Comment pourras-tu oublier ?

Comment pourras-tu oublier ?

Comment puis-je un jour
Oublier la finesse d’un corps,
Que mes mains ont arpenté
Jusqu’à l’aurore avec avidité,
Dans des nuits où les frissons
Animaient nos passions.

Comment pourras-tu oublier ?
Que nous sommes fortement liés
Dans un sentiment coéternel
Par un serment fort et éternel,
Que mes doigts ont paraphé
Sous l’ombre de tes seins renflées.

Je ne serais jamais las d’attendre,
Pour voir se dissoudre le givre,
Entourant ton cœur tendre
Et ton âme libérée de cette guivre,
Qui l’emprisonne tel un sandre
Pris dans une piège anhydre.

DadAllaoua

Dad Allaoua a écrit:Comment pourras-tu oublier ?

Comment puis-je un jour
Oublier la finesse d’un corps,
Que mes mains ont arpenté
Jusqu’à l’aurore avec avidité,
Dans des nuits où les frissons
Animaient nos passions.

Comment pourras-tu oublier ?
Que nous sommes fortement liés
Dans un sentiment coéternel
Par un serment fort et éternel,
Que mes doigts ont paraphé
Sous l’ombre de tes seins renflées.

Je ne serais jamais las d’attendre,
Pour voir se dissoudre le givre,
Entourant ton cœur tendre
Et ton âme libérée de cette givre,
Qui l’emprisonne tel un sandre
Pris dans une piège anhydre.

DadAllaoua

Merci pour le partage dad. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] beaucoup d'amour en ce poème.

Bonsoir Roby
Merci de votre passage
Bonne soirée
Amicalement
Allaoua

Najat a écrit:[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] beaucoup d'amour en ce poème.

Bonsoir Najat
Merci de votre passage
Effectivement, je préfère parler toujours de l'amour mais jamais de la haine
Bonne soirée
Amicalement
Allaoua

Dad Allaoua a écrit:Comment pourras-tu oublier ?

Comment puis-je un jour
Oublier la finesse d’un corps,
Que mes mains ont arpenté
Jusqu’à l’aurore avec avidité,
Dans des nuits où les frissons
Animaient nos passions.

Comment pourras-tu oublier ?
Que nous sommes fortement liés
Dans un sentiment coéternel
Par un serment fort et éternel,
Que mes doigts ont paraphé
Sous l’ombre de tes seins renflées.

Je ne serais jamais las d’attendre,
Pour voir se dissoudre le givre,
Entourant ton cœur tendre
Et ton âme libérée de cette guivre,
Qui l’emprisonne tel un sandre
Pris dans une piège anhydre.

DadAllaoua

Je ne crois pas qu'elle puisse ouiblier!
Vous avez l'air sincère dans ces vers.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Bonsoir Amadou

Merci de votre lecture et de votre commentaire très consolant
Bonne soirée
Amicalement
Allaoua