Tristesse

nadia ibrahimi a écrit:

Tristesse Le sable boit mon passage et dévale le long de mes erres il avale mon chemin l'air de rien le temps glisse au passé et tisse des souvenirs prêts à être absorbés les pas égrenés en silence les pensées fuient l'envie de se rabattre dans la haine les larmes en bâillons pendent désireux d'une morsure de mutisme le sable souffre de mes pas se dit que j'aurais du rester chez moi à ruminer sous la courbe d'un absent dont le souvenir s'agrippe à mon cœur

nadia ibrahimi a écrit:

Tristesse Le sable boit mon passage et dévale le long de mes erres il avale mon chemin l'air de rien le temps glisse au passé et tisse des souvenirs prêts à être absorbés les pas égrenés en silence les pensées fuient l'envie de se rabattre dans la haine les larmes en bâillons pendent désireux d'une morsure de mutisme le sable souffre de mes pas se dit que j'aurais du rester chez moi à ruminer sous la courbe d'un absent dont le souvenir s'agrippe à mon cœur

Dad Allaoua a écrit:

nadia ibrahimi a écrit:

Tristesse Le sable boit mon passage et dévale le long de mes erres il avale mon chemin l'air de rien le temps glisse au passé et tisse des souvenirs prêts à être absorbés les pas égrenés en silence les pensées fuient l'envie de se rabattre dans la haine les larmes en bâillons pendent désireux d'une morsure de mutisme le sable souffre de mes pas se dit que j'aurais du rester chez moi à ruminer sous la courbe d'un absent dont le souvenir s'agrippe à mon cœur

bonsoir Nadia Ibrahimi

bravo pour ce joli poème, le sable est clément, je l'aime beaucoup
citation pour vous:
La cause la plus ordinaire de la fièvre lente est la tristesse.
René Descartes
Bonne soirée
Amicalement
Allaoua

sarah a écrit:

nadia ibrahimi a écrit:

Tristesse Le sable boit mon passage et dévale le long de mes erres il avale mon chemin l'air de rien le temps glisse au passé et tisse des souvenirs prêts à être absorbés les pas égrenés en silence les pensées fuient l'envie de se rabattre dans la haine les larmes en bâillons pendent désireux d'une morsure de mutisme le sable souffre de mes pas se dit que j'aurais du rester chez moi à ruminer sous la courbe d'un absent dont le souvenir s'agrippe à mon cœur

Écrire oui
Crier oui
Ruminer non
A quoi bon

senelbi a écrit:Garder un pas léger pour effleurer le sable et marcher, le bonheur est de l'autre côté de la dune, l'air de rien...

J'aime cet abandon !

nadia ibrahimi a écrit:

Tristesse Le sable boit mon passage et dévale le long de mes erres il avale mon chemin l'air de rien le temps glisse au passé et tisse des souvenirs prêts à être absorbés les pas égrenés en silence les pensées fuient l'envie de se rabattre dans la haine les larmes en bâillons pendent désireux d'une morsure de mutisme le sable souffre de mes pas se dit que j'aurais du rester chez moi à ruminer sous la courbe d'un absent dont le souvenir s'agrippe à mon cœur