Qu'une ambition : t'aimer.
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Qu'une ambition : t'aimer.
Nues du bel hiver sculptures de glaçons
Les vapeurs s’échinent des entre corps thermiques
L’amour alors bruine de buées statiques
Virevoltant l’ère d’un drap de nos frissons
Lanières du vent froid d’un volatil exquis
Banquise à la lèvre d’une flambée extrême
Cou offert jusqu’au flanc tel un bûcher transi
Atteignant la fièvre de nos baisés grand schlem
Courses de deux amants dans l’étau stimuli
Flaques miroitées reflets de tigres blanc
La cime incontestée entre les sentiments
Des âmes s’éprenant du ciel vif où l’on frît
Alors les caresses bûchent d'écharpes chaudes
Halos d’une ivresse par le souffle d’une ode
Villes de courants d’air sous la nappe orangée
Du voile reluisant l’urbanisme aux souches
De champs réverbères le long de la vallée
Aux reflets confluant du fleuve qui les couche
Eau couchée aux reflets d’une étendue d’ambres
Teinte or en calfeutre sur l’horizon de miel
profonde et claire haie aux vagues de méandres
Sur la ligne au feutre des souffles de pastels
la course au mille éclats des couleurs de la vie
Traverse où se sombre cette chaume aux étoiles
pour aboutir au raz d’un arc-en-ciel surpris
sur la toison d’ombres de ta peau végétale
Imprimant les pigments de rayons aurifères
Le soleil transperce la voûte et ton visage
Où l’axe du levant rougeoie dans la sphère
Les chaleurs que bercent tes cheveux au rivage
Nous reluire aux flammes des éclats de nos va
La fierté à l’action de défaire les cieux
Projetant nos âmes dans le vol aux émois
Où braise la raison sur des roses en feu
Cœur recouvert d’été aux habits vaporeux
Gréant entre les peaux l’amour à répartir
Baisés portemanteaux sur les lèvres cashmeres
Au découvert halé à la fonte du feu
Combustion affolée au regard amoureux
La sève brasero écume nos soupirs
Éclats sans distinguo auprès de notre empire
Le ciel à tant brasser l’offrande de tes yeux
S'échoue la glaise des écrins fin filants
Telle une genèse de notre olympe en chant
Refrain poétique des terres de nos rêves
Soleil aux synthèses de ta crinière au vent
L’or en parenthèse des étoiles d’argent
Où les flots cantiques te font parures d’Ève
Toi et Moi
Frissons purs de vie du shine et hapiness
Flottant comme nos coeurs telle une île en dérive
Passent les jours les nuits sur face yes de nos PEP’S
L'esplanade aux lueurs de collines si vives
Passion nucléée d’un amour véritable
En plein apesanteur des combustions de sens
Sur le tapis de fleurs d’une régénérescence
Cellule embrasée de tout cœur oxydable
Je veux dès cet hiver goûter tes plus beaux fruits
Fraise floconnée ta peau montée en neige
J’effuse entre ces vers ton corps de chantilly
Afin de savourer tes soupirs qui s’allègent
Glissent mes doigts entre les falaises dispersées de tes jouissances aspergées aux cris qui s’échappent du phosphore de tes désirs envahis à la force de tes envies qui m’inspirent, j’aimerais t’empaler au temple de nos tentations post-coïtus te faire crier mon nom pendant que je secoue les dépassement de tes émotions en marque-pages sur tes rictus d’abandon tout en de tout temps réincarner nos sorts stoppés net sur nos silhouettes au lignes d’ombres et de trames d’argents mêlant leurs hertz aux fréquences de leurs battements fougueux, sur l’immobilisme sauvage du paysage découvrant graduellement ses mystères quand je dégrafe les souffles que tu aspires en prenant ma bouche