La feuille brûle

La feuille brûle
Il faut être lettré
pour comprendre
le crépitement
humain
pour reconnaître
la cendre
et la portée d'un silence
qui se fait flamme
en douceur
au fond d'un cœur.

A la mort ne plus craindre
la conscience inachevée
qui me semble la plus triste.

Jamila Abitar

Jamila Abitar a écrit:La feuille brûle
Il faut être lettré
pour comprendre
le crépitement
humain
pour reconnaître
la cendre
et la portée d'un silence
qui se fait flamme
en douceur
au fond d'un cœur.

A la mort ne plus craindre
la conscience inachevée
qui me semble la plus triste.

Jamila Abitar

subtilité des mots !
dire la vie et la mort .
dire le silence dans le vacarme des mots.
deviner mille sujet entre les lignes.
et se creuser les méninges pour forger sa propre pensées sensée.
"j'aime ce petit poème, Jamila"

Le feu de la vie et le feu de la connaissance consomment l'humain durant son chemin d'existence.
Ravi de vous lire Jamila

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Merci à vous Chers Poètes pour vos commentaires si poétiques.

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Un ami attend
à la porte du souvenir

Où vont les amoureux du néant
lorsque vivants,
Ils recherchent l'invisible,
l'absent passé outre temps ?

Ensemble ils déambulent
dans les ruelles ocres
Ensemble
Ils reconnaissent le parfum éternel
Le rêve qui maintient le moral
Et les poètes vivants.

Amitiés.

Jamila Abitar

Jamila Abitar a écrit:La feuille brûle
Il faut être lettré
pour comprendre
le crépitement
humain
pour reconnaître
la cendre
et la portée d'un silence
qui se fait flamme
en douceur
au fond d'un cœur.

A la mort ne plus craindre
la conscience inachevée
qui me semble la plus triste.

Jamila Abitar

le feu de la connaissance est une lumière indispensable à l'être. merci jamila pour cette douce lecture
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Jamila Abitar a écrit:.



Un ami attend
à la porte du souvenir

Où vont les amoureux du néant
lorsque vivants,
Ils recherchent l'invisible,
l'absent passé outre temps ?

Ensemble ils déambulent
dans les ruelles ocres
Ensemble
Ils reconnaissent le parfum éternel
Le rêve qui maintient le moral
Et les poètes vivants.

Amitiés.

Jamila Abitar

l'amour se fait attendre des pieges ne fait tendre on y tombe d'une manière ou d'une autre pour le plaisir, le délire ou les pleurs!chacun son destin.
gros jamaila pour le partage.

un spirituel...
saisir l'âme en ses subtilités...

L'oracle multiple
Enceinte de traits vierges
Hausse le langage
Vers la langue

L'oralité extirpe
Du fond de la source
La pérennité
Vulnérable anonyme
Fidèle référence
Univers où le jet de l'âme
Souffle dans l'éveil des étoiles.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Amitiés.



Jamila Abitar

Jamila Abitar a écrit:L'oracle multiple
Enceinte de traits vierges
Hausse le langage
Vers la langue

L'oralité extirpe
Du fond de la source
La pérennité
Vulnérable anonyme
Fidèle référence
Univers où le jet de l'âme
Souffle dans l'éveil des étoiles.

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Jamila Abitar

Belle poésie miss. Jaime votre style. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] à vous relire.

Brille est votre étoile
Sur le site tisse la toile
De l'amour dans nos coeurs
De la douceur de vos mots, une récolte de bonheur...
J'aime votre gentillesse
Merci chère poétesse..
Amitiés
BTT

Jamila Abitar a écrit:La feuille brûle
Il faut être lettré
pour comprendre
le crépitement
humain
pour reconnaître
la cendre
et la portée d'un silence
qui se fait flamme
en douceur
au fond d'un cœur.

A la mort ne plus craindre
la conscience inachevée
qui me semble la plus triste.

Jamila Abitar

Bonsoir Jamila,

Les palpitation brûlantes d'un coeur bleu
Qui se consume à grand ou petit feu
Font naître des cris de douleurs inaudibles
De ressentiments illico indicibles,
Et c'est le néant qui devient la cible...

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] je suis là, moi !!!
Avec toi...

Bisou.
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Béa

Réponse osseuse
J'étais ici
Point de mire
Lumière de joie
Sur un calendrier
Plein
Mousseuses victoires.

Jamila Abitar

Bonsoir ma Chère Béa, merci pour ta belle présence. Amitié.

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des vers à décortiquer pour en sortir la pulpe
en chaque mot il y a la saveur d'un esprit vif.
j'aime vos mots jamila.

Bonjour Cher Lazhar,
Merci pour vos sympathiques commentaires
que je trouve toujours très poétiques.
Une petite question, si vous le permettez,
où avez-vous pris cette magnifique photo ?

Je vois l'Atlas enneigé
les vents de sable
Hantés de saints
Courir les dunes.

Jamila Abitar

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] pour Vous. Amicalement.