La Guerrière

Nadia a écrit:

La Guerrière



Cuirasse d’argent et bottes en peau,
Arc et flèches au carquois,
Solitaire, elle traverse le feu et l’eau
De son air dur et narquois.
Rien ne l’arrête, rien ne la touche.
Le regard fixe et sans état d’âme,
Elle détourne l’ennemi le plus farouche
Et protège l’innocent qu’elle acclame.
A travers bois et marais,
Elle prie et implore les Esprits
D’être noble à jamais,
L’épée au flanc, pour défendre la Vie.
Dans l’auberge du paysan d’Artois
Ou sous la voûte céleste d’Orient,
Elle trouve le repos avec joie
Pour aussitôt repartir braver le vent.
Son cœur bat pour le bonheur,
Son corps vit pour la justice,
Elle mourra pour l’honneur
Sans avoir cédé, aux hommes, leurs caprices.

CELUI QUI SAIT a écrit:

Nadia a écrit:

La Guerrière



Cuirasse d’argent et bottes en peau,
Arc et flèches au carquois,
Solitaire, elle traverse le feu et l’eau
De son air dur et narquois.
Rien ne l’arrête, rien ne la touche.
Le regard fixe et sans état d’âme,
Elle détourne l’ennemi le plus farouche
Et protège l’innocent qu’elle acclame.
A travers bois et marais,
Elle prie et implore les Esprits
D’être noble à jamais,
L’épée au flanc, pour défendre la Vie.
Dans l’auberge du paysan d’Artois
Ou sous la voûte céleste d’Orient,
Elle trouve le repos avec joie
Pour aussitôt repartir braver le vent.
Son cœur bat pour le bonheur,
Son corps vit pour la justice,
Elle mourra pour l’honneur
Sans avoir cédé, aux hommes, leurs caprices.

Serait-ce un homme manqué,de la création une offense,
Ou une femme perdue en les couloirs de son enfance?
L'homme et la femme ont des besoins physiologiques,
Qui entrent dans un contexte dit de pure logique,
Obéissant aux lois simples de notre dame nature,
Au moment opportun il faut savoir déposer armure.

Janedeau a écrit:

Nadia

Unguerrière bien décidée dont tu peins admirablement !

Belle lecture, merci

Nadia a écrit:

La Guerrière



Cuirasse d’argent et bottes en peau,
Arc et flèches au carquois,
Solitaire, elle traverse le feu et l’eau
De son air dur et narquois.
Rien ne l’arrête, rien ne la touche.
Le regard fixe et sans état d’âme,
Elle détourne l’ennemi le plus farouche
Et protège l’innocent qu’elle acclame.
A travers bois et marais,
Elle prie et implore les Esprits
D’être noble à jamais,
L’épée au flanc, pour défendre la Vie.
Dans l’auberge du paysan d’Artois
Ou sous la voûte céleste d’Orient,
Elle trouve le repos avec joie
Pour aussitôt repartir braver le vent.
Son cœur bat pour le bonheur,
Son corps vit pour la justice,
Elle mourra pour l’honneur
Sans avoir cédé, aux hommes, leurs caprices.

CELUI QUI SAIT a écrit:Ok la Miss du virtuel à l'irréel il n'y a qu'un pas,
De l'enfance au monde adulte trône la réalité,
Elle te dira un jour : Je t'ai enfin rattrapée,
Avec comme échappatoire le trou du trépas,
Rêvons donc de ce que tu aurais voulue être,
Des rancoeurs qui meutrissent ainsi le coeur,
Grandir se fait souvent en un chemin de peur,
Ainsi s'ensemence la vie:vouloir,ne point être.

Il n'en reste pas moins que tes écrits sont magnifiques.Alors je rêve avec toi,mais ton monde d'Amazones
m'interdit tout intrusion.Que me reste t'il donc à espérer?Milites-tu au mlf?

sarah a écrit:

Nadia a écrit:

La Guerrière



Cuirasse d’argent et bottes en peau,
Arc et flèches au carquois,
Solitaire, elle traverse le feu et l’eau
De son air dur et narquois.
Rien ne l’arrête, rien ne la touche.
Le regard fixe et sans état d’âme,
Elle détourne l’ennemi le plus farouche
Et protège l’innocent qu’elle acclame.
A travers bois et marais,
Elle prie et implore les Esprits
D’être noble à jamais,
L’épée au flanc, pour défendre la Vie.
Dans l’auberge du paysan d’Artois
Ou sous la voûte céleste d’Orient,
Elle trouve le repos avec joie
Pour aussitôt repartir braver le vent.
Son cœur bat pour le bonheur,
Son corps vit pour la justice,
Elle mourra pour l’honneur
Sans avoir cédé, aux hommes, leurs caprices.

Un poéme qui pousse à rêver, à immaginer le courage et la force pour la justice et la libérté.
Bele écrit, j'aime bien, merci infiniment pour ta plume.