Olivier Werbrouck
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Olivier Werbrouck
O mémoires d'outre-tombe, la vague souvenance avance Et devance les marées, le flux et le reflux Du temps, comme un fleuve immortel, coule dans la danse Des rêves, exauce l'utopie d’une âme morfondue. Chimères, de vains desseins au destin incertain Ont des yeux perçants, luisants, comme les vipères De leur bouche, en dormant, du soir jusqu'au matin On peut voir, leurs colères grandir en monstres prospères. Une douleur éclate, elle monte vers l'espace profond Pénétrant les funèbres et criardes visions Qui se dressent, outrecuidantes en de cruels affronts Et la mort dans son lit brûle d'amour sans raison. |
julien- Invité
L'enfer, c'est les autres
e suis révolté quand je pense que toute ma vie
Je vais devoir me battre, question de survie
De parvenir au bonheur, ce qui donne l'envie
D'aller jusqu'au bout, de réussir à tout prix.
En amour comme dans les affaires, tout est à faire
Chaque jour, un nouveau combat, cela peut déplaire
Je ne veux pas être mangé par les autres, l'enfer
C'est eux, un désir avoir ma place sur cette terre.
Je veux partir gagnant, posséder dans mes mains
les bonnes cartes, celles qui me procureront demain
Tout ce que je n'ai pas encore, jusqu'à la fin
On pourra compter sur moi, croyant au destin.
Je vais devoir me battre, question de survie
De parvenir au bonheur, ce qui donne l'envie
D'aller jusqu'au bout, de réussir à tout prix.
En amour comme dans les affaires, tout est à faire
Chaque jour, un nouveau combat, cela peut déplaire
Je ne veux pas être mangé par les autres, l'enfer
C'est eux, un désir avoir ma place sur cette terre.
Je veux partir gagnant, posséder dans mes mains
les bonnes cartes, celles qui me procureront demain
Tout ce que je n'ai pas encore, jusqu'à la fin
On pourra compter sur moi, croyant au destin.
julien- Invité
peur de mourir
A dieu la vie, je vais mourir, mourir demain Ne pleurez point amis, la mort n'est pas la fin Je vais vous quitter, vous que j'ai toujours aimé J'emporterai avec moi votre amitié. Non !, je ne peux accepter ce destin fatal J'ai encore de la vie dans le corps, pas un râle Ne s'en échappe, mais j'ai peur, peur de souffrir Angoissé par un mal qui me fait tant frémir. Pourquoi !, j'ai envie d' hurler mon désespoir De crier si fort, car je n'ai aucun espoir Sauf si un miracle me sauve, Dieu le sauveur Des âmes perdues, me réserve-t-il un sort meilleur ?. |
julien- Invité
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