Coeur enfumé
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Coeur enfumé
Languis sous le ciel bleu où des nuages glissent
J’écoute les échos pouls reaggæ de Jah
En roulant mon bédot béni par les rastas
Sur la plaine de jeux je smoke assis tout peace
J’attends sous le soleil mes potos de la balle
Le cœur au rythme roots libérant l’épiderme
Prêt pour un petit foot ce fumant un peu d’herbe
Je regarde l’éveil des fumées qu’exhalent
Quand vint à l’horizon dans sa silhouette en tiers
Avec ses cheveux longs l’allure droite et fière
Une demoiselle semblant toute élégante
Cible de cupidon fléchée de prières
Narguant mes tentations du charme qu’elle opère
Elle m’ensorcelle de manière évidente
Salut ! C’est toi eric ?!
Euh…(et bin ça alors m’attendais pas à ça !
La belle me regarde mais moi je reste coi,
tant son parfum me farde son aura mystique,
feulant dans ses yeux d’or)
C’est moi l’authentique que me veux tu trésor ?!
(Ma vision s’hagarde sur ses brillants éclats
Dessous les cocardes de son sourire loi
Aux ferveurs alambics des courbes de son corps)
Je porte aussi ton nom j’ai fait chemin arrière
Du futur en un bond je viens du grand enfer
Pour exhausser l’appel de ma souffrance hurlante
Terrible damnation de mes chagrins amers
Je brûle mes onctions mon engeance sous terre
Alors en tutelles de larmes survivantes
Waouh ! Ce ointj trop fort ! Franchement, sont malins
ces cons ! Venez vite, vos effets sont de tailles
Allez ! Ça m’irrite, vous êtes où canailles !
Je viens du corridor de nos deux cœurs communs
Accords qui gravitent dans un futur en bail
D’où je viens proscrite d’une mort qui assaille
Tous nos photophores par éclat du destin
Mais, c’est bien atroce de lire tel message
Dans les yeux précoces d’une union en présage
Es tu un fantôme de mon propre avenir,
Venant de ses psaumes conter mon pouls périr ?
N’ais peur de nos noces suaves métissages
Notre amour véloce naîtra dans les sillages
Foulant les atomes des champs de nos désirs
Dansant les rhizomes des rives du frémir
Douces miroboles de fusions acronymes
Aux noms qui se collent par mariage éponyme
J’ai déjà l’alliance d’envies d’être à toi
Croit moi sur parole dans un temps très infime
Nous suivrons l’Éole de nos souffles intimes
En correspondance sur des jetés de soie
C’est fou ! Pourquoi alors venir m’hanter des in-
tentions qui habitent le temps en éventail
Des bienheureux rites de l’amour qu’on assaille
Je viens de ce décors du monde sur sa fin
Aux chaos qu’agitent la haine en gouvernail
Touchant tous les sites perclus dans les mitrailles
Des innocents au sort de leur regard éteint
Le monde est déjà mort mais resteront certains
S’ombrent rats, l’élite crame dans ses entrailles
Les flammes délitent tous les châteaux de failles
Quand des Terminators font écrases demains
Amour je t’en prie quand il viendra le jour
De la grande bombe vacillant les lumières
Viens pas sous ses trombes secourir mes poussières
Mais restes à l’abri le temps qu’ils te secourent
Il en va de la vie aux fruits de nos mamours
Nos enfants t’incombent survie journalière
Parmi les décombres des villes cimetières
De grâce ! survie je mourrais pour toujours !
