Voulez-vous acrosticher avec moi ?

Respire Azi, respire, avec le ventre, comme on dit au théâtre...

Eh ! nous ne sommes pas que deux sur le site, moi je tire mon chapeau pour ce soir, quand aux autres

Au boulot !

Ben, je vais pas tarder, mes chéri(e)s, à aller reposer mes vieux os...

Où est son rire ?

Ses rires font penser à cet arbre entrouvert,
Emmêlés aux rameaux de ses branches tendues
Sous l’azur éthéré, à des mains étendues,

Ruisselant le printemps en un éclat d’hiver.
Illusion, les bourgeons d’une écorce béante,
Régénérant mon bois ! Car hier il a plu.
Et ses rires, fleuris en sa cime géante,
Sous le ciel bas et gris, il ne les perçois plus.

Sois de satin, ma mutine,
Au point du jour, tu es divine…
Tu es là sans soie, ô Carla :
Il n’importe, va, car la
Nuit sera câline.

Ses rires
Arc-en-ciel
Tonic de mes jours
Idéal remède à mes tristesses
Nourriture de mon âme !

cOMMENT voulez-vous que je suive, je me perds dans les sentiers si odorants de vos mots...mais c'est sûr je vais venir moi aussi vous prendre aux mots.

TITEFEE a écrit:cOMMENT voulez-vous que je suive, je me perds dans les sentiers si odorants de vos mots...mais c'est sûr je vais venir moi aussi vous prendre aux mots.

nous aussi on se perd, mais le plaisir de partager est le plus fort.
C'est sympa si tu emmèles tes fil aux nôtres

Partir tant que nous portent nos rêves
Loin d'un présent qui nous achève
Au passé coupable de nos guerres
Indigeste plat au goût amer
Suivant la trace d'un avenir
Innocent aux mauvais souvenirs
Remédiant à nos envies libératrices
Soin donné aux coeurs pour qu'ils ne s'enlissent

Sonnet au prime instant…

Notre temps est venu une nuit de douleurs,
Accompagné d’un cri soufflant la délivrance ;
Il eut son premier jour, expirant l’espérance,
Sur le sein maternel irradié de chaleurs.
Sous le sourire ému des regards cajoleurs,
Attaché par deux yeux bleus-nuit de transparence,
Naquit un lien sacré, fil de la descendance,
Créant le prime instant des goûts et des couleurs.
Et puis la vie a pris de l’enfant corps et âme.

Elle les a mués en homme ou bien en femme
Toujours quêtant la clé de ce mystère-là…

Vis, tu es un maillon de la chaîne infinie,
Isidore, Aude, Jean, Pierre, Paul, Virginie,
Eugène, Isis, Samson, Osiris, Dalila !

Arracher les pages écrites
Triturer cent fois les grains
Rebattus des mensonges vains
Au moulin de ses inconduites,
Boire encore à la source
Idéalisée d'un autre amour,
Laisser s'accomplir la course,
Effacer la solitude pour toujours,


Maintenant
Écouter
Lentement
À l'aube des peut-être
Nommer le mot liberté
Colère et chagrins effacés
Oublier jusqu'au nom mais
Lire sur la page
Identifiée comme au premier jour
Et signer mon nom de toujours


.Clairette ROUSSET

la vilaine bile noire, nommée atrabile, n'engendrera plus la mélancolie, car vivre c'est espérer encore aimer et être aimé, jusqu'à notre dernier jour

Tu as Oublié !!!

c'était pour voir si tu suivais.....LOL

Je suis...
Je reste...

Salve magister... moi "puéri" me prosterne...

Relève-toi, vis
ton envie,
Claire,
Il te reste tant à faire !

Difficile de vous suivre gepetto
Inventer des poèmes comme vous
Feu, vent, terre et
Flamme en rimes !
Implorer
Cesame ?
Implorer
L’ouverture
Et l’attente

Des sommets gepetoriennes
Et faire

Vider l’encrier en mots
Ouverts au vent des commentaires.
User de mon bagage
Sans craindre les barrages des règles

Sans
User les nerfs de ma plume.
Impossible de vous suivre !
Vous êtes pyramide
Rivages
Et mer à la fois gepitto !

Sans dessus dessous
à mille lieues de vous
regarder vos pensées
à la si :feuilles: belle aisance
habile Sarah, quelle prestance !