lettre éventuelle à un fils en mal d'amour

Mon fils je t'aime.
Point il ne faut te laisser déborder.
Parler, écrire, pleurer il est nécessaire.
Venir me voir, sortir, reprendre le cour d'une vie.

Chaque séparation est un enterrement d'une vie passée,
Ta construction d'homme en est nécessaire,
Douloureux est ce passage, je le reconnais,
Nous y sommes tous passés.

Créer une autre vie et aller de l'avant,
Prendre ta destiné en main, accompagné,
De tes amis, de ta famille, de ton esprit.
Ta volonté est mise à rude épreuve.

J'en conviens, c'est rude et destructeur.
Nos carapaces de parents sont faites des mêmes épreuves.
Relève toi, arme toi, va de l'avant,
Nous sommes et resterons près de toi.

Nous te devons beaucoup,
Une partie de nos constructions,
du bonheur de t'avoir pour fils,
De la fierté de te voir grandir bon, beau et fort.

Reste conscient que tu ne sera jamais seul,
Tu peux appeler sans soucis, nous écrire,
Mais ne garde rien en toi, tu n'es pas seul,
Cela est le plus beau joyau que tu puisses avoir.


Il est possible de croire qu'un ''je t'aime'' est suffisant.
Il est possible de croire que l'enfant sait combien on l'aime.
Il est possible d'avoir à le dire en ayant crainte d'être incompris.
Il n'est pas possible de ne pas le dire ce ''je t'aime''.

L'être seul, au milieu des tourments, des éléments déchaînés de son quotidien, de son coeur où se brise le rêve
Doit lutter pour sa joie de vie ; sauver son futur des plaies du passé...
Face aux furies des déceptions déterminées, l'espoir est guide... il scintille dans les ténèbres contre vague et orages qui font partie du chemin...


partage d'intimité louable...mes amitiés JJ

ressilap a écrit:Mon fils je t'aime.
Point il ne faut te laisser déborder.
Parler, écrire, pleurer il est nécessaire.
Venir me voir, sortir, reprendre le cour d'une vie.

Chaque séparation est un enterrement d'une vie passée,
Ta construction d'homme en est nécessaire,
Douloureux est ce passage, je le reconnais,
Nous y sommes tous passés.

Créer une autre vie et aller de l'avant,
Prendre ta destiné en main, accompagné,
De tes amis, de ta famille, de ton esprit.
Ta volonté est mise à rude épreuve.

J'en conviens, c'est rude et destructeur.
Nos carapaces de parents sont faites des mêmes épreuves.
Relève toi, arme toi, va de l'avant,
Nous sommes et resterons près de toi.

Nous te devons beaucoup,
Une partie de nos constructions,
du bonheur de t'avoir pour fils,
De la fierté de te voir grandir bon, beau et fort.

Reste conscient que tu ne sera jamais seul,
Tu peux appeler sans soucis, nous écrire,
Mais ne garde rien en toi, tu n'es pas seul,
Cela est le plus beau joyau que tu puisses avoir.


Il est possible de croire qu'un ''je t'aime'' est suffisant.
Il est possible de croire que l'enfant sait combien on l'aime.
Il est possible d'avoir à le dire en ayant crainte d'être incompris.
Il n'est pas possible de ne pas le dire ce ''je t'aime''.

j'espère que ces mots seront décodés par le coeur du fils aimé de son père qui ne peut que lui tendre la main pour l'aider à ramer vers la bonne rive.
amicalement

très touchant ce texte.

davidof a écrit:

ressilap a écrit:Mon fils je t'aime.
Point il ne faut te laisser déborder.
Parler, écrire, pleurer il est nécessaire.
Venir me voir, sortir, reprendre le cour d'une vie.

Chaque séparation est un enterrement d'une vie passée,
Ta construction d'homme en est nécessaire,
Douloureux est ce passage, je le reconnais,
Nous y sommes tous passés.

Créer une autre vie et aller de l'avant,
Prendre ta destiné en main, accompagné,
De tes amis, de ta famille, de ton esprit.
Ta volonté est mise à rude épreuve.

J'en conviens, c'est rude et destructeur.
Nos carapaces de parents sont faites des mêmes épreuves.
Relève toi, arme toi, va de l'avant,
Nous sommes et resterons près de toi.

Nous te devons beaucoup,
Une partie de nos constructions,
du bonheur de t'avoir pour fils,
De la fierté de te voir grandir bon, beau et fort.

Reste conscient que tu ne sera jamais seul,
Tu peux appeler sans soucis, nous écrire,
Mais ne garde rien en toi, tu n'es pas seul,
Cela est le plus beau joyau que tu puisses avoir.


Il est possible de croire qu'un ''je t'aime'' est suffisant.
Il est possible de croire que l'enfant sait combien on l'aime.
Il est possible d'avoir à le dire en ayant crainte d'être incompris.
Il n'est pas possible de ne pas le dire ce ''je t'aime''.

j'espère que ces mots seront décodés par le coeur du fils aimé de son père qui ne peut que lui tendre la main pour l'aider à ramer vers la bonne rive.

Oui il le sait et a appris à le faire savoir et à le dire.

Excusez moi du retard, merci !

eric bourgeois a écrit:très touchant ce texte.

Excusez moi du retard.

Merci pour cette phrase qui n'est pas anodine pour moi.