poème volant
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cristopher-cris
Heartshiver
dragonfly
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poème volant
Quand les rêves déchus heurtent fol abrivent
Le fleuron s’écroule fort de pâles ardeurs
Un voyage rompu de roulis permanents
Brise le jaseron au fermoir de ma fleur
Quand les pleurs appendus chantent bel artifice
La fièvre s’enroule sur mes joues arlequines
Un théâtre brûlé de silences complices
Règne la colère, perle note argentine
Quand les cris contenus hurlent mon atrabile
Le siècle déroule ses flegmes cavaliers
Un outrage moiré d’élégances futiles
Mes yeux ne voient plus, mon cœur s’en est allé
Dense houle à la foule martelant sur ma peur
Quand l'espoir se moule sur mes pleurs qui se meurent
Le fleuron s’écroule fort de pâles ardeurs
Un voyage rompu de roulis permanents
Brise le jaseron au fermoir de ma fleur
Quand les pleurs appendus chantent bel artifice
La fièvre s’enroule sur mes joues arlequines
Un théâtre brûlé de silences complices
Règne la colère, perle note argentine
Quand les cris contenus hurlent mon atrabile
Le siècle déroule ses flegmes cavaliers
Un outrage moiré d’élégances futiles
Mes yeux ne voient plus, mon cœur s’en est allé
Dense houle à la foule martelant sur ma peur
Quand l'espoir se moule sur mes pleurs qui se meurent
dragonfly- Nombre de messages : 12
Date d'inscription : 29/10/2009
Re: poème volant
voie dénuée de son orientation
à la fulgurance d'un réciproque effet
coque émiettée par peur d'addictions
effritant d'avance possibles camouflets
le rêve en racine sous un sébum en feu
rougis l'épiderme de brûmes irritantes
chaque pouls se mine d'hurlements dans les yeux
quand ils vous enferment d'une humeur suffocante
remontant des nues sa vérité bancale
prise à la manie de ses perturbations
l'Homme a comme issue ses tictacments fatals
où son destin soumis crispe de dépression
trouverons nous la paix malgré cette évidence
le bonheur en extraits d'entre nos défaillances
à la fulgurance d'un réciproque effet
coque émiettée par peur d'addictions
effritant d'avance possibles camouflets
le rêve en racine sous un sébum en feu
rougis l'épiderme de brûmes irritantes
chaque pouls se mine d'hurlements dans les yeux
quand ils vous enferment d'une humeur suffocante
remontant des nues sa vérité bancale
prise à la manie de ses perturbations
l'Homme a comme issue ses tictacments fatals
où son destin soumis crispe de dépression
trouverons nous la paix malgré cette évidence
le bonheur en extraits d'entre nos défaillances
Heartshiver- Nombre de messages : 96
Date d'inscription : 29/10/2009
Re: poème volant
dragonfly a écrit:Quand les rêves déchus heurtent fol abrivent
Le fleuron s’écroule fort de pâles ardeurs
Un voyage rompu de roulis permanents
Brise le jaseron au fermoir de ma fleur
Quand les pleurs appendus chantent bel artifice
La fièvre s’enroule sur mes joues arlequines
Un théâtre brûlé de silences complices
Règne la colère, perle note argentine
Quand les cris contenus hurlent mon atrabile
Le siècle déroule ses flegmes cavaliers
Un outrage moiré d’élégances futiles
Mes yeux ne voient plus, mon cœur s’en est allé
Dense houle à la foule martelant sur ma peur
Quand l'espoir se moule sur mes pleurs qui se meurent
Du nouveau sang pour nous enrichir. Merci de venir partager vos mots sur nos pages.
Pour le poème: le vide du cœur comme celui de l'âme est difficile à assumer mais il n'est que passager le plus souvent.