contre les frondaisons évidentes de tes fondations qui s’exempteraient d’une éventuelle trace de sussions qu’esquisseraient les troubles de nos observations en plein défouloir même à peine dans le couloir des instincts que baldaquinent les lueurs blanches des voiles allongées contre la lune en pendentif sous ton cou où glissent entre tes courroux mes baisers à bouts de tes lèvres qui boudent tout en mouvant la mue de leur moue en râles sur les tons ascendants de nos regards en fuite qui se pépite dans les prunelles rétractées des ellipses concordantes de nos peaux qui s’hérissent en se noyant dans la solvabilité des iris aux reflets de lagon où s’allongent les aubes amoureuses de l’infini qui s’expose à l’implosion de nos mains sabordant les substrats de leur évolution sensitive au émotions qui se vertiges dans les roulements du temps qui se dépose entre overdose et ralentissements de tendresse évanescentes aux parcours aussi hirsutes que tremblent les amants posant leur premier geste d’amour rebondissant de l’obscur au firmament dans l’entreprise abrupte des prises de luttes contre les sentiments naissants des raisons qui s’échappent avec les vapeurs d’encens que palpent en tournoyant deux cœurs dansants aux agapes de leur cap aux coordonnées connues seulement par les flammes translucides en fusion à travers les auras bleues des amoureux
Ô ma belle une ballade
Ton sourire dans la campagne
Sous le ciel papillonade
Même s’ouvrir à la montagne
Ô respirer tous les embruns
Le long des flots de tes effluves
Et s’enivrer à l’or aux teints
Des couleurs d’ô que tu étuves
La cruauté de tes jambes satines scintille les escalades de zébrures lumineuses portant leur degrés de violence au paroxysme des effleurements de nos parcelles en puzzle vaquant dans l’apesanteur des corps commettant leurs emmêlements de désirs tactiles s’émouvant aux mouvements aléatoire de leur espace charnel sans autre dimension que la douceur abscons de l’amour en enveloppe de caresses développant l’infini de nos possibles exaction pléthore aux extraits harangués sur les fleurs corrompues qui se dessinent au vent qui se faufile entre la légèreté des pétales brûlantes de l’apothéose et les preuves intangibles des limites du temps imbibées d’une essence de baisers big-bang paraffinée sur nos peaux qui se parachèvent en molécules de quartz lorsque les apocalypses nourriciers minéralisent sur nos opales reflétant l’univers nos visages bouleversés de tranquillité illimitée que tabloïd les étoiles aux entre-fils de tes cheveux en boucles d’astéroïdes
la sirène de mon espace
a le chant doux dans le vacarme
Ci-gît peines instants fugaces
Si je m’en flous ce sont que larme
De ma nation Je suis pupille
Sans autre état ni passeport
Seule notion pour mes papilles
Être enfin soi avant la mort
Les jets de nos âmes sur feuilles apatrides,
Filent dans l’univers transperçant le néant,
Fluide aux perles de slam, diode à ta peau limpide,
Chantant depuis ces vers nos cœurs incandescents.
L’entre peaux en flammes sur la route du vide,
L’émotion au geyser du tarmac craquelant,
Vols camphrés aux charmes des éruptions hybrides,
Poche en cristal d’air le souffle des amants.
L’approche vitale des suées compactes
Abonde en symphonie au flux des flots de lyres,
S’en s’erre dans le bal des caresses contactes,
À la liturgie féconde du désir.
Nous comblerons le temps de l’ordre des secondes,
Quand un seul sentiment créera notre monde.
