Le temple du feu
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Le temple du feu
C'est comme embrasser un ange qui n'a pas de gardien
Faire plein d'éponges, puis rester dans un coin
Soigner blessure par blessure
Chercher l'encre pour donner des noms à ses faits malins
J'ai jeté la casque de ma peau
Je veux que ses larmes en l'air prennent soin
Elle a osé un jour me tirer, et elle me dit
"Voilà lui, c'est ta fin"
Elle a sorti vers lui le laine de ses seins
Et lui donnait le papier sur lequel
j'ai dessiné ses esquisses de nu
de ce qu'elle touchait pendant la bise
de ce qui brillait dans tous ses coins
Avant de lui mettre une corde
j'ai pris un bain des filles rondes
J'ai avalé tous les visages qui naissent vapeur
vapeur d'orgasme oedipien
J'ai resté calme pendant sa chute
elle parle encore qu'elle avait faim
Elle me dessine, perdant son cou,
sa race femelle croyant des mauvais dieux
Elle m'a surpris, étant déesse
qu'elle avait le droit à toutes les ivresses
Elle tombe jalouse des sahariennes
qui naissent à l'ombre
et félicitent les hommes
Elle court dresser, les femmes blessées
nourrir leurs jambes de fissures des hommes
La guerre s'entend, batir à jour des sobres
Les flammes d'esquisses d'armées s'entendent criant
C'est une fête pour les cadavres
Fête d'amour ergotique fléché
Remplaçant le sang
Par des encres de trahison
Les nulles roses vêtus d'absèques
racontent aux dieux les faits des sexes
Le mal s'est vêtu sa robe
il cache ses seins, il danse, il sèmes odeurs Whisky
pour finir notre race
dans une manège obscure
Faire plein d'éponges, puis rester dans un coin
Soigner blessure par blessure
Chercher l'encre pour donner des noms à ses faits malins
J'ai jeté la casque de ma peau
Je veux que ses larmes en l'air prennent soin
Elle a osé un jour me tirer, et elle me dit
"Voilà lui, c'est ta fin"
Elle a sorti vers lui le laine de ses seins
Et lui donnait le papier sur lequel
j'ai dessiné ses esquisses de nu
de ce qu'elle touchait pendant la bise
de ce qui brillait dans tous ses coins
Avant de lui mettre une corde
j'ai pris un bain des filles rondes
J'ai avalé tous les visages qui naissent vapeur
vapeur d'orgasme oedipien
J'ai resté calme pendant sa chute
elle parle encore qu'elle avait faim
Elle me dessine, perdant son cou,
sa race femelle croyant des mauvais dieux
Elle m'a surpris, étant déesse
qu'elle avait le droit à toutes les ivresses
Elle tombe jalouse des sahariennes
qui naissent à l'ombre
et félicitent les hommes
Elle court dresser, les femmes blessées
nourrir leurs jambes de fissures des hommes
La guerre s'entend, batir à jour des sobres
Les flammes d'esquisses d'armées s'entendent criant
C'est une fête pour les cadavres
Fête d'amour ergotique fléché
Remplaçant le sang
Par des encres de trahison
Les nulles roses vêtus d'absèques
racontent aux dieux les faits des sexes
Le mal s'est vêtu sa robe
il cache ses seins, il danse, il sèmes odeurs Whisky
pour finir notre race
dans une manège obscure
Re: Le temple du feu
belle petite découverte en ce matin. à lire vos prochains écrits
bienvenue..
bienvenue..
julien- Nombre de messages : 1159
Date d'inscription : 24/02/2010
Re: Le temple du feu
Lui écrire c'est
Lui dire amour dans une plainte-prière, là où les anges ne sont pas témoins !
écrit déroutant quand même...
magda- Nombre de messages : 1253
Date d'inscription : 28/03/2010
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