Je voudrai vivre mes écrits

Je voudrai vivre mes écrits

Je voudrai écouter mes écrits, je voudrai faire parler mes écrits
Je voudrai chanter mes écrits, je voudrai les mettre en musique
Je voudrai mettre en contemplation ma méditation cérébrale
Je voudrai revivre l’émergence de la nostalgie de mon enfance

Marquée dans l’espace et le temps, cachée dans les profondeurs de mes écrits
Je voudrai mettre en exposition le produit de ma plasticité neuronale
La communication à travers l’expression écrite demeure à l’infini
L’ultime outil capable d’assurer en permanence la convergence intellectuelle

L’écriture et la lecture donnent un sens à mon existence, à ma résistance
Je voudrai effacer mes échecs et apaiser mes souffrances en les
Métamorphosant en une symphonie composée par le verbe « penser »
A chaque que je récite mes écrits, j’apprécie la distinction de la sollicitation

Je voudrai rendre audible la vibration sentimentale pour vivre la mélodie
Diffusée par la description authentique de l’événement sans affecter
Le sujet de l’artificiel infiniment conçu, mais qui succombe rapidement
Dans la divergence induite par la soustraction de la sensation et la provocation

Je voudrai revoir la phraséologie de mes textes pour mettre en valeur
Et en expression ma réflexion, je voudrai en correction mes dires pour
Accéder au perfectionnement an transgresser la pensée sentimentale et
Maintenir la composition cérébrale en phase avec la fréquence cardiaque.

Je voudrai voyager à travers mes écrits dans l’immensité et l’harmonie
De cet infiniment compliqué et infiniment séduisant pour projeter mon
Intelligence. Véhiculée par la plume, ma pensée parcourt les différents
Espaces où le savoir existe sous forme d’éducation, de discipline, d’élévation

D’éminence, de civilisation, de vertu, de secours, d’interrogation, de réponse
De solution, de remède, de soulagement, de communication, ainsi la
Médiocrité demeure à l’éternité amputée de cette incandescence neuronale
Celui qui n’écrit pas, ne pense pas, celui qui ne pense pas ne vit pas et celui qui
Ve vit pas n’existe pas.

on écrit nos vies ; la vie reprend image en nos écrits
salutations poétiques

je le voudrais aussi

Pourtant les circonstances,
Les mots ne devraient pas donner lieu de silence.
Et ce à quoi je dois faire face.

La plume doit s'incliner

Les maux sont inassouvis…L'inspiration a fuit,
Le combat reprendra..La raison arrivera,
Et la plume gagnera sur le silence !
Et la vie écrite je la crie et je la réécris