l'oiseau perdu

L’oiseau de son aile volette l’oubli

Perdu son identité dans les volutes

De sa mémoire, il a trépassé ses songes

Dans son orbite de misère, il distille

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Sa terreur dans les gouttières des toits

Perchés si hauts sur un rebord glissant

Il a peur l’oiseau de tomber des abîmes

Sur l’asphalte humide et silencieuse



Il toque à présent, harassé il quémande

L’asile, la lumière le toise et absorbe

Sa lucidité, il pleure sur le rebord

De cette fenêtre, ses larmes gèlent



Ses paupières, un bruit. , grincement, hagard

Un homme se penche et le cueille tendrement

Il s’imbibe d’une chaleur amie de sa peur

L’homme le caresse et lui susurre reste…



Raymonde verney

raymonde verney a écrit:L’oiseau de son aile volette l’oubli

Perdu son identité dans les volutes

De sa mémoire, il a trépassé ses songes

Dans son orbite de misère, il distille

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Sa terreur dans les gouttières des toits

Perchés si hauts sur un rebord glissant

Il a peur l’oiseau de tomber des abîmes

Sur l’asphalte humide et silencieuse



Il toque à présent, harassé il quémande

L’asile, la lumière le toise et absorbe

Sa lucidité, il pleure sur le rebord

De cette fenêtre, ses larmes gèlent



Ses paupières, un bruit. , grincement, hagard

Un homme se penche et le cueille tendrement

Il s’imbibe d’une chaleur amie de sa peur

L’homme le caresse et lui susurre reste…



Raymonde verney

Bonjour RAY monde de vers vannés bien inspirés
ça fait longtemps que je ne t'ai pas lu.
ce petit poème est plein d'espoir merci de le partager avec nous.

raymonde verney a écrit:L’oiseau de son aile volette l’oubli

Perdu son identité dans les volutes

De sa mémoire, il a trépassé ses songes

Dans son orbite de misère, il distille

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Sa terreur dans les gouttières des toits

Perchés si hauts sur un rebord glissant

Il a peur l’oiseau de tomber des abîmes

Sur l’asphalte humide et silencieuse



Il toque à présent, harassé il quémande

L’asile, la lumière le toise et absorbe

Sa lucidité, il pleure sur le rebord

De cette fenêtre, ses larmes gèlent



Ses paupières, un bruit. , grincement, hagard

Un homme se penche et le cueille tendrement

Il s’imbibe d’une chaleur amie de sa peur

L’homme le caresse et lui susurre reste…



Raymonde verney

Bonjour [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Tout le bonheur du monde à celui qui tend la main à son prochain...

Bisoo

Béa

merci dadidof d'aimer cet écrit
je viendrai plus souvent sur le site pour toi donc
bises
raymonde [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] oui miss bea aider son prochain cela devarait être une chose naturelle
bises
raymonde

Rien n'est jamais tout à fait perdu si l'espoir est là

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] c'est vrai vous avez raison tant que la vie est présente il faut espérer
amitiés
raymonde