Feuille blanche

Ma plume se rouille
Sur le papier elle se brouille.
De sueur, se mouille.
Le vide, la bloque au seuil
De la blanche-feuille.

Le silence, se renferme en cercueil
Sur mes mots qui bafouillent
Espérant un recueil
Qui les accueilles
Sauvegardant leur orgueil

Regardant les lignes qui s’effeuillent
Mon calame, se sent en deuil
Il va vers eux, et revient bredouille
Il est coincé, qu’il le veuille
Ou pas, le vide le tien à l’œil

daniel a écrit:Ma plume se rouille
Sur le papier elle se brouille.
De sueur, se mouille.
Le vide, la bloque au seuil
De la blanche-feuille.

Le silence, se renferme en cercueil
Sur mes mots qui bafouillent
Espérant un recueil
Qui les accueilles
Sauvegardant leur orgueil

Regardant les lignes qui s’effeuillent
Mon calame, se sent en deuil
Il va vers eux, et revient bredouille
Il est coincé, qu’il le veuille
Ou pas, le vide le tien à l’œil

Ainsi en est-il du trou noir de notre inspiration,
Une plume cherchant désespérément son encre,
Un parchemin qui voit s'envoler ses belles illusions,
L'esprit se fige,et le poête,déçu,regagne son antre.

Remarques....Ta plume a su alléguer ton inspiration,l'écrit est de jolie facture.Bien à toi.

CELUI QUI SAIT a écrit:
Ainsi en est-il du trou noir de notre inspiration,
Une plume cherchant désespérément son encre,
Un parchemin qui voit s'envoler ses belles illusions,
L'esprit se fige,et le poête,déçu,regagne son antre.

Remarques....Ta plume a su alléguer ton inspiration,l'écrit est de jolie facture.Bien à toi.

Ma plume se fige.
Vers mes pensées ne se dirige.
Du silence, elle m'inflige.

Admin a écrit:

Quand la muse nous boude
Elle joue la sourde
Imposant une toile lourde
Elle marque un temps d’arrêt
Pour mieux redémarrer
C’est ce que je crois, c'est ce qu’il parait !

Ma plume, à moi, se refuse.
De me harceler, elle s’amuse.
Elle prétend :
Qu’elle ne m’entend,
Ni ne me voit,
Et en plus refuse de me parler !

Si ma plume,sur les parchemins,se prend à s'agiter et souvent s'amuse,
Ce ne peut être qu'une conséquence directe d'inspiration de ma Muse,
Si,de temps à autre,elle se voit pleurer,d'un aussitôt,sourit et elle en rit,
Ainsi,Marquise est ma Muse qui parfois m'use mais demeure,ma seule égérie.

Du seuil de la blanche page
En désir passer à la nage
Là où, les mots ne sont en cage
Là, sur le rivage
Où le silence n’est que bandage
Temporaire pour les maux en rage.

sarah a écrit:Du seuil de la blanche page
En désir passer à la nage
Là où, les mots ne sont en cage
Là, sur le rivage
Où le silence n’est que bandage
Temporaire pour les maux en rage.

Ma page se sent en deuil
Elle me brise le cœur
L’encrier parait comme un cercueil
Pour ma plume en pleur

il n'est pa si coinçé que ça ton calame !
la preuve? ces mots !