Je sens la terre s’amollir sous mes pieds
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Je sens la terre s’amollir sous mes pieds
Je sens la terre s’amollir sous mes pieds
Je sens la terre s’amollir sous mes pieds
Et les dunes se démolir par mon souffle
Quand le corps m’obéit sans se sentir épié ;
La clarté de l’aurore purifie l’air qui gonfle
Mon cœur et fait chanter l’oiseau qui pépie
Lorsque je donne à la fatigue des gifles.
Ma persévérance efface les limites
M’évitant de franchir l’horizon indépassable ;
En sentant la fatigue seulement dans la tête
Je lance le défi à l’orage et au vent de sable
De surmonter l’épreuve qu’impose la tempête
Sans me plier aux conditions abominables.
Je cours sans penser au temps ni à l’espace,
Mon seul repère demeure le soleil levant,
Je trouve dans l’aurore la pureté de la race
Qui traverse sans peur les terrains mouvants
En permettant à la sueur d’effacer les traces
Des pas laissés sur des sentiers émouvants.
J’adore le sport de haut niveau, il m’arme
De patience lorsque j’affronte les épreuves
En respectant les autres ; sans faire un vacarme
Je détends les muscles au bord du fleuve
Où se mire la lune sans déclencher l’alarme
Ou éloigner le soleil de la terre neuve.
Dad Allaoua
Je sens la terre s’amollir sous mes pieds
Et les dunes se démolir par mon souffle
Quand le corps m’obéit sans se sentir épié ;
La clarté de l’aurore purifie l’air qui gonfle
Mon cœur et fait chanter l’oiseau qui pépie
Lorsque je donne à la fatigue des gifles.
Ma persévérance efface les limites
M’évitant de franchir l’horizon indépassable ;
En sentant la fatigue seulement dans la tête
Je lance le défi à l’orage et au vent de sable
De surmonter l’épreuve qu’impose la tempête
Sans me plier aux conditions abominables.
Je cours sans penser au temps ni à l’espace,
Mon seul repère demeure le soleil levant,
Je trouve dans l’aurore la pureté de la race
Qui traverse sans peur les terrains mouvants
En permettant à la sueur d’effacer les traces
Des pas laissés sur des sentiers émouvants.
J’adore le sport de haut niveau, il m’arme
De patience lorsque j’affronte les épreuves
En respectant les autres ; sans faire un vacarme
Je détends les muscles au bord du fleuve
Où se mire la lune sans déclencher l’alarme
Ou éloigner le soleil de la terre neuve.
Dad Allaoua
Dad Allaoua- Nombre de messages : 3370
Date d'inscription : 26/01/2010
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