Saison amoureuse

benino a écrit:La caresse du vent
A sculpté mon cœur
Témoin du moment
Ce fébrile bonheur.

Saison amoureuse
Parfum du silence
Étreintes lumineuses
À l’horizon, l’absence.

Une main effleure
Sous ce ciel d’été
L’esquisse de la peur
De cet amour convoité.

Le couloir du temps
Ce Nous a englouti
Hasard d’un instant
Au fil de ma vie.

Et la lune pleure.
Fragile mémoire brisée.
Il reste cette saveur
De nos baisers naufragés.

Reste la moisson
De notre amour.
Souvenirs à foison
Étourdis d’un toujours.

sherazed a écrit:

benino a écrit:La caresse du vent
A sculpté mon cœur
Témoin du moment
Ce fébrile bonheur.

Saison amoureuse
Parfum du silence
Étreintes lumineuses
À l’horizon, l’absence.

Une main effleure
Sous ce ciel d’été
L’esquisse de la peur
De cet amour convoité.

Le couloir du temps
Ce Nous a englouti
Hasard d’un instant
Au fil de ma vie.

Et la lune pleure.
Fragile mémoire brisée.
Il reste cette saveur
De nos baisers naufragés.

Reste la moisson
De notre amour.
Souvenirs à foison
Étourdis d’un toujours.

de la nostalgie? des souvenirs, de la beauté dans l'écrit

roby a écrit:[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] un joli partage bien poétique

gepetto a écrit:"La caresse du vent
A sculpté mon cœur
Témoin du moment
Ce fébrile bonheur.

Saison amoureuse
Parfum du silence
Étreintes lumineuses
À l’horizon, l’absence."

merci à vous
amitié
benino


On en remplit un seau :
On en fait un château,
Un pâté trop friable,
Du sable.

Grain par grain, vers la lune,
Il amoncelle en dune
Une couche agréable,
Le sable.

Au jeune âge, on lui doit,
Nos jeux fous et l’émoi,
D’un coussinet palpable,
Au sable.

Il accueille en été
Sans dessein arrêté
L’untel et le notable,
Le sable.

Nu, sous le ciel d’azur,
Il gomme son futur
L’homme au quidam semblable,
Sur sable.

Exposée aux rayons
Madame « Ixe » est un ion
Positif, insondable
De sable.

Il est le rendez-vous
Des deux qui font un tout
Du sentiment durable,
Le sable.

Pas besoin de marchand :
Ils s’endorment au chant
De la vague inlassable
Sur sable,

N’ayant cure qu’un jour
Deviendra leur amour
Un grain irrévocable
De sable.