Je m’incline devant vos tombes
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Je m’incline devant vos tombes
Je m’incline devant vos tombes
Je m’incline devant vos tombes
Sans oser perturber votre sommeil
Ou oublier les premières bombes
Nucléaires ayant voilé le soleil
Qui éclairait notre désert au sable
Doré, belle Algérie, je t’aime bien
Sans renier la gloire impérissable
Des grands martyrs Algériens
Qui m’avaient libéré de la prison
De la peur en m’ouvrant la porte
Du ciel sans m’abreuver du poison
Lent ou m’entourer d’une cohorte
Pour me forcer à reconnaître
L’autorité coloniale et à renier
Mes origines sans tenter de renaître
Dans un monde libre ou d’unifier
Les forces par la fraîcheur d’une
Nuit d’un premier novembre
Qui éclaira l’identité commune
En chassant les nuages sombres
Par la lumière de juillet, mois
Où j’avais appris à vivre dignement
Sans craindre les chiens qui aboient
Ou espérer trouver un dieu clément
Sur la terre ; Algérie tu es à la fois
Mon refuge et le paradis sur terre
Où il n’y pas d’esclaves et de rois,
Il y a seulement une société prospère
Où les gens vivent dignement sans
Se plier à la volonté de la majesté
Royale ou cacher le soleil éblouissant
Qui reflète dans sa clarté la vérité,
Je souhaite qu’après ma mort,
La cendre de mon corps sera éparpillée
Sur tout le territoire, du nord
Au sud, là où les âmes de mes aïeux
Errent pour me rappeler que l’animal
N’enfantera jamais un humain
Et le racisme reste toujours le mal
Qui incarne les démons malins.
Dad Allaoua
Je m’incline devant vos tombes
Sans oser perturber votre sommeil
Ou oublier les premières bombes
Nucléaires ayant voilé le soleil
Qui éclairait notre désert au sable
Doré, belle Algérie, je t’aime bien
Sans renier la gloire impérissable
Des grands martyrs Algériens
Qui m’avaient libéré de la prison
De la peur en m’ouvrant la porte
Du ciel sans m’abreuver du poison
Lent ou m’entourer d’une cohorte
Pour me forcer à reconnaître
L’autorité coloniale et à renier
Mes origines sans tenter de renaître
Dans un monde libre ou d’unifier
Les forces par la fraîcheur d’une
Nuit d’un premier novembre
Qui éclaira l’identité commune
En chassant les nuages sombres
Par la lumière de juillet, mois
Où j’avais appris à vivre dignement
Sans craindre les chiens qui aboient
Ou espérer trouver un dieu clément
Sur la terre ; Algérie tu es à la fois
Mon refuge et le paradis sur terre
Où il n’y pas d’esclaves et de rois,
Il y a seulement une société prospère
Où les gens vivent dignement sans
Se plier à la volonté de la majesté
Royale ou cacher le soleil éblouissant
Qui reflète dans sa clarté la vérité,
Je souhaite qu’après ma mort,
La cendre de mon corps sera éparpillée
Sur tout le territoire, du nord
Au sud, là où les âmes de mes aïeux
Errent pour me rappeler que l’animal
N’enfantera jamais un humain
Et le racisme reste toujours le mal
Qui incarne les démons malins.
Dad Allaoua
Dad Allaoua- Nombre de messages : 3370
Date d'inscription : 26/01/2010
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