LE CHEMIN DE LA VIE…
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LE CHEMIN DE LA VIE…
LE CHEMIN DE LA VIE…
…Et puis tout s’enchaîne
Chaque parcelle rejoint son tronc
Les feuilles changent de volume
Les écritures chargées des nervures
Montent en relief de la page…
Telle une main tendue d’une fée
La blancheur épouse le chemin des couleurs
On croit voir le reflet des jours
Quand le soleil au zénith
Se cache derrière la chevelure d’un arbre…
Je lui souris en passant
De sa croisée ouverte à mon passage
Elle fait signe d’une main leste
Et juste après elle ferme les persiennes
Nos regards à peine frôlés
Traversent l’espace d’un éclair…
Elle connaît le parchemin parcouru
Mes rêves contournés par la destinée
Mes soupirs ne font qu’augmenter ses prières
Elle me le dit sans ouvrir les lèvres
Puisque mon cœur semble l’atteindre
Et mon sang coule dans ses veines…
D’une croisée ouverte sur le monde
A une autre restée close à jamais
Je me vois franchir mille frontières
Le passé revient souvent me visiter
Le présent n’est qu’une passerelle invisible
Je ne fais que suivre un même chemin
Qui sait l’avenir fleurira de nouveau
Puisque j’ai confiance dans les saisons…
Elle ou l’autre qui se met à l’abri
Qui ne cesse de m’envoyer des messages
Je ne sais rien d’elle, elle est lointaine
Mes avirons lassés de battre les eaux
Finissent par se tordre d’amertume
Et il suffit d’un rai de lumière
D’un parfum inhalé dans mes évasions
Pour me dire, tu continues ta voie en solitaire
Ne presse pas le pas, la route est longue
Tu es l’étrange mystère de l’existence
Tu finiras par joindre l’estuaire de tes désirs
Et là tu t’embarqueras vers le havre recherché…
kacem loubay
Lundi 1er Mai 2006
Khénifra – Maroc
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Le poète de l’autre rive
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…Et puis tout s’enchaîne
Chaque parcelle rejoint son tronc
Les feuilles changent de volume
Les écritures chargées des nervures
Montent en relief de la page…
Telle une main tendue d’une fée
La blancheur épouse le chemin des couleurs
On croit voir le reflet des jours
Quand le soleil au zénith
Se cache derrière la chevelure d’un arbre…
Je lui souris en passant
De sa croisée ouverte à mon passage
Elle fait signe d’une main leste
Et juste après elle ferme les persiennes
Nos regards à peine frôlés
Traversent l’espace d’un éclair…
Elle connaît le parchemin parcouru
Mes rêves contournés par la destinée
Mes soupirs ne font qu’augmenter ses prières
Elle me le dit sans ouvrir les lèvres
Puisque mon cœur semble l’atteindre
Et mon sang coule dans ses veines…
D’une croisée ouverte sur le monde
A une autre restée close à jamais
Je me vois franchir mille frontières
Le passé revient souvent me visiter
Le présent n’est qu’une passerelle invisible
Je ne fais que suivre un même chemin
Qui sait l’avenir fleurira de nouveau
Puisque j’ai confiance dans les saisons…
Elle ou l’autre qui se met à l’abri
Qui ne cesse de m’envoyer des messages
Je ne sais rien d’elle, elle est lointaine
Mes avirons lassés de battre les eaux
Finissent par se tordre d’amertume
Et il suffit d’un rai de lumière
D’un parfum inhalé dans mes évasions
Pour me dire, tu continues ta voie en solitaire
Ne presse pas le pas, la route est longue
Tu es l’étrange mystère de l’existence
Tu finiras par joindre l’estuaire de tes désirs
Et là tu t’embarqueras vers le havre recherché…
kacem loubay
Lundi 1er Mai 2006
Khénifra – Maroc
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Le poète de l’autre rive
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Re: LE CHEMIN DE LA VIE…
aspirerkacem_loubay a écrit:LE CHEMIN DE LA VIE…
…Et puis tout s’enchaîne
Chaque parcelle rejoint son tronc
Les feuilles changent de volume
Les écritures chargées des nervures
Montent en relief de la page…
Telle une main tendue d’une fée
La blancheur épouse le chemin des couleurs
On croit voir le reflet des jours
Quand le soleil au zénith
Se cache derrière la chevelure d’un arbre…
Je lui souris en passant
De sa croisée ouverte à mon passage
Elle fait signe d’une main leste
Et juste après elle ferme les persiennes
Nos regards à peine frôlés
Traversent l’espace d’un éclair…
Elle connaît le parchemin parcouru
Mes rêves contournés par la destinée
Mes soupirs ne font qu’augmenter ses prières
Elle me le dit sans ouvrir les lèvres
Puisque mon cœur semble l’atteindre
Et mon sang coule dans ses veines…
D’une croisée ouverte sur le monde
A une autre restée close à jamais
Je me vois franchir mille frontières
Le passé revient souvent me visiter
Le présent n’est qu’une passerelle invisible
Je ne fais que suivre un même chemin
Qui sait l’avenir fleurira de nouveau
Puisque j’ai confiance dans les saisons…
Elle ou l’autre qui se met à l’abri
Qui ne cesse de m’envoyer des messages
Je ne sais rien d’elle, elle est lointaine
Mes avirons lassés de battre les eaux
Finissent par se tordre d’amertume
Et il suffit d’un rai de lumière
D’un parfum inhalé dans mes évasions
Pour me dire, tu continues ta voie en solitaire
Ne presse pas le pas, la route est longue
Tu es l’étrange mystère de l’existence
Tu finiras par joindre l’estuaire de tes désirs
Et là tu t’embarqueras vers le havre recherché…
kacem loubay
Lundi 1er Mai 2006
Khénifra – Maroc
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Le poète de l’autre rive
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rêver
esperer
le chemin de la vie est ainsi plus agréable à emprunter! ravi de vous lire Kacem.
julien- Nombre de messages : 1159
Date d'inscription : 24/02/2010
cristopher-cris- Nombre de messages : 2748
loisirs : lecture, voyage
Date d'inscription : 18/07/2008
Re: LE CHEMIN DE LA VIE…
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] j'aime beaucoup ces lignes:
D’une croisée
ouverte sur le monde
A une autre restée close à
jamais
Je me vois franchir mille frontières
Le passé revient souvent me
visiter
Le présent n’est qu’une passerelle invisible
Je ne fais que suivre un même
chemin
Qui sait l’avenir fleurira de nouveau
Puisque j’ai confiance dans
les saisons…
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]ouverte sur le monde
A une autre restée close à
jamais
Je me vois franchir mille frontières
Le passé revient souvent me
visiter
Le présent n’est qu’une passerelle invisible
Je ne fais que suivre un même
chemin
Qui sait l’avenir fleurira de nouveau
Puisque j’ai confiance dans
les saisons…
tamima- Nombre de messages : 706
Date d'inscription : 01/05/2010
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