Tu tombes…je t’entraîne…
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cristopher-cris
jélas
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Tu tombes…je t’entraîne…
Tu tombes…je t’entraîne…
Et oui…nous y voilà…au bord de cette falaise,
Toi et moi, savions qu’un jour, elle nous mettrait mal à l’aise.
Les questions nous oppressent, l’air vient à nous manquer,
Nos regards en détresse, personne pour nous arrimer.
Tel une spirale, une frénésie pour nous accabler,
Aux esprits aveugles, nous réclamons d’être guidés.
Alors…complices, nos mains accrochées à ce qui nous unit,
Nous avançons encore d’un pas…timoré mais établi.
Si tu sautes…crois moi…je te suis,
Nul ne pourra nous contenir, même s’il…nous supplie.
Dans ce salut indécent, nous fixerons nos yeux amoureux,
Et clamerons la peur, mais seulement celle d’être loin d’eux.
Nous savons qu’au bout de cette chute,
Nos deux corps se marieront…avant qu’ils ne percutent.
Si nous devons nous contenter d’un seul baiser,
C’est dans ce plongeon que nous irons le chercher.
Ainsi, nous pourrons exposer, toute la beauté,
De cette ressemblance qui nous aura fascinés.
Si tu tombes... je t’entraîne…
Mais, si on meurt…on vivra ailleurs…ma reine !!!
JL
Et oui…nous y voilà…au bord de cette falaise,
Toi et moi, savions qu’un jour, elle nous mettrait mal à l’aise.
Les questions nous oppressent, l’air vient à nous manquer,
Nos regards en détresse, personne pour nous arrimer.
Tel une spirale, une frénésie pour nous accabler,
Aux esprits aveugles, nous réclamons d’être guidés.
Alors…complices, nos mains accrochées à ce qui nous unit,
Nous avançons encore d’un pas…timoré mais établi.
Si tu sautes…crois moi…je te suis,
Nul ne pourra nous contenir, même s’il…nous supplie.
Dans ce salut indécent, nous fixerons nos yeux amoureux,
Et clamerons la peur, mais seulement celle d’être loin d’eux.
Nous savons qu’au bout de cette chute,
Nos deux corps se marieront…avant qu’ils ne percutent.
Si nous devons nous contenter d’un seul baiser,
C’est dans ce plongeon que nous irons le chercher.
Ainsi, nous pourrons exposer, toute la beauté,
De cette ressemblance qui nous aura fascinés.
Si tu tombes... je t’entraîne…
Mais, si on meurt…on vivra ailleurs…ma reine !!!
JL
jélas- Nombre de messages : 228
Date d'inscription : 30/12/2008
Re: Tu tombes…je t’entraîne…
Se donner à fond, jusqu’au dernier souffle. Seul un vrai amour sincère est capable de ressentir cette envie de se jeter au feu, au du haut d’une falaise pour, ou avec celui qui en notre cœur réside.
cristopher-cris- Nombre de messages : 2748
loisirs : lecture, voyage
Date d'inscription : 18/07/2008
Re: Tu tombes…je t’entraîne…
Jélas est de retour, sur le bort de sa source je me pose
Papillon curieux et désireux de flâner sur les vers écloses
au plaisir
Papillon curieux et désireux de flâner sur les vers écloses
au plaisir
sarah- Nombre de messages : 2022
Date d'inscription : 12/11/2008
Re: Tu tombes…je t’entraîne…
Peine vive, douleur profonde, accablement...
Tous les ingrédients du calvaire sont là pour une Succession d'épreuves, de difficultés et de souffrances...
On te lisant j’ai l’impression que le chemin de l’amour n’est qu’un long calvaire entrecoupé de quelques averses douces!!!
Tous les ingrédients du calvaire sont là pour une Succession d'épreuves, de difficultés et de souffrances...
On te lisant j’ai l’impression que le chemin de l’amour n’est qu’un long calvaire entrecoupé de quelques averses douces!!!
Re: Tu tombes…je t’entraîne…
Etre fidèle, c'est, bien souvent, enchaîner l'autre.
