EN CHEMIN...
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EN CHEMIN...
Même parti très loin
Je ne sais quel est le plus réel,
De ma mémoire ou de mes routes,
Quel est le vent qui pousse ces bateaux
Quelle est la mer
Qui pousse ces oiseaux.
Suis arrivé près des lagunes ocres
Où la patience des sauriens ruminait
Le long enfantement de l’homme.
Ainsi de toi, lointaine jusqu’à moi :
Ta main est ce serpent lacustre
Dont la peau frissonne au soleil
Au coeur des frontières du monde.
Je ne sais quel est le plus réel,
De ma mémoire ou de mes routes,
Quel est le vent qui pousse ces bateaux
Quelle est la mer
Qui pousse ces oiseaux.
Suis arrivé près des lagunes ocres
Où la patience des sauriens ruminait
Le long enfantement de l’homme.
Ainsi de toi, lointaine jusqu’à moi :
Ta main est ce serpent lacustre
Dont la peau frissonne au soleil
Au coeur des frontières du monde.
Re: EN CHEMIN...
texte à l'allure forte, mais qui se replie sur ses plaies tristes.
karim safriwi- Nombre de messages : 615
Date d'inscription : 03/07/2008
Re: EN CHEMIN...
Tout à fait, KARIM ; c'est bien vu. un poème déceptif et au chant mélancolique. Et mon âme bretonne,
chavirée par la mer,
contemple l'univers
en marchant sur la grève
des mots.
chavirée par la mer,
contemple l'univers
en marchant sur la grève
des mots.
Re: EN CHEMIN...
Même parti très loin
Je ne sais quel est le plus réel,
De ma mémoire ou de mes routes,
Le puits lointain
Près d'une échelle
Toute mémoire
Quel est le vent qui pousse ces bateaux
Quelle est la mer
Qui pousse ces oiseaux.
Le temps que l'eau
Valse la terre
Plus que l'oiseau
S'envole un vers où l'horizon
Réal
atouthasard- Nombre de messages : 1113
Date d'inscription : 11/10/2008
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