Les lumières de la ville
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Admin
Philippe
6 participants
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Les lumières de la ville
Les lumières de la villes
Les lumières de la villes
Gluantes qui défilent
Qui collent à mon pare-brise
Et ce crachin si fin
Qu’il cache ces chemin
Que l’on prend par traîtrise
Dans le trafic dense,
Je ne vois plus rien
Que cette nuit immense
Que plus rien ne retient
Au son des lampadaires
Ces tambours de lumière
aux cadences glacées
Des chants d’anniversaires
Je fuis l’aéroport..
Plutôt, il me poursuit.
L’image de son corps
De sa main qui s’agite
Nos derniers mots encore
Notre dernière fuite
Et toujours ces lumières
Qui repassent plus vite
Et dans mes yeux de pierres
Le goudron qui s’invite
Qui tourne dans un trou noir
Et de plus en plus vite
Dans mon rétroviseur
Des lumières toujours
Où filent le bonheur
De quand c’était le jour
Finalement ébloui
Par les phares d’en face
Je vois sourire l’oubli
La douleur qui s’efface
Loin la haut dans le ciel
La lumière de la ville
D’un bleu artificiel
En silence vacille
Et jamais dans ma glace
Je ne verrais l’ennuie
Qui sournois prend la place
Des désirs, de la vie
je vois sans amertume
Mon sang qui se répand
Qui rougit le bitume
Du pourpre des amants
J’étais cœur à l’enclume
Broyé de sentiments
Je suis comme une plume
Emporté par le vent
Dans un dernier effort
Serein, presque content
J’emporte mon trésor
Un souffle dans le temps
Moi, je t’aimais encore
Les lumières de la villes
Gluantes qui défilent
Qui collent à mon pare-brise
Et ce crachin si fin
Qu’il cache ces chemin
Que l’on prend par traîtrise
Dans le trafic dense,
Je ne vois plus rien
Que cette nuit immense
Que plus rien ne retient
Au son des lampadaires
Ces tambours de lumière
aux cadences glacées
Des chants d’anniversaires
Je fuis l’aéroport..
Plutôt, il me poursuit.
L’image de son corps
De sa main qui s’agite
Nos derniers mots encore
Notre dernière fuite
Et toujours ces lumières
Qui repassent plus vite
Et dans mes yeux de pierres
Le goudron qui s’invite
Qui tourne dans un trou noir
Et de plus en plus vite
Dans mon rétroviseur
Des lumières toujours
Où filent le bonheur
De quand c’était le jour
Finalement ébloui
Par les phares d’en face
Je vois sourire l’oubli
La douleur qui s’efface
Loin la haut dans le ciel
La lumière de la ville
D’un bleu artificiel
En silence vacille
Et jamais dans ma glace
Je ne verrais l’ennuie
Qui sournois prend la place
Des désirs, de la vie
je vois sans amertume
Mon sang qui se répand
Qui rougit le bitume
Du pourpre des amants
J’étais cœur à l’enclume
Broyé de sentiments
Je suis comme une plume
Emporté par le vent
Dans un dernier effort
Serein, presque content
J’emporte mon trésor
Un souffle dans le temps
Moi, je t’aimais encore
Cannes 2008
Philippe- Nombre de messages : 341
Date d'inscription : 12/01/2008
Re: Les lumières de la ville
Des sentiments qui s’entre choquent
Tristesse, douleurs, hésitation
Vouloir fuir, s’oublier
Se voir dans le miroir de l’âme
Entamer le chemin de l’adieu
Désireux de se reprendre
D'une souffrance en abondance
au nom d'un amour éphémère.
Tristesse, douleurs, hésitation
Vouloir fuir, s’oublier
Se voir dans le miroir de l’âme
Entamer le chemin de l’adieu
Désireux de se reprendre
D'une souffrance en abondance
au nom d'un amour éphémère.
les lumieres de la ville
poeme riche en belles images imbibees de diverses etat d'ame,c'est un plaisir de te lire cher ami.
mohamed
mohamed
mohamed kojok- Nombre de messages : 281
loisirs : lecture et sport
Humeur : calme
Date d'inscription : 11/01/2008
Re: Les lumières de la ville
LIMELIGHT, film de Charlie Chaplin, lumières mises en mots par Philippe, halos nocturnes qui réveillent des amours mortes, des souvenirs enfouis, en fuite.
Re: Les lumières de la ville
Renaissance de lumière dans un fond troublé :
Une répétition du mot lumière(5) fois+(3)synonymes
Est là pour confirmer l’attachement de ce cœur triste
A l’espoir qui luit en lui comme un phare
Une répétition du mot lumière(5) fois+(3)synonymes
Est là pour confirmer l’attachement de ce cœur triste
A l’espoir qui luit en lui comme un phare
davidof- Nombre de messages : 2697
loisirs : pêche, voyage, music...
Date d'inscription : 21/05/2008
Re: Les lumières de la ville
Eh bien Philippe tu t'es surpassé,serait-ce l'Amour?
Aux reflets des lumières se brisent,sur mon pare-brise,
Les larmes de mon firmament,douleurs que je méprise,
Moi qui l'aimais dans un encore,imaginant autre décors,
J'en retrace en ma mémoire les contours de son corps,
Un passé récent qui balbutie : Pourquoi es-tu partie?
Mais ce soir,je sais que tu deviendra rêve en ma nuit.
Aux reflets des lumières se brisent,sur mon pare-brise,
Les larmes de mon firmament,douleurs que je méprise,
Moi qui l'aimais dans un encore,imaginant autre décors,
J'en retrace en ma mémoire les contours de son corps,
Un passé récent qui balbutie : Pourquoi es-tu partie?
Mais ce soir,je sais que tu deviendra rêve en ma nuit.
Invité- Invité
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