Chekib Abdessalam-tunisie
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Chekib Abdessalam-tunisie
chekib abdessalam
Les yeux de la sarabande Au-dessus du volcan après l’explosion Brisées par le trop plein de vie De tous les ventaux Les plumes allergiques s’envolent à tout va Planétaires Aux clairières des maisons ambulantes Fatigués de poussières drôles Lève-tôt Bédouins Habillés par le beau hasard Dégringolez-vous un aller et retour Aux collines abruptes A la lueur verte des scories D’une guerre des clans interstellaire Pour que disparaisse l’allergie Des dictatures d’ici-bas Les oiseaux futiles veulent Vous reprendre plume Des millions d’éclats papivores Subdivisent le scintillement vocal De constellations de tradition orale Saltimbanque de Désert Farfouillé Regard étoilé entre lattes et banc public Le sans domicile pas trop fixe Parle trop vite Avec les mains du sourire bleu Les mains De l’errance soulignée au khol Un brillant Vésuve céleste au regard échoué Oriente le monde magique Avant que soleil ne se lève Méfiant ou lucide Ouvre l’œil et le bon Car le craTère caractéristique De la catharsis rend flou dingue Aux heures d’affluence Le jour tente d’éteindre ta bonne étoile |
KAMEL- Invité
chekib abdessalam-
provocation au cercle parfait
Altérité et nomade
enjambe le retrait du corps des ombres
il ne peut être formaté par défaut
en palette de sauvegarde
il traverse l’apparence
des chemins aux couleurs accessibles
de mémoire vive
coincé entre absolu
et terre complice qui défilent
économes détenteurs de vertus
inexpugnables
il glisse un regard
hors du dernier calque sablonneux
à en rester bleu
au panache
bras levés à mi-hauteur
en intuition flagrante ou prescience
de bédouin
savamment équilibre instable
le cavalier d’extraction
romantique précède
l’événement
vertical
en bordure de cavalcade dynamique
sur un point de départ
il centre la contrainte
extatique, invite à
l’émotion surréaliste
enjambe le retrait du corps des ombres
il ne peut être formaté par défaut
assis sur la selle
d’un dromadaire à portée de main
il respire un air paradisiaque
Altérité et nomade
enjambe le retrait du corps des ombres
il ne peut être formaté par défaut
en palette de sauvegarde
il traverse l’apparence
des chemins aux couleurs accessibles
de mémoire vive
coincé entre absolu
et terre complice qui défilent
économes détenteurs de vertus
inexpugnables
il glisse un regard
hors du dernier calque sablonneux
à en rester bleu
au panache
bras levés à mi-hauteur
en intuition flagrante ou prescience
de bédouin
savamment équilibre instable
le cavalier d’extraction
romantique précède
l’événement
vertical
en bordure de cavalcade dynamique
sur un point de départ
il centre la contrainte
extatique, invite à
l’émotion surréaliste
enjambe le retrait du corps des ombres
il ne peut être formaté par défaut
assis sur la selle
d’un dromadaire à portée de main
il respire un air paradisiaque
KAMEL- Invité
chekib abdessalam
Au sud rocailleux de galaxie
Les racontars retiennent l’attentionDans le désert des déserts
Tandis que les otages de l’éthique erraient, comme l’oued tantôt s’asséchait, tantôt reprenait du vert au printemps, une ville sortie d’on ne sait où clamait la rumeur intestine d’un coup de force avorté, à l’instigation d’un gamin qui disserte sur le maniement de la kalachnikov. L’arme préférée des médias sublimes. La rumeur publique et son imagination si fertile que l’onde de choc s’y blottit.
Dans le trou noir, le regard idéaliste, un mouton prononce la formule choc, les pieds au creux de la dune. Un touriste fait la leçon de chose à l’humanité farouche d’un exil sans vacances où des enfants peu loquaces ne jouent à rien. Un alpiniste et un architecte aux mœurs radoucis écrivent et voyagent. Il suffisait, en ce temps, de psalmodier les cent vingt six mots numériques du langage basique et ravisseur pour libérer un romancier tel quel.
Auprès de la source, ceux qui ne liront pas que les extraits à l’horizon thématique d’un forum pourront acheter l’article payant et se souvenir d’un geste habile qui mène au cœur du massif des bribes de l’univers
Les racontars retiennent l’attentionDans le désert des déserts
Tandis que les otages de l’éthique erraient, comme l’oued tantôt s’asséchait, tantôt reprenait du vert au printemps, une ville sortie d’on ne sait où clamait la rumeur intestine d’un coup de force avorté, à l’instigation d’un gamin qui disserte sur le maniement de la kalachnikov. L’arme préférée des médias sublimes. La rumeur publique et son imagination si fertile que l’onde de choc s’y blottit.
Dans le trou noir, le regard idéaliste, un mouton prononce la formule choc, les pieds au creux de la dune. Un touriste fait la leçon de chose à l’humanité farouche d’un exil sans vacances où des enfants peu loquaces ne jouent à rien. Un alpiniste et un architecte aux mœurs radoucis écrivent et voyagent. Il suffisait, en ce temps, de psalmodier les cent vingt six mots numériques du langage basique et ravisseur pour libérer un romancier tel quel.
Auprès de la source, ceux qui ne liront pas que les extraits à l’horizon thématique d’un forum pourront acheter l’article payant et se souvenir d’un geste habile qui mène au cœur du massif des bribes de l’univers
KAMEL- Invité
Re: Chekib Abdessalam-tunisie
Lire & découvrir
découvrir & lire
une spirale qui me prend et m'inspire(pas tout le temps biensûr)
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une spirale qui me prend et m'inspire(pas tout le temps biensûr)
sarah- Nombre de messages : 2022
Date d'inscription : 12/11/2008
Euphorie
Euphorie
(ou l’avant-joie d’un éclaireur en vue d’un campement ou d’une vallée)
Euphorie
Accroche-moi
Au sabre ventilé
Des chevauchées spatiales
Antistatique et inscriptible
La plante des pieds
Au chaud des sables bleus
Je ferai signe
Semblant ponctuer
Le sol en bandoulière
De refrains et de mirages verts
J’irai au puit
Voile transparente
Écume au rebelle monticule
Voile transparente
Assagit la vallée inviolable
Au tourment violacé
Gribouille l’indigo
En parfaite rigueur
Aucune menace
Ne plane sur
L’aride
(ou l’avant-joie d’un éclaireur en vue d’un campement ou d’une vallée)
Euphorie
Accroche-moi
Au sabre ventilé
Des chevauchées spatiales
Antistatique et inscriptible
La plante des pieds
Au chaud des sables bleus
Je ferai signe
Semblant ponctuer
Le sol en bandoulière
De refrains et de mirages verts
J’irai au puit
Voile transparente
Écume au rebelle monticule
Voile transparente
Assagit la vallée inviolable
Au tourment violacé
Gribouille l’indigo
En parfaite rigueur
Aucune menace
Ne plane sur
L’aride
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