des souvenirs amers

les expériences qui font grandir, sont celles qui font le plus souffrir..

[quote="daniel"]Dans mes mains elle lisait nos destins,j'étais lignes,
Elle disait : l’amour est notre chemin,pourvu que j'en sois digne,
Je la regardais, fasciné, je la croyais,ce n'était que mensonges,
Mes yeux de bonheur larmoyaient,j'étais roi en mes songes,
Je l’aimais, c’était le premier battement,prémices de l'Amour,
De mon cœur, qui se trompait complètement,cruel détour,
Je ne pouvais savoir qu’elle ne faisait que jouer l'épicurienne,
De mes sentiment, que ça lui plaisait de trouer mes persiennes,
Les pages naïves de mes débuts,paroles d'un coeur sincére,
Je repense à ces lointains débuts où elle a semé graine misére,
Je maudis tous les moments passés,pour une passion dérisoire,
Je me promets de ne plus me laisser casser,être la bonne poire.

Bonne composition CELUI QUI SAIT comme si tu répondais à chaque vers!

Momor a écrit:Bonne composition CELUI QUI SAIT comme si tu répondais à chaque vers!

Tout le mérite en reviens à Mr daniel.

Ce ne sont point des souvenirs amers ce sont des expériences


belle vie

[quote="Admin"]Dans tes mains que je pensais d'airain,
L’amour n’était qu'un cruel destin,
Que goute d’eau donnée des nuages,
Filant entre les doigts,vulgaire adage,
De la sincérité que je croyais sienne,
Si elle quitte ton « paradis »quoi qu'il advienne,
C’est quelle n’a pas trouvé,c'est une aventureuse,
Ce quelle avait prédit,en tant qu'allumeuse.

C’est quelle n’a pas trouvé,c'est une aventureuse,
Ce quelle avait prédit,en tant qu'allumeuse
ou tout simplement une trop sérieuse
qui voulait du parfait bien conjuguer au futur sans condition

EN AVANT,NE REGRETTE RIEN,L'AMOUR EST LA

Dans mes mains elle lisait nos destins,
c'est du moins ce quelle croyait
Elle disait : l’amour est notre chemin,
de divergeance...qu'elle prévoyait?
Je la regardais, fasciné, je la croyais,
absurde, qu'était mon coeur
Mes yeux de bonheur larmoyaient,
le destin était moqueur
Je l’aimais, c’était le premier battement , c'était la faiblesse
De mon cœur, qui se trompait complètement, dans son ivresse
Je ne pouvais savoir qu’elle ne faisait que jouer,
de mes palpitations naives
De mes sentiment, que ça lui plaisait de trouer,
de pousser à la dérive
Les pages naïves de mes débuts,
mauvais souvenirs
Je maudis tous les moments passés,
je ne voudrais les vois revenir