une expression ....se cache

Sous cette impression
Il y a une expression
Qui se cache
Pour qu’elle sache
Que sous cette masse
De crasses
Il y a une tragédie
Qui comme une maladie
Se propage
Et m’en ferme sous cage
Comme un otage
Reprend toi
Tu la vois
Cette lumière
N’es pas une frontière
Mais juste la ligne
Qui signe
Cette dépression
Il faut une raison
Relève toi
Juste pour moi
Sort de cette envie
Lâche cette vie
Qui te mets a part
Car tôt ou tard
Tu y prendras part dans cette vie
Dont tout le monde envie
Réveille
Tout en éveil
Tu sens
Il te prend
Se sens
A l’odeur d’encens
Tu y arrives
Sur cette rive
Où tu reprendras
Tes draps
Ces draps de la vie quotidienne
Qui es la tienne

Se raccrocher à l'existence poussé par quelque cri (écrit?)

comme un air........de dépression?

Un masque de tristesse, un visage vide d'envie, un renoncement à la vie où il est difficile de s'en sortir seul si une main ne se tend pas et si toute volonté a disparu !

amitiés murmuréesS

rychar a écrit:Se raccrocher à l'existence poussé par quelque cri (écrit?)

la vie vaut de la vivre
faut s'y accrocher quelques soient les aléas.

angelina Charles a écrit:comme un air........de dépression?

ce fut un air des pressions........merci pour la lecture

S'il faut continuer à vivre pour simplement survivre,
Se pose cette question relative à l'aberration de la vie,
Etre ou ne plus vouloir être à réfléchir je vous convie,
Simple question posée qu'en ce lieu je vous délivre.

Bien à toi Julien.

La dépression est en effet une vraie maladie , reconnue à présent ... Mais qu'est belle la vie , il faut surtout tenter d'en sortir très vite !! Allez Julien .. on remonte en pression positive !!

Un texte un peu pessimiste ... Mais ton sourire me dit que la situation n'est pas désespérée ... Fictif ce texte .. J'espère ???

Amicalement, poète

Goutte d'ô

MurmuresS a écrit:Un masque de tristesse, un visage vide d'envie, un renoncement à la vie où il est difficile de s'en sortir seul si une main ne se tend pas et si toute volonté a disparu !

amitiés murmuréesS

on a parfois besoin d'un coeur-éponge pour nous aider à franchir le cape
merci pour ce murmure amicale

celui qui sait a écrit:S'il faut continuer à vivre pour simplement survivre,
Se pose cette question relative à l'aberration de la vie,
Etre ou ne plus vouloir être à réfléchir je vous convie,
Simple question posée qu'en ce lieu je vous délivre.

Bien à toi Julien.

survivre le temps d'être sûr de ce
qu'on veut et ce qu'on veut pas surtout
tourner la page est dur
CQS

Goutte d'ô a écrit:La dépression est en effet une vraie maladie , reconnue à présent ... Mais qu'est belle la vie , il faut surtout tenter d'en sortir très vite !! Allez Julien .. on remonte en pression positive !!

Un texte un peu pessimiste ... Mais ton sourire me dit que la situation n'est pas désespérée ... Fictif ce texte .. J'espère ???

Amicalement, poète

Goutte d'ô
mi-fictif mi-figue je veux dire fugue en mots pour éviter la vraie "des pressions"
merci poétesse pour ta lecture

Je reviens d'une journée de Yoga qui avait lieu à 130 km de chez moi : conférence sur le thème du bonheur, atelier de pratique du yoga et discussions.

J'avais choisi l'atelier "L'imagination au coeur"
Les poètes ne manquent pas d'imagination, elle déborde même !
La source intarissable du bonheur se trouve dans cette imagination ; le poète dispose donc d'une alliée précieuse !

Le bonheur se cache au fond de nous, alors que nous le cherchons constamment à l'extérieur de nous, par des moyens eux aussi extérieurs. Quand il pointe son nez, nous le soupesons, le quantifions, nous guettons avec appréhension son départ, nous souffrons ensuite de son absence, et nous laissons passer les rayons de joie sans les voir.
L'état dépressif, doit être reconnu, non pas combattu, mais reconnu et c'est en nous tournant vers notre imagination que des solutions émergent...elles dissipent la torpeur dans laquelle nous mettent les idées sombres qui ont tendance à vouloir envahir notre mental.
C'est difficile (quand on a perdu un être cher)...mais trouver du bonheur dans le présent, et l'imaginer dans le futur, nous repositionne dans le courant de vie pour servir...d'autres êtres chers et rayonner.

J'avais lu ton poème l'autre jour...j'avais besoin d'un peu de temps pour y laisser un commentaire.

Réveille
Tout en éveil
Tu sens
Il te prend
Se sens
A l’odeur d’encens
Tu y arrives
Sur cette rive
Où tu reprendras
Tes draps
Ces draps de la vie quotidienne
Qui es la tienne

comme un encouragement ..en avant

Pour Carmen, j'ai beaucoup aimé ton passage.

Je n'ai toujours commis que des erreurs mineurs
Tel le rêve, l'espoir, l'attente d'une douceur
Cela n'était qu'un leurre
La seule chose ou j'excelle,
C'est écrire le malaise.

sympatique a écrit:Réveille
Tout en éveil
...
A l’odeur d’encens
Tu y arrives
...
comme un encouragement ..en avant

Salut sympathique;

Tout serait tellement mieux
Si l'osmose ne nous quittait pas
Si la douleur n'existait pas,
Ainsi que les tracas
Nos vies seraient tellement
Belles sans les peines
Au lieu de pleurer d'éffroi,
On ne pleurera que de joie

Bonjour Julien,

Impression de bien-être
cachée sous couverture de dépression
Cette incessante expression
dissimulée par l'objectivité des expressions...

Courage, le présent est un cadeau
Que le passé nous envie
Afin de l'ouvrir à cette vie
Qui pour notre futur sera forcément plus beau...



Béa

Bonsoir ma miss
Le violon parfois plaintif
Parfois joyeux
A sa corde de ré
S'accorde les rais de lumière

julien a écrit:Bonsoir ma miss
Le violon parfois plaintif
Parfois joyeux
A sa corde de ré
S'accorde les rais de lumière

Et sa corde est fragile
Elle s'accorde un instant futile
Une fa cilité d"accord
En utilité sol licitée,

Violon si agile
Violon non facile,
Façon futile
Glaçon inutile,

Reste la parole
Perdure son rôle,
Et je t"adore
Sans protocole.





Béa