Comment prendre tes mots de malheur en desserte
Tu me prends à défaut m’annonçant notre perte
Maintenant que je sais dois je te prévenir
Suis frappée du sceau du diable qui achète
Les âmes à leur taux j’ai vendu ma requête
Quand je fis le souhait dans mon dernier soupir
De t’annoncer les faits du monde qui s’expire
Pourquoi vendre la peau de ton âme ton être
Tu serais mieux là haut qu’au sous sol sans fenêtre
C’est grave tragique. Hey, j’ai qu’à te prévenir
Le futur n’est pas fait nos choix vont le construire
Le crois tu si idiot rien ne le déconcerte
Je suis dans le noyau de ses flammes expertes
Entre des cris défaits tant elles font souffrir
Je m’en vais mon amour mais avant promets le
Surveilles nos enfants protèges l’innocence
De leurs pleurs survivants dans les blessures intenses
Griffonnées sur tours par messages de feux
Quel secret bien trop lourd que ton cruel aveux
Il nous à eut, Satan, j’ai eu aussi ma chance
J’ai traversé le temps pour nous sauver d’avance
J’ai signé son discours pour t’élever aux cieux !
Sa silhouette se perd dans des lueurs en cendres
Dispersée aux éclairs d’halos qui se méandres
Aux beautés sereines sur son sourire aux larmes
Je t’aime et j’en suis fier quitte à devoir me rendre
Jusqu’aux fonds de l’enfer pour en oser pourfendre
Ces maux qui te drainent l’amour que tu incarnes
Les chaleurs de l’été brouillent le paysage
Mêlent les verdures dans des vapeurs flottantes
Dépliant dans l’azur ma levée hésitante
Frottis de yeux collés reste encore un visage
Rêve où réalité je me réveille en âge
Je cherche et m’assure de preuves existantes
J’ai trop fumé c’est sur ma tête est chancelante
Le soleil m’a sué de ses rayons en rage
De quoi ais-je rêvé je m’en rappelle plus
Souvenir dissipé d’une belle inconnue
Debout sur la plaine je scrute l’horizon
Quand mes potos viennent shootant dans un ballon
Ils sont accompagnés d’une belle ingénue
Je ne pu que scotcher devant l’inattendu
Mon cœur bouge à peine son sourire me plomb
Ô drôle de scène qu’un déjà-vu confond
J’écoute les échos pouls reaggæ de Jah
En roulant mon bédot béni par les rastas
Sur la plaine de jeux je smoke assis tout peace
J’attends sous le soleil mes potos de la balle
Le cœur au rythme roots libérant l’épiderme
Prêt pour un petit foot ce fumant un peu d’herbe
Je regarde l’éveil des fumées qu’exhalent
Quand vint à l’horizon dans sa silhouette en tiers
Avec ses cheveux longs l’allure droite et fière
Une demoiselle semblant toute élégante
Cible de cupidon fléchée de prières
Narguant mes tentations du charme qu’elle opère
Elle m’ensorcelle de manière évidente
Salut ! C’est toi eric ?!
Euh…(et bin ça alors m’attendais pas à ça !
La belle me regarde mais moi je reste coi,
tant son parfum me farde son aura mystique,
feulant dans ses yeux d’or)
C’est moi l’authentique que me veux tu trésor ?!
(Ma vision s’hagarde sur ses brillants éclats
Dessous les cocardes de son sourire loi
Aux ferveurs alambics des courbes de son corps)
Je porte aussi ton nom j’ai fait chemin arrière
Du futur en un bond je viens du grand enfer
Pour exhausser l’appel de ma souffrance hurlante
Terrible damnation de mes chagrins amers
Je brûle mes onctions mon engeance sous terre
Alors en tutelles de larmes survivantes
Waouh ! Ce ointj trop fort ! Franchement, sont malins
ces cons ! Venez vite, vos effets sont de tailles
Allez ! Ça m’irrite, vous êtes où canailles !
Je viens du corridor de nos deux cœurs communs
Accords qui gravitent dans un futur en bail
D’où je viens proscrite d’une mort qui assaille
Tous nos photophores par éclat du destin
Mais, c’est bien atroce de lire tel message
Dans les yeux précoces d’une union en présage
Es tu un fantôme de mon propre avenir,
Venant de ses psaumes conter mon pouls périr ?