Les vapeurs s’échinent des entre corps thermiques
L’amour alors bruine de buées statiques
Virevoltant l’ère d’un drap de nos frissons
Lanières du vent froid d’un volatil exquis
Banquise à la lèvre d’une flambée extrême
Cou offert jusqu’au flanc tel un bûcher transi
Atteignant la fièvre de nos baisés grand schlem
Courses de deux amants dans l’étau stimuli
Flaques miroitées reflets de tigres blanc
La cime incontestée entre les sentiments
Des âmes s’éprenant du ciel vif où l’on frît
Alors les caresses bûchent d'écharpes chaudes
Halos d’une ivresse par le souffle d’une ode
Villes de courants d’air sous la nappe orangée
Du voile reluisant l’urbanisme aux souches
De champs réverbères le long de la vallée
Aux reflets confluant du fleuve qui les couche
Eau couchée aux reflets d’une étendue d’ambres
Teinte or en calfeutre sur l’horizon de miel
profonde et claire haie aux vagues de méandres
Sur la ligne au feutre des souffles de pastels
la course au mille éclats des couleurs de la vie
Traverse où se sombre cette chaume aux étoiles
pour aboutir au raz d’un arc-en-ciel surpris
sur la toison d’ombres de ta peau végétale
Imprimant les pigments de rayons aurifères
Le soleil transperce la voûte et ton visage
Où l’axe du levant rougeoie dans la sphère
Les chaleurs que bercent tes cheveux au rivage
Nous reluire aux flammes des éclats de nos va
La fierté à l’action de défaire les cieux
Projetant nos âmes dans le vol aux émois
Où braise la raison sur des roses en feu
Cœur recouvert d’été aux habits vaporeux
Gréant entre les peaux l’amour à répartir
Baisés portemanteaux sur les lèvres cashmeres
Au découvert halé à la fonte du feu
Combustion affolée au regard amoureux
La sève brasero écume nos soupirs
Éclats sans distinguo auprès de notre empire
Le ciel à tant brasser l’offrande de tes yeux
S'échoue la glaise des écrins fin filants
Telle une genèse de notre olympe en chant
Refrain poétique des terres de nos rêves
Soleil aux synthèses de ta crinière au vent
L’or en parenthèse des étoiles d’argent
Où les flots cantiques te font parures d’Ève
Toi et Moi
Frissons purs de vie du shine et hapiness
Flottant comme nos coeurs telle une île en dérive
Passent les jours les nuits sur face yes de nos PEP’S
L'esplanade aux lueurs de collines si vives
Passion nucléée d’un amour véritable
En plein apesanteur des combustions de sens
Sur le tapis de fleurs d’une régénérescence
Cellule embrasée de tout cœur oxydable
Je veux dès cet hiver goûter tes plus beaux fruits
Fraise floconnée ta peau montée en neige
J’effuse entre ces vers ton corps de chantilly
Afin de savourer tes soupirs qui s’allègent
Glissent mes doigts entre les falaises dispersées de tes jouissances aspergées aux cris qui s’échappent du phosphore de tes désirs envahis à la force de tes envies qui m’inspirent, j’aimerais t’empaler au temple de nos tentations post-coïtus te faire crier mon nom pendant que je secoue les dépassement de tes émotions en marque-pages sur tes rictus d’abandon tout en de tout temps réincarner nos sorts stoppés net sur nos silhouettes au lignes d’ombres et de trames d’argents mêlant leurs hertz aux fréquences de leurs battements fougueux, sur l’immobilisme sauvage du paysage découvrant graduellement ses mystères quand je dégrafe les souffles que tu aspires en prenant ma bouche contre les frondaisons évidentes de tes fondations qui s’exempteraient d’une éventuelle trace de sussions qu’esquisseraient les troubles de nos observations en plein défouloir même à peine dans le couloir des instincts que baldaquinent les lueurs blanches des voiles allongées contre la lune en pendentif sous ton cou où glissent entre tes courroux mes baisers à bouts de tes lèvres qui boudent tout en mouvant la mue de leur moue en râles sur les tons ascendants de nos regards en fuite qui se pépite dans les prunelles rétractées des ellipses concordantes de nos peaux qui s’hérissent en se noyant dans la solvabilité des iris aux reflets de lagon où s’allongent les aubes amoureuses de l’infini qui s’expose à l’implosion de nos mains sabordant les substrats de leur évolution sensitive au émotions qui se vertiges dans les roulements du temps qui se dépose entre overdose et ralentissements de tendresse évanescentes aux parcours aussi hirsutes que tremblent les amants posant leur premier geste d’amour rebondissant de l’obscur au firmament dans l’entreprise abrupte des prises de luttes contre les sentiments naissants des raisons qui s’échappent avec les vapeurs d’encens que palpent en tournoyant deux cœurs dansants aux agapes de leur cap aux coordonnées connues seulement par les flammes translucides en fusion à travers les auras bleues des amoureux
