Oublier

Oublier, est une excuse, qui me fait défaut,
Pleurer, mais sans que ce ne fusse vu.
Mes larmes sont amères et à fleur de peau,
Mais encrées en mon corps, parfois nu.

Quand mon cœur parfois si lourd,
De par ses doutes ou par ses peurs.
Me parle, sans défiance, d’amour,
Je préfère me taire et me faire leurre.

À combien de minutes ou d’heures,
Dois-je encore de panser ces cicatrices.
Où pourtant l’amour était à demeure,
Du moins juste le temps d’être factice.

L'Amour n'était-il qu'un simple leurre?
Ou était-il survenu à la mauvaise heure?
Laissant quelques traces livides au coeur,
Toi seul le sais,tu en es le principal acteur.

Bien à toi j-p-olivier.

Un amour ou un leurre, c'est presque la même chose
Des moments de palpitations roses,
Quelques silences en virgules
Pour que se relance la passion
Puis quelques points,
Des querelles qui sautent à pieds joints
Et des colères qui gesticulent
En mille signes minuscules
Pour finir sur un ton terrible et une rupture

Bien à vous poète.

un peu de doute et d'espoir,
un lueur dans le soir,
un peu de bonheur qu'on enlace
un bruit que fait le passion !
l'aveu qu'on a retenu
qui fuse et se met nu...

cristopher-cris a écrit:un peu de doute et d'espoir,
un lueur dans le soir,
un peu de bonheur qu'on enlace
un bruit que fait le passion !
l'aveu qu'on a retenu
qui fuse et se met nu...

Belle suite cris.

salutations

C'est à lui qu'on frémit
C'est à lui qu'on blêmit
C'est à lui que l'on s'en remet toujours...
J'ai nommé l'amour.....

rychar a écrit:C'est à lui qu'on frémit
C'est à lui qu'on blêmit
C'est à lui que l'on s'en remet toujours...
J'ai nommé l'amour.....

il est feu et fou
on le cherche
on le fuit
mes amitiés richard