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cristopher-cris- Nombre de messages : 2748
loisirs : lecture, voyage
Date d'inscription : 18/07/2008
Re: poème volant
Tourments et orages dans le coeur qui se vide par la plume.dragonfly a écrit:Quand les rêves déchus heurtent fol abrivent
Le fleuron s’écroule fort de pâles ardeurs
Un voyage rompu de roulis permanents
Brise le jaseron au fermoir de ma fleur
Quand les pleurs appendus chantent bel artifice
La fièvre s’enroule sur mes joues arlequines
Un théâtre brûlé de silences complices
Règne la colère, perle note argentine
Quand les cris contenus hurlent mon atrabile
Le siècle déroule ses flegmes cavaliers
Un outrage moiré d’élégances futiles
Mes yeux ne voient plus, mon cœur s’en est allé
Dense houle à la foule martelant sur ma peur
Quand l'espoir se moule sur mes pleurs qui se meurent
samuel samhoun- Nombre de messages : 724
loisirs : écrire, marcher,voyager
Humeur : changeante !
Date d'inscription : 22/06/2008
Re: poème volant
poème-com comme une paire de perle. bravoHeartshiver a écrit:voie dénuée de son orientation
à la fulgurance d'un réciproque effet
coque émiettée par peur d'addictions
effritant d'avance possibles camouflets
le rêve en racine sous un sébum en feu
rougis l'épiderme de brumes irritantes
chaque pouls se mine d'hurlements dans les yeux
quand ils vous enferment d'une humeur suffocante
remontant des nues sa vérité bancale
prise à la manie de ses perturbations
l'Homme a comme issue ses tictacments fatals
où son destin soumis crispe de dépression
trouverons nous la paix malgré cette évidence
le bonheur en extraits d'entre nos défaillances
samuel samhoun- Nombre de messages : 724
loisirs : écrire, marcher,voyager
Humeur : changeante !
Date d'inscription : 22/06/2008
Re: poème volant
douleurs? j'aime quand elle rime dans mon coeur à chaque lecture.dragonfly a écrit:Quand les rêves déchus heurtent fol abrivent
Le fleuron s’écroule fort de pâles ardeurs
Un voyage rompu de roulis permanents
Brise le jaseron au fermoir de ma fleur
Quand les pleurs appendus chantent bel artifice
La fièvre s’enroule sur mes joues arlequines
Un théâtre brûlé de silences complices
Règne la colère, perle note argentine
Quand les cris contenus hurlent mon atrabile
Le siècle déroule ses flegmes cavaliers
Un outrage moiré d’élégances futiles
Mes yeux ne voient plus, mon cœur s’en est allé
Dense houle à la foule martelant sur ma peur
Quand l'espoir se moule sur mes pleurs qui se meurent
bravo
marie la rebelle- Nombre de messages : 1328
Date d'inscription : 11/07/2008
Re: poème volant
dragonfly a écrit:Quand les rêves déchus heurtent fol abrivent
Le fleuron s’écroule fort de pâles ardeurs
Un voyage rompu de roulis permanents
Brise le jaseron au fermoir de ma fleur
Quand les pleurs appendus chantent bel artifice
La fièvre s’enroule sur mes joues arlequines
Un théâtre brûlé de silences complices
Règne la colère, perle note argentine
Quand les cris contenus hurlent mon atrabile
Le siècle déroule ses flegmes cavaliers
Un outrage moiré d’élégances futiles
Mes yeux ne voient plus, mon cœur s’en est allé
Dense houle à la foule martelant sur ma peur
Quand l'espoir se moule sur mes pleurs qui se meurent
une foule de ressentis
c'est dure d'avoir tout ça dans le coeur
heureusement que les plumes sont là pour tout évacuer.
karim safriwi- Nombre de messages : 615
Date d'inscription : 03/07/2008
Re: poème volant
merci toi pour ce si joli ricochet
et merci à tous ceux qui ont lu et déposé quelques mots sous cet élan que la plume ne peut apaiser
et merci à tous ceux qui ont lu et déposé quelques mots sous cet élan que la plume ne peut apaiser
dragonfly- Nombre de messages : 12
Date d'inscription : 29/10/2009
Re: poème volant
Les mots-plaies font que les maux plaisent une fois écris.
Ils convertissent les cris en de savoureux lettres de détresse qu'on partage dans l'esprit amicale.
Ils convertissent les cris en de savoureux lettres de détresse qu'on partage dans l'esprit amicale.
sarah- Nombre de messages : 2022
Date d'inscription : 12/11/2008
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