloigné de la source,
du bois paternel, de la cime ensoleillé, terrible.
Lors se dissipèrent les heures.
Et je naquis de nouveau. Seule la vie impétueuse,
telle une hallucination, héraut d'une âme malsaine,
dirige depuis mon poème qui coule tel un ruisseau.
Yefi
yefimia- Nombre de messages : 2495
Humeur : Cyclothimique
Date d'inscription : 01/05/2008
Re: LES HEURES
Lors se dissipèrent les heures.
Et je naquis de nouveau. Seule la vie impétueuse,
telle une hallucination, héraut d'une âme malsaine,
dirige depuis mon poème qui coule tel un ruisseau.
Pas certain d'avoir tout compris mais c'est très beau
une renaissance mais pas saine et en même temps une certitude
Bon je suis dans le champ certain avec mon com
Amitié Réal
atouthasard- Nombre de messages : 1113
Date d'inscription : 11/10/2008
Re: LES HEURES
yefimia a écrit:J'étais jeune et serain alors lorsque la vague nous balança.
Et je me réfugiais chez les anciens et nouveau destructeurs,
à leurs basques.
Et priais, pécheur, plus pécheurs que moi,
toujours plus éloigné de la source,
du bois paternel, de la cime ensoleillé, terrible.
Lors se dissipèrent les heures.
Et je naquis de nouveau. Seule la vie impétueuse,
telle une hallucination, héraut d'une âme malsaine,
dirige depuis mon poème qui coule tel un ruisseau.
Yefi
J'étais jeune et serein lorsque la vague me balança...
Ton poème est complexe. On dirait que tu parles d'un élan, ou d'un jet. Je n'arrive pas à faire le rapprochement entre les heures et ce que contient ce poème.
Au début, j'ai cru que tu parlais d'un naufrage avec ces nautoniers qui partent voguer sur les mers de nos terres, des heures et des heures durant. Ensuite, j'ai pensé au bois, au bûcheron, à ceux qui abattent les arbres.
Puis au final, je pense qu'avec les heures s'écoulant, toi, pauvre pécheur avec les autres, tu t'élances avec cette vague qui te projette sur du bois consumé un peu comme un ruisseau qui s'échoue dans la mer et qui un jour avec le temps arrive à se tarir. De là, se verse tes écrits comme de tendres cris sous le fluide de ta plume d'encre "d'ancre".
Ménestrelle- Nombre de messages : 234
Date d'inscription : 01/05/2009
Re: LES HEURES
J'en suis consient que c'est un poème qui a commencé très péniblement
et dont j'ai (voici un mois) mal à le finir, de conlure.
Je me suis finalement résigné à le publier tel qu'il a coulé de ma plume,
dans ça version primitive.
Toutes mes exuses mes amis.
Yefi
et dont j'ai (voici un mois) mal à le finir, de conlure.
Je me suis finalement résigné à le publier tel qu'il a coulé de ma plume,
dans ça version primitive.
Toutes mes exuses mes amis.
Yefi
yefimia- Nombre de messages : 2495
Humeur : Cyclothimique
Date d'inscription : 01/05/2008
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