MES PARENTS
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MES PARENTS
Mes parents
Quand j’étais petit, je n’étais pas grand.
On entend tous ses paroles avant d’être grand.
Quand j’étais petit, mes parent étais la.
Et même quand ils n’était pas la,
Je jouais en pensent à eux,
Et j’étais heureux.
Je suis devenu adolescent
Le jour ou seul je me lavais les dents.
J’approchais les filles du bout des doigts
Et se n’est pas moi qui avait le choix.
A vingt ans j’ai connu ma première petite amie
A vint et un an j’étais majeur et je passais mon permis
Je recevais ma première chevalière sans bruit
À trente ans elle, mon amie est devenue ma meilleur amie.
A trente trois ans ma mère est partie
Pour un voyage infinie.
Elle ma laissée la avec mes ennuies
Et je m’en suis sorti.
A trente huit ans j’ai connu ta mère
A quarante ans je devenais père.
A quarante trois ans je suis devenu fou
J’avais tout perdu, même mon petit bout.
Le ciel avait voulu que mon père s’en aille.
La société m’avait reprit mon travail.
Ta mère était partie
Et moi je me sentais fini.
Mon père, ma mère,
Ton grand-père, ta grand-mère.
Ils ne savent pas qu’ils ont un descendant
Pourtant ils auraient aimé ton dehors, ton dedans.
Ils me manque souvent
Depuis qu’ils ont été soufflé par le vent.
Quand j’étais petit, je n’étais pas grand.
On entend tous ses paroles avant d’être grand.
Quand j’étais petit, mes parent étais la.
Et même quand ils n’était pas la,
Je jouais en pensent à eux,
Et j’étais heureux.
Je suis devenu adolescent
Le jour ou seul je me lavais les dents.
J’approchais les filles du bout des doigts
Et se n’est pas moi qui avait le choix.
A vingt ans j’ai connu ma première petite amie
A vint et un an j’étais majeur et je passais mon permis
Je recevais ma première chevalière sans bruit
À trente ans elle, mon amie est devenue ma meilleur amie.
A trente trois ans ma mère est partie
Pour un voyage infinie.
Elle ma laissée la avec mes ennuies
Et je m’en suis sorti.
A trente huit ans j’ai connu ta mère
A quarante ans je devenais père.
A quarante trois ans je suis devenu fou
J’avais tout perdu, même mon petit bout.
Le ciel avait voulu que mon père s’en aille.
La société m’avait reprit mon travail.
Ta mère était partie
Et moi je me sentais fini.
Mon père, ma mère,
Ton grand-père, ta grand-mère.
Ils ne savent pas qu’ils ont un descendant
Pourtant ils auraient aimé ton dehors, ton dedans.
Ils me manque souvent
Depuis qu’ils ont été soufflé par le vent.
Re: MES PARENTS
Triste histoire en vérité.
Compations Philippe
Compations Philippe
Philippe- Nombre de messages : 341
Date d'inscription : 12/01/2008
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