N’ais peur de nos noces suaves métissages
Notre amour véloce naîtra dans les sillages
Foulant les atomes des champs de nos désirs
Dansant les rhizomes des rives du frémir
Douces miroboles de fusions acronymes
Aux noms qui se collent par mariage éponyme
J’ai déjà l’alliance d’envies d’être à toi
Croit moi sur parole dans un temps très infime
Nous suivrons l’Éole de nos souffles intimes
En correspondance sur des jetés de soie
C’est fou ! Pourquoi alors venir m’hanter des in-
tentions qui habitent le temps en éventail
Des bienheureux rites de l’amour qu’on assaille
Je viens de ce décors du monde sur sa fin
Aux chaos qu’agitent la haine en gouvernail
Touchant tous les sites perclus dans les mitrailles
Des innocents au sort de leur regard éteint
Le monde est déjà mort mais resteront certains
S’ombrent rats, l’élite crame dans ses entrailles
Les flammes délitent tous les châteaux de failles
Quand des Terminators font écrases demains
Amour je t’en prie quand il viendra le jour
De la grande bombe vacillant les lumières
Viens pas sous ses trombes secourir mes poussières
Mais restes à l’abri le temps qu’ils te secourent
Il en va de la vie aux fruits de nos mamours
Nos enfants t’incombent survie journalière
Parmi les décombres des villes cimetières
De grâce ! survie je mourrais pour toujours !
Comment prendre tes mots de malheur en desserte
Tu me prends à défaut m’annonçant notre perte
Maintenant que je sais dois je te prévenir
Suis frappée du sceau du diable qui achète
Les âmes à leur taux j’ai vendu ma requête
Quand je fis le souhait dans mon dernier soupir
De t’annoncer les faits du monde qui s’expire
Pourquoi vendre la peau de ton âme ton être
Tu serais mieux là haut qu’au sous sol sans fenêtre
C’est grave tragique. Hey, j’ai qu’à te prévenir
Le futur n’est pas fait nos choix vont le construire
Le crois tu si idiot rien ne le déconcerte
Je suis dans le noyau de ses flammes expertes
Entre des cris défaits tant elles font souffrir
Je m’en vais mon amour mais avant promets le
Surveilles nos enfants protèges l’innocence
De leurs pleurs survivants dans les blessures intenses
Griffonnées sur tours par messages de feux
Quel secret bien trop lourd que ton cruel aveux
Il nous à eut, Satan, j’ai eu aussi ma chance
J’ai traversé le temps pour nous sauver d’avance
J’ai signé son discours pour t’élever aux cieux !
Sa silhouette se perd dans des lueurs en cendres
Dispersée aux éclairs d’halos qui se méandres
Aux beautés sereines sur son sourire aux larmes
Je t’aime et j’en suis fier quitte à devoir me rendre
Jusqu’aux fonds de l’enfer pour en oser pourfendre
Ces maux qui te drainent l’amour que tu incarnes
Les chaleurs de l’été brouillent le paysage
Mêlent les verdures dans des vapeurs flottantes
Dépliant dans l’azur ma levée hésitante
Frottis de yeux collés reste encore un visage
Rêve où réalité je me réveille en âge
Je cherche et m’assure de preuves existantes
J’ai trop fumé c’est sur ma tête est chancelante
Le soleil m’a sué de ses rayons en rage
De quoi ais-je rêvé je m’en rappelle plus
Souvenir dissipé d’une belle inconnue
Debout sur la plaine je scrute l’horizon
Quand mes potos viennent shootant dans un ballon
Ils sont accompagnés d’une belle ingénue
Je ne pu que scotcher devant l’inattendu
Mon cœur bouge à peine son sourire me plomb
Ô drôle de scène qu’un déjà-vu confond
Dernière édition par Heartshiver le Mer 11 Nov - 10:55, édité 3 fois
Heartshiver- Nombre de messages : 96
Date d'inscription : 29/10/2009
Re: Coeur enfumé
belle façon d'écrire. j'aime....Heartshiver a écrit:rubrique nature
où vol à l'aventure
peu importe ma belle
des blogs à la citronelle
le plus important
c'est pas d'être sur un forum
mais ressentir son continuum
nos mots ont de masure
les fils tissés de l'azur
entre les ombres du soleil
vernies à l'ambre de notre éveil
quand tu m'appelerio arthur (lol
dame du lac à mon excalibur
opalée aux brumes de dentelle
où la lune traîne encore sur ton épaule
jusqu'au rhizome de tes ailes
et la bruyère amoureuse d'un saule
qu'importe le lit sur la fleur des grands lacs
l'onde propagée se confond avec les cîmes
les entrechats les plus fidèles restituent l'impact
et réordonnent la gravité dans un chaos d'enzymes
journée d’amoureux mesurée éblouie
à la connivence rejetant les défauts
les coeurs létal en feu ondulent leurs survies
à l’unique échéance de s’offrir à l’écho
papillons dans les yeux guirlandes de l’envie
les opales dansent les lampions vibratos
sur la piste des cieux la soyeuse harmonie
de l’amour s’élance spiralée au duo
vapeur à rosée pétales d’épiderme
l'une à l’UN enliée aux lettres d’UN je t’aime
gravitant aux pactes d’emphases courtisanes
la beauté drapée comme être soie même
cours l’horizon cobalt d’une extase océane
Caresse murmurée entre perles de gemme
Merci bien avoue.