Ô ma belle une ballade
Ton sourire dans la campagne
Sous le ciel papillonade
Même s’ouvrir à la montagne
Ô respirer tous les embruns
Le long des flots de tes effluves
Et s’enivrer à l’or aux teints
Des couleurs d’ô que tu étuves
La cruauté de tes jambes satines scintille les escalades de zébrures lumineuses portant leur degrés de violence au paroxysme des effleurements de nos parcelles en puzzle vaquant dans l’apesanteur des corps commettant leurs emmêlements de désirs tactiles s’émouvant aux mouvements aléatoire de leur espace charnel sans autre dimension que la douceur abscons de l’amour en enveloppe de caresses développant l’infini de nos possibles exaction pléthore aux extraits harangués sur les fleurs corrompues qui se dessinent au vent qui se faufile entre la légèreté des pétales brûlantes de l’apothéose et les preuves intangibles des limites du temps imbibées d’une essence de baisers big-bang paraffinée sur nos peaux qui se parachèvent en molécules de quartz lorsque les apocalypses nourriciers minéralisent sur nos opales reflétant l’univers nos visages bouleversés de tranquillité illimitée que tabloïd les étoiles aux entre-fils de tes cheveux en boucles d’astéroïdes
la sirène de mon espace
a le chant doux dans le vacarme
Ci-gît peines instants fugaces
Si je m’en flous ce sont que larme
De ma nation Je suis pupille
Sans autre état ni passeport
Seule notion pour mes papilles
Être enfin soi avant la mort
Les jets de nos âmes sur feuilles apatrides,
Filent dans l’univers transperçant le néant,
Fluide aux perles de slam, diode à ta peau limpide,
Chantant depuis ces vers nos cœurs incandescents.
L’entre peaux en flammes sur la route du vide,
L’émotion au geyser du tarmac craquelant,
Vols camphrés aux charmes des éruptions hybrides,
Poche en cristal d’air le souffle des amants.
L’approche vitale des suées compactes
Abonde en symphonie au flux des flots de lyres,
S’en s’erre dans le bal des caresses contactes,
À la liturgie féconde du désir.
Nous comblerons le temps de l’ordre des secondes,
Quand un seul sentiment créera notre monde.
Dernière édition par Heartshiver le Dim 13 Déc - 12:28, édité 1 fois
Heartshiver- Nombre de messages : 96
Date d'inscription : 29/10/2009
Re: Qu'une ambition : t'aimer.
Quelle histoire! le texte me plait.Heartshiver a écrit:Quand ses yeux chaloupent, sous ses lunettes, qu’elle
place en inertie ses branches purpurines,
traversant sa coupe, cheveux en fête, frêle
cette frénésie de rompre sa routine.
‘Marre de ce tricot, toujours le même !’ hèle
sa colère, je crois, si ce n’est le dégoût
d’être mal de sa peau contre elle-même. ‘Belle ?
Comment faire ? si moi suis moche comme un pou !’
Puis sa transformation commença le jour où
elle changea son look. portant sur ses lentilles
des cheveux en boucles, sous des mèches qui brillent.
D’ailleurs, un inconnu, sous son charme, lui porte
des fleurs, dans cette rue aux joues parme, où s‘emportent
les trames d’une union. il l’aime comme un fou.
Stupeur à l’agression, d’abord, faut dire aussi
il était déguisé avec un blazer d’une
époque où des légions, des portes de Russie,
marchaient au froid armé, cherchant gloire et fortune
Vous l’auriez aperçu, parmi la foule en jeans
et costards, vous auriez cherché où est la blague !
Puis pris dans l’imprévu, leurs sourcils firent pin’s
de regards extasiés quand il tendit sa bague :
‘ Mon amour, cela fait maintenant un an que
nos décors s'unissent sur le parvis heureux
de nos jours en essais. Quels moments merveilleux !
