Perte.

Il perd ses fontaines de patience
Il perd son sang, son encre, sa peine

Le temps en jets d'eau, le traine.
Pour le jeter à l'océan des ombres

Le cœur cambré en nœud
Se perd en lacets et en lanières

Les doutes fermentés en lui
Le pensée tournés déborde, la sagesse le fuit

Sa passion absente comme une eau morte
Perd tout son son au grand crépuscule.

belle description
comme le passage de crue dans l'oued sans aide

sympatique a écrit:
belle description
comme le passage de crue dans l'oued sans aide

l'image des crues me plait j'en connais des dévastatrices.
merci à vous seule plume qui passe sur mon sujet qui se sent solitaire tout d'un coup.

beau ce poème dans sa profondeur mélancolique et triste

lourde perte décrite poétiquement au point de faire oublier le coté sombre du sujet pour ne laisser sentir que le "beau" coté des images poétisées.
bien à vous.

Rita-kazem a écrit:beau ce poème dans sa profondeur mélancolique et triste

quand on a une douleur au coeur on voit noir.

julien a écrit:lourde perte décrite poétiquement au point de faire oublier le coté sombre du sujet pour ne laisser sentir que le "beau" coté des images poétisées.
bien à vous.

je me verse en brumes ascendantes je me dépose sur la grève !
je couche mes plaies-songes au trépas de mes fièvres.
bonne journée.

Je ne t'ai point encore commenter et je m'en excuse,mais j'avoue avoir certaines difficultés à suivre ton raisonnement suis-je trop inattentif peut-être alors sur celui-ci je tente l'aventure,dis moi si je suis hors sujet............Bien à toi Iazhar.

N'ayant comme seule espérance qu'une ligne d'horizon infinie,
Il erre en ses méandres d'esprit se voyant,du monde,honni,
Ses pensées l'assaillent ne trouvant nulle réponse à donner,
Il est cet homme de la solitude n'ayant plus rien à incarner.

celui qui sait a écrit:Je ne t'ai point encore commenter et je m'en excuse,mais j'avoue avoir certaines difficultés à suivre ton raisonnement suis-je trop inattentif peut-être alors sur celui-ci je tente l'aventure,dis moi si je suis hors sujet............Bien à toi Iazhar.

N'ayant comme seule espérance qu'une ligne d'horizon infinie,
Il erre en ses méandres d'esprit se voyant,du monde,honni,
Ses pensées l'assaillent ne trouvant nulle réponse à donner,
Il est cet homme de la solitude n'ayant plus rien à incarner.

Bonsoir
Vous n'avez pas à vous excuser.
J'ai les pensées en errance continue
Je suis un homme-enfant perdu
Je ne sais pas où me placer
Je cherche la fin d'un desert
Qui ne se finira jamais

J'ai perdu beaucoup de choses
J'ai vu se faner tant de roses
Mais pourtant éclore tant d'orchidée.
Alors, il où le défaut ?

Tu arrives à poétiser cette douleur qui s'éternise, comme pour mieux fuir l'amertume...
amicalement

Les sillons d'un cœur en douleur
Ne laissent pousser de fleur
Seuls fruits du bonheur
Pourtant, Inspirant est cet effroi doublé de peur
Qui couvent en toi.

rychar a écrit:Tu arrives à poétiser cette douleur qui s'éternise, comme pour mieux fuir l'amertume...
amicalement

se sentir vide de l'intérieur est frustrant. dur à trimballer dans la péensé tout le temps.
merci de votre partage.
amitiés sincères.

marie la rebelle a écrit:Les sillons d'un cœur en douleur
Ne laissent pousser de fleur
Seuls fruits du bonheur
Pourtant, Inspirant est cet effroi doublé de peur
Qui couvent en toi.

si deux lunes bleue comme tes yeux me disaient bonjour chaque matin c'est sûr que je serais mieux ma peaux!
pardon pour ce délire matinale, je suis de bonne humeur.
bize amicale.