"Sacha Guitry"
au plaisir
"Sacha Guitry"
au plaisir
firdaws- Nombre de messages : 930
Humeur : joie de vie !
Date d'inscription : 21/05/2008
Re: Tu tombes…je t’entraîne…
Le temps fait l’art, ouvre ta main
Pendule dort dans le
quatrain
Il est trois heures
et c’est demain
Il est cinq heures
où le chemin
Il est sept heures
et c’est divin
Il est neuf heures
a bon matin
Pendule dort dans le quatrain
Il est vingt heures
a son chagrin
Il est dix heures
au vent qui vient
Il est en fleur
comme au jardin
Il est de cœur
c’est du bon pain
Pendule dort dans l’incertain
Ils vont à pied et sur vos terres
Il font l’été sans la prière
Île a erré pour deux rivières
Il a semé une rizière
Pendule alors est à la montre
Étain de nuit, plume d’argent
Dauphin de puits s’accorde aux gens
Félin qui trie en ce moment
Malin qui dit qu’a fait le vent
Pendule sort l’homme du temps
Il est à l’heure à son refrain
Il a si peur de son enfin
Il est meilleur que son voisin
Il a bonheur le malandrin
Pendule alors dans le matin
Il est plusieurs à son affaire
Il est dormeur et sédentaire
Il est ailleurs bien que la terre
Est à hauteur d’un bleu de mer
Pendule un ciel nuage en fuite
Ils vont au pré et sur leurs tempes
On voit les blés sans que la lampe
À la clarté, élève envie
Il est midi et à mi-nuit…
Pendule un rêve où l’innocence
La mie est d’or l’ivraie de vin
Oui mais encore un vrai de rien
Qui fait l’accord avec un brin
L’ami est d’art il est de lin
Pendule au fil de cette aiguille
Un va-et-vient puisé en cœur
Comme un été d’oiseaux moqueurs
Si haut perchés au lent fusain
Le temps fait l’art, ouvre ta main
Pendule d’or sous un écrin
Pendule dort dans le
quatrain
Il est trois heures
et c’est demain
Il est cinq heures
où le chemin
Il est sept heures
et c’est divin
Il est neuf heures
a bon matin
Pendule dort dans le quatrain
Il est vingt heures
a son chagrin
Il est dix heures
au vent qui vient
Il est en fleur
comme au jardin
Il est de cœur
c’est du bon pain
Pendule dort dans l’incertain
Ils vont à pied et sur vos terres
Il font l’été sans la prière
Île a erré pour deux rivières
Il a semé une rizière
Pendule alors est à la montre
Étain de nuit, plume d’argent
Dauphin de puits s’accorde aux gens
Félin qui trie en ce moment
Malin qui dit qu’a fait le vent
Pendule sort l’homme du temps
Il est à l’heure à son refrain
Il a si peur de son enfin
Il est meilleur que son voisin
Il a bonheur le malandrin
Pendule alors dans le matin
Il est plusieurs à son affaire
Il est dormeur et sédentaire
Il est ailleurs bien que la terre
Est à hauteur d’un bleu de mer
Pendule un ciel nuage en fuite
Ils vont au pré et sur leurs tempes
On voit les blés sans que la lampe
À la clarté, élève envie
Il est midi et à mi-nuit…
Pendule un rêve où l’innocence
La mie est d’or l’ivraie de vin
Oui mais encore un vrai de rien
Qui fait l’accord avec un brin
L’ami est d’art il est de lin
Pendule au fil de cette aiguille
Un va-et-vient puisé en cœur
Comme un été d’oiseaux moqueurs
Si haut perchés au lent fusain
Le temps fait l’art, ouvre ta main
Pendule d’or sous un écrin
atouthasard- Nombre de messages : 1113
Date d'inscription : 11/10/2008
Re: Tu tombes…je t’entraîne…
Un grand merci à vous tous...qui passez par là et laissez vos mots comme autant de marques singulières!
Merci mille fois pour ces regards qui éclairent la pièce où je m'enferme!
Jérôme
Merci mille fois pour ces regards qui éclairent la pièce où je m'enferme!
Jérôme
jélas- Nombre de messages : 228
Date d'inscription : 30/12/2008
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