sandrine jillou- Nombre de messages : 1700
loisirs : écrire, courir, vélo.
Date d'inscription : 08/10/2008
Re: Coeur enfumé
Très bon partage, Au plaisir du partage sur nos pages.
sarah- Nombre de messages : 2022
Date d'inscription : 12/11/2008
Heartshiver- Nombre de messages : 96
Date d'inscription : 29/10/2009
kimannzo- Nombre de messages : 898
loisirs : ecriture; équitation;jogging
Humeur : dynamique...
Date d'inscription : 27/05/2009
Heartshiver- Nombre de messages : 96
Date d'inscription : 29/10/2009
Re: Coeur enfumé
Le vent est passé par là?Heartshiver a écrit:Les branches légères des arbres de l’automne
Ont en dessins communs la nue des écorces
D’une blancheur fière que le glas ovationne
D’engelures au teint quand l’hiver s’amorce
Pourtant, de ces forêts grises, ressortant parmi tous,
Un arbre belliqueux, contre le temps, bourgeonnait de couleurs
Je mens, des feuilles en frises s’éclairaient milles pousses
Aux effets lumineux d'un vert luisant aux guirlandes de fleurs
Bien sur, aux alentours, les paris sont ouverts
Résisteras donc t’il dans la longue nuit blanche
Pas sur, ces derniers jours le verglas est dans l’air
Répondit volubile la mort sure de sa manche
Un parieur bien placé, faut bien le dire un peu
fou, avait de son choix construit son joli nid
de feuilles laquées de tiges que des nœuds
clouent, à même croix, leur destin dans la nuit
Voyez vous le tableau, vous là haut, sur mes mots
Pensiez vous qu’un oiseau, sans cerveau, ni idiot
Ne croirait aux halos sous ces beaux éclats chauds
En fait, le premier étonné de cette différence
incroyable, fut lui. L’arbre arborait la vie,
Quand l‘hiver glacé statufiait la vaillance
des érables, enfouie dans des nids de survie
Mais dis moi, arbre de lumières, d’où te vient ce pistil
De jouvence ? demanda l’oiseau
Je sais pas, mais tu manques pas d’air de ne croire au péril
Du froid dense, ne sens tu des crocs ?
Des baves de givres figeant même la boue
Hâlent les escarpes d’haleines qui lacèrent
Les gencives ivres d’une gueule de loup
Traînant son écharpe surs ses pas sans repère
Tournant en rond, à bout, cherchant où bien survivre,
Du froid qui le sarpe jusqu’à son ventre austère,
Il vint du mont, vers nous, d’un regard qui s’enivre
Prenant tout ce qu’harpe sa vision sanguinaire
D’un vol un peu tardif, l’oiseau n’eut pas le temps
de s’échapper, et puis, d’un tombeau sous la neige,
Quitte à être plaintif, autant crever ardent
sous l’arbre fardé, au lit des spots en cortèges
Bien sur, aux alentours, les paris sont ouverts
Résistera donc t’il dans sa proche échéance
Au dur compte à rebours du repas au dessert
Que l’œil du loup jubile voyant l’oiseau en tranches
Ô, Arbre de Lumières, viendrais tu à mon aide ?
