Je peins avec les mots ce que vous n’osiez pas lire
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Je peins avec les mots ce que vous n’osiez pas lire
Je peins avec les mots ce que vous n’osiez pas lire
Je peins avec les mots que vous n’osiez pas lire
Le tableau sombre où se meuvent les âmes atteintes
D’un délire vertigineux, des mots que l’oiseau lyre
Répande en chantant une lamentable complainte.
Je perçois le danger en surmontant les incertitudes,
Sans me soucier des cris, je saisi l’approche d’autrui
En exprimant ce qui augmente la grande inquiétude
Pour l’avenir sans jamais être sensible aux bruits.
Je reste debout dans ce monde de ruses et de pleurs
Sans sentir les regrets de rester un témoin silencieux
Devant les atrocités que fassent les vieux seigneurs
Dans cette étrange terre où se ferment les yeux.
Sans détenir la décision collective de la société
Je laisse le regard franchir l’horizon et l’âme pénétrer
L’ombre de la mort en espérant qu’un jour l’humanité
Aura en main son destin loin d’un univers sinistré.
Loin des châtiments infâmes, je suis la voie tortueuse
De la vérité sans me soucier de la foudre qui se déchaîne,
L’important est que l’esprit génère les idées généreuses
Et l’amour bannisse définitivement du cœur la haine
Par le sourire soyons les fleurs ouvrant chaque matin
Leurs pétales pour laisser la paix régner sur la terre
Et l’amour universel enfler les cœurs humains
Pour éradiquer les malédictions héréditaires.
Dad Allaoua
Je peins avec les mots que vous n’osiez pas lire
Le tableau sombre où se meuvent les âmes atteintes
D’un délire vertigineux, des mots que l’oiseau lyre
Répande en chantant une lamentable complainte.
Je perçois le danger en surmontant les incertitudes,
Sans me soucier des cris, je saisi l’approche d’autrui
En exprimant ce qui augmente la grande inquiétude
Pour l’avenir sans jamais être sensible aux bruits.
Je reste debout dans ce monde de ruses et de pleurs
Sans sentir les regrets de rester un témoin silencieux
Devant les atrocités que fassent les vieux seigneurs
Dans cette étrange terre où se ferment les yeux.
Sans détenir la décision collective de la société
Je laisse le regard franchir l’horizon et l’âme pénétrer
L’ombre de la mort en espérant qu’un jour l’humanité
Aura en main son destin loin d’un univers sinistré.
Loin des châtiments infâmes, je suis la voie tortueuse
De la vérité sans me soucier de la foudre qui se déchaîne,
L’important est que l’esprit génère les idées généreuses
Et l’amour bannisse définitivement du cœur la haine
Par le sourire soyons les fleurs ouvrant chaque matin
Leurs pétales pour laisser la paix régner sur la terre
Et l’amour universel enfler les cœurs humains
Pour éradiquer les malédictions héréditaires.
Dad Allaoua
Dad Allaoua- Nombre de messages : 3370
Date d'inscription : 26/01/2010
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