prose

Parlons de délires, de sentiments
incompris, de rêves obscurs qui bercent nos pensées quand nous sommes seuls
face à nous-mêmes. Rejoignons cet autre qui saura, par maintes illusions, nous
faire comprendre qui nous sommes. Apprenons à parler avec le silence puisque
nous sommes humains et que l’imaginaire n’a de limites que si on les lui impose.
Apprenons à observer le temps qui se déroule sans paroles.

Ambivalence de sentiments, enquête sur soi-même au contact de l'inconnu. Le JE se veut NOUS pour partager sa douloureuse quête.

oui c'es exactement ça...

poete-heretique a écrit:Parlons de délires, de sentiments
incompris, de rêves obscurs qui bercent nos pensées quand nous sommes seuls
face à nous-mêmes. Rejoignons cet autre qui saura, par maintes illusions, nous
faire comprendre qui nous sommes. Apprenons à parler avec le silence puisque
nous sommes humains et que l’imaginaire n’a de limites que si on les lui impose.
Apprenons à observer le temps qui se déroule sans paroles.

Une histoire sans fin,tout au moins pour notre imaginaire.La réalité souvent nous referme le livre en plein visage.Nous vivons plus avec nous même qu'avec autrui.Tu as mentionné des réalités de vie,j'ai apprécié.Bien à toi.

Merci pour ce commentaire, le partage est toujours très plaisant.

Avec la fin de l'amour, apparaissent les rois mages: la mélancolie, le silence et la joie.

[ Christian Bobin ]
***
en fait: pourquoi ce long silence ?
bon retour parmi-nous...