Aujourd’hui, devant toi, je m’agenouille, je
m’incline et ne tremble que d’un cœur mille feux
d’une harmonie, foi d’un avenir fougueux '
Et la rue acclame, les gens les applaudissent
il attend la flamme du dévouement, hisse,
de sa paume ouverte, le cercle de diamants
aux passions en sertes de l’amour talisman.
Nous vîmes sa gène, tête cachée sur
son épaule, pâle livide et de grimaces…
Aux moues de peine, des spectateurs plus durs
partirent. Lui seul mal ridicule et fugace.
Elle avait pris le coin, ce non l’avait groggy
Quand le carrosse vint, lui n'était pas partis.
Mort est son panache, sa vie s‘effiloche.
' Mais comme il est vilain ! Nous deux c’est jour et nuit !
Maintenant je marche joues mattes cils blushs
C’est chacun son destin, moi celui de Barbie !
Je n’aurais de vertu aux fils de ma beauté
Que de gagner mon sort par un trait de rimmel
Y’a pas de consensus tais toi fais la poupée
Tu verras les remords disparaissent véniels !'
Elle fut parcourue au cours de deux années
Par une pléthore de relations charnelles
Mais même toute nue aucun âne bâté
Ne voulait pour tout l’or l’habiller d’éternel
Seule sur son balcon elle a atteint le top
Juchée sur sa mue en haut d’un gratte-ciel
Pas eu besoin qu’un con son ambition la stoppe
Quand pourtant s’insinue un silence mortel
La vue bruineuse du soixante sixième
Emporte rêveuse les larmes qu’elle sème
Hier à l’infini promesses des demains
Il écoutait vaillant les rythmes qui se soudent
Lierre amour de la vie ô princesse en chemin
Dressant en partant le décor qui le boude
‘ Oublier sa chaîne prétendre pour la mienne
Vie d’étincelle j’ai encore du feu
Oublier l’ancienne pré-tendre à la prochaine
Ce n’était pas elle mais il fallut de peu ‘
D’avoir été paître vinrent mille questions
‘ L’amour est il maudit ne suis-je qu’un minus ‘
Quand il comprit qu’être ne dépend pas d’un non
Mais du temps imparti avant son terminus
Le temps de remettre ses justes émotions
En plein charivari sur ses montagnes russes
Il peignait en maître le réel la fiction
Tel amour et vie le coeur à l'angélus
Puis un jour de grand zip le bonheur l’oriflamme
Aux valses des regards Dansent essences libres
Le passé en vieux clip son futur pour sa femme
Duo qui s’agrippe se trouvant même charme
Sans aucune manip qu’une valse de brames
Faut il que j’ajoute leur peau leurs sens tout vibre
Marchant sur les braises du bas-fond de ses failles
La nuit elle ne dort quand de partout résonnent
Ses propres malaises d’un manque qui l’entaille
Elle mire au travers de la mort au velux
ordonné sur le temps des faisceaux qui inclinent
Son âme qui erre de routes qui se luxent
de ses ressentiments sous la voûte azurine
À peur d’être crépie en ne trouvant aucun
repos, elle tombe pour ne plus voir ses yeux,
son âme succombe dans ce miroir odieux
Force est de se meurtrir quand le corps ne sait pas
Être à la mesure des dictats imposés
Les modes expirent les rides se déploient
L’amour est un état, l’amour est en chacun
Il se cache parfois quand on croit être rien
Les malheurs en bernent ses véritables gènes.
samuel samhoun- Nombre de messages : 724
loisirs : écrire, marcher,voyager
Humeur : changeante !
Date d'inscription : 22/06/2008
Re: Qu'une ambition : t'aimer.
merci samuel...
dis, tu peux enlever le texte de ton com stp, je trouverais cela plus lisible...
merci d'avance et j'attends tes textes avec plaisir...
dis, tu peux enlever le texte de ton com stp, je trouverais cela plus lisible...
merci d'avance et j'attends tes textes avec plaisir...
Heartshiver- Nombre de messages : 96
Date d'inscription : 29/10/2009
Re: Qu'une ambition : t'aimer.
