La main d’un ange…

jélas a écrit:

La main d’un ange…


Dans les vagues aux reflets bleutés,
Tu chevauches encore tes rêves,
En songes parfois rejetés,
Par les vents sur la grève.

Sur ton doux visage, un sourire en rive,
Comme un tatouage à jamais dessiné,
Sur cette plage marchent tes proches en dérive,
Craignant que l’écume puisse l’effacer.

Ta main dans la mienne…
Alors, j’ai peur de comprendre,
Que le geste ne devienne,
Le lien le plus tendre.

Et par cette main tendue,
Tu lisais dans les âmes,
Bonnes ou coupables d’abus,
D’actes qui enflamment.

Enflamme l’océan, brûle le ciel,
Couvrant le drame d’une vie démentielle,
Et pourtant tu pars soulagé,
De nos regards si souvent chargés.

Dès lors, les rouleaux émus et blanchâtres,
Peinent à couvrir notre chagrin,
Et pour adoucir nos cœurs saumâtres,
Tu les apaises de ton regard…de gamin.

Vole grand frère…


Jérôme.

jélas a écrit:

La main d’un ange…


Dans les vagues aux reflets bleutés,
Tu chevauches encore tes rêves,
En songes parfois rejetés,
Par les vents sur la grève.

Sur ton doux visage, un sourire en rive,
Comme un tatouage à jamais dessiné,
Sur cette plage marchent tes proches en dérive,
Craignant que l’écume puisse l’effacer.

Ta main dans la mienne…
Alors, j’ai peur de comprendre,
Que le geste ne devienne,
Le lien le plus tendre.

Et par cette main tendue,
Tu lisais dans les âmes,
Bonnes ou coupables d’abus,
D’actes qui enflamment.

Enflamme l’océan, brûle le ciel,
Couvrant le drame d’une vie démentielle,
Et pourtant tu pars soulagé,
De nos regards si souvent chargés.

Dès lors, les rouleaux émus et blanchâtres,
Peinent à couvrir notre chagrin,
Et pour adoucir nos cœurs saumâtres,
Tu les apaises de ton regard…de gamin.

Vole grand frère…


Jérôme.

jélas a écrit:

La main d’un ange…


Dans les vagues aux reflets bleutés,
Tu chevauches encore tes rêves,
En songes parfois rejetés,
Par les vents sur la grève.

Sur ton doux visage, un sourire en rive,
Comme un tatouage à jamais dessiné,
Sur cette plage marchent tes proches en dérive,
Craignant que l’écume puisse l’effacer.

Ta main dans la mienne…
Alors, j’ai peur de comprendre,
Que le geste ne devienne,
Le lien le plus tendre.

Et par cette main tendue,
Tu lisais dans les âmes,
Bonnes ou coupables d’abus,
D’actes qui enflamment.

Enflamme l’océan, brûle le ciel,
Couvrant le drame d’une vie démentielle,
Et pourtant tu pars soulagé,
De nos regards si souvent chargés.

Dès lors, les rouleaux émus et blanchâtres,
Peinent à couvrir notre chagrin,
Et pour adoucir nos cœurs saumâtres,
Tu les apaises de ton regard…de gamin.

Vole grand frère…


Jérôme.