Demanda l’oiseau, l’haranguant de suppliques
Ho ! Suis qu’un conifère ! Quel serait ton remède
Tu n’es qu’ex écho de l’été qui abdique
Tout comme tes branches ! Mais, ne le vois tu donc
pas ! parmi la vallée tu es un spécimen
Tes rayons enclenchent sur la forêt quelconque,
Tas d’uniformités, tes spectres allogènes
Le loup se rapprochant de sa curiosité
instinctive, l’oiseau, froussé, supplie l'arbre
du fort désagrément d’atterrir en bouchées
d‘incisives, d’un saut, en entier, quel macabre !
Es tu incapable, toi si puissant, peut être
n’es tu rien qu’un arbre, devant toi je m’incline
Serais tu affable, grand élément, c’est piètre
Tu n’es que palabre c’est toi qui m’assassine
Mais, que puis je y faire ? Mes épines s’allument ?
Ma sève est de fluo ? Un phare à la forêt ?
Hey ! J’ai pas de chair ! Toi sous tes belles plumes
au fumet de ta peau, tu fais plat gourmet !
Dans les souffles dingues des cruels intentions
Le loup prêt à gober de son regard en rage
Entendit ce son, Bang ! Du tir d’un bûcheron
Il portait dans sa main les grands crocs d’une scie
Il venait pour couper ce bel arbre en alpage
Remerciant le destin, l’oiseau mourra la nuit.
Qui a chassé les premièrs vers?
Est-ce pour laisser place à un nouveau printemps!
Tu écris si bien, ne prive pas ta plume de nous enchanter.
à bientôt
rayane- Nombre de messages : 1418
Date d'inscription : 23/09/2008
Re: Coeur enfumé
merci Rayane
c'est juste le temps de me remettre des émotions
j'étais en plein charivari aux montagnes russes
je mélangeais le pinceau de la réalité avec la fiction
à scander l'amour et la vie le coeur à l'angélus
Des tempes aux joues mes doigts touchent sa soie
Remontant l’aquilin sur des rivières creuses
Jusqu’aux cils d'acajou où mon amour s’assoit
Admirant au lointain les visions lumineuses
Les ailes de sourcils de mon oiseau de plumes
D’orbites filantes sur son regard d’étoiles
Font la trace d’un fil tombant entre les brumes
Cachant dans ce temple ses courbes qui s'envoilent
Mon oiseau enfuie je sens bien que je glisse
Mon cœur est enclume lourd de consternation
Trouverais-je envie faut que je réagisse
Prés du précipice j’ai jeté mes soucis
La voie s'allume plaine d’exaltations
Le brouillard glisse j’ai devant moi ma vie
merci.
c'est juste le temps de me remettre des émotions
j'étais en plein charivari aux montagnes russes
je mélangeais le pinceau de la réalité avec la fiction
à scander l'amour et la vie le coeur à l'angélus
Des tempes aux joues mes doigts touchent sa soie
Remontant l’aquilin sur des rivières creuses
Jusqu’aux cils d'acajou où mon amour s’assoit
Admirant au lointain les visions lumineuses
Les ailes de sourcils de mon oiseau de plumes
D’orbites filantes sur son regard d’étoiles
Font la trace d’un fil tombant entre les brumes
Cachant dans ce temple ses courbes qui s'envoilent
Mon oiseau enfuie je sens bien que je glisse
Mon cœur est enclume lourd de consternation
Trouverais-je envie faut que je réagisse
Prés du précipice j’ai jeté mes soucis
La voie s'allume plaine d’exaltations
Le brouillard glisse j’ai devant moi ma vie
merci.
Heartshiver- Nombre de messages : 96
Date d'inscription : 29/10/2009
kimannzo- Nombre de messages : 898
loisirs : ecriture; équitation;jogging
Humeur : dynamique...
Date d'inscription : 27/05/2009
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