Heartshiver a écrit:Quand ses yeux chaloupent, sous ses lunettes, qu’elle
place en inertie ses branches purpurines,
traversant sa coupe, cheveux en fête, frêle
cette frénésie de rompre sa routine.
‘Marre de ce tricot, toujours le même !’ hèle
sa colère, je crois, si ce n’est le dégoût
d’être mal de sa peau contre elle-même. ‘Belle ?
Comment faire ? si moi suis moche comme un pou !’
Puis sa transformation commença le jour où
elle changea son look. portant sur ses lentilles
des cheveux en boucles, sous des mèches qui brillent.
D’ailleurs, un inconnu, sous son charme, lui porte
des fleurs, dans cette rue aux joues parme, où s‘emportent
les trames d’une union. il l’aime comme un fou.
Stupeur à l’agression, d’abord, faut dire aussi
il était déguisé avec un blazer d’une
époque où des légions, des portes de Russie,
marchaient au froid armé, cherchant gloire et fortune
Vous l’auriez aperçu, parmi la foule en jeans
et costards, vous auriez cherché où est la blague !
Puis pris dans l’imprévu, leurs sourcils firent pin’s
de regards extasiés quand il tendit sa bague :
‘ Mon amour, cela fait maintenant un an que
nos décors s'unissent sur le parvis heureux
de nos jours en essais. Quels moments merveilleux !
Aujourd’hui, devant toi, je m’agenouille, je
m’incline et ne tremble que d’un cœur mille feux
d’une harmonie, foi d’un avenir fougueux '
Et la rue acclame, les gens les applaudissent
il attend la flamme du dévouement, hisse,
de sa paume ouverte, le cercle de diamants
aux passions en sertes de l’amour talisman.
Nous vîmes sa gène, tête cachée sur
son épaule, pâle livide et de grimaces…
Aux moues de peine, des spectateurs plus durs
partirent. Lui seul mal ridicule et fugace.
Elle avait pris le coin, ce non l’avait groggy
Quand le carrosse vint, lui n'était pas partis.
Mort est son panache, sa vie s‘effiloche.
' Mais comme il est vilain ! Nous deux c’est jour et nuit !
Maintenant je marche joues mattes cils blushs
C’est chacun son destin, moi celui de Barbie !
Je n’aurais de vertu aux fils de ma beauté
Que de gagner mon sort par un trait de rimmel
Y’a pas de consensus tais toi fais la poupée
Tu verras les remords disparaissent véniels !'
Elle fut parcourue au cours de deux années
Par une pléthore de relations charnelles
Mais même toute nue aucun âne bâté
Ne voulait pour tout l’or l’habiller d’éternel
Seule sur son balcon elle a atteint le top
Juchée sur sa mue en haut d’un gratte-ciel
Pas eu besoin qu’un con son ambition la stoppe
Quand pourtant s’insinue un silence mortel
La vue bruineuse du soixante sixième
Emporte rêveuse les larmes qu’elle sème
Hier à l’infini promesses des demains
Il écoutait vaillant les rythmes qui se soudent
Lierre amour de la vie ô princesse en chemin
Dressant en partant le décor qui le boude
‘ Oublier sa chaîne prétendre pour la mienne
Vie d’étincelle j’ai encore du feu
Oublier l’ancienne pré-tendre à la prochaine
Ce n’était pas elle mais il fallut de peu ‘
D’avoir été paître vinrent mille questions
‘ L’amour est il maudit ne suis-je qu’un minus ‘
Quand il comprit qu’être ne dépend pas d’un non
Mais du temps imparti avant son terminus
Le temps de remettre ses justes émotions
En plein charivari sur ses montagnes russes
Il peignait en maître le réel la fiction
Tel amour et vie le coeur à l'angélus
Puis un jour de grand zip le bonheur l’oriflamme
Aux valses des regards Dansent essences libres
Le passé en vieux clip son futur pour sa femme
Duo qui s’agrippe se trouvant même charme
Sans aucune manip qu’une valse de brames
Faut il que j’ajoute leur peau leurs sens tout vibre
Marchant sur les braises du bas-fond de ses failles
La nuit elle ne dort quand de partout résonnent
Ses propres malaises d’un manque qui l’entaille
Elle mire au travers de la mort au velux
ordonné sur le temps des faisceaux qui inclinent
Son âme qui erre de routes qui se luxent
de ses ressentiments sous la voûte azurine
À peur d’être crépie en ne trouvant aucun
repos, elle tombe pour ne plus voir ses yeux,
son âme succombe dans ce miroir odieux
Force est de se meurtrir quand le corps ne sait pas
Être à la mesure des dictats imposés
Les modes expirent les rides se déploient
L’amour est un état, l’amour est en chacun
Il se cache parfois quand on croit être rien
Les malheurs en bernent ses véritables gènes.
