Voulez-vous acrosticher avec moi ?

Sans dessus dessous
à mille lieues de vous
regarder vos pensées
à la si :feuilles: belle aisance
habile Sarah, quelle prestance !

Que du bonheur à vous lire!
Ultras doués que vous êtes tous
Et affamés de courir

Dans la cour à vers
Unis dans l’osmose!

Bénis soyez
O chers poètes,
Novices ou pro!
Horizon, vous ouvrez
En nous, par vos plumes
Utiles à ranimer et
Ravir nos cœurs .

Amour

Vif
Offert,
Unissant
Sourire, rire, et douleurs.

La joie est là,
Impeccable!
Rayon de partage
Et de plaisir.

Flamme d’hiver

Feu d’érable qui luit dans l’âtre de la nuit
Lumière pour la vie, l’instant précieux, l’ici
Attachée à l’envie de l’an-droit si précis
Ménestrel en habit les verbes indécis
Maquillée d’un répit pour l’enfant mélodie
Édredon pour Marie éternelle en son lit

D’hiver tout blanc, l’esprit, la flamme par son nid…
Hameau de l’inédit reçoit la joie, l’inouï
Interpelle le puits à la source réjouie
Voies que font les amis à jaser de l’instruit
En présence d’écrits dénommés poésies
Révélant par temps gris qu’il a fait poudrerie

Allez
Baignez-vous
C'est le moment
D'entrer
En bain de mots mais
Faites doucement...
Gare,
Hommes et dames nus à cet
Instant premier...
Je vous suggère
Kaolin et
La
Mousse qui
Ne pique pas les yeux,
Onctueuse...
Puis,
Que diable,
Résistez un peu !
Simplement
Tentez
Un pied,
Vite, et puis deux et puis douze !
Wouaouh !!!
X plaisir , pourquoi pas !
Y'a là qu'un bain de lettres... Allez :
Zou !!

Plus je vous lis
La joie du partage me remplie.
Amour à vos vers, je porte
Incluse, mon amitié !
Sans ce partage
Impossible de
Rester sur ces pages !!!!!

:orch:

Dune déserte, enfin, du tumulte estival ;
Onde de l’océan à neuf heures du soir ;
Une voix murmurant, hors la foule, un espoir…
Caresse du zéphyr, en baiser vespéral
Et du soleil, au loin, l’ultime et vert rayon :
Un doux instant je bois, illusoire, sinon
Rien !

Coulis de zéphyrs sur lèvres
Aromates doux pour cou
Ris de sourires d'yeux
Ensucrement d'iris marrons
Salaison de bras langoureux
Saupoudrage de baisers
Exquise recette...

In vino veritas :
Velours d'un cou sans écharpe
Robe incarnat dévoilant un dos-harpe
Essence de raisins d'yeux câlins
Simple cru de murmures en grains
Suave tanin d'une joue écarlate
Excellent nectar.

G énéreux créateur
E nvolée de l'expression
P oèsie inspirée
E clats de bonasse
T erre est blême
T erre est pleine
O uverte par le soleil qui la dore et s'y mire.

au plaisir

Y efi

Nuisible est l’Homme,
A force de vouloir
T out contrôler, il
Use l’environnement.
Rien que pour affirmer son
Emprise sur la nature.

Nuée de sauterelles.
Avant-garde de sécheresse.
Tergiversation.
Usage abusif d’insecticide.
Rien ne stoppe la catastrophe
Et sauve les récoltes.

Poème sans queue ni tête
Ou vers sans tête ni queue
Et rimes de travers, que
Mon stylo, dans la tempête,
Ecrit. Et mon encre en sèche.

Sur mon parchemin revêche,
Au bout du vers : tête à queue !
Nulle rime ! Et, belliqueux,
Sur mon stylo, je m’entête !

Quel douloureux casse-tête :
Un vers par deux pieds embrassé
Et je suis débarrassé !
Un mot manque et ça m’embête !
Et la queue du vers n’a plus

Ni queue ni tête ! Et en plus,
Il me faut trouver la queue,

Terminer ! Trempe, ma plume !
Être là quand mon encre y est !
Tomberai-je sur mes pieds ?
Et si mon rêve s’enrhume ?

L oisir et cours de fourmis
A ttaquer, s’acharner, pas d’accalmie

V eiller, travailler, se chamailler
I maginer des prairies pour oublier les soucis
E nvelopper les rêves endormis
:)
(En voilà des vers sans queue ni tête, au plaisir gepette)

Lune est ton sourire,
Âme sensible à nourrir.
Vie de chagrin et plaisir.
Inverser pour avoir plaisir et chagrin.
Encourager l’humour pour vivre !

:vase:

vitalité.
Imagination.
Volonté.
Rais de foi.
Émetteur d’espoir, vous devenez !
by
Bonheur, douceur, sérénité à tous et à toutes

Valeurs en crise, valeurs sans prix?
Imaginons le monde avec mépris...
Endormons nos sens devant l’humanité en cris!

Dire des sagesses, duper les médias.
Enivrer le lecteur, électeur immédiat!

Voter l’individualisme?
Invoquer : chacun pour soi, quel réalisme!
Dire: moi, rien que moi, je suis prisme !
Envoyer le monde à l’enfer du capitalisme?!.

Seule sur cette place,
Toute nue et tordue,
Attendait la statue,
Touchante dans sa grâce,
Une âme qui l’aimât
Et qui la terminât…