elle était
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elle était
Elle était un tourbillon
un brouillard d'envies
l'oeil du cyclone
le vent dans les dunes
l'envol aux cieux
l'eau des sources
les océans bleutés.
Elle n'était pas la plus belle
elle n'était pas dans les canons
ceux de la beauté
mais ses yeux brillaient
ses lèvres pulpeuses attiraient
son humeur rendait joyeux
ses phéromones agissaient
agissaient on ne peut plus
Mon dieu ses hanches
quelles hanches
de celles des années 50
de celles qui enfantent
ses seins n'étaient pas les plus grands
mais bon sang il semblaient vivant.
Elle se déplaçait la tête haute
le port altier
de celui qui fait se retourner les têtes
ou battre l'envie
ou débattre les envies
de ceux qui ne pouvaient s'en détacher
attirer comme les abeilles
vers les sucs et senteurs divines
Elle était fleur
elle était rose
elle était ici,
ici de suite,
on ne désirait pas la voir partir
juste garder son image
juste garder ce sourire
juste garder cette fraicheur
Elle portait des vêtements simple
mais sur elle ils étaient tout
de ceux qui font les mannequins
de ceux qui font les stars
de ceux sans prix
de ceux en flanelle
ou simplement en soie
en je ne sais quoi d'extra
cela donnait l'impression d'un magazine
aux pages luxuriantes
en papier glacé rendu brûlant
la peur qu'il ne se consume et disparaissent
Elle était la pluie salvatrice
l'eau qui purifie
celle qui rend beau
celle qui fait les jeunes pousses
Elle était comme un rêve
ou encore un songe
la belle des milles et une nuits
la fée des désirs inassouvis
la tentatrice
la castratrice
on se sentait miroir
l'impression d'être invisible.....
oui juste invisible !
un brouillard d'envies
l'oeil du cyclone
le vent dans les dunes
l'envol aux cieux
l'eau des sources
les océans bleutés.
Elle n'était pas la plus belle
elle n'était pas dans les canons
ceux de la beauté
mais ses yeux brillaient
ses lèvres pulpeuses attiraient
son humeur rendait joyeux
ses phéromones agissaient
agissaient on ne peut plus
Mon dieu ses hanches
quelles hanches
de celles des années 50
de celles qui enfantent
ses seins n'étaient pas les plus grands
mais bon sang il semblaient vivant.
Elle se déplaçait la tête haute
le port altier
de celui qui fait se retourner les têtes
ou battre l'envie
ou débattre les envies
de ceux qui ne pouvaient s'en détacher
attirer comme les abeilles
vers les sucs et senteurs divines
Elle était fleur
elle était rose
elle était ici,
ici de suite,
on ne désirait pas la voir partir
juste garder son image
juste garder ce sourire
juste garder cette fraicheur
Elle portait des vêtements simple
mais sur elle ils étaient tout
de ceux qui font les mannequins
de ceux qui font les stars
de ceux sans prix
de ceux en flanelle
ou simplement en soie
en je ne sais quoi d'extra
cela donnait l'impression d'un magazine
aux pages luxuriantes
en papier glacé rendu brûlant
la peur qu'il ne se consume et disparaissent
Elle était la pluie salvatrice
l'eau qui purifie
celle qui rend beau
celle qui fait les jeunes pousses
Elle était comme un rêve
ou encore un songe
la belle des milles et une nuits
la fée des désirs inassouvis
la tentatrice
la castratrice
on se sentait miroir
l'impression d'être invisible.....
oui juste invisible !
ressilap- Nombre de messages : 558
loisirs : muscu, lecture, vtt, marche, ...
Date d'inscription : 29/11/2010
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