Muse cancre ?

Quand la muse devient cancre
La plume jette l’ancre
Dans la crique sèche d’encre.
Le silence, ami tendre
Devient crieur, à ne plus entendre
Que son écho qui fait fondre
L’envie de chanter
Les mots, qu’on aime hanter.
Pourtant, patienter
Est mode veille
Approprié, qui va à merveille
Pour la muse qui se tiraille
À quatre cheveux pour plaire à nous
Quand on le veut. elle ne cesse ses nœuds
De mots, qui la mette, pour nous, à genoux
(pour daniel)

C'est l'école buissonnière
De la plume qui s'en va
Muser mais qui reviendra...
Une façon singulière
De se dire à sa manière
Qu'onc il ne la quittera...
Alors, cher poète, espère !

gepetto a écrit:C'est l'école buissonnière
De la plume qui s'en va
Muser mais qui reviendra...
Une façon singulière
De se dire à sa manière
Qu'onc il ne la quittera...
Alors, cher poète, espère !

Quand la plume quitte la classe, la pensée, maitresse en détresse s’agite sur sa place déprimée et d’attente, lasse.

J'ai aimé cet écriT.
En attendant si cette encre sèche la tienne et bien diluée.

nadia ibrahimi a écrit:Quand la muse devient cancre
La plume jette l’ancre
Dans la crique sèche d’encre.
Le silence, ami tendre
Devient crieur, à ne plus entendre
Que son écho qui fait fondre
L’envie de chanter
Les mots, qu’on aime hanter.
Pourtant, patienter
Est mode veille
Approprié, qui va à merveille
Pour la muse qui se tiraille
À quatre cheveux pour plaire à nous
Quand on le veut. elle ne cesse ses nœuds
De mots, qui la mette, pour nous, à genoux
(pour daniel)

Dois-je déduire qu’on est deux dans le même faussé ?
Dans ce cas peu m’importe que ma muse vienne à moi ou pas !
Puisque toi et moi, on n’aura pas le temps de froisser les papiers
Mais plus tôt, occupé à deviser de tout et de rien au point de ne voir le temps passer.

51SOLEIL a écrit:J'ai aimé cet écris.
En attendant si cette encre séche la tienne et bien diluée.

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daniel a écrit:
[Dois-je déduire qu’on est deux dans le même faussé ?
Dans ce cas peu m’importe que ma muse vienne à moi ou pas !
Puisque toi et moi, on n’aura pas le temps de froisser les papiers
Mais plus tôt, occupé à deviser de tout et de rien au point de ne voir le temps passer.

pourquoi pas
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sarah a écrit:Quand la muse assoit son esprit dans la paresse
Le silence des pages, devient griffures, non pas caresse
Désolée, la plume attend que les nuages disparaissent
Et que la muse-soleil réapparaisse !

que me rest-il à dire après ces beaux mots qui font perdre les maux à ma plume !

Qui n'a pas été confronté aux malices de sa muse?
Elles sont libres comme l'air, elles viennent et repartent,
puis reviennent les bras chargées d'idées.....
Il est nécessaire pour la qualité de nos écrits que nos muses
nous jouent des tours....
Le plaisir est mille fois plus agréable de retrouver l'inspiration
parfois à partir de rien.......

Beau texte, et qui sonne bien.
au plaisir

tu parles bien de cette situation de manque qui frôle tout écrivaillon

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dany36 a écrit:Qui n'a pas été confronté aux malices de sa muse?
Elles sont libres comme l'air, elles viennent et repartent,
puis reviennent les bras chargées d'idées.....
Il est nécessaire pour la qualité de nos écrits que nos muses
nous jouent des tours....
Le plaisir est mille fois plus agréable de retrouver l'inspiration
parfois à partir de rien.......

Beau texte, et qui sonne bien.
au plaisir

Parfaitement raison [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

RIMEUR a écrit:tu parles bien de cette situation de manque qui frôle tout écrivaillon

Si la plume n'est pas docile c'est quelle manque de soleil pour ses ailes [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]