la suite des Nuées obscures

C’est ce mépris qui nous gouverne
En ne jetant pas un regard
Sur la nature mise en berne
Inféodée au Dieu dollar

L’homme a vendu jusqu’à son âme
Quand La terre vomit son sang.
Et de l’eau jaillit une flamme
De ce flot noir s’élargissant.

Le miséreux qui la travaille
En s’enfonçant dans ses parois
N’est plus rien que fétus de paille
Pour les nantis qui font les lois.

Quand l’océan soudain se voile
De cette nappe de l’enfer
Vous regardez briller l’étoile
Qu’observe le marin en mer

Mais le nuage qui empeste
Porté par les vents audacieux
Atteint la côte et il ne reste
Plus une larme dans les yeux

Poème de cause pour...Un monde lugubre, brutal.
Que le narrateur décrit avec force...
à relire
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je n'ai pas compris"la nature que l'on berne à l'inféodée du dollars", je vois pas le lien avec la terrible marrée noire qui touche les états unis! faut quand même pas mélanger tout et n'importe quoi! on est pas des boeufs!

prevision a écrit:je n'ai pas compris"la nature que l'on berne à l'inféodée du dollars", je vois pas le lien avec la terrible marrée noire qui touche les états unis! faut quand même pas mélanger tout et n'importe quoi! on est pas des boeufs!

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