Ce qui est caché

Nul être de ce monde accomplira la loi
S'il ne conçoit sur la route de lumière
De se dévêtir des seules vérités
Imposées par les dogmes au mépris du divin
Quelle est cette richesse, tant vantée
Tant employée pour galvaniser les foules
Je ne connais de seule richesse que l'amour
Celle qui nous porte vers l'abandon de tout
Celle qui enflamme notre cœur d'un divin pardon
Cet amour ouvrant la voûte étoilée à nos prières
Portant sans clivage, l'oraison des sources sacrées
Ne me demandez pas d'être à l'image des prophètes
Je ne porte que ma joie au grand ressenti des accords
Des palpitations de ces plans ou nous serons les hôtes
Quand la sentence du parcours marquera son temps
Vous me parlez d'imaginaire, mais je vous entends en vérité
De cette acceptation que j'ai maintenant consentie
Je ne reste que l'enfant face aux mystères de la vie
Je lis et j'écoute, je parcours les longs discours
De ces si beaux charmeurs que le monde écoute
Mais de quelle vérité levez-moi d'un doute
Pour eux tout s'applique et se confond en l'homme
Mais pour nos cœurs et nos âmes accomplies
C'est dans la maison de Dieu que nous serons réunis.
Chacun suit sa voie, et se révèle en soi
Par son parcours et ses actes, il sera ou non géant
Notre conscience nous demande l'humilité
Le respect et le pardon de chaque accord libéré
J'ai douté de mes écrits, cédant aussi à l’EGO
Mais l'amour est venu me lavant des peurs
Les anges dansaient et me poussaient vers le miroir
Et pour ma plus grande joie
J'ai vu ce qui était caché

Jean Marc BALLESIO

La nuit des humains peut-être si brève est remplie de l'angoisse dévastatrice, ou de l'amour et sa passion protectrice
Écoutons nos cœurs ! Le souffle des ténèbres ne leurs fait pas peur!
Le bonheur, n'est pas étranger.
Au désespoir on ne peut s'accoutumer.
Écoutons la vie ! Le souffle des ténèbres n'est pas si près?
La lune n'est jamais angoissée.
Accrochée au toit des rêves elle nous sourit
Comme l'innocence des poètes ...

Au plaisir du partage...

dans ce monde ni bon ni mauvais
des étoiles se cachent
des cœurs sensibles aussi des amours fidèles
tout n'est pas gâché ni tout à fait noir.

la foi seul chemin de lumière.
vaisseaux où valssent les coeurs!
Ô conscience souveraine !
Vois la pensée cavalant où se love le vent,
Ce rai teinté d'or et d’argent
Qui nacre le ciel.

Que de meilleure réponse qu'un extrait d'un de mes textes.

Les tables de la loi divine bafouées par sa création,le mal est triomphant,l'humanité s'y adonne,
La terre est le domaine de la bête,la gente humaine est devenue la vile prostituée de Babylone,
Alors,faute de solution,je prie ce Dieu de Moïse,de Josué et de tant d'autres illustres inconnus,
Car,devant toutes ces incertitudes je suis Adam dans le jardin d'un Eden et j'ai froid en mon nu.

Bien à toi.

La sagesse, voile vaporeux
De sa senteur exquise embaume l’air des rêveurs pensifs
Le blanc de l'espoir scintille sur l’écume de la pensée
Sent le flot des troubles, qui risquent de perdre le monde sans foi.

Sur le chemin de la vie
En toute conscience je suis
Question en mon sang s"adonne
Pour une autre humanité je vole
Esprit et chère âme tu m'élève
Et je te vois EGO rampant de haine
Je demande l'amour, le graal de mon dieu
Pour rennaîte en ton sein heureux
Hors de cette terre si sombre
Ou le bienheureux puise son eau
Dans la réponse aux questions
Et de ce qui était caché

Nous portons la foi en chacun de nous...
Ensuite, on nous invite à suivre les foules pour nous accomplir dans un monde où seule la réussite matèrielle revêt de l'importance...notre spiritualité s'en trouve bafouée...a trop suivre le troupeau s'ouvre le précipice...
Il est temps de s'enivrer que de nos seuls désirs ou battements...
amicalement

Se traîner, s'écorcher sous des horizons noirs
Seule arme: la foi et l'amour
Puis essayer de se relever, avec espoir
Seule arme:la foi est l'amour

L'amour Friandise délicate
Qui se perd si on n'en fait pas attention
Entre la blancheur de lâme et l'ombre de l'esprit
Gourmandise d'amour
Qui se noie
Dans la moiteur
De la vie .

le vent qui se promène dans le coeur
de sa halte du passé à sa halte du présent
ranime un peu le feu de l'amour.