Je peins votre folie par des mots
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Je peins votre folie par des mots
Je peins votre folie par des mots
J’adresse ces quelques mots
Aux gens qui souffrent encore
Derrière l’ombre des rideaux
De fer, aux coupables de la mort
J’offre volontiers un poème,
Qui véhicule un chant suave
D’amour, il guérit l’extrême
Folie et orne les joues hâves,
Aux gens, qui voient l’horizon
Étouffer les murmures sonores
Des peuples soumis et la floraison
Sur les vagues cognant les corps
Calcinés, jetés sur les rivages
Arides et rocheux des océans
De Larmes chaudes par la rage
Des monstres surgis du néant ;
À ceux, qui sentent les soupirs
Tristes salir les cœurs ingénus
Et les mœurs quand le sourire
Dissimule la raison inconnue
Dans l’ombre du silence lourd
Des adultes et le mal sournois
Empêche tous les troubadours
De chanter, ou de tracer la voie
De la libération gaie des gens ;
Entendez les cris de vos cœurs
Sans être les malades indigents
Qui se plaisent dans la misère,
Ou dans la soumission volontaire,
La réalité nous encourage à lire
Sur les visages des tortionnaires
Le sinistre présage d’un avenir
Nébuleux faisant vibrer les peaux
Par les frissons d’épouvante
Provoqués en nous par les maux,
Sans sceller les langues savantes
Des traîtres qui glorifient le passé
Des oppresseurs, sans écouter
La voix des populations stressées,
Ou trouver dans la haute-fidélité
La force qui leurs évite la trahison
Pour s’affirmer en être pensant
Et non en être enivré par le poison
Qui les grossit par le ton blessant.
Dad Allaoua
J’adresse ces quelques mots
Aux gens qui souffrent encore
Derrière l’ombre des rideaux
De fer, aux coupables de la mort
J’offre volontiers un poème,
Qui véhicule un chant suave
D’amour, il guérit l’extrême
Folie et orne les joues hâves,
Aux gens, qui voient l’horizon
Étouffer les murmures sonores
Des peuples soumis et la floraison
Sur les vagues cognant les corps
Calcinés, jetés sur les rivages
Arides et rocheux des océans
De Larmes chaudes par la rage
Des monstres surgis du néant ;
À ceux, qui sentent les soupirs
Tristes salir les cœurs ingénus
Et les mœurs quand le sourire
Dissimule la raison inconnue
Dans l’ombre du silence lourd
Des adultes et le mal sournois
Empêche tous les troubadours
De chanter, ou de tracer la voie
De la libération gaie des gens ;
Entendez les cris de vos cœurs
Sans être les malades indigents
Qui se plaisent dans la misère,
Ou dans la soumission volontaire,
La réalité nous encourage à lire
Sur les visages des tortionnaires
Le sinistre présage d’un avenir
Nébuleux faisant vibrer les peaux
Par les frissons d’épouvante
Provoqués en nous par les maux,
Sans sceller les langues savantes
Des traîtres qui glorifient le passé
Des oppresseurs, sans écouter
La voix des populations stressées,
Ou trouver dans la haute-fidélité
La force qui leurs évite la trahison
Pour s’affirmer en être pensant
Et non en être enivré par le poison
Qui les grossit par le ton blessant.
Dad Allaoua
Dad Allaoua- Nombre de messages : 3370
Date d'inscription : 26/01/2010
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