Bonjour
Des lunettes sur cheveux en fête
Elle a soudain transformé son look
Pour dévoiler ses yeux sous de belles boucles.
L'inconnu en jean blazer est tombé sous son charme
Il lui sortit un "talisman d'amour"
Mais : "Non"...
Malheureux homme, mais non ridicule...
Un homme tellement Amoureux...
Que ce poème est triste ainsi que le manque d'amour...
Béa (ps : je n'ai pas trop compris la fin ; l'homme l'a revu mais elle ne l'aime plus) ?
miss Béa- Nombre de messages : 3641
loisirs : mes enfants, écrire, tv, amis...
Humeur : calme, posée, indépendante, un peu mélancolique, mais joyeuse quand même!
Date d'inscription : 18/11/2009
Re: Qu'une ambition : t'aimer.
lol je te laisse chercher, t'es une adepte de fort boyard tu devrais trouver...
sinon comme pour Samuel, aurais tu l'obligeance d'enlever le texte de ton com, please, à moins que tu le fasses exprès, mais j'ai vu que c'était pas exclusif à moi...
c'est soulant cette fonction citer, à moins de s'en servir sciemment pour en étayer ses arguments avec des extraits, mais là franchement vous abusez...je trouve que c'est un manque de respect par rapport à l'auteur...
Merci d'avance.
sinon comme pour Samuel, aurais tu l'obligeance d'enlever le texte de ton com, please, à moins que tu le fasses exprès, mais j'ai vu que c'était pas exclusif à moi...
c'est soulant cette fonction citer, à moins de s'en servir sciemment pour en étayer ses arguments avec des extraits, mais là franchement vous abusez...je trouve que c'est un manque de respect par rapport à l'auteur...
Merci d'avance.
Heartshiver- Nombre de messages : 96
Date d'inscription : 29/10/2009
Re: Qu'une ambition : t'aimer.
Alors bye bye et à jamais si mon com ne te plait pas, tu es très égoïste...
Adresse tes poème en message privé si tu ne désire pas être commenté !!!
Désolée, mais c'est ce que j'ai compris...
Adresse tes poème en message privé si tu ne désire pas être commenté !!!
Désolée, mais c'est ce que j'ai compris...
miss Béa- Nombre de messages : 3641
loisirs : mes enfants, écrire, tv, amis...
Humeur : calme, posée, indépendante, un peu mélancolique, mais joyeuse quand même!
Date d'inscription : 18/11/2009
Re: Qu'une ambition : t'aimer.
Alors bye bye et à jamais si mon com ne te plait pas, tu es très égoïste...
Adresse tes poème en message privé si tu ne désire pas être commenté !!!
Désolée, mais c'est ce que j'ai compris..
je te demande juste de retirer le texte de ton com pour la visibilité et tu me traites d'égoïste ? tu devrais faire plus de parcimonie dans ta sensibilité à te réduire plus bas que terre, là même où je ne te suivrais pas.
si t'appelle un com mettre le texte de l'auteur en double c'est un peu limité non ? et j'ai très bien vu ton tit résumé.
dès fois on comprend que ce que sa crainte veut bien traduire.
t'es limite nombriliste quand même...et je dis ça de ma vision d'égoïste bien sur...
égoïste...pff...
je crois que j'ai trouvé une solution, étant donné qu'ici passent non seulement des poètes que je veux plus voir tellement j'ai compris leur manège, et d'autres qui me prennent pour soit un égoïste, soit un méchant, autant vous laisser entre vous vous congratuler entre 'amis'. vais aller créer mon site. j'ai du y passer sur une trentaine, comme certains ici où ailleurs, j'en ai trouvé aucun de valable, à part un. comme ça je vous emmerderais pas et réciproquement.
cio.
Eric.
Adresse tes poème en message privé si tu ne désire pas être commenté !!!
Désolée, mais c'est ce que j'ai compris..
je te demande juste de retirer le texte de ton com pour la visibilité et tu me traites d'égoïste ? tu devrais faire plus de parcimonie dans ta sensibilité à te réduire plus bas que terre, là même où je ne te suivrais pas.
si t'appelle un com mettre le texte de l'auteur en double c'est un peu limité non ? et j'ai très bien vu ton tit résumé.
dès fois on comprend que ce que sa crainte veut bien traduire.
t'es limite nombriliste quand même...et je dis ça de ma vision d'égoïste bien sur...
égoïste...pff...
je crois que j'ai trouvé une solution, étant donné qu'ici passent non seulement des poètes que je veux plus voir tellement j'ai compris leur manège, et d'autres qui me prennent pour soit un égoïste, soit un méchant, autant vous laisser entre vous vous congratuler entre 'amis'. vais aller créer mon site. j'ai du y passer sur une trentaine, comme certains ici où ailleurs, j'en ai trouvé aucun de valable, à part un. comme ça je vous emmerderais pas et réciproquement.
cio.
Eric.
Heartshiver- Nombre de messages : 96
Date d'inscription : 29/10/2009
Re: Qu'une ambition : t'aimer.
"...si t'appelle un com mettre le texte de l'auteur en double c'est un peu limité non ? et j'ai très bien vu ton tit résumé.
dès fois on comprend que ce que sa crainte veut bien traduire.
t'es limite nombriliste quand même...et je dis ça de ma vision d'égoïste bien sur...
égoïste...pff...
je crois que j'ai trouvé une solution, étant donné qu'ici passent non seulement des poètes que je veux plus voir tellement j'ai compris leur manège, et d'autres qui me prennent pour soit un égoïste, soit un méchant, autant vous laisser entre vous vous congratuler entre 'amis'. vais aller créer mon site. j'ai du y passer sur une trentaine, comme certains ici où ailleurs, j'en ai trouvé aucun de valable, à part un. comme ça je vous emmerderais pas et réciproquement."Eric:
citer permet de définir à qui et à quoi on répond!
c'est aussi simple que ça sur tous les cites du Net
et si tu n'aimes pas notre façon de se respecter et de se commenter tu n'as qu'à faite ton site comme tu dis... vas voir si quelqu'un va te suivre.
là tu es bien en gras! que feras tu?
dès fois on comprend que ce que sa crainte veut bien traduire.
t'es limite nombriliste quand même...et je dis ça de ma vision d'égoïste bien sur...
égoïste...pff...
je crois que j'ai trouvé une solution, étant donné qu'ici passent non seulement des poètes que je veux plus voir tellement j'ai compris leur manège, et d'autres qui me prennent pour soit un égoïste, soit un méchant, autant vous laisser entre vous vous congratuler entre 'amis'. vais aller créer mon site. j'ai du y passer sur une trentaine, comme certains ici où ailleurs, j'en ai trouvé aucun de valable, à part un. comme ça je vous emmerderais pas et réciproquement."Eric:
citer permet de définir à qui et à quoi on répond!
c'est aussi simple que ça sur tous les cites du Net
et si tu n'aimes pas notre façon de se respecter et de se commenter tu n'as qu'à faite ton site comme tu dis... vas voir si quelqu'un va te suivre.
là tu es bien en gras! que feras tu?
samuel samhoun- Nombre de messages : 724
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